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Psychologie Légale > examen 1 > Flashcards

examen 1 Flashcards

1
Q

Dans le contexte légal, à quoi correspond une situation de crise ?
- contexte
- situation
- objectif
- rôle du psy

A
  • un contexte dans lequel la police intervient afin de négocier avec un individu potentiellement violent
  • situation dans laquelle l’individu peut avoir des pensées suicidaires, qui est menaçant envers une autre personne
    • personne qui déclenche la situation on une souffrance derrière (se faire tuer, crie à l’aide…)
    • objectif : intervenir pour que ça se règle sans violence des 2 côtés, comprendre la souffrance de la personne et la raisonner, prendre en charge la souffrance
  • le rôle : éviter qu’il y ait un escalade de violence
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Q

Quelle stratégie pour le psy afin d’intervenir en situation de crise et comme elle fonctionne ?

A

le modèle SINCRO –> stratégie d’intervention et de négociation de crise selon le rythme observé
- phase 1 : la crise
transition A de crise à résolution de problème
- phase 2 : la résolution du problème
transition B résolution de problèmes à reddition
- phase 3 : reddition

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3
Q

les sortes d’issues lors d’une situation de crise

A
  • grande proportion grâce à la négociation
  • petite proportion grâce à l’intervention du groupe tactique d’intervention
    –> 2 issus pour les 2 points : expertise psychiatrique ou procès criminel (plus grande proportion)
  • petite proportion qui a mené au décès de l’individu
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4
Q

Les étapes de l’évaluation des menaces pour savoir si elles sont sérieuses

A
  1. la menace est-elle anonyme ==> peut informer la volonté de l’auteur
  2. la menace s’adresse-t-elle à une cible spécifique ?
  3. la menace intègre-t-elle une indication sur l’imminence de sa réalisation ?
  4. la menace est-elle réaliste ? ==> ce n’est pas parce que ce n’est pas réaliste que ce n’est pas à prendre au sérieux
  5. la menace informe-t-elle sur son degré d’intention d’être réalisée
  6. la menace informe-t-elle sur le profil psychologique et psychosocial de son auteur ?
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5
Q

l’aptitude à subir(ASP) son procès c’est ?

A
  • consiste à évaluer la capacité de l’accusé, en raison des troubles mentaux, d’assumer sa défense, ou de donner des instructions à un avocat à cet effet, à toute étape des procédures
  • savoir si l’état mental au temps du procès, si la personne va bien comprendre ce qui se passe
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6
Q

La responsabilité criminelle c’est ?
2 élements en considération

A

déterminé si l’individu était atteint d’un trouble mental au moment du crime (exemple maman qui tue son bébé lors d’une crise schizophrénique)
- 2 éléments a prendre en considération:
==> actus Reus : acte criminel commis (ex : homicide)
==> Mens Rea : l’intention criminelle (est-ce que la personne voulait faire le crime)

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7
Q

les dispositions possible de la commission d’examen des troubles mentaux ?

A
  • libération absolue
  • libération avec condition (ex : suivi psychiatrique)
  • détention en milieu hospitaliers (hôpital psychiatrique)
    ==> s’il est dangereux pour la société
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8
Q

différence entre un témoin de fait et témoin expert

A

témoin de fait : psychologue traitant qui va être appel pour parler de son client, va être appelé par le juge
témoin expert : contacté par l’avocat et va évaluer et donner des recommandations (mandat d’évaluation)
==> mandat théorique : psy va donner des fait sans avoir à évaluer

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9
Q

étape de réalisation d’une expertise

A
  1. Qualification comme expert
    .le juge attribue le titre d’expert au psy
    . les avocats sont en mesure d’interroger le témoin sur ses compétences
  2. prise de contact avec le mandat/discussions préparatoires
  3. établissement de la méthodologie
    . définir la méthodologie selon les clients : l’expert possède une autonomie professionnelle pour définir sa méthode d’évaluation (chaque parent doit être évalué selon les mêmes modalités)
  4. entrevues/testing/observations
    .
  5. interprétation des résultats
  6. écriture du rapport
  7. déposition et présentation du rapport aux clients (avocats)
    . rapport doit être normalement remis dans les 90 jours de la réception du mandat (mais c’est souvent plus long)
  8. témoignage
    . l’avis de l’expert influence bcp les décisions prises par le tribunal
    . un psy expert ne peut pas non plus être psy traitant
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10
Q

l’environnement a toujours un impact sur les comportements violents
Vrai ou faux

A

faux, elle peut avoir un impact sur une personnalité qui est déjà violente, mais la biologie (génétique) joue aussi un grand rôle

