Examen 1 Flashcards
Pourquoi la confrontation à la mort passe par la confrontation à l’éprouvé physiologique pour notre psyché inconsciente ?
Car c’est l’ensemble des indices physiologiques éprouvés qui amène cette confrontation.
Pourquoi la vie appelle inévitable la confrontation à la mort?
Car vivre, c’est inévitablement ressentir avec force par moments, avec les indices physiologiques que cela suppose.
Pourquoi notre psyché inconsciente met en place une voie résolutive défensive?
Pour que cette menace de mort soit contrôlée et dissipée.
Nommez dans une perspective psychanalytique les trois aménagement défensif?
1- La structure psychotique:La psyché process comme ayant leurs source à l’extérieur.
2-L’astructuration état-limite:La psyché reconnait le caractère intrinsèque des excitations psychiques éprouvées mais non la normalité de leur intensité.
3- La structure névrotique:La psyché reconnais le caractère intrinsèque des excitations psychique éprouvé et sa normalité. Ce qui créer l’inconfort et la nécessité défensive
Les trois aménagement défensif vise quoi?
Une seule et même chose : dénier, minimiser ou reporter cette confrontation à la mort.
Nommez les 7 voies résolutives:
1-Les excitations psychiques sont processées de façon extrinsèque au contact avec l’extérieur :en appui sur la bulle maternelle (nous bon, les autres mauvais) (structure schizophrénique)
2-Les excitations psychiques sont processées de façon extrinsèque au contact à autrui en appui sur soi (moi bon, les autres mauvais) (structure paranoïaque)
3-les excitations psychiques sont processées de façon intrinsèque mais non intriquée (moi avec du mauvais mais qui ne concerne le bon d’aucune façon et je renie le mauvais) (structure mélancolique)
4-les excitations psychiques sont processées de façon intrinsèque, intriquée mais non normalisée (moi avec du mauvais, lequel fait partie inhérente de mon bon mais ce n’est pas normal et je vais faire tout mon possible pour dissocier cela et m’en départir) (astructuration état-limite)
5-Les excitations psychiques sont processées de façon intrinsèque, intriquée et normalisée (moi avec du mauvais, lequel fait partie inhérente de mon bon et cela est normal):suivant cette reconnaissance, la psyché reconnaît l’existence des excitations psychiques sexuelles et:La psyché processe ces excitations sexuelles comme extrinsèques (ces excitation prennent place en moi mais c’est toujours l’autre qui en est la cause, ce n’est pas de ma faute) (structure hystérique de conversion).
6-les excitations psychiques sont processées de façon intrinsèque, intriquée et normalisée (moi avec du mauvais, lequel fait partie inhérente de mon bon et cela est normal):suivant cette reconnaissance, la psyché reconnaît l’existence des excitations psychiques sexuelles et:La psyché processe ces excitations sexuelles comme intrinsèques mais non intriquées (ces excitations sexuelles existent en moi mais ne sont pas du tout inhérentes à mon bon et je renie celles-ci) (structure obsessionnelle).
7-Les excitations psychiques sont processées de façon intrinsèque, intriquée et normalisée (moi avec du mauvais, lequel fait partie inhérente de mon bon et cela est normal):suivant cette reconnaissance, la psyché reconnaît l’existence des excitations psychiques sexuelles et: La psyché processe ces excitations sexuelles comme intrinsèques, intriquées mais non acceptables (ces excitations sexuelles sont en moi, elles sont inhérentes à mon bon et je mets tout en oeuvre pour en minimiser la portée) (structure hystérique d’angoisse).
