examen 1 Flashcards

1
Q

déf contamination

A

Envahissement d’une surface par des micro-organismes

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2
Q

déf infection

A

Résultat de l’agression d’un organisme vivant par des microorganismes pathogènes (bactéries, virus, champignons, parasites).

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3
Q

déf contagion

A

Transmission interhumaine d’une maladie d’un sujet atteint à un sujet sain.

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4
Q

déf contagiosité

A

Aptitude d’un agent infectieux à se propager

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5
Q

déf pathogène

A

Qualifie ce qui provoque une maladie, en particulier un germe capable de déterminer une infection. (agent de contagion)

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6
Q

Les principes du phénomènes infectueux

A

Germe > voie de transport > Hôte

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7
Q

probabilité qu’un sujet soit infecté par un agent contagieux et développe la maladie
dépend de plusieurs facteurs

A
  1. Défense de l’organisme (anticorps, mutations génétiques)
  2. Muqueuses plus réceptives
  3. la présence de micro lésion facilite l’infection: parois anale etc
  4. Présence de maladies ou infections sous-jacentes (comorbidité)
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8
Q

Période entre le moment de contagion et l’apparition des 1 signes et symptômes

A

Période d’incubation

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9
Q

Période entre le moment de contagion et le moment ou le test est en mesure de déceler la présence de l’agent infectieux, de l’antigène, l’ADN ou des anticorps

A

Période fenêtre

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10
Q

déf virus

A

Plus petits micro-organismes qui contiennent du matériel génétique (ARN ou ADN) qui, en se combinant au matériel génétique de la cellule infectée, amènent cette cellule à produire d’autres virus. Les virus ne peuventse reproduire seuls

C’est pourquoi les ITSS telle que VPH, VSH, VIH, VHC sont plus difficiles à traiter ou même impossible pour l’instant. On peut majoritairement les stabiliser

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11
Q

déf Bactéries

A

Organismes autonomes visibles au microscope qui ont une paroi cellulaire et se reproduisent par division cellulaire chlamydia - gono plus facile à traiter

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12
Q

déf Champignons ou levures

A

Ensemble cellulaire constitué de filaments brancheux (hyphes) ou de spores- candida

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13
Q

déf Protozoaires

A

Unicellulaires

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14
Q

déf Arthropodes

A

Animalcules visibles à l’oeil nu qui donnent des infestations cutanées - morpion

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15
Q

déf: Signe

A

Toute manifestation d’une affection ou d’une maladie contribuant au diagnostic et, plus particulièrement, phénomène observé objectivement par un médecin

C’est quelque chose qui peut être vu ou évalué. Cela comprend des éléments tels que la rougeur ou le souffle cardiaque, des choses que le patient ne ressent pas nécessairement.

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16
Q

déf Symptôme

A

Un symptôme est quelque chose que le patient ressent ou dont il se plaint, comme la fatigue ou la douleur. Les symptômes ne peuvent être observés de façon directe.

Manifestation morbide en rapport avec un état pathologique. Le symptôme est perçu par le malade et s’oppose en principe aux signes ou manifestations objectives découvertes par le médecin

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17
Q

déf Pathognomonique

A

Se dit d’un symptôme ou d’un signe spécifique d’une maladie.

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18
Q

déf prodrome

A

Symptôme survenant au début d’une maladie

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19
Q

Motifs de consultation pour une ITSS

A
  1. Se considérer à risque
  2. Avoir pris un risque
  3. Avis d’un partenaire sexuel d’un contact infectieux possible
  4. Apparition de certains signes et symptômes
    5 Par routine (habitudes préventives)
  5. Bris de condom
  6. Pour débuter une nouvelle relation
  7. Pour abandonner le condom dans un contexte de relation de couple avec entente
  8. Vouloir connaitre son statut pour avoir accès aux soins rapidement (ex. VIH)
  9. Désirer éviter de transmettre si infecté-e
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20
Q

Qu’est ce qui détermine les actions préventives à mettre en place contre aux ITSS chez une personne en particulier

A

«personne à risque»&raquo_space; «comportements à risque»

Quel que soit l’âge, l’origine ethnique ou le statut d’une personne, ce sont ses réponsesà certaines questions concernant ses comportements

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21
Q

Comment se déroulera la visite chez le médecin en étape pour un test de dépistage patient asymptomatique.

A
  1. motifs de consultation
  2. Questionnaire: l’anamnèse: évaluation des risques: habitudes sexuelles et comportements, fait sans jugement
  3. examen physique
  4. prélèvement

analyse de laboratoire
si résultats négatifs : fin

si résultats positifs

  1. convoqué pour un rendez-vous
  2. annonce des résultats
  3. conselling post-test
  4. traitement
  5. visite de suivi
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22
Q

Comment se déroulera la visite chez le médecin en étape pour un test de dépistage patient symptomatique

A
  1. motifs de consultation
  2. Questionnaire: l’anamnèse: évaluation des risques: habitudes sexuelles et comportements, fait sans jugement
  3. examen physique
  4. prélèvement
  5. traitements

analyse de lab à des fins statistiques et d’analyse de génotypes
6. visite de suivi

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23
Q

Examen physique: composantes communes aux deux sexes

A

Procéder à une évaluation générale (pression, température, etc)

Rechercher des signes systémiques d’ITS comme la perte pondérale, la fièvre, l’hypertrophie des ganglions lymphatiques/palper les ganglions lymphatiques inguinaux.