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11
Q

est-ce qu’il y a un déterminisme par rapport au comportement violent d’une personne
Oui ou non

A

non, il n’y a pas de déterminisme

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12
Q

les effets génétiques sur les comportements violents
et p
Les impacts de la socialisation (s’il y en a ou non)

A

environnement va façonner comment nos gènes vont ressortir
- exemple : enfant colérique plusieurs options de pourquoi il réagit avec de la violence (peut avoir appris que c’est la seule manière de s’exprimer ou trouble au niveau neurologique)
socialisation :
. peut avoir un impact sur les comportements violents

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13
Q

sur le plan anatomique, quel est le chemin simplifié qui produit du comportement violent ?

A

génétique ==> cerveau ==> violence
*** le cerveau a un rôle important dans les comportements (cortex préfrontal)

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14
Q

quelles sont les deux principales avancées technologiques qui ont permis le développement de l’étude biosociale des comportements violents ?

A

l’analyse génétique et l’imagerie cérébrale : naissance de la neurologie

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15
Q

est-ce qu’il y a un lien entre une faible activité préfrontal et l’impulsivité ?

A

oui

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16
Q

Les comportements violents sont-ils innés ou acquis?

A

les 2 sont présents et en interaction, l’un ne va pas sans l’autre. Ils ont le même poids, si la personne a déjà des tendances violentes et est exposées à des scènes violents ça va avoir un impact VS une personne qui n’a pas tendance, si elle est exposé ça va avoir peu ou pas d’impact

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17
Q

si on est exposer à un comportement violent est-ce que ça va avoir un impact sur le fonctionnement neurologiques ?

A

oui la matière grise se réduit et c’est ce qui permet de véhiculer l’info

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18
Q

un traumatisme crânien peut avoir quoi comme impact ?

A

va faire comme un bugg chez la personne et peut activer la violence, mais chaque personne va réagir différemment et la durée peut varier.

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19
Q

les comportements violents peuvent se propager à cause de quoi?

A

l’exposition à la violence et la transmission héréditaire

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20
Q

la violence fondamentale c’est ?

A

explique l’instinct primaire violent chez une personne pour survivre

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21
Q

la propension à la violence se distribue-t-elle de manière équivalente entre les hommes et les femmes?

A

Non, les hommes commettent plus d’homicides, et la violence physique est plus forte chez les hommes
–> quand ils sont enfants, il y a une grande différence au niveau de la violence utilisé pour exprimer leur colère

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22
Q

est-ce que l’antisocialité se transmet génétiquement ?

A

oui

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23
Q

qu’est-ce qu’on observe chez des criminels violents ?
qu’est-ce qui pourrait aidé à réduire les comportements violents

A
  • moins d’activité dans le cortex pré-frontal (moins de glucose)
  • amygdale est plus petite
    ==> le poisson pourrait aidé à réduire les comportements violents (à cause de l’oméga3)
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24
Q

est-ce que nos caractéristiques individuelles sont influencés par la génétique ?

A

oui, la contribution relative des facteurs biologique et environnementaux est de 50/50

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25
Q

Vrai ou faux
plus les parents biologiques sont criminalisés plus il y a de chances que leurs enfants soient à leur tour criminalisés

A

vrai

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26
Q

est-ce que les interactions facteurs biologiques et environnementaux va avoir une forte influence sur notre tendance à la violence ?
Oui ou non

A

oui, il faut que les deux soient présent pour qu’il y ait une grande différence

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27
Q

la différence entre un meurtrier en série et un meurtrier

A

meurtrier en série est considéré comme plus intelligent parce que ça prend certaines fonctions cognitives et ça prend de l’inhibition pour contrôler ses pulsions de tuer. son activité pré-frontal est donc considéré comme normal, ce qu’un meurtrier n’a pas

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28
Q

Le syndrome XYY c’est ?

A

anomalie particulièrement rare, qui a un lien avec la violence, mais ce n’est pas tous les comportements qui s’explique avec ce syndrome
- trouble de gestion d’émotion,difficulté de langage, motricité, apprentissage

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29
Q

the warrior gene : monoamine oxidase a (MAOA)
une faible expression de l’enzyme MAOA va faire en sorte de ?

