examen 2 Flashcards

1
Q

quelles peuvent être les causes d’une lésion cérébrale

A

problèmes circulatoires, anoxie (manque air), infection (méningites)

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2
Q

Selon vous, est-il possible d’avoir un TCC avec un casque?

A

Il est très possible d’avoir un TCC avec un casque étant donné que la plupart des TCC surviennent lorsqu’il y a accélération et décélération soudaine de la tête, le casque n’aidant en rien et est même nuisible dans ce cas-ci (plus de poids sur la tête et le mouvement est plus difficile à arrêter).

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3
Q

Nommez les 3 principales causes de TCC

A

Chutes (surtout chez personnes âgées; les chutes incluant aussi le sport), accident de voiture ou de véhicules à moteur, frapper ou être frappé (Struck by, against).

Dans les pays industrialisés, les causes fréquentes incluent:
•Accidents reliés à des véhicules à moteur (↑ jeunes)
•Chutes (↑ personnes âgées)
•Accidents occupationnels (police, ambulancier, bucherons,etc.)
•Accidents récréatifs
•Jusqu’à 20% des participants dans des sports de contact par saison, selon les études.
Actes de violence et assauts (ironiquement, les très jeunes enfants sont un groupe fréquemment victime d’assaut avec TCC: le syndrome du bébé secoué)

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4
Q

Vrai ou faux : a-t-on seulement besoin d’être frappé à la tête pour avoir un TCC.

A

Faux, il est possible d’être frappé au cou, au visage et l’énergie créée par le coup entrainera quand même une lésion.

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5
Q

Vrai ou faux : les TCC ne peuvent survenir qu’avec une fracture du crâne ?

A

FAux, les TCC peuveut aussi survenir avec une accélération de la tête suivie d’une décélération soudaine. le cerveau va alors cogner contre les parois crânienne (malgré le liquide visant à amortir de genre de mouvement) et ainsi créer des lésions. C’est pourquoi un casque qui ajoute encore plus de poids et donc de vitesse à l,accélération n’est donc pas un gage de protection contre les TCC.

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6
Q

Comment mesure-t-on l’ampleur d’un TCC (léger, moyen, sévère) ?

A

On le mesure à l’aide de l’échelle de Glasgow. Elle est généralement admnistrée 30 min après l’incident. Il est inutile de le faire le lendemain, les principaux symptômes ayant disparu.

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7
Q

Expliquez le fonctionnement de cette échelle.

A

En fait, le score varie entre 3 et 15. Le médecin va faire des observations comportementales telles que :

Ouverture et orientation des yeux
la réaction verbale
la réaction motrice.

Tout dépendant de la présence des ces manifestations, l’individu obtiendra un score plus ou moins élevé. Pour un TCC léger, le score varie entre 13 et 15. Pour un moyen, 9 et 12 et le sévère 8 et moins.

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8
Q

Que retenez-vous du fait que le score à L’échelle de Glasgow peut être de 15, mais quand même souffrir d’un TCC léger ?

A

Un TCC léger peut donc survenir sans nécessairement perdre conscience ou souffrir d’altérations mentales

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9
Q

V ou F ? Pour dire que l’on a subit un TCC, il doit y avoir absoluement une perte de conscience ?

A

Faux, la perte de conscience ne fait même pas des critères pour dire qu’il s’agit d’un TCC. L’amnésie des événements ainsi que la confusion sont les marqueurs à observer.

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10
Q

Vrai ou faux : à long terme, les TCC peuvent avoir des effets chroniques et constituer un facteur de risque pour certaines problématiques. Les TCC légers sont fréquents, rarement associés à des complications médicales sévères ou des décès, mais peuvent avoir des effets chroniques et constituer un facteur de vulnérabilité à long terme.

A

Vrai, Les TCC légers sont fréquents, rarement associés à des complications médicales sévères ou des décès, mais peuvent avoir des effets assez graves à long terme comme le prouve la dementia Pugilistica, une démence se développant chez les individus ayant souvent de TCC légers à répétition.

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11
Q

Sur le total de TCC survenant, quelle proportion représentent les TCC léger ?

A

75 à 95%

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12
Q

Au niveau du sexe, les hommes sont-ils plus victimes de TCC ? Si oui, pour quelles raisons ?

