Examen 1 Flashcards

1
Q

Quelles sont les différentes technologies entre SONAR, SCUBA, Submersibles/ROVs et Flotteurs Argo

A

SONAR: Topographie de fond
SCUBA: Accès direct au fond
Submersibles et ROVs: Accès direct aux grandes profondeurs
Flotteurs Argo: Dérivent passivement avec les courants et font profils vertical et transmet donner via satellite

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2
Q

Quels sont les 6 caractéristiques du milieu marins?

Nommer une caractéristiques de chaque.

A

1- Eau: Polarité et liaison hydrogènes
2- Solubilité: Minéraux (Salinité) et Gaz (Oxygène: limitant respiration/ diffusion lente/ Sensible température)
3- Densité: Flotabilité
4- Densité inertie et viscosité: Force de traîner
5- Thermiques: Capacité thermique/ Conductivité/ Chaleur latente d’évaporation et de fusion
6- Transmission du son (utilisation son et non de la vue): Conductivité électrique (détection électrique)

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3
Q

Nommer deux forces de traînée

A

1- Nombre de Reynolds:
Paramètre sans dimension exprimant le rapport entre les forces d’inertie et les forces de viscosité dans un liquide

2- Influence densité et viscosité:
Délogement du benthos/ Chute des particules/ Coûts des déplacements/ Respiration

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4
Q

Vrai ou Faux:

Plus l’eau est saline et froide plus elle va être dense?

A

Vrai

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5
Q

Nommer 3 aspects physiques entre les écosystèmes marins et terrestres.

A

1- Dimension verticale importante (Milieu sans lumière et zone photique plus épaisse)
2- Différence horizontales: Différences entres habitat plus graduelle en mer
3- Aspect visuel

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6
Q

Nommer 6 aspects écologiques entre les écosystèmes marins et terrestres

A

1- Habitat suspendu - la colonne d’eau : Communauté flottantes
2- Livraison de la nourriture: Animaux: filtreurs/ Plantes: Sels nutritifs/ Flux d’énergie important entre écosystème
3- Matériaux de construction: Terrestres: lignine et cellulose (rigidité)/ Aquatique: alginate et protéiques (souplesse)
4- Dominance des macrophytes: Rapport de biomasse/ Taille des herbivores
5- Gros consommateurs: Terrestres: Herbivores/ Aquatiques: Prédateur
6- Niveau trophiques: Terrestres: 3-4/ Aquatiques: 4-5

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7
Q

Nommer 2 aspects évolutifs entre les écosystèmes marins et terrestres

A

1- Absence de barrières physiques: Existe mais non apparentes/ Communautés sans point fixe/ Frontières entres deux écosystèmes vagues/ Flux génétique entre écosystèmes important
2- Diversité: Plus embranchement en milieu aquatique/ Plus d’espèce en milieu terrestres

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8
Q

Nommer 5 différences entre le milieu dulcicole et marin.

A
1- Salinité
2- Dimensions des plans d’eau
3- Circulation & marées
4- Connectivité
5- Température et densité
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9
Q

Faire la différence entre milieu de vie Pélagiques, Benthiques et Démersales.

A
  • Pélagiques : vivant en eau libre
  • Benthiques : vivant au fond
  • Démersales : vivant en association au fond
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10
Q

Faire la différence entre zone Océanique et zone Néritique.

A
  • Océanique : sans influences continentales

* Néritique : située sur la plate-forme continentale

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11
Q

Faire la différence entre milieu de vie Épibenhos, Endobenthos et Suprabenthos.