Examiner les régions muco-cutanées, notamment le pharynx.

Vérifier les organes génitaux externes pour rechercher des lésions cutanées, une inflammation, des écoulements ou des irrégularités anatomiques.

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24
Q

Examen physique chez F

A
  • poils pubiens, peau, ganglions
  • vulve et vagin
  • pertes vaginales
  • col utérin: lésion, cervicite, pertes et prélèvements :
  • la cytologie ou Test Papanicolaou
  • les cultures
  • l’examen microscopique
  • urètre : écoulement, lésion, culture au besoin
  • anus : écoulement, lésion, culture avec anuscopie au besoin
  • toucher vaginal : douleur, masse, mobilité de l’utérus et des annexes
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25
Q

Examen physique chez H

A

L’examen urogénital sera effectué en position debout et couchée.
•poils pubiens, peau, recherche de ganglions
•organes génitaux
•palpation du scrotum, testicules et épididymes
•prélèvements urétraux au besoin
•anus: écoulement ou lésion, culture avec anuscopie
•le toucher rectal
•massage prostatique pour la culture de sécrétions au besoin
•Si non circoncis, rétracter le prépuce pour inspecter le gland du pénis

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26
Q

Les prélèvements

A

Urinaire: Remplace le «swab» dans l’urètre depuis la popularisation du TAAN.

Sanguin : Généralement pas plus que quelques tubes.

Coton tige (swab) : Prélèvements dans la gorge, le col utérin,l’anus et l’urètre.

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27
Q

Les analyses de laboratoire recherchent

A

Anticorps: S’il y a présence d’anticorps, il y a ou il y a eu la présence de l’agent infectieux

Antigène, ADN, ARN: Il s’agit de relever par TAAN le matériel génétique de l’agent infectieux.

L’agent infectieux: Observation par microscope et culture de l’agent infectieux.

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28
Q

analyse de laboratoire sensibilité vs. spécificité des tests

A

Sensibilité: la proportion de personnes vraiment atteintes de la maladie, dans la population ciblée, qui sont identifiées par le test de dépistage comme étant atteintes de la maladie
Identification des vrais positifs

Spécificité: la proportion de personnes sansla maladie qui a des résultats peu élevés sur le test de dépistage : la probabilité que le test identifiera correctement une personne n’étant pas atteinte de la maladie
Identification des vrais négatifs

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29
Q

Les tests de laboratoire montre toujours le bon résultat

A

faux: chance de faux positif ou de faux négatifs

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30
Q

Déf
Traitement Épidémiologique
Cas index
Cas contact

A
  1. Traitement administré d’emblée aux partenaires sexuels exposés avant la réception des résultats de leurs tests de dépistage et même s’ils n’ont pas de symptômes. Ce traitement doit être administré même si leurs résultats d’analyse sont négatifs.
  2. Personne chez qui une ITSS a été diagnostiquée
  3. Partenaire sexuel du cas-index soumis à un traitement épidémiologique
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31
Q

Les traitements des ITSS peuvent être pris sous la forme de:
et pris de façon

A
  1. Antibiotiques
  2. Antiviraux
  3. Antifongique

les traitement peuvent être locaux ou systémiques et par voie orale ou parentérale (intraveineux, intramusculaire)

  1. Oral: Comprimés
  2. Injection: Intramusculaire(I.M,), Intraveineux (I.V.) Sous-cutané (S.C.)
  3. Topique: Crème et onguent
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32
Q

Post traitement

A
  1. Abstinence ou utilisation du préservatif pendant le traitement ou 7 jours après le traitement si dose unique.
  2. Visite de suivi pour s’assurer de l’efficacité et de l’adhérence au traitement.
  3. Renforcer la notification aux partenaires pour le traitement épidémiologique
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33
Q

vrai ou faux: La ministre de la Santéet des Services sociaux a mis sur pied un programme de gratuitédes médicaments pour le traitement des ITSSdont il a confié l’administration àla Régie de l’assurance maladie du Québec.

A

Vrai

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34
Q

Loi sur la santé publique du Québec pour les mineurs considérant la consultation + traitement

A

Permet aux mineurs âgés 14 ans et + de se faire traiter sans autorisation des parents ou tuteurs légaux.
•Toutefois, si hospitalisation de + 12 heures est nécessaire ou si vie est en danger: parents doivent être avertis.

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35
Q

déf: Épidémiologie,

A

Discipline médicale qui étudie les facteurs intervenant dans l’apparition des maladies, leur fréquence, leur distribution géographique et socio-économique, leur évolution= Portrait des maladies

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36
Q

Déf endémie, épidémie et pandémie

A

endémie: Persistance dans une région donnée, d’une maladie (état constant ou périodique

épidémie: Apparition inhabituelle d’une maladie en tant que phénomène de groupe

pandémie; Épidémie qui s’étend sur un ou plusieurs continents

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37
Q

Incidence vs prévalence

A

incidence= nombre de nouveau cas par année

prévalence: Rapport du nombre de cas à l’échelle d’une population et un moment donnés, sans distinction entre les nouveaux cas et les cas anciens

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38
Q

Epidemio Canada beaucoup ditss popu a risque ?