A

Oui, les hommes sont plus souvent atteints, le ration étant de 2 pour 1. Ce ratio tend toutefois à se réduire de plus en plus, les femmes pratiquant maintenant des activités à risuqe comme les sports de contact. D’ailleurs, les hommes souffrent plus de TCC principalement parce qu’ils pratiquent plus d’activités à risque comme les sports de contact.

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13
Q

Quel est le lien que le TCC entretietn avec la criminalité ?

A

En fait, les TCC rendent plus à risque de commettre des actes criminels puisqu’il affecte parfois l’inhibition, rend agressif, etc. La criminalité rend plus à risque de TCC (e.g. bagarre). C’est pour cette raison que 87% des détenus ont un historique de TCC.

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14
Q

Quelle est la tranche d’âge la plus reprensenté dans les victimes de TCC ?

A

15-34 ans.

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15
Q

Quels types de personne sont particulièrement vulnérables aux TCC ?

A

D’une part, les personne âgées pour le risque de chute, mais les très jeunes enfant. N’aaynt pas bcp de musculature au niveau du coup, les mouvements de la tête sont particulièrement difficile à arrêter. Donc, le cerveau cogne plus durement contre les parois et les lésions peuvent être très graves.

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16
Q

À court terme, quelles sont les conséquences d’une accumulation de TCC ?

A
  • Alcoolisme
  • Épilepsie
  • Mort
  • Augmentation du risque de refaire un TCC léger;
  • Augmentation marquée du risque de complications importantes si un second TCC survient alors que le premier était encore symptomatique (second impact syndrome)
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17
Q

À long terme, quels sont les risques d’avoir eu de multiples TCC ?

A
  • Dépression

* Alzheimer

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18
Q

Comment expliqueriez-vous les lésions causées par un TCC léger ?

A

Il s’agit notamment de bris d’axones (sensibles à la torsion) et de cellules gliales (des cellules spécialisées qui servent notamment d’échafaudage pour les neurones). Si L’axone a subit des lésions mineures, elle pourra se régénérer.

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19
Q

Dans un TCC léger, les lésions sont souvent mineures et difficiles à détecter. Quelle problématique cela peut entrainer au niveau judiciaire ?

A

Difficile à justifier un comportement criminel si aucune lésion n’est apparente en imagerie médicale. Pourtant, dans les comportements délinquant mineur le TCC peut vrm avoir un rôle à jouer.

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20
Q

Précemment, il a été dit qu’un marqueur du TCC (même le léger) était le fait d’avoir une amésie des événements et parfois de ce qui l’entoure, soit une amnésie rétrograde ou antérograde. À partir de quelle période de temps, la perte de souvenir est-elle inquiétante et devrait nécessiter une consultation ?

A

Normalement, une amnésie de plus de 24h est inquiétante.

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21
Q

Quels sont les autres signes pouvant indiquer que l’individu a subit un TCC (manifestations aigues)

A
  • Expression confuse, regard vide ou fixation
  • Délais dans l’expression verbale ou dans l’exécution de consignes
  • Inattention et distractibilité
  • Désorientation
  • Langage altéré ou incohérent
  • Problèmes de coordination, p. ex. dans la marche
  • Réponse émotionnelle non proportionnelle à l’évènement
  • Problèmes de mémoire
  • Perte de conscience
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22
Q

Géréralement, en combien de temps un individu va récupérer d’un TCC ?

A

Quelques semaines à quelques mois.

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23
Q

Quel s ce protocole de récupération ?

A

L’individu sera en repos complet. Certes, cela inclut de ne pas faire de sport, mais aussi aucune activité demandant de la concentration.

Avant de revenir au jeux dans un sport, l’individu doit avoir vécu une semaine sans symptômes : léthargie, fatigabilité, maux de têtes. Si ces symptômes reviennent, il faut attendre encore un 24h.

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24
Q

Quels sont les problèmes cogntifs expérimentés par les individus, symptômes qui, normalemnet disparaitront en quelques jours ?

A

Augmentation du temps de réaction
•Ralentissement du traitement de l’information
•Problèmes de mémoire

Ils disparaissent habituellement en 7 à 10 jours. Parfois, l’individu n’en a même pas conscience et veut revenir au jeu, mais dans 26% des cas les atteintes cognitives sont parfaitement démontrable.