A
  • Épibenthos : vivant SUR le fond
  • Endobenthos : vivant DANS les sédiments
  • Suprabenthos : vivant AU-DESSUS du fond
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12
Q

Caractériser les 7 types de matériel pélagique:

Plancton, Necton, Neuston, Pleuston, Seston, Tripton et Détritus

A
  • Plancton : une capacité locomotrice limitée et qui sont donc à la merci des courants
  • Necton : une capacité de se mouvoir contre les courants.
  • Neuston : vivant immédiatement sous la surface de la mer.
  • Pleuston : flottant à la surface ou projetant une partie de leur corps à l’extérieur de l’eau
  • Seston : matière en suspension, qu’elle soit vivante ou morte, organique ou inorganique.
  • Tripton : Partie non-vivante du seston (organismes morts et particules inorganiques).
  • Détritus : Tripton d’origine organique.
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13
Q

Donner 3 caractéristique de l’océan Pacifique.

A
  • Le plus grand et le plus ancien
  • 50% du domaine océanique
  • Rétrécit de 2-4 cm par an
  • Le plus profond: Fosse des Mariannes (11 km)
  • Très forte activité sismique et volcanique (tsunamis)
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14
Q

Donner 3 caractéristique de l’océan Atlantique.

A
  • Relativement jeune (150 Ma)
  • En expansion (+2-4 cm/an)
  • Plateaux continentaux étendus
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15
Q

Donner 2 caractéristique de l’océan Austral.

A
  • Défini par convention en 2000. Limite “politique” nord établie à 60°S.
  • Réalité océanographique: le courant circumpolaire antarctique.
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16
Q

Donner 3 caractéristique de l’océan Arctique.

A
  • Frontière avec l’Atlantique définie par convention
  • Le plus petit, le moins profond
  • 60% recouvre les plateaux continentaux peu profonds
  • Connecte le Pacifique Nord à l’Atlantique nord (sens unique)
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17
Q

Donner 3 caractéristique de l’océan Indien.

A
  • Le troisième plus grand
  • 20% du domaine océanique
  • Influencé par les moussons et les grands fleuves
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18
Q

Faire la différence entre Guyot, Atoll et Volcan actif.

A

Guyot: Sommet aplati se trouve à plus de deux cents mètres de profondeur sous la surface
Atoll: Sommet aplati se trouve à la surface
Volcan actif: Il a connu au moins une période d’éruption dans les 10.000 dernières années

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19
Q

Connaître 4 types de Mers et un exemple de chaque.

A
  • Mers bordières: situées en bordure des océans. Peuvent être séparées par des îles ou de larges détroits sans seuil. (Golfe Saint-Laurent)
  • Mers méditerranées: situées dans les continents. Reliées aux océans par des détroits avec seuils relativement peu profonds. (Mer Rouge)
  • Mers intérieures: situées profondément dans les continents. Reliées aux océans par une autre mer et des seuils étroits et peu profonds. (Mer Noire)
  • Mers fermées: mers dont les voies de communication avec les océans ont été coupées par le mouvement des plaques tectoniques. (Mer Morte)
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20
Q

Nommer 2 freins physiques et 2 freins biologique à la dissémination.

A

Physiques: Continents et Glace de mer
Biologiques: Température et Prédation

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21
Q

Comprendre le phénomène de la Force de Coriolis et le direction du courant.

A
  • Le courant dévie: à droite du vent dans l’hémisphère nord à gauche du vent dans l’hémisphère sud
  • La direction du courant de surface est à 45º du vent
  • Le courant continue sa rotation en profondeur, jusqu’à ce que la friction l’emporte sur le vent (spirale d’Eckman).
  • Le transport net est à 90º du vent si la bathymétrie n’intervient pas
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22
Q

Comprendre la circulation thermohaline.

A
  • Circulation résultant du mélange vertical des masses d’eaux suite aux différences de densité causées par les variations de température et de salinité.
  • À température égale, l’eau la plus salée est la plus «lourde»
  • À salinité égale, l’eau la plus froide est la plus «lourde»
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23
Q

Comprendre comment le réchauffement climatique affecte la circulation thermohaline

A

Réchauffement = - moins glace au nord et + évaporation aux tropiques = + de précipitation au Nord et eau du Nord - dense = - de plongée des eaux = affaiblissement circulation thermohaline

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24
Q

Nommer les défis pour les organismes Benthiques et Planctoniques en milieu estuarien

