Examen 2 complet S:) Flashcards
quel est le terme qui signifie “être en mesure d’évaluer la situation correctement”
le jugement
ton patient consomme 4g de cocaïne par jour et ne prend plus sa médication car il se dit guéri et ne voit pas l’utilité de cette médication. Qu’est-ce qu’il n’a pas au niveau du fonctionnement mental repère cognitif
il ne fait pas preuve d’autocritique
ton patient te mentionne qu’il ne sait pas s’il poursuivra son tx puisqu’il ne voit pas la lumière au bout du tunnel. Il ajoute qu’il ne sera pas là pour voir grandir ses enfants. Quels sont les éléments que tu vas évaluer
évaluer le risque suicidaire
quelles sont les conditions qui restreignent le droit à la confidentialité
- moins de 14 ans
- client inapte ou décédé
- un acte de violence ou un suicide pourrait être évité par la divulgation de renseignements au dossier
- ordre du tribunal
quelles sont les exceptions au droit au consentement et au refus des soins
- la vie de la personne est en danger et elle ne peut donner son consentement
- soins d’urgence ou soins d’hygiène pour un client inapte
- mesure de contrôle dans un contexte d’intervention non planifié (code blanc)
quelles sont les conditions qui rendent le consentement valide
- mentalement et physiquement apte à prendre une décision
- être âgée de plus de 14 ans
- donné de façon volontaire sans aucune incitation utilisée
- doit bien comprendre les procédures, les risques et les bienfaits du traitements auquel elle consent
- selon le code de déonto: l’inf doit fournir toute l’information nécessaire pour comprendre les soins.
quelles sont les questions permettant d’évaluer l’aptitude à consentir
- comprend-elle la nature de la maladie
- comprend-elle la nature et le but du traitement
- comprend-elle les risques r/a traitement
- les risques si elle refuse le tx
- sa maladie affecte-elle sa capacité à consentir
qu’est-ce que la loi P-38
la loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elle-même ou pour autrui
- la dangerosité est le seul critère d’application de la loi. La personne peut être en psychose, mais ne représenter aucun danger imminent, donc on peut rien faire.
- ce qui est problématique, c’est qu’elle ne définie pas ce qui est dangereux et ce qui ne l’est pas. Tout repose sur le jugement de l’intervenant
- permet de garder une personne dans un établissement contre sa volonté et permet d’amener un client contre son gré dans un établissement de santé
- on garde la personne à l’hôpital, mais on ne peut l’obliger à recevoir des traitements à moins d’avoir une ordonnance de traitement de la cours.
quels sont les trois types de garde
- garde préventive
- garde provisoire
- garde en établissement
qu’est-ce que la garde préventive
- peut être imposer par tout médecin qui juge que l’état mental de la personne représente un danger grave et immédiat pour elle ou pour autrui
- pas besoin de consentement, de l’autorisation du tribunal ni d’examen psychiatrique
- 72h max, si on veut le garder plus longtemps, le médecin doit obtenir une autorisation de garde provisoire pour le soumettre à un examen psychiatrique, et ce avant l’expiration du délai (la fds et jour férié ne comptent pas dans le 72h)
- on ne peut obliger le client à subir un examen psychiatrique sauf si on obtient son consentement
qu’est-ce que la garde provisoire
Elle est demandé au tribunal par une personne intéressée ou par un médecin suite à la garde préventive malgré l’absence de consentement.
- si le juge accepte: garde pour une durée maximum de 96h
- doit subir une évaluation psychiatrique, deux examens par 2 psychiatres dans un délai maximum de 24h de l’ordonnance pour le premier, puis le 2e doit être fait 24h max après le 1er
- intervention de la police si le patient est à la maison
qu’est-ce que la garde en établissement/garde autorisée
La garde en établissement est autorisée par le juge suite à l’évaluation psychiatrique faite lors de la garde provisoire (2 évaluations différentes qui confirment la dangerosité du client à l’égard du client ou d’autrui).