(1)L’intensité émotive est processée par la psyché comme conséquente au contact avec l’extérieur expliquez:5
1-C’est l’extérieur qui agresse et c’est donc l’extérieur qui contient un potentiel mortifère et nous fait risquer la mort du fait de la force des émois éprouvés ; de l’intérieur, il n’y a que la vie,
2-La psyché ne reconnaît pas l’intrication de la vie et de la mort : pour la psyché la mort n’existe pas de l’intérieur, c’est l’extérieur qui contient le risque de mort,
3-La psyché ne reconnaît pas l’autonomie de sa vie émotive : ce n’est pas sa vie qui comporte un potentiel
mortifère, mais essentiellement le contact à l’extérieur.
4-Voie résolutive adéquate puisque la psyché peut dorénavant soutenir la certitude de la survie tant et aussi longtemps que l’extérieur est bien contrôlé et, ce faisant, occulte la réalité de la mort : viscéralement, la psyché ne se sent pas concernée, la mort n’existe pas.
5-Attitudes de contrôle qui prennent place dans le rapport à l’extérieur.
(2)Expliquez l’intensité émotive est processée par la psyché comme conséquente au contact à autrui:5
1-C’est l’imprégnation de la vie émotive d’autrui qui agresse. C’est donc autrui qui contient un potentiel mortifère et qui fait risquer la mort (force des émois éprouvés) ; de l’intérieur, il n’y a que la vie,
2-La psyché ne reconnaît pas l’intrication de la vie et de la mort : pour la psyché, la mort n’existe pas de l’intérieur, c’est le contact à l’autre qui contient le risque de mort,
3-La psyché ne reconnaît pas l’autonomie de sa vie émotive : ce n’est pas sa nature qui comporte un potentiel mortifère, mais essentiellement le contact à l’extérieur, particulièrement l’autre.
4-Voie résolutive adéquate puisque la psyché peut dorénavant soutenir la certitude de la survie, tant et aussi longtemps que l’extérieur –particulièrement la sphère relationnelle- est bien contrôlée. Ce faisant, la psyché occulte la réalité de la mort : viscéralement, la psyché ne se sent pas concernée, la mort n’existe pas.
5-Des attitudes importantes de contrôle qui prennent place dans le rapport à l’extérieur, particulièrement en regard de la sphère relationnelle.
(3)L’intensité émotive est processée par la psyché comme intrinsèque mais demeure éprouvée comme fondamentalement dangereuse et destructrice et, ainsi, d’aucune façon liée à la vie, expliquez:4
1-La psyché reconnaît la coexistence de ces deux réalités, mais non leur intrication : la violence émotive existe à l’intérieur de nous et un risque de mort lui est associé, mais tout cela n’a rien à voir avec la vie. La violence émotive, c’est la mort en nous, et le bien-être émotif, c’est la vie en nous.
2-La psyché reconnaît l’autonomie de sa vie affective mais cette autonomie demeure relative, puisqu’elle nécessite la répression perpétuelle de la réalité du négatif en nous : nécessité de soutenir la désintrication de la vie et de la mort, des sentiments positifs et des sentiments négatifs. Tant et aussi longtemps que cette désintrication demeure, la réalité de la mort est occultée : viscéralement, la psyché ne se sent pas
concernée, la mort n’existe pas.
3-Voie résolutive difficilement adéquate au long cours puisque d’un coût psychique trop marqué : la psyché peut occulter le risque de mort mais au sacrifice d’une partie importante de soi, soit la partie d’où émergent les mauvais sentiments. Viscéralement, la psyché n’est pas concernée par la mort tant et aussi longtemps que cet aménagement est soutenu.
4-attitudes importantes de contrôle qui prennent place en regard de la vie émotive éprouvée : importance de soutenir les bons sentiments mais toujours dans une juste mesure et importance de réprimer les mauvais sentiments. Propension à contrer la survenue de conflits de façon à contrer l’émergence de la partie réprimée.
(4)L’intensité de la vie émotive est processée par la psyché comme intrinsèque et intriquée à la vie mais demeure éprouvée comme fondamentalement dangereuse et destructrice : vivre, c’est risquer éprouver violemment et éprouver violemment, c’est risquer la mort, expliquez:6
1-La psyché ne peut que contraindre la circulation libre de la vie : c’est le refus de la vie et, avec lui, celui de l’éprouvé libre.