A
  • Benthiques: Relativement fixes et doivent composer avec des fluctuations fortes, rapides et fréquentes de salinité et de température liées aux changements de débit et aux marées.
  • Planctoniques ou nectoniques: Voyagent entre les zones de fraie et d’alimentation et doivent passer beaucoup de temps dans différentes zones de salinité
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25
Q

Nommer différence de l’osmorégulation chez les poissons en mer et en eau douce

A

En mer: Perte d’eau par branchies et peau/ Boit de l’eau/ Excrète sel par les branchies/ Peu d’urine concentrée
En eau douce: Gagne eau par branchies et la peau/ Ne boit pas d’eau/ Absorbe sel par branchies/ Beaucoup d’urine diluée

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26
Q

Nommer 3 gains et 3 pertes de la production primaire.

A

Gains:
• Croissance individuelle
• Croissance populationnelle
• Ressources – Lumière – Carbone inorganique – Sels nutritifs / métaux
• Facteurs limitants – Température – Salinité

Pertes:
• Respiration
• Excrétion – Carbone organique dissous (COD)
• Fragmentation (macrophytes)
• Export
• Broutage – Photoautotrophes multicellulaires
• Morte – Herbivorie – Perturbations

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27
Q

Comprendre la formule: Ez = Eo * e^-k*z

A

Plus on monte en profondeur et plus il y a de lumière, plus il va y avoir de production primaire

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28
Q

Connaître les deux techniques pour mesurer la lumière.

A
  • « Hi-Tech » : Sondes Licor: Haute technologie pour mesurer la lumière soit de toutes les directions, soit du haut. Attention : PAR vs radiation solaire
  • « Lo-Tech » : Secchi disque: Un disque noir et blanc. À la profondeur où il disparaît (D), la quantité de lumière réfléchie par le disque est égale à la quantité de lumière réfléchie par l’eau.
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29
Q

Connaître caractéristiques des 2 types d’eau.

A
  • Type 1: K influencée par phytoplancton/ K plus petit 0,20/ Couche euphotique jusqu’à 200m
  • Type 2: K influencé par apport sédiment, matière orga et phyto./ K plus grand 0,20/ Couche euphotique 2-50m
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30
Q

Quels sont les deux pics principaux d’absorption de la chlorophylle a

A

440nm (bleu) et 660 nm (rouge).

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31
Q

Lien entre lumière, photosynthèse et production primaire nette

A
  • PPN = Production brute - respiration
  • Atteint plateau à partir d’une certaine intensité lumineuse
  • Sous le point de compensation la lumière n’est pas suffisamment forte pour compenser les pertes respiratoires.
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32
Q

Connaître les 4 défis de la vie planctonique

A
  • Rester près de la surface.
  • Accès à la lumière
  • Accès au CO2
  • Accès aux nutriments
33
Q

Comprendre relation entre concentration du nutriment et la constance de demi saturation (V = Vmax/2)

A
  • Si la concentration du nutriment (S) est plus petit que la constante de demi saturation = prise limitée par la concentration du nutriment
  • Si la concentration du nutriment (S) est plus grand que la constante de demi saturation = prise limitée par la capacité enzimatique
34
Q

Connaître les 3 types de nutrition azotée.

A
  1. N2 (diazote): provient de l’atmosphère. Fixé uniquement par certaines cyanobactéries. C’est la forme d’azote la plus abondante dans l’environnement, mais la majorité des plantes et des bactéries ne peuvent pas l’utiliser.
  2. NO3 (nitrate): provient de l’océan profond. Forme la plus abondante d’azote fixé, utilisable par la plupart des photoautotrophes. Très oxydé, les cellules doivent le réduire en NH4 pour assimiler l’azote
  3. NH4 (ammonium): provient de l’activité des organismes (excrétion, décomposition). N’est pas oxydé et est assimilable directement par toutes.
35
Q

Quel est la Loi de Stokes? Quel sont les deux solutions?

