Examen 2 Flashcards

1
Q

Attitude définition +

A

Une attitude est une évaluation générale et durable positive ou négative d’un objet.

Les consommateurs et consommatrices peuvent avoir des attitudes envers des produits spécifiques ou envers des comportements de consommation.

Les attitudes préparent et facilitent les comportements.

Les personnes diffèrent dans l’intensité et la direction de leurs attitudes.

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2
Q

Objet d’attitude définition

A

Tout élément à l’égard duquel on forme une attitude (publicité, produit, etc.).

Oa

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3
Q

Mesure de l’attitude

A

Avec des échelles de Likert.

En déterminant la centralité de l’attitude (son niveau d’importance pour l’individu) par rapport à son système de croyances.

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4
Q

Attitude et apprentissage

A

Les attitudes résultent d’un processus d’apprentissage

Conditionnement classique : association positive avec l’objet d’attitude Oa (ex.: slogan)

Conditionnement instrumental : renforcement positif ou négatif envers l’objet d’attitude Oa (ex.: effet positif)

Apprentissage cognitif envers Oa (Processus cognitif plus complexe, ex: placement produit,

L’attitude est l’un des meilleurs prédicteurs du comportement d’un individu.

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5
Q

Limite de l’attitude

A

Si les gens adoptent un comportement, ils ont de grandes chances d’avoir des opinions positives par rapport à ce comportement.
Mais toutes les personnes qui ont des opinions positives envers un comportement n’adoptent pas nécessairement ce comportement.
Et c’est là que la prédiction flanche.

Aimez-vous les ferrari ? en avez vous une ?

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6
Q

Théorie des fonctions des attitudes (4)

A

Utilitaire
Défense du moi
Expression des valeurs
Connaissance

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7
Q

Utilitaire (fonctions des attitudes)

A

Liée aux principes de base de récompense et punition. Produits qui sont utiles et permettent de satisfaire nos besoins seront vus positivement (et l’inverse).

qualité gustative, fraîcheur, simplicité de préparation…

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8
Q

Défense du moi (fonctions des attitudes)

A

Permettent de protéger l’estime de soi et de faire face aux pressions sociales.

qualité des aliments qu’ils donnent à leurs enfants même quand ils manquent de temps

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9
Q

Expression des valeurs (fonctions des attitudes)

A

Reflète les valeurs essentielles ou son idée de soi. Produit sera vu favorablement s’il correspond à nos valeurs, à notre image de soi ou au groupe dont nous voulons faire partie.

caractère sain des légumes surgelés pour toute la famille

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10
Q

Connaissance (fonctions des attitudes)

A

Facilite la compréhension de son environnement; rend le monde prédictible. Répond au besoin d’ordre de structure des gens (stéréotypes).

aliment santé, moins cher

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11
Q

Force des attitudes

A

Les individus varient dans leur engagement envers une attitude (lié au degré d’engagement vis-à-vis l’objet de l’attitude).

Conformité : Former une attitude, car ça permet d’obtenir une récompense.

Identification : Adopter une attitude pour se conformer aux attentes des autres.

Intériorisation : Les attitudes ancrées deviennent partie intégrante du système de valeurs d’une personne.

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12
Q

Modèle à trois composantes des attitudes

A

Cognitive (ce que je pense) : croyance, connaissances, souvenirs

Affective ( ce que je ressens) : émotions, manière dont on se sent à l’égard de l’objet d’une attitude

Comportementale (ce que je fais) : intention de poser une action à l’égard d’un objet d’une attitude

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13
Q

Attitude générale

A

s’obtient par l’addition des trois composantes des attitudes (cognitive, affective et comportementale).

L’importance de chaque composante varie en fonction du degré d’implication du consommateur par rapport à l’objet de son attitude ( Oa)

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14
Q

Hiérarchie de l’apprentissage normal (attitude)

A

Cognitif -> Affectif -> Comportemental

Former des croyance à l’égard d’un Oa -> Former un sentiment envers l’Oa -> Adopter le comportement approprié envers le l’Oa.