Peu importe la durée fixée par le tribunal, le client doit être réévalué au moyen d’un examen psychiatrique au 21e jour et par la suite tous les 3 mois pour renouveler la garde
*pas obligé de consentir aux soins
*ordonnée en cas de dangerosité où la garde est nécessaire
qu’est-ce qu’une ordonnance de sauvegarde
Une ordonnance prononcée par un juge pour protéger les intérêts des parties (patient et hôpital) qui nous permet de garder et soigner le patient contre son gré
Cette ordonnance concerne les extrêmes urgences seulement, car on ne peut attendre l’ordonnance d’autorisation de soins (OAS) car la vie du patient est en danger imminent: obligation de le traiter STAT et de le soigner contre son gré
ex: ativan lors de catatonie, hyperalimentation pour anorexie en fin de vie
quels sont les droits du client mis sous garde
- il a le droit d’être informé du lieu où il est gardé
- du motif de la garde
- de son droit de communiquer avec ses proches ou un avocat
- la demande d’évaluation psychiatrique ou de garde doit être signifié au moins 2 jours avant de présenter le cas au tribunal
- toute communication est permis en toute confidentialité entre le patient et la personne de son choix, mais le médecin peut lui interdire ou restreindre certaines communications (téléphone, ordi, réseaux sociaux) mais cela est temporaire et doit être formulé par écrit, motivée et remise à la personne sous garde et mise à son dossier
*cela ne s’applique pas pour la communication avec un représentant juridique - le patient a droit de contester la garde et peut se déplacer au palais de justice
comment définir la dangerosité
- faits, explications, motifs rapportés par des tiers (police, famille)
- les observations du médecin: délires, hallucinations, manie
Mme Rioux est en garde préventive. Est-elle obligé de se soumettre à une évaluation psychiatrique
non, pour obliger une évaluation psychiatrique, une demande doit être fait au tribunal afin d’établir une garde provisoire.
combien de temps maximum peut durer la garde préventive?
72h maximum, à moins que le délais expire la fds ou lors d’un jour férié
madame Rioux a été mise en garde préventive jeudi à 18h. Quand se terminera cette garde
la garde se terminerait le lundi, car aucune garde n’est levé la fds et les jours fériés
dans quel cas une personne sous garde provisoire n’aura besoin que d’une seule évaluation psychiatrique?
Si la première évaluation conclut que la garde n’est plus nécessaire, elle prend fin automatiquement
vrai ou faux: seul un psychiatre peut faire une demande de garde provisoire
faux, elle peut être faite par la famille, un ami ou par un intervenant, ainsi qu’un médecin suite à la garde préventive
vrai ou faux: une personne en garde en établissement ne peut refuser le traitement prescrit par le psychiatre
faux, il a le droit de refuser à moins que le juge aie ordonné une ordonnance de traitement.
vrai ou faux: une évaluation psychiatrique est nécessaire pour mettre une personne en garde préventive
faux. L’évaluation psychiatrique est ordonnée lorsqu’une garde provisoire est ordonnée par un juge.
vrai ou faux: un patient peut être admis en garde provisoire sans avoir été en garde préventive
vrai, la personne peut être amené à l’hopital par un policier suite à la demande faite par un proche ou un intervenant
vrai ou faux: dès que la garde est levée, le patient obtient automatique son congé de l’hopital
faux, le patient a le choix de rester ou non
vrai ou faux: une personne en garde en établissement peut avoir des sorties temporaires prescrites par le psychiatre pour aller fumer
faux, le psychiatre doit tout d’abord lever la garde
vrai ou faux: la garde préventive a été demandée par l’urgentologue à 15h samedi. Comme il n’y a pas de psychiatre la fin de semaine, la garde débutera le lundi et se poursuivra jusqu’à jeudi 15h
faux, la présence d’un psychiatre n’est pas obligatoire car aucune évaluation psychiatrique est nécessaire lors de la garde préventive.
Madame Bélanger est en manie sévère et elle appelle sa soeur à toutes les heures. Le médecin a décidé de restreindre les appels téléphoniques à 3 par jour. Est-ce légal?
Non c’est pas légal. L’interdiction doit toutefois être temporaire et doit être formulée par écrit, motivée, et remise à la personne et mise au dossier.