A

Canada: environ 1 million de cas d’ITSS / année.
Québec: une personne sur 20 serait atteinte, le plus souvent à son insu.
Les 15 à 25 ans sont les plus touchés

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39
Q

quelles ITSS sont des Mado dans examen 1:

A

Chlamydia Trachomatis- LGV, Neiserria gonorrhea, Treponema pallidum (syphilis), Tréponème pâle
SHIGELLOSE,

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40
Q

Quelle est la MADO la plus fréquente

A

Chlamydia 63% des femmes

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41
Q

La gonorrhée est elle plus prévalente oral chez les femmes

A

Non elle est plus prévalente vaginale-urétrale, mais elle est plus prévalente de facon pharyngée chez les hommes suivit de près par le urétrale.

PS: la chlamydia est majoritairement urétrale chez les deux sexes

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42
Q

taux d’incidence de gono et chlam expliquer + population les plus touchées

A
gono plus prévalente chez les hommes chaque groupe d'age sauf 10-14 et 15-19
les deux sexes = courbe asymétrique + 
Jeunes femmes •Les jeunes de 15 à 24 ans
Femmes entre 19 et 24 ans
 Hommes entre 20 et 29 ans
 HARSAH
Premières nation

toujours une certaine augmentation, mais beaucoup plus marqué depuis quelques années chez les hommes (102% depuis 2011 134% chez les hommes et 48% chez les femmes)

chlam plus prévalente chez les femmes 10-29 ans
courbe asymétrique +
Les jeunes femmes (15-25) sont donc les plus touchées et les premières nations aussi

Augmentation constante à chaque année (29% depuis 2011, 49% chez les hommes et 14% chez les femmes)

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43
Q

Pourquoi y t’il une augmentation aussi flagrante de gonorrhée et de chlamydia

A

Le nombre total d’analyses pour la recherche de Chlamydia a augmenté de 31 % et de 48% pour la gonorrhée entre 2009 et 2014.

l’augmentation des analyses TAAN ont permise de diagnostiquer les infections extra génitales chez les hommes

Les comportements à risque ne sont probablement pas la cause excepté pour certaines population ex HARSAH

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44
Q

Modes de transmission Chlamydia et Gonorrhée

A

La transmission par voie sexuelle peut avoir lieu même sans qu’il y ait pénétration, orgasme ou éjaculation.

La transmission par voie sexuelle peut se produire via l’échange de liquides biologiques au contact des muqueuses lors de relations orales, vaginales, anales et lors de partage de jouets sexuels.

Une mère peut la transmettre à son enfant lors de l’accouchement (pas de transmission pendant la grossesse ou lors de l’allaitement)

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45
Q

Période d’incubation Gono vs Chlam

A

Chlam F et H = 7 à 14 jours

Gono F= plus variable, mais 8-10 jours
Gono H= 2 à 7 jours

46
Q

Contagiosité de Chlam et Gono

A

« Peu d’études sérieuses ont documenté le risque de transmission
Les données existantes portent sur la pénétration vaginale hétérosexuelle. »
Risque de transmission: peut persister des mois chez les personnes non traitées

47
Q

Fréquence d’apparition des signes et symptômes Clham et Gono

A

Peu documentation la fréquence d’apparition des symptômes de la chlamydia et de la gonorrhée.
environ.
Estimé de clinique sexologique environ 50 à 80 % F n’ont pas symptome et 50 % H pour Chlamydia

48
Q

signes et symptômes Clham et Gono –> F

A
Chlamydia 
•Cervicite mucopurulente
•Pharyngite généralement transitoire
•Proctite parfois accompagnée de prurit, de ténesme et d’écoulements
•Urétrite
Gono
-•Cervicite mucopurulente 
•Urétrite
-•Pharyngite
•Bartholinite
-•Rectite /Proctite parfois accompagnée de prurit, de ténesme et d’un écoulement qui peut être sanguinolent
•Conjonctivite

Signes et symptômes de la gonorrhée semblables à ceux de la chlamydiose, parfois plus «aigus»

49
Q

signes et symptômes Clham et Gono –> H

A

Chlam
•Urétrite pouvant s’accompagner d’un écoulement de l’urètre, de prurit urétral ou d’un malaise urinaire
•Pharyngite généralement transitoire
•Proctite parfois accompagnée de prurit, de ténesme et d’écoulements

Gono
-•Urétrite pouvant s’accompagner d’un écoulement purulent de l’urètre avec douleur ou malaise urinaire (symptômes 90% des H)
-•Pharyngite
-•Rectite/ Proctite parfois accompagnée de prurit, de ténesme et d’un écoulement qui peut être sanguinolent
•Conjonctivite

Signes et symptômes de la gonorrhée semblables à ceux de la chlamydiose, parfois plus «aigus»

50
Q

Complication de Chlam + gono –> F

A

Chlam
•Atteinte inflammatoire pelvienne
•Risques de grossesse ectopique et d’infertilité
•Possibilité de syndrome de Reiter(urétrite, conjonctivite, arthrite)

Gono
•Atteinte inflammatoire pelvienne(IAP)
•Infection gonococcique disséminée
•Possibilité de syndrome de Reiter
•Durant la grossesse : risque accru d’avortement spontané, de rupture prématurée des membranes et de travail prématuré

«Jusqu’aux 2/3 des cas IAP ne sont pas décelés et les risques d’infertilité, de grossesse ectopique, d’une douleur pelvienne chronique ou de devoir subir une chirurgie gynécologique sont de 25 %»

51
Q

Complication de Chlam + gono –> H

A
Chlam
•Orchi-épididymite
•Prostatite
•Possibilité de syndrome de Reiter (urétrite, conjonctivite, arthrite)
•Infertilité, dans de rares cas
Gono
•Orchi-épididymite
•Infection gonococcique disséminée
•Possibilité de syndrome de Reiter
•Infertilité, dans de rares cas

« N.gonorrhoeae est la deuxième cause d’épididymite aiguë causée par une ITS chez les hommes de moins de 35 ans actifs sexuellement »

52
Q

Période fenêtre de Chlam + Gono

A

TAAN= moment inconnu, mais probablement 48h
Fin période fenetre 14 jours pour sûr, mais assez conservateur depuis les nouveaux test.

