Examen 1 Flashcards
(108 cards)
Quels sont les trois modèles des expériences précoces ?
- Modèles des périodes critiques
- Modèle adaptatif ou de programmation
- Modèle des parcours de vie ou effets cumulatifs
Quelles sont les différences individuelles VS développement typique selon l’espèce dans les 3 modèles ?
- Présence ou absence d’un comportement essentiel (normal ou pathologique).
- Explique les différences entre les individus d’un même échantillon. Selon le degré d’exposition environnemental (peut entraîner une mésadaptation).
- Variations dans l’intervalle normal-anormal. Mélange des 2 modèles.
Quelles sont les différences dans la nature de l’input environnemental des 3 modèles ?
- Input environnemental nécessaire, mais seuil bas et facilement atteignable (l’espèce s’adapte facilement pour sa survie).
- L’environnement précoce joue un rôle prédominant dans le développement à long-terme. Le timing peut apporter des conséquences selon la période biologique (équifinalité)
- Expériences importantes. Considère l’expérience d’une personne dans son ensemble.
Quelles sont les différences dans le rôle des mécanismes biologiques/psychologiques des 3 modèles ?
- Surtout biologique. Pas de période critique entièrement psychologique (bio influence psycho).
- Seulement biologique.
- Les facteurs psychologiques agissent comme médiateurs (influence une autre variable). Connexion entre les expériences précoces et les conséquences à long terme.
Quelles sont les différences dans la probabilité de récupération suite à une intervention et résilience des 3 modèles ?
- Interventions dépendent du timing pour bien fonctionner (à l’intérieur des périodes critiques).
- Interventions ciblent souvent les conduites parentales. Intervention durant la période de programmation = effet plus fort.
- La personne est hautement malléable. Meilleur moment pour intervention pas spécifié. Les interventions peuvent être efficaces à n’importe quel moment au cours de la vie. Type et intensité + que timing.
Vrai ou faux : En investissant tôt dans les interventions/prévention, les bénéfices sont plus grands et ont un effet sur une plus longue période de temps.
Vrai
Vrai ou faux : Les effets des interventions sont les mêmes chez les adultes et chez les enfants.
Faux : il y a plus de disparité chez les adultes que chez les enfants (conséquences des interventions généralisées).
Qui a développer le modèle écologique ?
Bronfenbrenner
Qu’est-ce que des facteurs proximaux ?
Liens directs (ex : la relation de l’enfant avec le parent).
Qu’est-ce que des facteurs distaux ?
Liens indirects qui ont un impact sur l’enfant (ex : l’éducation du parent influence les croyances et les connaissances de l’enfant et la façon dont il agit.
Processus de rétroaction
- Feedback positif : mécanisme d’auto-stabilisation (augmenter cpts positifs)
- Feedback négatif : mécanisme d’auto-amplification (diminuer cpts négatifs) = maintient les états stables.
= Jeu d’ajustement pour trouver l’équilibre
Qu’est-ce que le concept de multi-stabilité ?
Système à l’intérieur duquel coexistent différents états stables.
Qu’est-ce qu’un attracteur ?
Structures de personnalité stables qui sont reliées entre elles (composent l’état espace). Plus l’attracteur est creux (plus le cpt est présenté), plus il sera résistant au changement.
Qu’est-ce qu’un état espace ?
Répertoire de comportements. Contient plusieurs attracteurs qui coexistent.
Qu’est-ce qu’un processus intraindividuel ?
Chez un individu, formé de l’état espace qui contient les configurations de personnalités.
Qu’est-ce qu’un processus interindividuel ?
Répertoire comportemental dyadique (état espace dyadique) qui présente les interaction entre deux individus.
Que représente les échelles de temps indépendantes ?
Les interactions se reproduisent et se stabilisent à des moments en particulier (s’attend au cpt).
Qu’est-ce qu’une phase de transition ?
Changements discontinus et non-linéaires (sensible aux input environnementaux, les petits changements peuvent affecter disproportionnellement le statut de feedback entre les éléments du système). = mène à l’émergence de nouvelles formes.
- Réorganisation
Style d’attachement : réconforté par son P lorsqu’en détresse.
L’E explore don environnement en présence du P.
Attachement sécurisé (B)
Style d’attachement : inconsolable ou fâché lors de détresse.
Explore moins son environnement même lorsqu’il va bien. Peut être collant ou chigneux.
Attachement ambivalent-résistant (C)
Peu de détresse apparente, peu de demande envers P (ignore figure parentale).
Explore moins son environnement, garde une distance avec le P mais peur parfois le « surveiller ».
Attachement évitant (A)
Vrai ou faux : un enfant avec un style d’attachement ambivalent-résistant ou évitant adopte des stratégies désorganisées.
Faux : les stratégies sont adaptées à leur environnement. Elles sont donc organisées mais non-optimal.
« Je fais tout pour avoir l’attention du parent. Ma détresse garde le parents proche de moi ». Quel est le style d’attachement ?
Attachement ambivalent-résistant
« J’ai appris que lorsque je démontre de la détresse envers mes parents, il y a de mauvaises conséquences. J’évite donc de provoquer mes parents afin de garder leur attention ». Quel est le style d’attachement ?
Attachement évitant