Mme Bélanger réclame le téléphone pour parler à son avocat. Elle a déjà utilisé ses trois appels, que faire?
lui permettre de téléphoner à son représentant car ces appels ne peuvent être restreintes, c’est son droit.
vrai ou faux: vous pouvez écouter la conversation téléphonique de votre patiente pour l’évaluer
faux, elle a droit à la confidentialité
quels sont les 3 types de régime de protection
- conseiller au majeur: vise les personnes généralement apte, est possiblement temporaire, et concerne seulement la gestion des biens, sans implication du curateur public. Ex: besoin d’aide dans la gestion des transactions complexes
- tutelle au majeur: vise les personnes partiellement inapte, possiblement temporaire, concerne la personne ou ses biens, géré par un représentant légal, implication du curateur public. Ex: hospitalisation et ne peut s’occuper de ses biens
- curatelle au majeur: vise les personnes totalement inaptes, est permanente, concerne la personne ou ses biens, la personne nommé est un représentant légal et implication du curateur public. Ex: incapable de prendre soins d’elle et de gérer ses biens.
lequel est faux parmi ces éléments:
a) l’inaptitude d’une personne et son besoin de protection doivent obligatoirement être démontrés par des preuves médicales et psychosociales
b) le majeur concerné peut contester la demande de protection même s’il est en état de psychose
c) aucun frais n’est relié è une demande de régime de protection
C
une personne est hospitalisée en psychiatrie et n’est plus en mesure de s’occuper de ses affaires pour un certains temps. Son inaptitude est partielle et temporaire. Quel régime de protection sera le plus approprié?
la tutelle au majeur
La personne a droit à la confidentialité de son dossier, sauf si:
- Clients de moins de 14 ans
- Client inapte ou décédé (le tuteur, curateur, mandataire, héritier a droit d’accès au dossier du client dans la mesure ou les informations lui sont nécessaires pour prendre des décisions.
- Un acte de violence y compris un suicide pourrait être évité par la divulgation d’un ou plusieurs renseignements contenu dans le dossier.
- Ordre du tribunal (demande du commissaire aux plaintes de l’hôpital par exemple)
Le droit au consentement et au refus des soins:
Le droit à l’intégrité est un droit fondamental reconnu par la Charte des droits et libertés de la personne (art. 1)
et le code civil du QC( art. 10.)
« Nul ne peut être soumis sans son consentement à des soins, quelle qu’en soit la nature, qu’il s’agisse d’examens, de prélèvements, , de traitement ou de toute autre intervention.
Exceptions:
- La vie de la personne est en danger ou son intégrité est menacée et qu’elle ne peut donner son consentement.
- Soins d’urgence ou de soins d’hygiène pour un client inapte, Mesure de contrôle dans un contexte d’intervention non planifiée (code blanc)
Validité du consentement
- La personne doit être mentalement et physiquement apte a prendre une décision au sujet du traitement et etre âgée de plus de 14 ans.
- Le consentement doit être donné de façon volontaire et aucune mesure incitative ne doit êtré utilisée pour son obtention
- La personne doit très bien comprendre les procédures, les risques et les bienfaits du traitement auquel elle consent.
- Selon le code déontologie (art. 40), l’infirmière a l’obligation de lui fournir toute l’information nécessaire.
L’évaluation de l’aptitude se fait sur la base des réponses aux 5 questions suivantes (p. 142)
- La personne comprend-elle la nature de la maladie pour laquelle un traitement lui est proposé?
- La personne comprend-elle la nature et le but du traitement?
- Un patient apte: peut refuser n’importe quels soins, peut importe les conséquences, y compris la mort. Sa volonté prime toujours (si saine d’esprit).
- Un patient inapte: Dans la mesure du possible respecter sa volonté ou du moins la prendre en considération. Représenté par: mandataire, tuteur, curateur, conjoint, ou personne qui présente un intérêt pour la personne.
- Le principe de base demeure la prise de décision dans son meilleur intérêt.
- La personne comprend-elle les risques associés au traitement?
- La personne comprend-elle les risques si elle ne reçoit pas les traitements?
- La maladie de la personne affecte-elle sa capacité à consentir?
Les différents types de gardes permettent ?
- De garder une personne dans un établissement contre sa volonté.
- Suite à la demande d’un intervenant de centre de crise, d’un parent ou d’un proche, les policiers peuvent amener un client contre son gré dans un établissement de santé.
- Ce sont des mesures d’exception.
- On garde la personne à l’hôpital, mais on ne peut l’obliger à recevoir des traitements.
- ORDONNANCE DE TRAITEMENT/ordonnance autorisation de soins (OAS)= obligation de traiter.
3 types de garde:
1. GARDE PRÉVENTIVE
2. GARDE PROVISOIRE
3. GARDE EN ÉTABLISSEMENT/GARDE AUTORISÉE
Ordonnance de sauvegarde: RARE
- Ordonnance prononcée par un juge dans le but de protéger les intérêts des parties (le patient et l’hôpital) pour une période qu’il détermine ou jusqu’au jugement (les différentes gardes, notamment par une recherche d’un équilibre entre les droits et les obligations de chacune d’elles.