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25
Q

De quel problème cognitif les gens se plaignent habituellement le plus ?

A

Les plaintes attentionnelles sont souvent mentionnés. Par contre, c’est surtout cette capacité qui récupère le mieux.

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26
Q

Comparez la récupération d’un jeune ayant fait un TCC à un personne âgé.

A

les jeunes récupèrent mieux et plus rapidement. Chez les personnes âgées, la récupération est plus lente ( à 2 ans) et atteint souvent un maximum et sera plus limitée.

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27
Q

Décrivez-moi la dementia pugilistica (symptômes, quelle population, etc.)

A

Cette démence (maladie neurodégénérative) survient chez les individus qui ont été fréquemment exposé à des TCC. La répétition amène la notion de chronicité mentionnée plus tôt. Elle survient, chez les boxeurs, 10 à 20 ans après la fin de la carrière professionnelle et cause la mort de l’individu 10 à 20 après le début des symptômes.

les symptômes sont justement : changement au niveau de la personnalité (Atteinte frontale), jalousie;paranoia, irritabilité; agressivité, parkinsonisme.

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28
Q

qu’est-ce que le parkinsonisme

A

•Tremblements, rigidité des mouvements, instabilité posturale et hypokinésie (diminution des mouvements volontaires). Ces manifestations sont très similaires à la maladie de Parkinson d’où le nom sans être la maladie (pas les mêmes causes)

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29
Q

quelles sont les interventions à privilégier pour les patients atteint de TCC légers ?
•Éducation sur le trouble pour l’individu et ses proches
•Favoriser le repos post-lésion (adhésion au traitement)
•Miser sur le développement d’habitudes de vie saines
•Prévention institutionnalisée (p. ex. en milieu scolaire, notamment dans les sports de contact: qui sait faire une évaluation? Quelle est la procédure en place?)
•Permettre le deuil
•Deuil de capacités?
•Deuil d’activités (p. ex. sports, loisirs)?
•Reconnaître les signes et la progression dans un deuil fonctionnel
•Encourager la mise en action et le retour à une routine « normale » (dans des activités à moindre risque!)

A

Éducation sur le trouble pour l’individu et ses proches.

Favoriser une bonne adhésion au traitement (repos)

miser sur le développement d’habitudes de vies saines (limiter les comportements dangereux et à risque, la pratique de sports moins à risque)

prévention institutionnalisée (école) : qui sait faire une évaluation, quelle est la procédure en place)

Permettre le deuil :
deuil de capacités
deuil d’activités
reconnaître les signes et la progression dans un deuil fonctionnel (pertes de capacités)
encourager la mise en action et le retour à une routine normale (individu va pouvoir réellement tester quelles sont ces pertes. (favorisera l’acceptation)

30
Q

Dans un TCC moyen ou sévère (MS), les lésions sont-elles plus diffuses ou pures (localisées)

A

sont souvent diffuses (donc plusieurs pertes différentes

31
Q

À quelle région du cerveau sont souvent associés les lésions d’un TCC ?

A

Lobre frontal et temporal (donc fronto-temporal)

32
Q

Quels changements comportementaux et cognitifs entrainent un lésion frontale ?

A

Désinhibition, changements au niveau de la personnalité, difficultés au plan du fonctionnement exécutif.

33
Q

V ou F ? Contrairement au TCC léger, la récupération post-accident est rarement complète et des séquelles permanentes sont probables.

A

Vrai (rupture des axones dût à la torsion, principalement)

34
Q

en évaluation, lorsqu’on dit de prendre en compte la pré-morbidité, qu’est-ce que cela signifie ?

A

prendre en compte le fonctionnement de l’individu antérieur à la lésion.

35
Q

Expliquez le défi d’évaluation de L,individu avant ses pertes cognitives ? Quels sont les indices pouvant faciliter la tâche ?

A

Aucune connaissance préalable de l’individu (n’a ajmais vrm été en suivi pour une quelconque problémaitque)

les indices peuvent être : profession, niveau d’études atteint, performance académique, antécédents légaux/financiers/relationnels.

36
Q

quels sont les deux types d’AVC ? Décrivez-les sommairement et mentionner la prévalence (%).