Les résultats avant cette date pourraient être des faux négatifs chez certaines personnes

53
Q

site et type de prélèvements Chlam + analyses recommandées pour F

A

doit être fait apres 14 jours F vagin col utérin urine

analyse:

si examen pelvien non requis: 1. TAAN sur prélèvement vaginal 2. urinaire

si examen pelvien requis: TAAN sur prélèvement vaginal et col utérin

Pas d’analyse pour pharynx recommandées et recommandé anal juste pour travailleuse du sexe

54
Q

site et type de prélèvements Chlam + analyses recommandées pour H

A

1er choix: TAAN prélèvement urinaire
2ieme choix: TAAN urétral

Anal recommandé juste pour les HARSAH

55
Q

site et type de prélèvements Gono + analyses recommandées pour F

A

1 choix= TAAN vaginal si examen pelvien non nécessaire et TAAN vaginal ou col utérin si examen pelvien nécessaire

Pharynx = culture ou TAAN si TDS

anus= TAAN

56
Q

site et type de prélèvements Gono + analyses recommandées pour H

A
urine= TAAN 1 choix
urètre= TAAN 2 choix

Pharynx= culture ou TAAN pour HARSAH

Anus= TAAN HARSAH

57
Q

TRAITEMENT GONO+ CHLAM

A

change toujours= être à l’affût,

Chlam: Prise d’antibiotiques en comprimés, par voie orale, en dose unique ou pendant sept jours

GONO: Infection non compliquée: prise d’antibiotiques en comprimés, par voie orale, en dose unique.
**Toujours être associer traitement chlamydia

58
Q

Recommandation post traitement

A

Abstinence pendant 7 jours suite au traitement ou disparition des symptômes

se protéger condom sinon

Test de contrôle de l’efficacité du traitement: 7 jours après traitement

les partenaires doivent être traités car réinfection possible: Traitement épidémiologique qui s’applique aux partenaires des 60 derniers jours

GRATUIT: si MD utilise un code de prescription spécifique fourni par le MSSS

59
Q

PRÉVENTION (EXAMEN FOR SURE) 3 objectifs + COMMENT 9 idées

A
  1. Diminuer le risque de transmission d’une personne infectée à une personne non infectée
  2. Éviter une aggravation de l’état de santé des personnes ayant une infection
  3. Briser la chaîne de transmission

COMMENT:

  1. abstinence jusqu’à la fin dès le début ou prendre le condom des le début jeux sexuelles
  2. prendre le traitement tel que recommandé
  3. s’abstenir d’avoir des r.s avec ses partenaires antérieurs non traités
  4. Informer p.s
  5. informer ses partenaires sexuelles- l’infirmière peut le faire
  6. s’assurer que tous les partenaires soient testés et traités
  7. encourager le test de controle
  8. protéger les jouets
  9. changer préservatif quand change d’orifice
60
Q

Prévalence de syphilis

A

Quasiment inexistante dans les années 1990 avec augmentation constante depuis 2000 chez les hommes. Hausse de 10,5% de 2011 à 2015 et de 20% de 2015 à 2016

96% hommes

13 % sont âgés de 15 à 24 ans;
40 % ont entre 25 et 39 ans;
47 % ont 40 ans ou plus. 8

Répartitiondes cas féminins
Les cas féminins sont plus jeunes : 88 % ont moins de 35 ans.

61
Q

Syphilis mode de transmission

A

Transmission sexuelle:
- Par contact sexuel vaginal, anal ou oro-génital, avec ou sans pénétration.
• Par contact direct avec les exsudats des lésions de la peau ou des muqueuses (pas forcément sexuel).
• Par contact indirect (p. ex. jouets sexuels)

Transmission congénitale: Par transmission de la mère infectée à son enfant par voie transplacentaire.
•Lors de l’accouchement: 70 à 100 % syphilis primaire ou secondaire 40 % syphilis latente précoce 10 % syphilis latente tardive
•Non transmissible lors de l’allaitement.

Transmission de sang à sang: très rare

62
Q

Syphilis contagiosité

A

Les stades primaire, secondaire et latent précoce de la syphilis sont considérés comme infectieux, le risque de transmission étant d’environ 60 % par partenaire.

63
Q

Syph incubation

A

Primaire: 3 semaines (3 à 90 jours), en moyenne 21 jours

Secondaire: 2 à 12 semaines (peut aller jusqu’à 6 mois)

Latente: Précoce : < 1 an Tardive : ≥ 1 an

Tertiaire :Non infectieuse
types
Syphiliscardiovasculaire: 10 à 30 ans
Neurosyphilis Précoce : < 1, Tardive : ≥ 1 an
Gomme: 1à 46 ans (15 ans dans la plupart des cas)

64
Q

Syph primaire signe et symptôme

A

Chancre >40% (très contagieux et indolore)
Ulcère superficiel, le plus souvent unique, taille: un à deux centimètres de diamètre
localisé au site d’inoculation
* Les lésions du stade primaire disparaissent d’elles-mêmes en trois à six semaines sans laisser de traces.