A
  • La vitesse V de chute (ou sédimentation) des particules sphériques dans un fluide dépend de l’accélération gravitationnelle (g), densité de la particule (d), densité du fluide (D), rayon de la particule (r) et de la viscosité du fluide (u)
  • Solution 1: Diminution de la densité
  • Solution 2: Diminution de la taille
36
Q

Vrai ou Faux:
Si la lumière moyenne est égale ou inférieure à la lumière de compensation (Ec), il ne peut pas y avoir de croissance nette.

A

VRAI

37
Q

VRAI ou FAUX:

  • Si la couche de mélange (Zm) est moins profonde que Zcr alors Pw > Rw et la croissance est positive.
  • Si la couche de mélange (Zm) est plus profonde que Zcr alors Pw ≤ Rw et la croissance est nulle ou négative.
A

VRAI

38
Q

Quels sont les principaux éléments essentiels.

A
  • Azote: Acides aminés/ Protéines/ Enzymes
  • Phosphore: Acides nucléiques/ ARN/ ADN/ Lipides
  • Silicium: Parois cellulaire
  • C:N:P = 106:16:1
39
Q

Comparer l’acquisition des nutriments des 2 régions différentes :

  • Région où les apports nutritifs sont relativement faibles et constants
  • Région où les apports nutritifs peuvent être fort mais épisodiques
A
  • Région où les apports nutritifs sont relativement faibles et constants:
    Une taille petite ou une forme allongée augmente le rapport surface/volume (S/V), ce qui favorise la nutrition.
    Mobilité ou contrôle de la flottaison pour aller chercher les nutriments en profondeur
  • Région où les apports nutritifs peuvent être fort mais épisodiques:
    Une plus grande taille permet d’inclure une vacuole servant à entreposer les nutriments ainsi diminuer la densité
    Ces nutriments peuvent être mobilisés lorsque l’apport externe diminue à nouveau. Ils peuvent suffire pour quelques divisions cellulaires
40
Q

Connaître 3 types de reproduction asexuée.

A
  • Fission des cellules (organismes unicellulaires)
  • Libération de cellules isolées (spores)
  • Fission ou bourgeonnement
  • Fragmentation
  • Croissance clonale (« végétale »)
41
Q

Connaître 3 types de fission des cellules chez les dinoflagellés

A

1- Kyste en dormance
2- Germination (température, lumière, oxygène)
3-Fission binaire: exponentiel quand les nutriments sont abondants et les conditions optimales
4-Quand les conditions ne sont plus optimales, la croissance (fission) s’arrête et formation de gamètes
5-Formation de zygote (kyste)

42
Q

Nommer deux types de bourgeonnement chez les scyphozoaires.

A

(1) bourgeonnement produisant des colonies de polypes génétiquement identiques
(2) bourgeonnement produisant des stades méduses pélagiques

43
Q

Nommer deux avantages à produire des clones par bourgeonnement

A
  1. Dissémination (si les bourgeons fonctionnent comme des propagules) - Reproduction asexuée
  2. Accroissement (si les agrégations se forment) - Croissance clonale (« végétale »)
44
Q

Nommer deux avantages de l’agrégation.

A
  • Alimentation (filtreurs) : conserve la taille optimale de l’appareil buccal, mais profite de l’efficacité du nombre pour créer un courant plus important et ↑ biomasse (polychète, bryozoaire)
  • Spécialisation des clones: différents polypes chez les hydrozoaires se spécialisent dans la reproduction, la défense et l’alimentation.
  • Meilleure utilisation de l’espace disponible: croissance flexible selon la topographie et les courants et avantage compétitif pour la ressource «espace»
45
Q

Nommer trois avantages de la reproduction asexuée.

A
  • Permet l’expansion rapide d’un génotype
  • Peu coûteux (pas de production ni rencontre de gamètes)
  • Diversité génétique réduite – Adaptation locale (génotype performant) – Capacité limitée d’adaptation aux changements environnementaux
46
Q

Nommer trois avantages de la reproduction sexuée.