Attitude fondée sur le traitement de l’information cognitive

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15
Q

Hiérarchie à faible implication (attitude)

A

Comportemental -> Affectif -> Cognitif

Adopter le comportement approprié envers le l’Oa. -> Former un sentiment envers l’Oa -> Former des croyance à l’égard d’un Oa

Attitude fondée sur les processus d’apprentissage comportemental.

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16
Q

Hiérarchie expérientielle (attitude)

A

Affectif-> Comportemental -> Cognitif

Former un sentiment envers l’Oa -> Adopter le comportement approprié envers le l’Oa. -> Former des croyance à l’égard d’un Oa

Attitude fondée sur la consommation hédonique

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17
Q

Principe de cohérence

A

Dissonance cognitive

Théorie de la perception de soi

Théorie de l’équilibre

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18
Q

Théorie de la perception de soi

A

Suppose que les gens observent leur propre comportement afin de déterminer leurs attitudes, comme s’ils observaient quelqu’un d’autre.
Les gens maintiennent la cohérence en concluant qu’ils doivent avoir une attitude positive à l’égard d’un objet s’ils ont fait le choix de l’acheter ou de le consommer (librement).

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19
Q

Théorie de l’équilibre

A

Se penche sur la manière dont une personne perçoit les relations entre différents objets de l’attitude et comment elle l’évalue afin qu’elles demeurent cohérentes.

Triade:
1) Personne
2) Objet
3) Objet/tierce personne

Lorsque les perceptions du consommateur sont équilibrées, ses attitudes sont stables; et l’inverse.

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20
Q

Évaluation des attitudes

A

Modèle de Fishbein

Suppose que l’attitude générale d’un consommateur à l’égard d’un objet dépend des croyances qu’il entretient sur plusieurs attributs.

Mesure trois composantes de l’attitude

Les attributs caractéristiques de l’objet (i): caractéristiques des objets

Les croyances à propos de l’objet (β) : évaluations faites des attributs

Le poids de l’importance de chaque attribut (I): importance accordée à un attribut

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21
Q

Modèle de Fishbein amélioré

A

La théorie de l’action raisonnée

Pour prédire un achat, ce modèle tient compte des…
Intentions comportementales (vs Attitudes)

Pression sociale ou normes subjectives ou pouvoir des autres individus sur les décisions d’achat.

Attitude à l’égard de l’acte d’achat

…et non seulement l’attitude par rapport au produit !

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22
Q

Persuasion définition

A

La persuasion est une tentative réelle de modifier l’attitude des consommateurs.

Persuader le consommateur d’acheter le produit de l’entreprise -> Tâche principale de la plupart descommunications marketing.

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23
Q

Psychologie de l’influence et ses (6) principes

A

facteurs capables de modifier l’attitude des personnes exposées à un message qui tente de les convaincre.

Consensus
Autorité
Sympathie
Rareté
Réciprocité
Cohérence

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24
Q

Consensus + panurgisme

A

Prendre en considération ce que font les autres avant de décider quoi faire

Lorsqu’un individu modifie son comportement ou son opinion car il est soumis à la pression réelle ou imaginée du groupe, il se conforme.

Panurgisme : Les gens calquent leur comportement sur celui des autres

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25
Q

Critères qui poussent à suivre les règles (5)

A

Pressions culturelles
Crainte d’être mis à l’écart
Engagement
Unanimité, taille et expertise du groupe
Sensibilité au regard des autres

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26
Q

Autorité

A

On croit plus aisément une source, une personne que l’on perçoit comme un expert dans le domaine.

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27
Q

Sympathie

A

Tendance à suivre et imiter ceux que l’on trouve attirants et sympathiques.

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28
Q

Rareté

A

On désire plus ce que l’on ne peut pas avoir.

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29
Q

Réciprocité

A

On est plus enclin à donner si on a d’abord reçu. Principe de réciprocité fait référence au comportement naturel qui consiste à faire un geste en retour envers la personne qui nous a fait cadeau ou rendu un service même si nous n’avons rien demandé. Il veut que l’on ressente le besoin de rendre les faveurs ou de payer les dettes.
Marketeurs activent la règle de réciprocité pour encourager les consommateurs à choisir une marque et à lui rester fidèle.