Adénopathies >40%= ganglion augmenté de volume
Inguinaux:pour chancres génitaux et anorectaux
Cervicaux: pour chancres oropharyngés

65
Q

Syph secondaire signe et symptôme >90% des cas non traités

A

Éruption cutanée diffuse =fréquent
peut toucher la paume des mains et la plante des pieds. 25% des patients ne remarquent pas les changements sur leur peau.

Syndrome grippal= Fréquent
Fièvre, céphalées, myalgies, arthralgies et fatigue, avec ou sans adénopathies généralisées.

pas nécessairement à l’examen:
Autres manifestations possibles
1 à10%= Condylomes plats, alopécie, uvéite, rétinite, méningite, hépatite

66
Q

Syph phase latence signe

A

•aucune manifestation clinique de la maladie, mais toujours contagieuse

67
Q

Syph tertiaire signe et symptôme

A

10-30 % des malades non ou insuffisamment traités

Neurosyphilis 10 à 15% des cas
Peut être asymptomatique ou symptomatique et avoir des céphalées, des vertiges, des modifications de la personnalité, de la démence, de l’ataxieé

Syphilis cardiovasculaire 5 à 10% des cas
Anévrisme aortique, régurgitation aortique, sténose ostialede l’artère coronaire.

Gomme (durcissement des tissus)
Destruction des tissus de n’importe quel organe; les manifestations dépendent alors de l’organe touché.

68
Q

La syphilis et le VIH EXAMEN

A

Pour les personnes séronégatives au VIH:
Les lésions de la peau, aux organes génitaux, créées par lechancre dans la phase de la syphilis primaire, accompagnées d’une inflammation, offrent au VIH une porte d’entrée dans l’organisme.

Pour les personnes séropositives au VIH
Les personnes vivant avec le VIH et co-infectées avec la syphilis= 5 fois plus transmettre le virus = virale augmentant liquide génitaux+ anaux

plus susceptibles de développer les stades secondaires et tertiaires + intensité des symptômes sera accentuée et ils peuvent apparaître plus rapidement.

69
Q

Syph période fenêtre

A

10 jours= min pour détecter

La période fenêtre se termine douze semaines (3 mois) après l’exposition.

70
Q

Diagnostique Syph: Echantillonnage syphilis primaire ou secondaire

A

Echantillonnage syphilis primaire ou secondaire

La microscopie à fond noir
Permet de visualiser T.pallidum prélevé sur des chancres + lésions de syphilis secondaire.

N’est pas fiable pour les lésions buccales et rectales

TAAN
Permet de détecter l’ADN du tréponème afin de savoir s’il s’agit réellement d’un chancre syphilitique

71
Q

Diagnostique Syph: Sérologie: Recherche d’anticorps contre le tréponème pâle

A

(EXAMEN) Dépistage initiale: VDRL + RPR
Les titres d’anticorps non tréponémiques sont généralement corrélés à l’activité de la maladie et servent à surveiller la réponse au traitement et pour évaluer la réinfection.

Si positif: Épreuve de confirmation
TP-PA + FTA-ABS
Permet de connaître le stade de la maladie à l’aide des taux d’anticorps.
Les analyses tréponémiques sont généralement réactives pendant le reste de la vie des patients, même si le patient est traité. Cependant de 15 à 20% de ceux-ci présentent une séroréversion s’ils sont traités pendant le stade primaire de la maladie

72
Q

Diagnostique Syph + VIH

A

«La présence du VIH dans l’organisme peut amener un faux résultat positif au dépistage VDRL de la syphilis, en réaction à l’infection. Il conviendra de confirmer par un test plus spécifique comme le TP-PA et FTA-ABS.»

73
Q

Syph Traitement

A

Syphilis primaire, secondaire ou latente précoce: antibiotiques par voie intramusculaire, en dose unique

Syphilis latente tardive ou latente de durée inconnue: antibiotiques par voie intramusculaire, une fois par semaine pendant trois semaines

74
Q

Syph recommandation post traitement

A

Abstinence
Jusqu’à sept jours après la fin d’un traitement à dose unique, ou jusqu’à la fin d’un traitement à doses multiples OU CONDOM …ou autre activité sexuelle

Idéalement prévenir tous les partenaires d’il y a un an.

75
Q

LGV=

A

Plusieurs sérotypes de Chlamydia trachomatis qui ne donnent pas tous une infection génitale= L1, L2, L3 : lymphogranulome vénérien

environ une centaine de cas au quebec

76
Q

LGV portrait épidémio

A

Population touchée : Les HARSAH
La majorité (97%) des cas masculins sont des HARSAH ayant eu exclusivement des partenaires masculins.
3 cas femmes quebec

La répartition selon le groupe d’âge parmi les cas masculins est la suivante :
(9 %) ont entre15 et 24 ans,
(25 %) entre 25 et 34 ans,
(32 %) entre 35 et 44 ans et
(36 %) ont 45 ans ou plus.

grande augmentation depuis 2012 et constante

77
Q

mode de transmission LGV

A

«La transmissionpar voie sexuelle peut avoir lieu même sans qu’il n’y ait pénétration, orgasme ou éjaculation.»