A

-personnalité agressive, hypersensibilité, impulsivité
nous avons tous le gène, mais s’exprime de manière variable chez chaque personne
==> la maltraitance répétée durant l’enfance va venir influencer le gène et donc va faiblement l’activer

30
Q

les lésions du cortex préfrontal vont donner quoi comme conséquences au niveau :
- émotionnel
- comportemental
- psychologique
- social
- cognitif

A
  • émotionnel : favorise l’expression de la colère et de la rage
  • comportemental : favorise les comportements criminels, les prises de risque, l’impulsivité, l’irresponsabilité
  • psychologique : favorise l’émergence de traits de personnalité négatifs, le faible contrôle de soi, l’incapacité à inhiber des comportements inadéquats
  • social : favorise l’immaturité, le manque de tact, le manque d’habileté sociale
  • cognitif : favorise le manque de flexibilité, la faible capacité à résoudre des problèmes, à différer la satisfaction de ses besoins, à apprendre des échecs
31
Q

Vrai ou faux
un faible fonctionnement du cortex préfrontal est le résultat le plus fiable associé aux comportement antisociaux, aux comportements violents, aux comportements criminels

A

vrai

32
Q

Selon Freud pourquoi un criminel commet un crime ?

A

Freud disait que commettait un crime pas sentiment de culpabilité. Il se sentait mal pour une action alors il en commettait un crime pour avoir une conséquence
- cherche à relâcher une tension interne qui cause du déplaisir

33
Q

Vrai ou faux
Si le surmoi est assez développé, il y a plus de place pour le ça

A

Faux, c’est si le surmoi est sous développé qu’il va y avoir plus de place.

34
Q

Quel impact il peut y avoir si on suivait seulement notre ça

A

on serait des machines qui voudraient seulement satisfaire ses besoins

35
Q

Selon Freud, la psyché est régie par 3 dimensions, qui sont ?

A

Topique :
- appareil psychique peut être cartographié
-plusieurs lieux psychiques qui ont une fonction spécifique
dynamique :
-appareil psychique est régie par des forces qui sont en luttes constantes
- interactions entre les lieux et sa crée des conflits ==> le moi réalise les compromis (se transforme en symptôme)
économique :
- appareil psychique est dynamisé par l’énergie pulsionnelle qui circule dans l’appareil

36
Q

Freud
première topique

A

inconscient :
- pensée refoulée
- lieu de stockage
- les criminels acceptent de se représenter quelques chose plus que nous (ex : culpabilité)
préconscient :
- lieu d’évaluation de la censure par rapport aux représentations (s’il retourne dans l’inconscient ou vont dans le conscient)
conscient :
- lieu d’actualisation des pensées
- siège du processus des pensées

37
Q

Freud
deuxième topique

A

Le Ça :
- correspond aux pulsions
- fonctionne selon le principe de plaisir
- exemple : psychopathe ==> satisfaction des besoins immédiats
Le Surmoi :
- interdits moraux
- fonctionne selon le principe de réalité (limite de la société)
- son objectif est de limiter l’impact du ça sur le moi
Le Moi :
- résultat de l’interaction du ça et du surmoi
- entité centrale de l’appareil psychique

38
Q

Aichhorn
Croyait que les comportements criminels résultaient de ?

A

Des carences parentales et donc que soit le surmoi se sous-développe ou qu’il va se développer mais de manière corrompue

39
Q

Aichhorn
Selon lui, il existe 2 types de délinquants. Lesquels ?

A

délinquant névrotique :
- individus qui transgressent les normes en raison d’une régression sur le plan comportemental
- délinquance transitoire ==> ado ne va pas continuer vers une carrière criminelle
délinquant caractériel :
- individus qui transgressent les normes en raison d’un arrêt dans leur développement
- délinquance de carrière
- prend plus de temps à modifier les problèmes puisqu’ils sont fondamentaux

40
Q

Friedlander
Croit que les caractères antisociales proviennent des failles du ?

A

proviennent des failles du moi
- le moi peut être insécure, mais le caractère antisocial va aider à surmonter cette angoisse

41
Q

Friedlander
1. Qu’est-ce qui distingue les délinquants des non délinquants selon lui ?
2. quel est son idée générale à propos des jeunes ?

A
  1. la différence est le caractère antisocial, lequel résulte des failles du moi
  2. que certains jeunes présentent des caractéristiques développementales criminogènes, mais ne passeront jamais à l’acte
42
Q

Winnicott
quel est son idée générale, pour lui la tendance antisociale est ?

A

c’est une réaction non-pathologique à un environnement inadéquat, mais devient pathologique quand sa devient le mode préféré de l’individu

43
Q

Winnicott (psychodynamique)
Pour lui quel est le sens des comportements délinquants ?