A

• Échanges sexuels requis pour la croissance des populations
• Coûts énergétiques associés à la production de gamètes et à leur rencontre, aux soins des jeunes
• Coût génétique
• Diversité génétique élevée – Grande capacité d’adaptation de l’espèce aux changements environnementaux
• Fusion des cellules haploïdes (1n) reproductrices (gamètes) pour créer un nouveau individu et un nouveau génome.
• Les gamètes proviennent normalement des individus différents. Sinon, il s’agit de l’autofécondation.
• Les gamètes différents, normalement par leur grandeur, mais sûrement génétiquement.
- isogamie, anisogamie (chez certaines algues)
- oogamie (tous les autres groupes)
• Dimorphisme sexuel marqué entre les gamètes mâles et femelles implique des différences dans le temps et l’énergie nécessaires à leur production.

47
Q

VRAI ou FAUX:
Protogynie: femelle avant mâle
Protandrie: mâle avant femelle

A

VRAI

48
Q

Connaître les 3 façons de faire la rencontre des gamètes.

A

1- Fécondation externe (Relâche et rencontre des gamètes mâles et femelles dans la colonne d’eau)
2- Fécondation interne par du sperme relâché par des conspécifiques (Filtreurs: Capturent le sperme dans la colonne d’eau)
3- Fécondation interne en suivant copulation (Élimine les pertes liées à la fécondation externe, mais de l’énergie est dépensée dans la recherche d’un partenaire)

49
Q

Nommer deux avantages de synchroniser la rencontre des gamètes.

A
  1. Augmenter la probabilité de fécondation;
  2. Éviter la prédation : Si plusieurs oeufs/larves sont présents en même temps dans la colonne d’eau, il y a moins de pression de prédation individuellement et les prédateurs ont accès à plus de ressources que nécessaire = plus grande chance de survie.
50
Q

Nommer les problèmes et les solutions du mélange des gamètes.

A
• Problèmes 
– Séparation par distance 
– Dilution par diffusion 
– Turbulence : mélange (+) et diffusion (-)
• Solutions 
– Augmenter l’effectif 
– Augmenter la densité
51
Q

Différencier 2 espèces reproducteurs: Sémelpares vs Itéropares.

A
  • Espèces sémelpares
    • Se reproduisent une fois puis meurent.
    • Leur succès dépend de la survie des jeunes jusqu’à l’âge adulte.
    • Représentent une adaptation aux environnements à haut risque où le taux de mortalité adulte est élevé.
  • Espèces itéropares
    • Reproduction continue sur une saison ou plus d’une fois sur plusieurs saisons.
    • Leur succès dépend de la survie adulte.
    • Une adaptation aux environnements où le taux de mortalité adulte est bas, ou lorsque la survie des larves ou des jeunes est incertaine.
    • Davantage d’investissement dans la croissance pour que l’individu puisse (1) se reproduire plus d’une fois et (2) produire plus de gamètes.
    • Individus plus âgés ayant davantage d’expérience dans la recherche de partenaires.
    • Coûts: (1) un délai de l’âge de la première reproduction (2) un système endocrinien plus complexe
52
Q

Connaître caractéristiques du développement Planctotrophes.

A
  • Stade larvaire planctonique (dissémination: Évite compétition et profite variations environnementales)
  • Alimentation lors du développement (Nécessaire car peu de réserves énergétiques sont fournis par les parent)
    Avantages:
    • Exploitation d’autres habitats
    • Investissement minimal par unité (larves peu coûteuses, alimentation du plancton)
    • Moyen de dissémination peu coûteux (passif)
    • Dissémination sur grandes distances
    Désavantages:
    • Mortalité très élevée (>99.9 %)
    • Larves dépendent de sources de nourriture planctonique
    • Larves dépendent des conditions océanographiques prévalentes (peu de contrôle de la dissémination)
    • Exposition prolongée des larves aux prédateurs pélagiques et benthiques
53
Q

Connaître caractéristiques du développement Lécithotrophe.