- C’est une urgence extrême, on ne peut attendre l’OAS (relies au délais juridiques) car la vie du patient est en danger:
obligation de le traiter STAT et de le soigner contre son gré.
- Ex: administrer ativan lors de catatonie, hyperalimentation pour anorexie en fin de vie….
Droit du client mis sous garde ?
Obliger de lui informer du lieux ou elle est gardée, ta
motif de sa garde et de son droit de communiquer immédiatement avec ses proches ou un avocat. ses prot le droit de communiquer immédiatement avec La demande d’évaluation psychiatrique ou de garde doit être signifiée au moins 2 jours avant la présentation au tribunal. Le client recevra un document par un huissier.
Exceptionnellement, le juge peut dispenser le requérant de signifier la demande à danger pour lui ou pour les autres la personne concerné.
Toute communication est permise, en toute confidentialité, entre la personne sous garde et les personnes de son choix, à moins que le médecin traitant ne décide, dans l’intérêt de la personne sous garde, de lui interdire ou de restreindre certaines communications (téléphone, ordi, réseaux sociaux).
L’interdiction ou la restriction de communication ne peut être que temporaire.
Elle doit être formulée par écrit, motivée, remise à la personne sous garde et versée à son dossier.
Aucune restriction ne peut toutefois être imposée aux communications entre représentant, la personne habilitée à consentir aux soins requis par son état de santé, un avocat, le curateur public ou le Tribunal administratif du Québec.
Médecin à le droit de restreindre la communication.
Rapport du protecteur du citoyen (mauvaise utilisation de la lol) parfois forcés de demeurer dans un établissement de santé contre leur volonté, dispositions de la Loi prévoyant la garde préventive soient formellement appliquées. EX:
- En consultant les dossiers de ces usagers, le Protecteur du citoyen a noté particulièrement dans les salles des urgences hospitalières des mentions telles que «ne peut quitter» ou «ne peut quitter sans avoir vu un personne avait préalablement manifesté son refus de recevoir tout soin et son désir de quitter l’établissement sans pourtant que le processus de mise sous garde ne soit initié.
- Dans certains cas, des usagers ignorent qu’ils sont mis sous garde jusqu’à ce
qu’lls manifestent le désir de sortir temporairement de l’établissement (pour fumer, par exemple).
On ne doit pas confondre dangerosité et dérangement…
- Le protecteur du citoyen relate plusieurs cas de patients ayant vu leur liberté brimée pour les punir de ne pas avoir respecté une règle de l’unité de soins sans que leur dangerosité ne soit en cause.
- Par exemple:
- «N’arrive pas à l’heure»;
- «N’a pas fait son lit»;
- «Parle trop fort»
Pour définir la dangerosité:
-Faits, explications, motifs rapportés par des
tiers (police, famille)
- Les observations du médecin: délires, hallucinations, manie…
Le patient a le droit de contester la garde et peut se déplacer au palais de justice (visioconférence pendant la COVID ou incapacité de se déplacer).
L’établissement doit l’accompagner dans ce sens.
Il a aussi le droit d’être représenté par un avocat.
Mandat de protection/inaptitude: bon pour vous
C’est un document qui vous permet de désigner, à l’avance, une ou plusieurs personnes pour veiller à votre bien-être et pour administrer vos biens au cas où vous devenez incapable de le faire vous-même.
mandataire à la personne:
prendre les décisions relatives à l’hébergement de la personne inapte;
- s’assurer que ses besoins sont comblés (vêtements, produits d’hygiène personnelle, cigarettes, etc.);
voir à ce qu’elle puisse bénéficier de sorties et de loisirs;
consentir pour elle à des soins de santé (dans les limites de la loi, car la personne inapte conserve une certaine autonomie en cette matière);
agir en justice au nom de la personne inapte pour les questions qui touchent sa personne.
- mandataire aux biens
administrer les revenus de la personne inapte (rente de retraite, rente d’invalidité, prestation d’assistance-sociale, etc.);
payer ses factures (hébergement, frais d’électricité, impôts, cartes de crédit, etc.); gérer ses actifs, c’est-à-dire effectuer des placements, rénover ou vendre un immeuble,
etc.,
récupérer en son nom toute somme qui lui est due;
agir en justice en son nom pour les questions relatives à ses biens.
Un mandat notarié ou mandat devant témoins;
Si notarié= légal.