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30
Q

Cohérence

A

On essaie d’éviter les contradictions entre les paroles et leurs gestes
La plupart des personnes ont une ligne de conduite et tentent de s’y tenir.

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31
Q

Modèle traditionnel de communication

A

Les éléments à maîtriser afin de communiquer avec la clientèle

Source : personne ou organisation qui entame la communication

Message à communiquer : La structure du message a une incidence sur la manière dont il est perçu

Moyens de diffusion du message (radio, panneaux, fil d’actualité)

Récepteur qui interprète le message

Rétroaction des récepteurs : modifier certains aspects du message selon les réactions

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32
Q

Modèle de communication revu

A

Aujourd’hui, il est possible de cibler et de concevoir des messages pour une seule personne ou un très petit groupe.

Modèle dynamique

Mise sur les communications interactives

Donne plus de contrôle aux usagers sur le
genre de messages qu’ils veulent entendre

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33
Q

Niveaux de réponse interactive

A

Réponse de premier ordre

Communication marketing qui engendre directement une transaction ou une vente.

Réponse de deuxième ordre

Communication marketing qui n’aboutit pas immédiatement à une action ou un achat.

Les messages suscitent des réponses ou des commentaires de la part des gens (potentiels consommateurs)

Retour d’information (rétroaction des consommateurs)

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34
Q

Source du message

A

Un message peut être reçu de différentes manières selon la personne qui le communique

L’efficacité du message varie selon la source utilisée;
Une bonne source parvient à engendrer un changement d’attitudes chez les gens

crédibilité de la source
attractivité de la source (charme de la source)

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35
Q

Attractivité de la source

A

On croit que des personnes qui se trouvent au sommet dans un domaine ou une catégorie excellent également dans d’autres domaines ou catégories.
Par conséquent : Les personnes qui sont belles seraient donc plus intelligentes, plus cool et plus heureuses.

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36
Q

Théorie des deux facteur (message) (fréquence et répétition)

A
  1. Un simple effet d’exposition

La répétition rehausse le caractère familier d’un produit et réduit l’incertitude à son égard.

Cependant, « la familiarité engendre le mépris »

  1. Ennui

Au fil du temps, le degré d’ennui croît avec chaque exposition de la publicité.

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37
Q

Message (4)

A

transmettre le message

Structure de l’argumentation

Axes du message

Source ou message ?

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38
Q

Structure de l’argumentation

A

Présenter le pour et le contre

(publicité comparative)

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39
Q

Axe du message

A

Axe rationnel

Axe émotionnel

Axe humoristique

Axe de la peur

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40
Q

Groupe de référence

A

Un groupe de référence est une personne ou un groupe, réel ou imaginaire, perçu comme ayant une importance considérable dans les évaluations, les aspirations et les comportements d’un consommateur ou d’une consommatrice.

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41
Q

Trois formes d’influence exercées par les groupes de référence

A

Informationnelle
Le groupe est utilisé pour apprendre quelque chose

Utilitaire
L’individu décide d’acheter une marque en fonction de la préférence du groupe dans le but de satisfaire leurs attentes

Exprimant une valeur
L’individu a le sentiment que les gens qui achètent une marque particulière sont admirés ou respectés par les autres, donc cela améliorera son image.

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42
Q

Pouvoir social

A

Capacité de modifier les actions d’autrui.

Si vous êtes capables d’amener une personne à faire quelque chose, indépendamment de sa volonté, vous avez un pouvoir (social) sur cette personne.