A

Il y a l’avc ischémique qui se produit par le blocage d’un vaisseau sanguin du cerveau. La région N,est plus perfusée correctement et s’asphyxie. Peut e^tre causé par une thrombose (arthérosclérore : accumulationd e gras ou une embolie (caillot sanguin issue d’une autre partie du corps).

L’autre tyoe est une AVC hémorragique et est causé par la rupture d’une artère (généralement). Il peut aussi s’agir de la rutpure d’un anévrisme (renflement d’un vaisseaux sanguin). Il s’agit de 20% des avc.

37
Q

au classement des causes de décès, en quelle position se retrouve l’avc ?

A

4e cause de décès

38
Q

V ou F : les manifestations vont varier en fonction du type D’AVC ?

A

Vrai

39
Q

quelles sont ces manifestations ?

A

Chute spontanée
•Perte de conscience
•Difficultés langagières
•Confusion
•Problèmes moteurs (notamment problèmes unilatéraux)
•Maux de tête sévères et soudains (notamment unilatéraux)

À des fins de réaction rapide, on peut aussi apprendre l’acronyme VITE

V : visage (est-il affaissé)
I : Incapacité (peut-il lever les bras normalement
T: trouble de la parole
E : extrême urgence

40
Q

V ou F ? : les manifestations ne sont pas différentes, peut importe la localisation du caillot ?

A

Faux, les manifestations varient en fonction de l’endroit ou se loge le caillot ou se déclare l’hémorragie

41
Q

Autres les manifestations comportementales mentionnées précédemment, quelles sont les symptômes susceptibles de se produire pendant et; ou après l’AVC.

A

Dysarthrie: troubles acquis de l’articulation et de la prononciation (non causé par un problème moteur, mais plutôt par un problème possiblement à la zone promotrice :initiation)

  • Hémianopsie: cécité d’un champ visuel (sans dommage aux yeux eux-mêmes)
  • Ataxie: problème de coordination des mouvements volontaires causée par un problème du système nerveux (typiquement, une lésion du cervelet
42
Q

Expliquez en quoi consiste l’héminégligence

A

Trouble consistant à l’ignorance, la difficultée à repérer, s’orienter vers ls stimulis dans la moitié de l’espace controlatérale à la lésion, soit le côté inverse de la lésion. Les capacités sensorielles ne sont pas limité par un dommage aux organes sensorielles, mais plutôt par un problème au niveau des zones de traitement. Il y a une ignorance totale de ce côté du corps. Toutefois, le contrôle moteur est maintenue. Il est important de savoir que ce problème existe aussi au niveau auditif.

43
Q

nommez et expliquez les 3 types d’apraxie (problèmes d’exécutions de comportemens volontaires, typiquement causé par une lésion au cervelet)

A
  • Apraxie idéatoire: le patient n’arrive pas à planifier et organiser une série de comportements dirigés vers un but, mais les composantes élémentaires des mouvements sont préservées
  • P. ex. beurrer le pain avant de le mettre dans le grille pain
  • Apraxie idéomotrice: le patient peut décrire verbalement l’action et peut typiquement (mais pas toujours) l’exécuter spontanément, mais n’arrive pas à le mimer sur demande.
  • P. ex. « faites semblant de vous brosser les dents »

•Apraxie de l’habillage: perte de la capacité à agencer, disposer et orienter les vêtements en relation avec le corps.
37

44
Q

Expliquez de façon détaillée l’agnosie et les sous-types la composant.

A

Par définition, l’agnosie est l’incapacité à identifier les stimuli en fonction d’une donnée sensorielle donnée, malgré que cette capacité soit intact. En guise de truc, l’aire gnosique (celle permettant de coordonner tous les stimuli en d’en faire une compréhension globale est atteinte)
•P. ex. incapacité à identifier un objet présenté visuellement, mais reconnaissance immédiate si on peut y toucher ou l’entendre (p. ex. un trousseau de clés).
•L’incapacité peut aussi être spécifique à l’objet

•Il existe la prosopagnosie, soit l’incapacité à reconnaître les visages ou tous les traits similaies aux visages humains (voitures, animaux), sans toutefois avoir de problème à identifier d,autres objets dans L’environnement. Il n’y a pas de problèmes de mémoire y étant associé. Ex. : reconnaît la voix de l’individu imméditement. L’analyse des données visuelels est donc problématique.