La transmission par voie sexuelle peut se produire lors de relations orales, vaginales, anales et lors de partage de jouets sexuels
Contact direct avec les exsudats (papules) des lésions de la peau ou des muqueuses.

Une mère peut la transmettre à son enfant lors de l’accouchement (pas de transmission pendant la grossesse ou lors de l’allaitement)

78
Q

LGV signe et symptôme stade primaire

A

Petite papule non douloureuse au site d’inoculation, pouvant devenir ulcérative et qui passe souvent inaperçues, située sur les organes génitaux, à l’anus, au rectum ou dans la cavité orale .

Autres syndromes cliniques : urétrite, rectite et cervicite

79
Q

LGV signe + symp stade secondaire

A

si pas traité 2 à 6 sem évolue

Adénopathie= ganglions sont sensibles et légèrement plus gros, puis la situation progresse vers une masse inflammatoire, au sein de laquelle un abcès peut se former et secréter du pus blanchâtre.

Rectite hémorragique aiguë qui peut s’accompagner d’écoulements muqueux, purulents ou sanguins de l’anus, de douleurs anales et de ténesme, avec ou sans constipation.

Symptômes systémiques comme une fièvre, des frissons, des malaises, des myalgies et des arthralgies.

80
Q

LGV tertiaire signe+symp

A

Plusieurs années après l’infection

Chez 10 à 20 % des personnes non traitées, la LGV devient chronique. Des lésions inflammatoires chroniques qui entraînent des cicatrices peuvent apparaître.

Obstruction lymphatique causant un éléphantiasis génital.

Sténoses ainsi que fistules génitales et rectales.

81
Q

LGV incubation

A

autant H que F

LGV primaire : de trois à trente jours après le contact infectieux.

LGV secondaire : de deux à six semaines après le stade primaire.

LGV tertiaire : les complications peuvent se manifester plusieurs années après l’acquisition de l’infection.

82
Q

LGV période contagiosité

A

Chez les personnes non traitées, le risque de transmission est présent plusieurs semaines ou parfois plusieurs mois après l’acquisition de l’infection.

Chez les personnes traitées, la transmission est possible :
jusqu’à la fin d’un traitement;
jusqu’à la résolution des signes et des symptômes, en présence de lésions causées par une LGV.

83
Q

LGV période fenêtre

A

TAAN Délai inconnu: probablement dès l’exposition
Culture: 48 h minimum

Fin de la période fenêtre 14 jours. (résultats avant pourraient être de faux négatifs=conservatrices)

84
Q

La LGV + analyse spécification

A

TAAN détectant la Chlamydia trachomatis détectent également les génotypes responsables de la LGV (L1, L2 et L3).

Toutefois, ils ne permettent pas de différencier ces génotypes ni de confirmer le diagnostic de la LGV = analyses supplémentaires

85
Q

LGV traitement+ post+ partenaire

A

Privilégié: Doxycycline, pendant 21 jours

Alternatif: Érythromycine, pendant 21 jours
* Convient aux femmes enceintes

ABSTINENCE PENDANT TRAITEMENT+ 7 jours apres

ET avertir partenaire partenaire dans les 60 jours

86
Q

messages cles sur la LGV

A

Augmentation de cas déclarés
HARSAH + forte proportion séropositifs au VIH

conseillé consulter médecin:
Petites plaies non douloureuses sur le pénis, à l’anus ou dans la bouche

Bosses (ganglions) douloureuses à l’aine

Douleur et écoulements persistants à l’anus et au rectum

Si une personne a un partenaire sexuel qui a eu un diagnostic de LGV, elle doit également consulter un médecin (même si elle n’a pas de symptôme)

Non traitée, la LGV peut causer des dommages graves mais se traite bien+ gratuit

87
Q

3 causes de pertes vaginales non infectieuse (aka chlam, gono)

A
  1. la vaginosebactérienne (VB)
  2. la candidose vulvo-vaginale (CVV)
  3. la trichomonase.
88
Q

différence entre vaginite et vaginose

A

Lavaginite = inflammation du vagin et ou de la vulve essentiellement d’origine sexuellement transmissible. Ex. Vaginite à Chlamydia Trachomatis.

vaginose = pas sexuellement transmissible = déséquilibre de la flore vaginale, peut entraîner un certaine inflammation de la muqueuse vaginale.

Une vaginose peut se produire sans qu’il n’y ait eu contact sexuel.

89
Q

Gardnerella vaginalis ou vaginose bactérienne def

A

pas une itss
présentes flore vaginale
 surprésence qui cause des pathologies.
relations sexuelles + facteurs = débalancement flore + pH vaginal qui favorisera leur prolifération

Étiologie
bactérie cause dans des infections des organes génitaux féminins superficiels telles que la vulvite ou la vaginite.

La Gardnerella vaginalis se localise de façon normale au niveau de la flore vaginale de la femme.

Cette bactérie peut, dans certaines conditions, devenir pathogène et provoquer une vaginose bactérienne, avec une perturbation de la flore vaginale normale (flore de Döderlein).