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43
Q

Facteurs influençant l’importance de l’effet du groupe de référence (4)

A

Niveau de connaissance du produit

Degré de risque perçu

Caractère «privé-public/luxe-normal»

Pouvoir du groupe de référence

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44
Q

Types de pouvoir des groupes (ou individus) (6)

A

Pouvoir de récompense

Pouvoir coercitif

Pouvoir légitime

Pouvoir de référent

Pouvoir d’expert

Pouvoir d’information

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45
Q

Types de groupes (4)

A

Groupes de référence formels ou informels

Communautés de marque et les tribus de consommateurs

Groupes d’appartenance ou groupe d’aspiration

Groupes de référence positifs et négatifs

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46
Q

Groupes de référence formels ou informels

A

Formel = large et standardisé possédant une structure reconnue et établie.

Informel = groupe d’ami.es, de sport, de passe-temps

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47
Q

Communautés de marque

A

Un groupe de consommateurs et consommatrices partageant un ensemble de rapports sociaux fondé sur l’utilisation d’un produit ou sur l’intérêt qu’il suscite.

Tribus de consommateurs

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48
Q

Tribus de consommateurs

A

Un groupe de gens ayant le même style de vie et capables de s’identifier les uns aux autres parce qu’ils partagent une allégeance à une activité ou à un produit.

Ces gens partagent des émotions, des convictions morales, des styles de vie et des produits.

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49
Q

Intérêt des communautés de marque

A

Réduction des coûts

Exposition, notoriété et crédibilité de la marque augmentée

Rétention et engagement accrus

Cocréation = connaissances sur les nouveaux produits, services et attributs.

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50
Q

Groupes d’appartenance

A

Personnes que le consommateur ou la consommatrice connaît.

51
Q

Groupes d’aspiration

A

Personnes que le consommateur ne connaît pas directement et admire

52
Q

Groupes de référence positifs et négatifs

A

Groupe de référence positif : les gens basent leurs comportements sur cequ’ils pensent que le groupe attend d’eux

Dissociation de groupes de référence : motivation à se distancier d’un groupe de référence

53
Q

Avantages à faire les choses en groupe

A

Plus on est nombreux, moins on risque qu’un membre soit montré du doigt.

Désindividualisation

Paresse sociale

Effet de passage risqué

Effet et pression de groupe: ex. démonstration de vente à domicile

54
Q

Caractéristiques des communautés en ligne (6)

A

Impression de réalité

Normes comportementales

Participation

Valeur liée aux intérêts communs et objets sociaux

Groupes et cultures minoritaires

Capital social

55
Q

Impression de réalité

A

Effet produit par les interactions avec des environnements créés ou modérés par des ordinateurs.

Associé à la sensation d’être ensemble malgré la distance, sentir la présence des autres.

Communautés en ligne renforcent ce sentiment en créant des environnements qui paraissent réels.

56
Q

Valeur liée aux intérêts communs et objets sociaux

A

Importance d’un intérêt commun autour duquel les membres peuvent se rassembler.

57
Q

Normes comportementales

A

Pour pouvoir fonctionner au mieux, les communautés ont besoin de règles ou d’un code de conduite.

Les normes sont des représentations mentales du bon comportement à adopter au sein d’une communauté.

Il existe des règles écrites et d’autres qui ne le sont pas. On parle alors de règles tacites. Il peut s’agir de règles de courtoisie, mais aussi de règles plus importantes par exemple pour assurer la sécurité et la confidentialité des usagers.

58
Q

Groupes et cultures minoritaires

A

Les communautés et cultures minoritaires ont toujours existé, mais les médias sociaux permettent d’atteindre plus de personnes, de développer leurs propres réseaux et de communiquer.

59
Q

3 éléments liés à la participation dans les communautés

A

Magnétisme

Contenu créé par les utilisateurs

Valeur générée

60
Q

Capital social

A

Le capital social correspond à l’ensemble des relations sociales d’une personne. Leur valeur peut parfois être basée sur la réciprocité.

Communautés construisent leur capital via leur réputation et leur structure.