2-La psyché processe toute vie, tout éprouvé comme conséquent au contact à l’extérieur : c’est l’extérieur qui crée l’émoi et c’est l’extérieur qui représente un risque mortifère
3-La psyché ne présente pas d’autonomie affective : face à la menace mortifère, la psyché processe à répétition le déni d’une vie émotive intrinsèque. C’est l’extérieur qui provoque l’émoi, c’est l’extérieur qui est responsable de l’ensemble de la vie émotive.
4-La psyché conserve un rapport de méfiance dans son contact à l’extérieur : puisque c’est le contact à l’extérieur qui contient une menace mortifère, vigilance et contrôle sont de mise.
5-Voie résolutive difficilement adéquate au long cours puisque d’un coût psychique trop marqué : la psyché peut occulter le risque de mort mais en conservant la non vie de l’intérieur d’une part et, d’autre part, en assurant la maîtrise de l’extérieur qui contient ce potentiel mortifère. Viscéralement, la psyché n’est pas concernée par la mort tant et aussi longtemps que cet aménagement est soutenu.
6-traits schizoïdes, traits paranoïdes, traits narcissiques, traits dépendants, etc. Un ensemble de traits qui, à répétition, ont pour fonction de dénier la réalité de la vie de l’intérieur tout autant que celle de la mort, puisque la vie, c’est la mort.
L’intensité de la vie émotive est processée par la psyché comme intrinsèque, intriquée à la vie et normale : vivre, c’est risquer éprouver violemment mais cela n’est pas dangereux, on y survit. Ce qui fait craindre la mort n’est
pas l’intensité de l’émotion éprouvée, mais essentiellement deux choses expliquez:3
1-Le vieillissement : le corps survit à la charge émotive mais non au vieillissement, conscience claire du passage du temps
2-La portée de l’intensité émotive dans les conduites : ce ne sont pas les éprouvés qui causent la mort, ce sont les conduites.
3-la voie résolutive par excellence est celle de l’assujettissement : tant et aussi longtemps qu’on demeure assujetti, on demeure petit et en sursis, puisque grandir, c’est mourir. En conséquence, tous les individus dont le fonctionnement psychique présente la reconnaissance de la normalité de la vie émotive mais, tout autant, la reconnaissance de la mort comme conséquence du vieillissement, tous présentent une propension à l’assujettissement, celle-ci ayant pour moteur inconscient le souhait de repousser, si ce n’est de dénier, la réalité de la mort.
Aimer, c’est risquer agresser. Comment, concrètement, signifier sa survenue dans le cours de notre enfance ? Pour l’essentiel, celle-ci est conséquente à deux réalités relationnelles :2
1-Nous ne sommes pas toujours disponibles à l’autre et l’autre n’est pas toujours disponible à nous.
2-Nous éprouvons une vie affective distincte de l’autre et l’autre éprouve une vie affective distincte de la
nôtre : nous sommes fondamentalement différents dans nos humeurs, dans nos goûts, nos intérêts, etc.
(5)Non reconnaissance du caractère intrinsèque de la sexualité et, ce faisant, de son intrication à la vie expliquez:4
1-La psyché reconnaît l’existence de cette pulsion sexuelle mais la processe comme essentiellement conséquente au contact à l’extérieur : c’est l’extérieur qui est à la source de son expression et, en conséquence, c’est l’extérieur qui porte le potentiel de dangerosité.
2-L’ensemble de la vie émotive est éprouvée comme ayant sa source de l’intérieur, à l’exception de la sexualité : être vivant, c’est inévitablement éprouver et en avoir la pleine responsabilité, mais l’émoi sexuel trouve, pour sa part, toujours sa source d’activation à l’extérieur.