Il existe aussi l’anosognosie : L’incapacité à reconnaître son propre état mental (capacités séparé de la capacité à reconnaître ses capacités. S’estompe généralement en quelques jours à quelques semaines.

L’ensemble de ses troubles sont liés à la surspécialisation des aires cérébrales. En effet, le fait de ne pas reconnaître seulement les visages est très spécifique comme perte de capacité.

45
Q

Au niveau comportemental, quelle serait l’intervention à prioriser.

A

On doit aussi favoriser l,adhésion au traitement. Il y a parfois de la réadaptation physique (pour compenser les pertes motrices unilatérales et l’atrophie musculaire pouvant résulter, mais aussi un traitement médical (prise d’anticoagulant). Surtout le changement d’habitudes de vie sera important à des fins préventives. Malheureusement, la peur causée par L’AVC n’est une motivation durable pour des changements de cette ampleur. Elle est efficace, très efficace à court terme (comme un placebo), mais elle ne dure pas.

Plus il y a de lésions, plus les pertes sont importantes et moins il y a aura la compliance au traitement (perte de motivation, incapacité à retrouver un minimum de capacités pré-,orbide)

46
Q

Dressez un portrait des personnes à risque concernant le syndrome du bébé secoué (ceux qui sont à risques de secouer ou molester leur bébé)

A

FAible statut socio-économique, monoparentalité, parent adolescent, manque de réseau social.

47
Q

Vou F : le syndrome du bébé secoué et les conséquecnes cognitives et oculaires s’obtiennent seulement en secouant l’enfant.

A

Faux, le fait de le frapper, le lancer peuvent aussi occasionner ces lésions (le nom de ce trouble est sujet à changement dans un futur proche.)

48
Q

quelle est la proportion d’enfant qui en décèdent et d’efnants qui ont des atteintes permanentes.

A

10% en meurent et 50% ont des lésions permanentes (séquelles neurologiques ou occulaires (décollement de la rétine)

49
Q

quelle est la période à risque pour l’enfant ? Cette période étant d’ailleurs relié aux facteurs étant la cause d’une perte de contrôle des parents.

A

1 à 8 mois ( là ou l’enfant pleur le plus souvent). En effet, les parents vont parfois molester L,efnant ans un tentative désespérée de trouver une solution aux pleurs qui durent depuis des heures.

50
Q

Il existe principalement deux axes d’interventions. Nommez et expliquez-les.

A

Il existe la prévention spécifique celle addressée au parents plus à risques : adolescents, toxicomanes, monoparentales, faibles revenus. Il s’agira d e développer des tratégies de gestion de la colère, de gestion des pleurs. On informera aussi sur les conséquences du troubles et de favoriser le désengagement plutôt que de molester l’enfant. On visera aussi développer un réseau social plutôt que d’être isolé (il leur faut des moments ed pausses pour diminuer la tension et ainsi limiter le risque de perdre patience.

Les campagnes grands public s’adresse aux parents ne présentant par nécessairement des facteurs de risques et se fait typiquement à l’hôpital. Par manque de temps e de ressources, elles sont souvent escamotés. On vise à savoir si les parents connaissent des stratégies pour gérer les pleurs. De plus, il est possible que simles parents choississent une maison de naissance ou une sage-femme assistant l’accouchement à la maison, qu’ils ne reçoivent pas cette «formation» rapide, mais très importante.

51
Q

Dressez le portrait du parent le plus à risque de molester l,enfant .

A

Généralement un homme qui fait subir des sévisses à sa conjointe, qui est impulsif, colérique.

52
Q

À quel moment de la journée, le risque est élevé de perdre patience et de secouer, frapper l’enfant.

A

La nuit principalement là ou les pensées peuvent être confuses à cause de la fatigue.

53
Q

Pourquoi est-il difficile de détercter ce syndrome.

A

En fait, les symptômes post-lésion sont extrêmement non spécifique, c’est-à-dire qu’ils peuvent être soit relié au comportemnt normal de l’enfant ou à d’autres problématiques. De plus, puisque les l.siosn sont neurologiques et donc internes, il n’y a souventprésence de contusions physiques apparentes.

54
Q

quels sotn les symptômes reliés au syndrome ?