61
Q

Force des liens

A

Liens affectifs

Liens importants

Liens faibles

Liens latents

62
Q

Résistance à la conformité

A

Anticonformisme : Méfiance vis-à-vis du groupe: «pour éviter de faire ce qui est attendu, il est nécessaire de toujours surveiller ce qui est fait par les autres»…

Indépendance: Se contente de faire ce qui lui plaît et ignore parfois ce qui est attendu

Réactance: État émotionnel négatif de la privation de liberté de choix

63
Q

Pyramide des influenceurs

A

nano, micro, macro, mega

64
Q

Marketing de contenu

A

Marketing de contenu : approche marketing stratégique axée sur la création et la distribution de contenu cohérent, utile et apportant de la valeur, dans le but d’attirer et de fidéliser une audience ciblée, et au final, d’encourager les actions des consommateurs qui génèrent des bénéfices.

65
Q

Facteurs de viralité (3)

A

Loi des moins nombreux

La valeur d’accroche

L’importance du contexte

66
Q

Guérilla marketing

A

Stratégies promotionnelles faisant appel à des moyens et des lieux non traditionnels pour faire connaître des produits (et du bouche à oreille intensif)

Recrutement de foules (beaucoup) de consommateurs qui s’engage dans une forme de théâtre de rue.

67
Q

Prise de décision collective

A

situation dans laquelle plusieurs personnes choisissent les produits ou services qu’utilisent de multiples consommateurs.

68
Q

Les rôles dans la prise de décision (5)

A

L’instigateur
Le filtre
L’influenceur
L’acheteur
L’utilisateur

69
Q

Processus décisionnel des organisations (6)

A

Plusieurs personnes interviennent dans les décisions d’achats d’une entreprise

Importance de données techniques précises

Décisions attentives vs impulsives

Les décisions sont plus risquées

Le volume d’achat est plus important

Le marketing repose sur la vente personnelle

70
Q

Particularités du B2B

A

Comprendre une filière

Comprendre la structure de l’entreprise

Processus de décision complexe

71
Q

familles (7)

A

La famille élargie
La famille nucléaire
La famille recomposée
La famille monoparentale
Le ménage
La génération sandwich
Les enfants boomerang

72
Q

La famille élargie

A

autrefois la cellule familiale la plus courante; trois générations vivant sous le même toit (en plus des oncles, tantes, cousins et cousines)

73
Q

La famille nucléaire

A

«la famille idéale» de 1950 – maman, papa et enfant(s).

74
Q

La famille recomposée

A

Couple adulte marié ou non avec au moins un enfant d’une union précédente

75
Q

La famille monoparentale

A

1 parent célibataire et 1 ou plusieurs enfant(s)

76
Q

Le ménage

A

Toutes les personnes vivant dans un même logement

77
Q

La génération sandwich

A

les personnes d’âge moyen qui doivent subvenir à la fois aux besoins des aînés et des jeunes.

78
Q

Les enfants boomerang

A

les enfants qui retournent chez leurs parents.

79
Q

Définition inclusive de la famille

A

Une famille offre à ses membres de la satisfaction émotionnelle qui peut comprendre aussi les besoins sexuels; elle est là pour prendre soin économiquement de soi et des autres, et contribue à la croissance et au bien-être de soi et des autres.

80
Q

3 piliers de la familles

A

besoins émotionnels, économiques et de bien-être.

81
Q

Cycle de vie familial

A

Le cycle de vie familial combine les tendances en matière de revenu et de composition familiale avec l’évolution de la demande en fonction des revenus. Avec l’âge, les préférences et besoins en matière de produits et d’activités ont tendance à se modifier (ex: jeunes célibataires et nouveaux conjoints font plus d’exercices et fréquentent plus les bars, les familles avec jeunes enfants consomment plus santé, etc.).

82
Q

4 variables du cycle de vie familial

A

L’âge

L’état matrimonial (tout couple partageant le même foyer dans une relation à long terme)

La présence ou l’absence des enfants à la maison

L’âge des enfants (s’il y en a).

83
Q

Limite de la segmentation par cycle de vie

A

La segmentation par cycle de vie a une utilité limitée à cause de phénomènes sociaux importants, tels que le changement des rôles des femmes, les personnes sans enfants par choix, ceux qui ont des enfants tard, et les familles monoparentales, par exemple.