A

c’est une tentative pour obliger l’environnement à être impliqué

44
Q

Redl et Wineman (psychodynamique)
Vrai ou faux
ils font la distinction entre 4 types de délinquants.
expliquez chaque type

A

faux ils font la distinction entre 3 types de délinquants :
type 1 : jeunes qui s’identifient à un code moral délinquants
- pas tendance à ressentir
- le moi légitime le style de vie délinquant
- la conscience morale n’existe pas ou peu
type 2 : s’identifient partiellement à un code moral délinquant
- vont parfois ressentir de la culpabilité
- le moi va affaiblir la conscience morale dans le but de joui de leur gratification
type 3 : impulsifs, problèmes d’inhibitions

45
Q

Redl et Wineman (psychodynamique)
les déficiences du moi des délinquants multirécidivistes sont ?

A

–> incapable de retarder la gratification de ses besoins immédiats
–> intolérant à l’égard de la frustration
–> faible devant la stimulation et les offres, opportunités
–> affiche une surdité à la sublimation
–> incapable de prendre soin des objets en vue d’une utilisation future
–> incapable de prendre soin des objets en vue d’une utilisation future
–> incapable de rester raisonnable sous les offres de satisfaction (excès)
–> éprouve de la difficulté à tirer des conclusions à ce qui arrive aux autres
–> affiche une absence de réalisme à l’égard de ses propres moyens

46
Q

Kernberg (psychodynamique)
Quel est sa théorie ?

A

les délinquants sur-actifs (multirécidivistes) sont atteints d’une pathologie du narcissisme (narcissisme malin)

47
Q

Kernberg (psychodynamique)
Quels sont les 5 aspects centraux?

A
  1. égocentrisme, narcissisme
  2. manque d’empathie
  3. envieux et méprisants
  4. parasitisme, exploitation, sentiment que tout leur est dû
  5. animés par la haine, la colère et la vengeance
48
Q

en résumé, la psychodynamique appliquée aux criminels est

A

–> problème lorsque le surmoi est laxiste = non-respect des règles
–> quand il y a des failles du moi = comportements désinhibés
–> les comportements criminels sont le résultat de = l’immaturité psychique et d’un mauvais contrôle de soi

49
Q

Lorenz
selon lui, comment le lien d’attachement se crée entre le nouveau-né et le parent?

A

sa théorie se repose sur l’observation animale
une fois que l’attachement est fixé, celui-ci est quasiment irréversible
le premier contact laisse une trace : une empreinte

50
Q

Bowlby
Selon lui, quels sont les bases de l’attachement ?

A

considère que l’enfant a une tendance à s’attacher et va développer des stratégies comportementales pour maintenir une proximité
il va y avoir un conditionnement (la qualité des contacts et la quantité)

51
Q

Ainsworth
les 4 types d’attachements

A
  • l’attachement sécure : confiant dans la stabilité du lieu qu’il va y avoir quelqu’un qui va répondre à ses besoins et va être à l’aise d’explorer
  • l’attachement anxieux-ambivalent :
    incohérence du donneur de soin
  • l’attachement anxieux-évitant : conséquences d’interactions intrusives
  • l’attachement désorganisé-désorienté : peur profonde chez l’enfant, le comportement du parent amène de la peur et l’enfant ne sait pas trop comment agir
52
Q

Ray Jeffery
le renforcement différentiel c’est

A

Les pairs ont un rôle important dans ce renforcement
dans le groupe délinquant, les comportements (valeurs) antisociaux sont renforcés tandis que les comportements prosociaux sont punis

53
Q

Bandura
Quelles sont les 4 étapes de conditions de l’apprentissage

A
  1. le délinquant doit être attentif et observer les comportements d’autruis (il doit les intégrer)
  2. doit intégrer cognitivement les comportements
  3. les cognitions du délinquant doivent influencer ses comportements
  4. motivé et met en pratique ce qu’il a appris
54
Q

Kohlberg
qu’est-ce qu’il trouve problématique chez les délinquants ?

A

Leur moralité et son développement

55
Q

Kohlberg
qu’est-ce qu’il fait comme expérience et qu’est-ce qu’il veut évaluer ?

A

placer les individus devant des problèmes moraux, il n’y a pas de bonne réponse.
il veut évaluer le processus de rationalité qui justifie le geste

56
Q

Kohlberg
Selon lui, il y a combien de niveaux du jugement moral, comment ils se nomment et explication

A

Il y a en 3
1. le niveau préconventionnel : la personne va agir en fonction de ses intérêts, point de vue égocentrique, les règles sociales sont extérieurs à soi
2. le niveau conventionnel : l’individu intériorise les règles sociales en particuliers celles de ses proches
3. le niveau postconventionnel : les principes moraux vont primer, distinguer le point de vue moral et légal

57
Q

Beck
les distorsions cognitives sont ?
font référence à quoi?