3-La psyché reconnaît l’autonomie de sa vie affective et la responsabilité de celle-ci, à l’exception des émois sexuels
4-Voie résolutive adéquate puisque la psyché peut dorénavant soutenir la certitude de la survie, tant et aussi longtemps qu’elle demeure en contrôle de l’agent extérieur susceptible d’activer l’émoi sexuel.
(6)Reconnaissance du caractère intrinsèque de la sexualité mais non reconnaissance de son intrication à la vie expliquez:4
1-La psyché reconnaît l’existence d’une pulsion sexuelle de l’intérieur mais celle-ci demeure processée comme fondamentalement dangereuse et d’aucune façon liée à la vie : la vie, c’est le bon, le pur et la sexualité, c’est le laid, le méchant.
2-Propension marquée à la rétention de l’expression de toute sexualité de façon à contrer tous préjudices ou représailles éventuels : nul émoi sexuel ne doit advenir car c’est irrémédiablement un risque de mort qui lui est associé.
3-La psyché reconnaît l’autonomie de sa vie affective, y compris celle de l’émoi sexuel.
4-Voie résolutive difficilement adéquate au long cours puisque d’un coût psychique marqué : la psyché peut occulter le risque de mort mais au sacrifice d’une partie importante de soi, soit la partie d’où émerge la sexualité. Viscéralement, la psyché n’est pas concernée par la mort tant et aussi longtemps que cet aménagement est soutenu.
(7)Reconnaissance du caractère intrinsèque de la sexualité et de son intrication à la vie, sans toutefois parvenir à reconnaître la non dangerosité de l’émoi sexuel dans sa conjugaison aux autres émois expliquez?5
1-La psyché reconnaît l’existence d’une pulsion sexuelle tout autant que son intrication à la vie : être vivant, c’est non seulement risquer éprouver avec intensité, mais c’est tout autant risquer être sous l’emprise de l’instinct sexuel.
2-La psyché maintient un rapport de contrôle dans l’expression de la vie, de façon à contrer tout risque d’emprise par l’émoi sexuel.
3-La propension à la modestie, à la discrétion et à la soumission sont les vecteurs par excellence du contrôle de l’émoi sexuel : toujours et encore, assurer la réduction de toute éventuelle expression de cet émoi.
4-La psyché reconnaît l’autonomie de sa vie affective, y compris celle de l’émoi sexuel.
5-Voie défensive plus ou moins adéquate au long cours, puisqu’au sacrifice de l’étendue des désirs de l’individu : celui-ci peut se déployer librement, tant et aussi longtemps qu’est maintenu une répression quant à la force de ses émois.
Quel est le défi inhérent à la psychothérapie d’introspection?
D’aider la psyché de l’individu à découvrir le caractère intrinsèque, intriqué et normal de la vie émotive éprouvée.
S-À quoi réfère la modalité fusionnelle?2
1-C’est une modalité où la psyché conserve une indifférenciation entre ce qui vient du dehors et ce qui vient du dedans quant à la force des excitations psychiques éprouvées
2-C’est la non reconnaissance par la psyché du caractère intrinsèque de ces excitations psychiques et, tout autant, de leur intrication à la vie.
Quels sont les trois modalités psychotiques distinctes qui sont propres au fonctionnement psychotique?
1-La structure schizophrénique
2-La structure paranoïaque
3-La structure mélancolique.
Dans une perspective développementale, les modalités de fonctionnement psychotique correspondent respectivement au premier, deuxième et troisième temps du développement psychique dans le cours du stade oral, énumérez-les?3
1-La structure schizophrénique fait référence à la confrontation à la force des excitations psychiques conséquente au contact avec le monde extérieur:
confrontation à la force des excitations psychiques éprouvées face à l’agression par les stimuli extérieurs
1.2-La structure paranoïaque fait référence à la confrontation à la force des excitations psychiques conséquente au contact aux réalités relationnelles :conscientisation de la force des excitations psychiques éprouvées face aux agressions involontaires que l’autre a sur nous, dans ce cas-ci la mère
1.3- La structure mélancolique fait référence à la conscientisation de la force des excitations psychiques éprouvées face aux agressions involontaires que nous avons sur l’autre, dans ce cas-ci le nourrisson face à la mère.