90
Q

Gardnerella vaginalis vaginose bactérienne

A

occident: entre 10 à 64% encore plus grand que candidat chez les femmes

H: pas de prévalence connue ou faible

91
Q

Vaginose bactérienne (VB) F.risque

A

La douche vaginale;
L’utilisation de dispositifs contraceptifs intra-utérins;
Les partenaires sexuels nouveaux ou multiples;
Le tabagisme;
Le stress chronique;
L’utilisation de contraceptif oraux.

92
Q

VB signe et symptôme- incubation période fenetre

A

Pas de période fenetre ni incubation= pas ITSS, test seulement chez gens avec symptome

F
dans 50% des cas asymptomatiques

Leucorrhées = Fréquent
Pertes vaginales homogènes, blanchâtres, grisâtres, abondantes.
- Sensationde brûlure = Fréquent
Notamment après les rapports sexuels.
-Une odeur désagréable= Fréquent
Odeur de poisson pourri, due aux germes anaérobies.
-Un pH vaginal >4,5. = Fréquent

H
chez l’hommes on appelle plutôt Urétrite
30-40 % des Urétrite non gonococcique (UNG) persistante caractérisée par un écoulement urétral et un gonflement du méat urinaire.

93
Q

complication de la vaginose bactérienne

A

F:
Endocervicite= Rare
Inflammation du col de l’utérus, pertes et/ou saignements anormaux

Endométrite=Rare
Inflammation de la cavité utérine = fièvre, douleurs, pertes et/ou saignements anormaux + troubles de la fertilité.

Salpingites Rare
Infections des trompes de Fallope peut etre trouble fertilité

H:
Prostatite= Rare
Certaines inflammationde la prostate 
Épididymite= Rare
inflammation de l’épidydime seraient dues à l’une de ces bactéries
94
Q

diagnostique de VB et CVV + Trichomonase+ traitement

A

EXAMENN= prélèvement seulement si signe+symptôme, mais il faut écarter autre ITSS
VB+CVV
Analyse du pH vaginal= pH anormal, soit >4,5
Préparation de KOH à 10%= Odeur d’amine (odeur de poisson) suite à l’ajout de KOH à 10%.

VB
Préparation à l’état frais (microscopique) :
Observation de Clue cells.

CVV:
On relève des levure ou des filamentspseudo-mycéliens

Trichomonase: Présence de trichomonas flagellés, mobiles et de leucocytes

traitement= ++ dose unique, applicateur ou 7 jours (VB+ trichomonase)

seulement pour Tricho= donner dose au partenaire

pour chacune, ne pas boire d’alcool 2 jours apres avoir terminé le traitement

95
Q

exception pour le traitement asymptomatique de VB

A

Grossesse à risque élevée
Avant la pose d’un stérilet;
Avant une chirurgie gynécologique;
Un avortement thérapeutique ou une manoeuvre instrumentale des voies génitales supérieures

96
Q

Candidose vulvo-vaginale

A

Le candida présent dans génito-urinaires (muqueuse du col utérin ou du vagin)

Le Candida est considéré comme faisant partie de la flore vaginale normale= asymptomatique

Il peut causer une pathologie lorsqu’il est trop présent

champignon diploïde peut prendre l’aspect de levures ou l’aspect de pseudo-hyphes selon la température, le pH et les nutriments du milieu.

Près de 90% des cas de vaginoses à levure sont causés par Candida albicans, les autres étant causés par d’autres espèces de Candida

97
Q

épidémio CVV

A

Près de 75 % des femmes présentent au moins un épisode de CVV durant leur vie et 5 à 10 % des femmes en présenteront plus d’un.

Hommes
On la trouve également dans l’urètre des hommes, mais moins fréquemment.

La colonisation est associée au jeune âge (moins de 20ans).

98
Q

F. de risque CVV + contagiosité

A

Les partenaires sexuels nouveaux ou multiples;
Usage courant ou récent d’antibiotiques;
Diabètemal maîtrisé;
Immunodépression;
Grossesse.

PAS UNE ITSS, mais pourrait se transmettre ( contesté)

99
Q

CVV signes et symptomes F+H

A

Symptômes: Asymptomatique 20 % + guérit souvent spontanément

Pertes vaginales;
Picotements;
Dysurie (difficulté urinaire) externe;
Dyspareunie superficielle.

Signes
Pertes blanches, en grains ou en mottes;
rougeur et gonflement du vagin et de la vulve.

H: rare 
démangeaison 
Rougeur;
Suintement superficiel: fromage cottage 
Rarement, de très petits ulcères peuvent apparaître.
100
Q

Précision traitement de VB + CVV + post traitement partenaire

A

 Les ovules et les crèmes à base d’huile peuvent nuire à l’efficacité du condom en latex ou du diaphragme.
 Le dépistage et le traitement systématiques ne sont pas indiqués chez les partenaires de sexe masculin.
Cependant, ces derniers devraient recevoir un traitement s’il s’agit d’une
infection à Candida balanitis.