A

sont des raisonnement erronés et sont un décalage entre ce qui est émis par l’environnement et comment on va l’interpréter
c’est un processus cognitif qui est défaillant chez les délinquants
font référence à un processus de transformation (interprétation) de la réalité

58
Q

les comportements antisociaux, délinquants sont des stratégies pour ?

A

stratégie comme une autre qui seraient normales pendant un temps et ces comportements (qui sont des conflits intrapsychiques et une tension extérioriser) extérioriser permettent de plonger ou non, s’ils sont renforcés ou punis dans des comportements criminels

59
Q

une personne qui a un trouble de la personnalité antisociale est une personne qui

A

enfreint les règles et est stable dans le temps

60
Q

qu’est-ce qu’un psychopathe ?

A
  • manque d’empathie
    . comprend ce que les autres ressentent, mais ne s’en souci pas
  • tendance au parasitisme (profiter d’autrui)
  • impulsivité : régit par le principe du plaisir, satisfaire ses besoins immédiats
  • faible maîtrise de soi :
    . explosion de colère
    . difficulté dans la gestion de la colère
    . colère est la seule émotion qui ressente complétement
  • tendance à la manipulation
61
Q

quelles sont les caractéristiques des psychopathes

A

comportements antisociaux, mais il peut y avoir un diagnostic même si c’est pas présent

62
Q

quel est la différence entre un psychopathe primaire et secondaire

A

primaire :
. manipulateurs avec des émotions relativement stables
. ne réagissent pas trop aux événements stressants
. généralement bien adaptés socialement
. type de criminalité différentes des autres psychopathes : criminalité en col blanc, fraude,
. d’origine biologique
secondaire :
. violents, explosifs
. caractérisé par des émotions négatives
. colère et irritabilité
. peu adaptés socialement
. criminalité de rue
. d’origine environnementale (c’est ce qu’on appelait avant sociopathe)

63
Q

quels types de crime les psychopathes commettent ils ?

A

tous les types de crime, mais il y a des spécialisations
* les primaires vont faire plus des crimes sophistiqués*
les psychopathes sont des délinquants polymorphes

64
Q

les psychopathes sont-ils des criminels récidivistes ?

A

oui, ils sont responsables de la majorité des crimes. ils font tous les types de récidives (violente, sexuelle…)

65
Q

les psychopathes sont-ils des criminels spécialistes ?

A

non, mais certains peuvent développer une spécialisation dans un type de crime
ils sont polymorphes pour la plupart

66
Q

la psychopathie fait-elle partie des troubles psychotiques ?

A

non, la psychopathie réfère à un trouble sévère de la personnalité. Ça ne fais pas partie du spectre des troubles psychotiques, ils savent que ce qu’ils font est mal, mais ils voient le monde différemment de nous
la psychopathie se trouve sur plusieurs trouble de la personnalité, aussi dans le trouble de la personnalité narcissique, limite et paranoïaque

67
Q

est-ce que les psychopathes sont toujours des meurtriers?
est-ce que tous les meurtriers sont des psychopathes ?

A
  1. non, il y a une corrélation négative entre psychopathie et homicide
  2. non, il y a un pourcentage qui sont meurtriers qui sont des psychopathes (moins de la moitié). dans la population générale il y a juste 1% qui sont psychopathes.
    . ce n’est pas tous les meurtriers en série qui sont psychopathes (75% qui le sont)
    . il y a un plus grand pourcentage de meurtriers sexuels en série qui sont psychopathes
68
Q

Vrai ou faux
la proportion de psychopathes parmi les individus travaillant dans le monde des affaires est plus élevés que celle dans la population générale

A

vrai

69
Q

est-ce qu’il existe une différence entre les psychopathes criminalisés et les psychopathes faisant carrière dans le monde des affaires ?

A

oui, la différence se situe au niveau du fonctionnement exécutif (planifier/réfléchir)

70
Q

qu’est-ce que la psychopathie

A

concept clinique d’une configuration de la personnalité qui est pathologique et qui favorise l’émergence de comportements indésirables
ce concept clinique se mesure notamment avec l’échelle de psychopathie de Hare

71
Q

est-ce qu’il existe une différence entre la psychopathie et le trouble de la personnalité antisociale

A

oui

72
Q

qu’est-ce que la personnalité antisociale

A

mode généralisé de fonctionnement dans lequel l’individu ne manifeste pas de préoccupation

Psychologie Légale (2 decks)

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