S-À quoi font référence les mécanises intersubjectifs? 2
1-La psyché du nourrisson étant dans l’impossibilité de contenir la force de la vie psychique éprouvée, c’est d’abord sur un mode extrinsèque que cette activité défensive est processée par la psyché
1.1-Le clivage
1.2-Le Déni
1.3-L’introjection
1.4-La projection
1.5-L’identification projective et introjective
1.6-L’idéalisation
2-C’est du fait de cette confusion « dehors-dedans » inhérente à l’activité défensive déployée que nous disons de cette dernière qu’elle est intersubjective et fusionnelle.
S-Quels sont les premiers mécanismes intersubjectifs déployés de 0 à 3 ans?6
1-Le clivage : séparer en deux parties distinctes et dissociées ce qui provient d’une même chose, soit ici les excitations psychiques éprouvées : il y a les bonnes excitations psychiques éprouvées et il y a les mauvaises excitations psychiques éprouvées
2-Le déni : dénier l’existence d’un contenu, soit ici les mauvaises excitations psychiques éprouvées
3-La projection : projeter hors de soi un contenu qui nous est propre mais que nous avons dénié, soit ici les mauvaises excitations psychiques éprouvées
4-L’introjection : introjecter à l’intérieur de soi un contenu qui n’est pas nôtre et le ressentir dès lors comme étant nôtre, soit ici la source des bonnes excitations psychiques éprouvées;
5-L’identification projective et l’identification introjective : mécanismes interactionnels où une partie de nous est projetée à l’extérieur et s’avère ressentie comme n’étant plus nôtre, tandis que cette même partie s’avère introjectée par l’autre et ressentie dès lors par l’autre comme étant sienne, l’inverse pouvant aussi survenir ; on réfère à nouveau ici aux sources positives et négatives des excitations psychiques éprouvées
6-L’idéalisation : idéaliser, magnifier un contenu, soit ici se ressentir comme indemne de toutes sources
intérieures quant aux excitations psychiques négatives éprouvées.
S-Quels sont les mécanismes de défense apparaissant entre l’âge de 3 et 5 ans?4
Les mécanismes intrasubjectifs: 1-Le refoulement 2-L’isolation 3-Le déplacement 4-L’annulation rétroactive.
Qu’est-ce que le refoulement?3
1-Le refoulement consiste à enfouir au plus profond de soi des éléments perçus conflictuels et inacceptables,c’est en somme l’inavouable.
2-C’est celui qui s’avère le plus efficace et le moins coûteux des mécanismes défensifs: l’individu n’y a recours qu’une seule fois et le conflit est résolu.
3-Rarement totalement effectif à lui seul: Souvent, le matériel refoulé cherche -à un moment ou à un autre- à refaire surface. Conséquemment, d’autres mécanismes de défense sont déployés pour venir assurer le maintien du refoulé, notamment le déplacement, l’isolation, la formation réactionnelle et l’annulation rétroactive.
Qu’est-ce que l’isolation?3
1-Caractérisé par un refoulement partiel ou un oubli partiel.
2-L’oubli porte en général sur deux aspects : la «chose» à oublier, soit la représentation, et l’émotion que cette représentation nous inspire, soit l’expression pulsionnelle.
3-Il nous arrive parfois d’oublier soit l’un, soit l’autre, ce que nous appelons «isolation». Par exemple, certains conservent en mémoire des souvenirs très pénibles sans en ressentir aucune émotion. De même, certains sont parfois aux prises avec une humeur maussade, sans parvenir à en identifier la source.