84
Q

Types de décision famille

A

Décision autonome : un membre de la famille choisit seul un produit

Décision syncrétique : décisions qui font intervenir la majorité des membres de la famille.

Décisions d’achats consensuelles : les membres du groupe s’entendent sur l’achat désiré, mais pas sur la façon.

Décisions d’achat par compromis : Les membres du groupe ont des préférences ou des priorités différentes et ne peuvent se mettre d’accord sur un achat qui les satisferait tous.

85
Q

Qu’est-ce qui détermine l’ampleur du conflit ? (4)

A

Les besoins interpersonnel

L’engagement envers le produit et l’utilité du produit

La responsabilité

Le pouvoir

86
Q

Évolution des rôles associés aux genres

A

Importance de comprendre les prises de décisions et les décisionnaires au sein des familles pour savoir comment adapter les campagnes.

Changement important dans les sociétés occidentales. Rôle clef de la culture.

Évolution de la répartition des tâches au sein des couples. Au demeurant, les couples maintiennent un système de spécialisation des tâches et ils définissent un ensemble de préférences communes afin de simplifier les décisions.

87
Q

Type de marché pour les enfants (3)

A

Marché primaire : dépense de leur propre argent

Marché d’influence : les parents achètent ce que leur enfant indique

Marché futur : les enfants grandissent rapidement et achètent des items que des adultes achètent habituellement

88
Q

Stade du développement du consommateur (5)

A

Observer

Formuler des envies

Opérer des sélections

Réaliser des achats avec un adulte

Réaliser des achats autonomes

89
Q

Revenu discrétionnaire

A

l’argent dont dispose un ménage une fois qu’il a fait les dépenses qui lui assurent un niveau de vie confortable.

90
Q

3 personas de Walmart selon leurs rapports aux et marques et à l’argent

A

Les acheteurs / acheteuses centré·es sur les marques : personnes à faibles revenus, mais obsédées par des marques connues

Les amateurs / amatrices de rabais : personnes fortunées qui apprécient les bonnes affaires

Les acheteurs / acheteuses à bas prix: personnes qui affectionnent les bas prix et qui ne peuvent pas payer beaucoup plus

91
Q

Classes sociales

A

Classe sociale : ensemble des personnes de même rang dans la société.

Même classe = emplois similaires, styles de vie et revenus comparables, goût en commun.

92
Q

Classe sociale comme indicateur

A

La classe sociale est un meilleur indicateur pour les achats revêtant un aspect symbolique, mais dont le prix est bas ou moyen.

Le revenu est un meilleur indicateur pour les dépenses majeures sans valeur symbolique ou de statut.

Classe sociale et revenu, pris ensemble, constituent les meilleurs indicateurs pour les achats de produits symboliques et chers.

93
Q

Symboles de statut

A

Symboles de statut sont des produits achetés et affichés par le consommateur ou la consommatrice pour signaler son appartenance à une classe sociale désirable.

94
Q

3 groupes selon leur attitude à l’égard du luxe

A

Le luxe est fonctionnel : achats qui durent et conservent leur valeur

Le luxe est une récompense : achats de luxe comme preuve de succès

Le luxe est une source de plaisir : achats émotifs et impulsifs pour exprimer son individualité et se faire remarquer

95
Q

Cohorte d’âges

A

Une cohorte d’âges est formée de personnes sensiblement du même âge qui ont des expériences semblables.

96
Q

Génération du Canada

A

Grandiose (96+)

Entre-deux-guerre (78-95)

Baby-Boomer (58-77)

X (43-57)

Y (milléniaux) (27-42)

Z (11-26)

Alpha (10 -)

97
Q

Adolescence

A

Autonomie

Rébellion contre la conformité

Idéalisme

Narcissisme et intimité

98
Q

Gen Z

A

Une des générations les plus diversifiées.

Rôle central des technologies

Valorise la stabilité économique

Impact important des évaluations en ligne et engagement auprès des marques qui utilisent les médias sociaux dans leurs campagnes.