A
  • Stade larvaire planctonique (Larves relâcher directement dans l’eau pour dissémination)
  • Aucune alimentation (provient des réserves parentale)
  • Fécondation interne
    Avantages:
    • Larves se disséminent suffisamment loin des parents, mais avec moins de risque d’être transportées vers des environnements inadéquats
    Désavantages:
    • Larves plus coûteuses à produire (par unité).
    • Moins de larves produites (pour une allocation donnée).
    • Taux de mortalité élevé durant la phase larvaire pélagique.
54
Q

Connaître caractéristiques du développement Direct.

A
  • Aucune stade larvaire = production directe de juvéniles
  • Aucune dissémination par les courants
  • Vitellogenèse est une étape essentielle pour le transfert des nutriments vers l’ovocyte
  • Femelle investit soins parentaux variable
    Avantages:
    • Taux de survie élevé des jeunes (pas d’incertitude liée au développement planctonique).
    • Juvéniles relâchés dans un habitat déjà testé par les adultes
    • Stratégie avantageuse pour les espèces chez qui la dispersion larvaire n’est pas requise, par exemple quand l’adulte est pélagique
    • Stratégie avantageuse chez les espèces habitant des régions où l’environnement pélagique est beaucoup moins riche
    • Stratégie avantageuse chez les espèces habitant des environnements stables où les ressources ne sont pas limitées
    Désavantages:
    • Investissement parental important (la mère est responsable des besoins nutritionnels des larves, de l’entretien de l’embryon ou de la production d’une coquille).
    • Moins de jeunes produits (habituellement < 100 par saison par femelle).
    • Pas de dissémination pélagique.
    • Flux génétique réduit (et donc davantage de variations génétiques entre les populations de régions distinctes).
55
Q

Connaître caractéristiques du développement Mixte.

A
  • Initial direct suivi par libération d’une larve pélagique qui se métamorphose en adulte
56
Q

Connaître Oviparité vs Ovoviviparité vs Viviparité

A

Oviparité: ponte d’œufs fécondés encapsulés ou profitant de soins parentaux. Le développement se déroule à l’extérieur du corps maternel.

Ovoviviparité: les œufs sont gardés à l’intérieur du corps maternel mais sans recevoir de surplus nutritionnels (l’embryon dépend uniquement des réserves contenues dans l’œuf).

Viviparité: les œufs se développent à l’intérieur du corps maternel et bénéficient de surplus nutritionnels.

57
Q

Nommer 3 preuves indirecte de prédation.

A
  • Libération des larves durant les périodes de faible risque de prédation
  • Déplacements vers la haute mer où les prédateurs sont moins abondants
  • Migration verticale afin de limiter le contact avec les prédateurs
  • Enfoncement passif en réponse à la présence de prédateurs
  • Production de composés chimiques donnant mauvais goût aux larves
  • Petite taille ou transparence réduisant la visibilité
  • Épines ou coquilles augmentant la taille effective
58
Q

Nommer 3 caractéristiques du processus passif de la flottabilité

A
  • Augmentation de la portance via des appendices, soies, coquille à densité neutre, mucus
  • Larve lécithotrophe: Réserves lipidiques assurent une densité moins grande que l’eau. Plus grande au début de la phase larvaire
  • Larve planctrophe: Formation de réserves lipidiques avec alimentation. La densité des larves diminue au fur et à mesure que la phase larvaire progresse.
  • Locomotion : implique un contrôle de la direction, la fréquence et la vitesse de natation
  • Via cils, appendices et contraction musculaire (tadpole larvae) → Direction plus ou moins droite
59
Q

Nommer 3 processus actif du comportement

A
  • Mécanismes d’orientation: lumière, gravité, courant, profondeur, pression, salinité
  • Phototactisme positif: ↓prédateurs benthiques ↑ phytoplancton ↑ dissémination
  • Géotactisme positif: Descente vers le fond
  • Mouvements exploratoires verticaux près du fond.
  • Recherche des « signaux » de fixation - Composés chimiques (e.g., présence de prédateur ou de conspécifiques) - Physique (la texture du substrat)
  • Métamorphos
60
Q