A

vomissement (souvent, l’enfant régurgitent en bas âge à cause d’un trop plein de nourriture. Une quantité importante de vomissures peut être inquiétant. Peut aussi être relié à la gastro) Irritabilité (sensibilité lumière sont : se manifeste souvent sous formes de pleurs. Pas inquiétant l’enfant pleurant bcp à cet âge), léthargie (sommeil : enfant pleurent bcp à cet âge alors pas vrm pris en compte), perte d’appétit (possible pour n,importe quel individu même sans conditions médicales particulières). Il y a aussi les convulsions (ce symptôme est inquiétant étant donné que les convulsions sont plutôt rare chez un enfant en bas âge.

bref, 30% des cas ne sot pas diagnostiqué lors d’un consultation médicales initiale

55
Q

quelle est l’intervention pour le personnel soignant après la détection du trouble (s’il y a lieu)

A

Signalement à la DPJ (le non signalement en tant que professionnel est considéré comme criminel, pas pour les individus communs.)

Évaluation des dommages encourus (difficile puisque le Bébé ne parle pas)

Création d’un dossier pour un suivi médical et scolaire.

Pour le parent et l’entourage :
évidemment, support psychosocial pour composer avec le cocktail d’émotions contradictoires (colère, mais certaine affection résiduelle pour le partenaire), culpabilités, remords, etc.

Judiciarisation de L’invenduf(processus long et complexe: prouver hors de de tout doute raisonnable, fardeaux d ela preuve, pas de lésiosn physiques apparentes lors de l’entrée en soin)

Suivi médical nécessaire: lésions à long terme

Bref, défi adaptatif majeur. Pour le parent et l’entourage (support nécessaire de celui-ci.)

56
Q

Selon le texte «le processsu d’adaptation des adultes présentant des séquelles d’un TCC», quelles sont les étapes par laquelle un individu va généralement passer.

A

Ces étapes sont similaires à celles du deuil : Choc, anxiété, déni, la rage intériorisée, l’hostilitée extériorisée, la reconnaissance et l’ajustement

57
Q

Dans une perspective plus positive, quelles sont les étapes décrite par Charmaz (1994;1995) par lesquelles l’Individu devrait passer ?

A

1) création d’une identité fictive 2) l’affrontement avec la maladie 3) la résolution des émotions 4)le renouvellemetn de soi et 5) la transcendance des pertes.

58
Q

À quel moment les sujets seront plus porté à transformer leur façon de penser intérieure par rapport au trouble ?

A

Lorsqu’il n’y a plus de gains possibles.

59
Q

quels sont les facteurs pouvant aussi influencer cette transformation intérieure ?

A

la nature et les caractéristiques de l’atteinte, le soutient des pairs ainsi que la comparaison sociale.

60
Q

Sans être lié à un processus précis, quelle est la principale stratégie à employer pour les individus ayant un TCC ou un événement de cette ampleur?

A

Stratégie de résolution de problèmes basée sur la perception et les émotions.

61
Q

En quoi cette stratégie pourrait mener à une meilleure adaptation au séquelles du troubles.

A

En fait, cette stratégie permettait principalement de ne aps faire de L’évitement ou avoir un espoir démesuré envers la guérison.

62
Q

pourquoi les informations mentionnées précédemment ne serait pas toujours applicable aux gens atteint d’un TCC

A

Lésion pas visibles physiquement et les capacités cognitives nécessaires à l’adaptation peuvent aussi avoir été altérée.

63
Q

Quelle est la séquelle qui peut grandement nuire à la réhabilitation ?

A

manque d’autocritique (auto-perception) : connaissance de ses propres actions et la possibilités d’en identifier les conséquences.

64
Q

Suite à l’analyse des données qualitatives de Dumont et al., quelles ont été les étapes adaptatives vécues par les victimes de TCC ?

A

connaissance de sa nouvelle identité, réalisation des pertes, la résolution des émotions, la vie avec de nouvelles limites, l’acceptation et la transcendance des pertes, la reprise des occupations . Il ne s’agit définitivement pas d’un processus adaptatif qui est linéaire (plusieurs aller et retour entre les phases)

65
Q

En quoi consiste la première étape, la connaissance de sa nouvelle identité ?