Répondent mieux aux avis en ligne et aux campagnes d’influence, aux vidéos courtes, aux causes sociales, économiques et environnementales et utilisent les applications mobiles.

Stratégies recommandées: Marketing d’influence, avis en ligne, vidéos courtes, TikTok, Insta, YouTube, publicités sociales et achats sociaux.

99
Q

Milléniaux

A

Ou génération Y, première génération à grandir avec les technologies modernes.

Importance de l’authenticité et des causes sociales et environnementales.

Importance du contenu généré par les utilisateurs et du bouche-à-oreille.

Répondent mieux : au soutien de causes, au marketing sur les médias sociaux, aux avis et au marketing numérique en général.

Stratégies marketing recommandées: multicanaux, contenu généré par les utilisateurs, marketing d’influence, marketing de contenu sur les médias sociaux.

100
Q

Xennials

A

Moins clairement définie à cheval entre les milléniaux et les X

Ont grandi avec la technologie, mais n’avaient pas de réseaux sociaux à l’enfance ou l’adolescence.

Temps est un luxe. Aime voyager et apprécie la flexibilité financière.

Apprécie des expériences numériques où la navigation est facilitée.

Apprécient la transparence de la part des entreprises.

Répondent mieux : à la transparence, à la nostalgie, aux abonnements, aux livraisons à domicile, à la santé et au bien-être.

Stratégies marketing recommandées: marketing traditionnel et en ligne, abonnements, retour d’anciens produits, importance de contenu pertinent et à jour.

101
Q

Génération X

A

Plus petite génération qui a grandi pendant des périodes de récession.

Font attention à leur argent et sont sceptiques vis-à-vis des marques.

Ils sont plus hésitants face au changement et à l’innovation.

Génération qui répond bien à la nostalgie, au bouche-à-oreille et aux avis.

Ils ont connu la technologie pour la majeure partie de leur vie.

Répondent mieux : aux messages authentiques et clairs, au marketing par courriel et sur les médias sociaux (Facebook, Instagram), aux processus d’achat simplifié, au service client et aux offres.

Stratégies marketing recommandées: programmes de fidélité, bouche-à-oreille, marketing par courriel et sur les médias sociaux, publicité traditionnelle et incitatifs: coupons, rabais, etc.

102
Q

Baby Boomers

A

Ont grandi après guerre et dans une période de croissance économique d’après guerre.

Ils ont le plus grand pouvoir d’achat et revenu discrétionnaire.

Ils ont grandi sans technologie, mais ont acquis certaines compétences (ex.: Facebook, téléphone cellulaire).

Ils aiment les bonnes affaires et sont attachés aux marques.

Répondent mieux : au service client, au contenu simple et facile à comprendre, aux bonnes affaires, interactions interpersonnelles.

Stratégies marketing recommandées: publicité traditionnelle, programmes de fidélité, interactions en personne, médias sociaux comme point d’entrée des marques et achat en ligne simple.

103
Q

culture définition

A

Elle est la somme des significations, des rituels, des normes et des traditions qui sont propres aux membres d’une organisation ou d’une société.

104
Q

éléments de la culture (7)

A

Langue et langage (Verbal et non verbal)
Religion
Valeurs et attitudes
Manières et coutumes
Éléments matériels (ex.: technologies)
Esthétisme (art, folklore, musique…)
Éducation et institutions sociales

105
Q

Valeurs culturelles définition

A

Des croyances partagées et modelées par les forces individuelles, sociales et culturelles.

106
Q

Pourquoi est-ce important d’identifier les valeurs centrales de chaque culture ?

A

Parce qu’elles déterminent la priorité que les consommateurs accordent aux activités et aux produits et le succès ou l’échec de certains produits et services.

107
Q

Enculturation définition

A

Processus par lequel un individu fait l’apprentissage de sa propre culture

108
Q

Acculturation

A

Processus par lequel une personne apprend les normes et valeurs d’une autre culture.