101
Q

la Trichomonase - vaginite parasitaire def+ prévalence + transmission

A

protozoaire flagellé parasitaire, ovale+ 5 flagelles

la prévalence de la trichomonase a été estimée entre 10 et 35% F et 3-20 pour H

se transmet principalement par les fluides vaginales ou urétrale, mais peu survivre sur des objets humides… serviette, siège de toilette, pendant plusieurs heures

transmission congénital possible

102
Q

Trichomonase incubation + signe symp

A

Entre 3 et 28 jours, avec une moyenne de 7 jours.
test seulement sur personne symptomatique
F: asymp - 10 à 50%

Chezla femme: Asymptomatique dans 10 à 50% des cas
Pertes vaginales;
Picotements;
Pertes beiges, verdâtres ou jaunes, écumeuses;
col piqueté vasculaire rouge ou «col en fraise

H: Chez l’homme: Asymptomatique > 90%
Écoulement léger du pénis;
Irritation ou rougeur au bout du pénis;
Sensation de brûlure à la miction

103
Q

la gale mode de transmission + contagiosité

A

Très forte contagiosité avec risque de propagation directement proportionnel à la quantité de parasites présents

Rarement dans le cadre de relations sexuelles, le plus souvent par contact de personne à personne

Peut se faire par le partage d’articles personnels (vêtements, literie).

104
Q

gale incubation et signe+symp - complication

A

2-6 semaines

Symptomatique chez près de 100%
démengeaison intense pendant la nuit;
Sillons creusés sous la peau;
Lésions affectant les mains (entre les doigts ou sur le côté des doigts), les surfaces de flexion des poignets, les aisselles, la taille, l’aréole du mamelon, la région autour du nombril et les organes génitaux masculins;

boutons résultant du prurit affectent souvent les parties génitales (moins fréquent).

complication= gale croûteuse =petites lésions croustillantes couvrent une grande partie du corps dans lesquelles de nombreux acariens de la gale sont présents;

105
Q

Gale diagnostique+ traitement

A

À l’examen, gratter la peau au niveau d’un sillon pour retirer l’acarien ou l’oeuf en vue d’identifier le sarcopte, ses selles ou les oeufs au microscope.

Coloration du sillon à l’encre; essuyer la peau avec de l’alcool: le sillon restera teinté.

diagnostique difficile à faire = tardif

traitement= crème=mettre sur tout le corps pendant 8 à 14h+ tout nettoyer literie- vêtement et partenaire devrait aussi recevoir traitement

106
Q

morpions mode de transmission+ contagiosité

A

Transmission= contact de personne à personne, que ceux-ci soient sexuels ou non. ou objets contaminés (les vêtements, la literie, les serviettes, des articles de toilette, etc.)

Le parasite peut survivre hors de l’hôte seulement pendant 24 heures.

contagiosité
Très contagieux

107
Q

morpions incubation, signe+symp+ complication+ traitement

A

quelque jour à quelques semaines

démangeaison, le grattage, l’érythème (rougeur sur la peau), l’irritation et l’inflammation cutanée sont dus à une réaction aux piqûres de morpions (près de 100% des cas).

Érosion de la peau pouvant se sur infecter et se couvrir d’une croûte (moins fréquent).

complication
fièvre légère et à un malaise
En l’absence de traitement,la peau adopte une coloration brune tirant sur le bleu

traitement: Laver la région affectée et appliquer un pédiculocide (sous forme de crème, de lotion ou de shampooing) + laver lit, vêtement, matelas, etc

108
Q

Shigellose épidémiologie, mode de transmission, contagiosité + signe

A

67%= HARSAH
harsah pas nécessairement plus à risque, mais pratique plus l’anulingus
Transmission fécale-orale
Contact direct bouche-anus (ITSS);
Contact indirect par mains contaminées;
Nourriture contaminée par la préparation d’une personne infectée

symptome:

Début soudain: Après 1 à 3 jours d’incubation
Crampes abdominales (70-93 %)
Diarrhée : sang (35-55 %) -mucus ( 70-85 %) -aqueuse ( 30-40 %).
Fièvre élevée (30 % à 40 % des cas);
Nausées, vomissements (35 %);

Complications= hospitalisation (rares, plus fréquentes chez les immunodéprimés);
Durée de la maladie 4 à 7 jours;
La bactérie peut demeurer dans les intestins de la personne infectée jusqu’à 6 semaines après l’arrêt des symptômes.

109
Q

shigellose: diagnostique+ traitement + recommandation

A

Examen des selles au microscope

traitement: boire beaucoup de liquide, souvent pas d’antibiotique a moins d’un gras grave

Recommandations de santé publique
Retrait temporaire du travail;
Retour au travail après 2 cultures de selles négatives.

Conseils pour se protéger
Utiliser un carré de latex pour l’anulingus;
Se laver les mains et autres parties du corps
Consulter le médecin si présence de symptômes

110
Q

agent infectieux pour chaque ITSS ou parasitoses ou autre bactérie

A

Chlamydia: bactérie Chlamydia trachomatis

Gonorrhée: bactérie Neisseria gonorrhoeae NG Bactéries à Gram négatif

Syphilis: bactérie Treponema pallidum (Tréponème pâle (treponemapallidum): bactérie en forme de spirale)

Vaginose bactérienne: bactérie Gardnerella vaginalis cause 90% des cas de vaginose

Candidose vulvo-vaginale: Candida Albican 90% des cas de vaginoses à levure

Trichomonase: Trichomonas vaginalis= protozoaire flagellé parasitaire

La gale: Sarcoptes Scabiei Hominis (Minuscule parasite à 8 pattes, responsable de la gale.)

Les morpions: Phthiruspubis (Poux dans les poils pubiens)

Shigellose: Shigella spp (Enterobacteriaceae, est un bacille pathogène Gram négatif. bactérie anaérobie facultative non mobile et non encapsulée plus populaire: S.dysenteriae)