Connaître 3 caractéristiques des Pinnipèdes

A
  • Vivre en mer
  • Retourner sur la terre ferme
  • Grosse roqueries
  • Soins parentaux importants – nourris et protégés – femelles se nourrissent en mer
  • Territorialité et la compétition pour les femelles.
61
Q

Connaître 3 caractéristiques des Cétacés

A
  • vivre dans la mer
  • comportements sexuels complexes
  • la mise bas directement sous l’eau
  • les jeunes prêts à nager et à respirer
  • lait très riche en lipides
  • soins parentaux pendant une longue période
  • ordre social régnant entre les individus d’un groupe
62
Q

Connaître 3 caractéristiques des Oiseaux marins

A
  • majeure partie de leur existence en mer
  • reviennent nicher sur la terre ferme
  • larges colonies
  • soin de leurs jeunes
  • parents s’alimentent en mer
63
Q

Connaître 3 caractéristiques des Reptiles

A
  • Iguanes - Vivre au bord de la mer - Nidification sur les plages
  • Serpents - Vivre dan l’eau - Vivipares - Mise bas dans l’eau
  • Tortues - Vivre en mer - Retourner à la plage natale - Migrations impressionnantes
64
Q

Connaître 3 caractéristiques de la Migration

A
  • Optimisation du succès reproducteur par l’utilisation de sites distincts maximisant la reproduction et la quête de nourriture
  • Réduction de la compétition entre les juvéniles (« nursery ») et les adultes (site d’alimentation)
  • Espèces anadromes –vivent en mer et se reproduisent en eau douce. Ex. le saumon atlantique
  • Espèces catadromes –vivent en eau douce et se reproduisent en mer. Ex. l’anguille américaine
65
Q

Connaître 3 caractéristiques des Anguilles jaune

A
  • Migration: ↑ de la valeur adaptative (fitness), car meilleure survie des larves
  • Panmixie : Tous les individus dans une population participent à la formation de la génération suivante
  • Un site de fraie = une espèce = une population génétique
  • Cycle de vie catadrome et sémelparité
  • Larves planctotrophes – Beaucoup de zooplancton gélatineux dans la couche d’eau où les larves sont présentes
  • 50-100 m le jour
  • 125-275m la nuit
  • Temps de dispersion larvaire : – De 7 mois à ….3 ans!
  • Via otolithes (3 ans)
  • Via modèle de circulation des particules (7 mois)
  • Front thermique comme indicateur du lieu de reproduction
  • Catadrome facultatif : pourrait devenir dominant dans le St-Laurent
66
Q

Connaître les 6 écosystèmes marins

A
• Étage médiolittoral rocheux 
- Dominant: Macroalgues • Grande diversité – Invertébrés sessiles • Filtreurs – Invertébrés mobile • Consommateurs
• Influence du milieu – Marée – Vagues 
• Provenance de l’énergie (Production autochone/ Production allochone)
• Étage infralittoral rocheux 
• Étage médiolittoral vaseux
• Étage infralittoral vaseux
• Étage médiolittoral sablonneux 
• Étage infralittoral sablonneux
67
Q

Faire différence entre Médiolittoral et Infralittoral

A

MÉDIOLITTORAL (INTERTIDAL ou ESTRAN) - entre le zone point de marée haute et celui de marée basse - transition entre le monde marin et terrestre
INFRALITTORAL - entre le point de marée basse jusqu’à la point du plateau continental à - une profondeur d’environ 200m (zone photique).