109
Q

Dimensions pour comparer les cultures (6)

A

Distance hiérarchique : la perception des rapports de pouvoir

Réduction de l’incertitude : le rapport à l’incertitude

Masculinité/féminité : la perception des rôles masculins et féminins

Individualisme vs collectivisme

Orientation à long terme/court terme

Indulgence vs contrainte (importance accordé à mener une vie heureuse)

110
Q

Sous-culture définition

A

Une sous-culture est un groupe dont les membres partagent des croyances et vivent des expériences communes qui les distinguent des autres.

111
Q

Micro-culture

A

Une micro-culture rassemble des personnes qui s’y associent librement pour partager un style de vie ou une préférence esthétique.

112
Q

types de règles implicites (3)

A

Coutumes = normes qui régissent les comportements de base;
Les femmes s’occupent des enfants; les hommes travaillent.

Mœurs = coutumes à forte connotation morale qui impliquent souvent des tabous; la violation des tabous entraîne une sanction sévère.
Inceste, mariage entre cousins, polygamie, manger du chien, etc.

Conventions = règles qui dictent les comportements de la vie quotidienne, elles sont liées aux subtilités des comportements de consommation
Pas de gomme à mâcher au Singapour, tenue à porter lors d’un mariage, comment décorer son intérieur, etc.

113
Q

Récits (ou mythes) définition

A

Histoires comportant des éléments symboliques représentant des émotions/idéaux partagés au sein d’une culture.

114
Q

rituels définition

A

Ensemble de comportements à caractère symbolique qui se déroule dans un ordre préétabli et qui est répété périodiquement.
(Pause-café, initiations, routine du soir, le brossage des dents, se préparer pour une soirée, la Saint-Jean, le défilé du père Noël…)

Lien étroit avec des marques fétiches.

115
Q

sélection culturelle définition

A

Le processus par lequel des alternatives sont sélectionnées parmi d’autres.

116
Q

Rôle des systèmes de production culturelle, 3 sous-systèmes principaux

A

Sous-système créatif
(La personne qui crée)

Sous-système managérial
(La personne qui est responsable de la commercialisation)

Sous-système des communications
(La personne qui le communique)

117
Q

Le but des «cultural gatekeepers »

A

Filtrer le débordement d’informations et de matériels destinés aux consommateurs et influencer les produits qui sont offerts aux consommateurs.

118
Q

Diffusion à l’échelle mondiale et leur 2 approches

A

Peser le besoin «de s’adapter» à une culture locale versus les bénéfices de présenter une campagne marketing globalequi ne change pas le marketing-mix adopté entre les différentes cultures.

Approche étique = stratégie commune afin d’économiser du temps et de l’argent; s’intéresse aux caractéristiques communes à plusieurs cultures.

Approche émique = insiste sur le caractère individuel de chaque culture; subjective et fondée sur l’expérience; emphase sur les caractéristiques d’une culture.

Est-ce que les valeurs, les normes, les récits et les rituels sont similaires ?
Si oui: étique est un bon choix
Si non: émique est un choix plus prudent

119
Q

Diffusion des innovations définition

A

Fait référence au processus par lequel un nouveau produit, service ou idée se répand dans la population.

120
Q

innovation définition

A

produit ou service que les consommateurs et consommatrices perçoivent comme nouveau.

121
Q

étapes d’adoption d’une innovation (5)

A

Prise de conscience
Recherche d’informations
Évaluation
Essai
Adoption

122
Q

Rythme d’adoption d’une innovation selon les individus

A

Innovateurs

Adopteurs précoces

Majorité précoce & tardive

Retardataires

123
Q

3 types d’innovation

A

L’innovation continue:
Modification d’un produit existant
Changement mineur dans la vie du consommateur
Évolution versus révolution

L’innovation continue dynamique :
Changement significatif apporté à un produit existant
Exige une modification des habitudes de consommation.

L’innovation discontinue:
Entraîne des changements majeurs dans le mode de vie du consommateur

124
Q

Conditions d’adoption des innovations (5)

A

Compatibilité

Possibilité d’essai

Faible niveau de complexité

Possibilité d’observation

Avantage relatif