A

Réaliser les capacités résiduelles (lorsqu’il n’y a plus de gains thérapeutiques possibles), réaliser les changements au niveau comportemental (moins ordonnés, plus fatigué, prompt, etc.)

66
Q

quelles sont les deux stratégies ayant facilité cette étape ?

A

connaître les événements entourant la lésion (car les gens atteints de TCC souffrent d’une amnésie des événements). Se faire explique ce qui s’est produit, rencontrer des témoins, des journalistes, etc.

L’autre stratégie est en lien avec les services psychosociaux (ergothérapie, psychologie) qui ot permis de contribuer à la connaissance de la nouvelle identité. Un retour adapté au travail (service d’ergothérapie) ou avec supervision a été jugé très utile. Selon un sujet, les explications ne servent à rien tant qu’on ne se met pas en action et qu’on les réalise pas soi-même. il faut prendre une activité habituelle à laquelle on connaît le rendement.

Ce contact avec la réalité pouvait être difficile pour le sujet. Important d’être encadré et d’avoir un suivi.

67
Q

Qu’est-ce qui se passe dans la phase de la réalisation des pertes.

A

En connaissant sa nouvelle identité, l’individu à alors une meilleur idée des pertes subies.

Ces pertes faisaient alors en sorte que l’individu pouvait ne pas réintégrer son travail ou pratiquer un loisir. La perte du travail a ce qui a été vécue le plus péniblement. Les pertes pouvaient aussi être au plan situationnel (divorce, pertes de la garde des enfants). Il s’agissait alors de chocs très puissants. Il arrivait aussi que plusieurs individus de l’entourage ait été affectée (accident) et cela amplifiait le choc.

Fait important : le manque de soutient thérapeutique et le cheminement par essais et erreurs limite le processus d’adaptation. à

La solidité du couple ainsi qu’un rapprochement de la famille peuvent grandement aider à passer cette étape pénible.

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Faites une description de la troisième étape : la résolution des émotions

A

Consiste généralement au retour à un état émotif stable après parfois vécu une dépression. Le fait d’avoir été agressée, viticme d’un accident causée par u chauffard ivre ajoutait une émotion de rage, de peurs, ne facilitait pas le retour à des émotions plus stables. Il faut alors favoriser le pardon, pour mettre ses énergies sur sa réadaptation et non des éléments incontrôlables.

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Q

la quatrième étape : la vie avec de nouvelles limites

A

Consiste à vivre avec les séquelles et à chercher des moyens de compensation. il s’agissait d’un des plus importants défi.

Ces moyens était une gestion stricte de L,alternance travail-repos (doser les activités, gestion du sommeil. Pour les problèmes de mémoire les aides mémoire, la planification minutieuse était utile.

Pour le travail, le travail à tmeps partiel, respect de spauses, diminution des activités étaient parfois, réparttition des tâches plus faciles et plus difficiles étaint les principales méthodes permettant de garder un emploi.

À la maison, une modification des habitudes de vie était nécessaire : moins de conso. d’alcool, meilleure alimentation, arrêt tu tabagisme. Ils en venaient aussi à éviter les endroits achaladés, bruyant. Certains consultaient plus souvent leurs proches pour des décisions, une supervision de ceux-ci.

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Cinquième étape : l’acceptation et la transcendance des pertes.

A

les idnividus ont pris conscience de leur identité, réaliser les pertes, cheminé dans la résolution de leurs émotions et ils ont trouvé des moyens de compensation adéquat.

C’est cette étape qui était considéré comme le plus grand obstacle : l,acceptation

Les stratégie le permettant ont été : changemetn du système de valeur, des normes internes comme, par exemple, reléguer la productivité à quelque chose de secondaire, apprécier les moments simples comme le temps en famille, les promenades.Encore une fois, le soutient de Lentourage est important

ne pas accepter la situation peut être nuisible à la reprise des occupations, la sixième étape.

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décrivez la sixième étape : la reprise des occupations

A

Surtout au niveau du travail. évidemment, on ne préconise pas le retour à des activités à risques. Certains se sont impliqués dans le bénévolat, ceci les valorisant. Certains on t développé de nouveaux intérêts : arts, jardinage, etc. Certaines activités comme le travail manuel, la chasse ont redonné un sentiment de confiance en soi.