68
Q

Connaître les 2 forces génératrices et connaître la définition du Marnage

A
  • Force d’attraction (Fa) de la lune et du soleil – Proportionnelle à la masse; – Inversement proportionnelle au carré de la distance
  • Force centrifuge (Fg) de la terre – Due à la rotation des astres; – Dirigée en sens opposé à l’astre attracteur.
  • Le marnage: différence de hauteur entre le niveau de la marée haute et de la marée basse
69
Q

Connaître caractéristiques du substrat Sable

A
  • Accumulation minimale des sédiments • Orientation verticale • Mouvement des eaux
    – Milieu en deux dimensions • Moins de complexité physique abiotique • Conséquences chez les photoautotrophes 23
    – Mouvement d’eau : très important • Vagues > marées > courantes • Force de trainée • Défi d’ancrage
70
Q

Connaître caractéristiques du substrat Meubles

A

– Accumulation des sédiments • Plat • Peu de mouvement des eaux
– Taille de particules • Argile aux cailloux • Granuloclassement – Moyenne et variation – Déteminé par la force et variabilité des courants
• Milieu en trois dimensions (e.g., un volume)
• Gradient chimique vertical – Couche superficielle aérobie – Couche inférieure anaérobie
• Source des sels nutritifs – Conséquences chez les photoautotrophes

71
Q

Connaître les deux types de mouvement de l’eau

A
  • Courants
    – Processus océanographique/atmosphérique • Circulation thermo-haline • Vents • Marées
    – Variations spatio-temporelles • Prévisible: quotidiennes, saisonnières, annuelles
    – Apport de nutriments
  • Vagues
    – Source = les vents • Au large : la houle océanique • Zone côtière : conditions météorologiques
    – Force • Dépend de la hauteur (amplitude) des vagues – Reliée au fetch (distance parcourue par le vent) • Effet de la géomorphologie côtière – Baies à plus abritées – Pointes à plus battues
72
Q

Connaître avantages et désavantages milieu battus

A
  • Avantages du mouvement d’eau: + enlèvement du sédiment + apport de la nourriture (plancton/sels nutritifs) + perturbation de la couche limite
  • Désavantages du mouvement d’eau: - la force de traînée - abrasion (e.g., sable ou balayage) - aucune accumulation des MOP
73
Q

Connaître 3 facteurs qui affectent la présence de sédiments dans un milieu

A
  • La proximité de la côte (gradient de sédimentation)
  • Type de matière en suspension
  • La géomorphologie de la côte (plage, falaise)
  • La vitesse des courants
  • Exposition aux vagues / à la houle
  • La profondeur
  • Le type de populations animales ou végétales à la surface
  • L’activité humaine
74
Q

Connaître Keystone prédateur

A

Effet disproportionnel par rapport à l’abondance/Les interactions biotiques entres les stades adultes sont les facteurs principaux pour déterminer la répartition des espèces intertidales.

75
Q

Connaître 2 effets majeurs années 1980-1990

A
  1. Émergence du rôle du recrutement – Comportement larvaire – Manque de recrutement • Écologie « supply-side »
  2. Contrôle physique des interactions – Rôle des perturbations
76
Q

Connaître la fixation des larves Balanes australiennes vs américaines

A
  • Balanes australiennes (Denley & Underwood 1979) - fixation juste dans l ’étage des adultes - plus bas : pas d’espace - plus haut - moins de temps submergé - signaux manquants
  • Balanes américaines (Strathmann et al 1982) - fixation naturelle juste dans l’étage des adultes - transplantation réciproques des substrats artificiels - fixation correspondante à l’origine du substrat
77
Q

Connaître la succession des moules

A

– Facilitation vs. Tolérance vs. Inhibition
• Milieu terrestre à facilitation
• Milieu marin à inhibition

Roche nue = Algues opportunistes = Algues pérennes = Balance sessile = Balance pédonculées = Moules

78
Q

Prévisibilité de la séquence de succession

A
  • Le moment de la perturbation : • Magnitude • Fréquence
  • Disponibilité des propagules des espèces colonisatrices
  • La résistance aux invasions (effet de priorité)
79
Q

Paradigme actuel

A
  • Compétition à dominance par une espèce
  • Espèce dominante plus susceptible aux perturbations – Perturbations physiques – Perturbations biologiques (e.g., prédation)
  • Diversité maximale a une intensité de perturbations intermédiaire
  • Encore une fois, cela ne semblait marcher qu’il y a un apport larvaire substantiel.