Si devant témoins:
Doit être signé par vous et par deux témoins qui attestent que vous êtes sain d’esprit et consentant (Ces témoins ne doivent pas être visés par le contenu du mandat) et doit être homologué:
- Évaluation médicale et psychosociale de la personne
- S’assurer que le mandat a été signé par la personne concernée et qu’il n’a pas été annulé par elle.
- Obtenir une copie conforme du mandat (un notaire)
ou obtenir l’original et retracer au moins l’un des témoins (été signé devant deux témoins)
Deux régimes distincts inhérents à l’inaptitude des personnes accusées
Le patient est gardé en centres hospitaliers si état mental détermine que le patient est inapte à subir son procès.
Contexte socioéconomique et familial des gens à risque de suicide.
- Une personne sur trois ayant un revenu parmi les plus faibles au Québec présente un degré élevé de détresse psychologique.
- En comparaison, chez les personnes plus aisées, cette proportion est de une sur sept.
- Les milieux matériellement et socialement défavorisés sont associés à un taux accru de mortalité par suicide.
- Les enfants qui ont été exposés à des abus et à de la violence physique ou sexuelle sont plus vulnérables au suicide.
Liens entre autochtones et suicide ?
Peuples autochtones
Les Premières Nations, les Métis et les Inuits vivant sur les re-serves ou à l’extérieur de celles-ci affichent un taux de suicide plus élevé que celui observé chez les personnes non autochtones .
Par exemple, la petite population de 13 000 personnes au Nunavik affichait pour 2016-2018 un taux de suicide de 147,7 par 100000 personnes comparativement à 12,9 par 100 000 personnes pour l’ensemble du Québec.
Les taux élevés de suicide dans cette population seraient en partie liés aux traumatismes historiques et intergénérationnels (colonisation et marginalisation conti-nue).
Les inégalités sociales, politiques et économiques, ainsi que le racisme, la discrimination et l’abus d’alcool et de drogues constitueraient également des facteurs de risque considérables.
Vrai ou Faux?
Les jeunes LGBTQ+ sont 5 x plus à risque d’avoir des idées suicidaires et 7 x plus à risque de faire une tentative de suicide.
vrai, la norme est heteronormative.
(société).
Pourquoi?:
Hypothèses:
- Elles auraient peut-être une tendance plus marquée à la consommation de substances psychotropes. (Pourquoi?)
- Elles auraient peut-être une plus grande vulnérabilité à la dépression. (Pourquoi?)
- Elles auraient une plus grande susceptibilité d’être rejetées par les proches ou la société. (Pourquoi?)
Derrière toutes les statistiques que nous avons vues concernant le suicide se cache une expérience humaine universelle.
Comment se nomme cette expérience?
la souffrance …
Les sentiments à la base de la souffrance et du suicide…
Dans plusieurs cas, le suicide est une réaction de la personne à une souffrance qu’elle ne peut tolérer. Les sentiments à la base de cette souffrance peuvent être le désespoir, la solitude, l’inutilité ou l’abandon.
Les raisons qu’évoque la personne suicidaire de vouloir mourir peuvent sembler futiles: cependant, pour elle, la souffrance vécue est réelle et insupportable.
Il peut être difficile pour l’infirmière de savoir comment intervenir auprès d’une personne sulcidaire qui se trouve dans un tel état de vulnérabilité, d’autant plus qu’elle peut être appelée à le faire dans tous les milieux de pra-tique, de façon imprévisible.
Une écoute attentive empreinte de respect est à la base de la relation d’aide avec la personne suicidaire. Lui dire que « tout ira mieux demain » nest pas une réponse adéquate.
Parler ouvertement du suicide avec la personne permet de reconnaitre et d’aborder la souffrance quelle vit et ouvre la porte à lexploration d’autres possibilités que le suicide pour s’en libérer.
Théorie biologique et environnemental outre que la souffrance qui explique le désir de se suicider ?
Quels sont les moyens pour s’enlever la vie selon les sexes au Québec ?
Terminologie du suicide
Les facteurs associés au suicide
Dortinash p.806 tableau 29.6 + 807-808
Voici cette situation:
Quels sont les facteurs prédisposant (2)
Facteurs contribuants (3)
Facteur précipitant (1)
Monsieur Bergeron est hospitalisé sur votre unité de psychiatrie depuis 1 semaine pour un Trouble dépressif caractérisé («dépression») probable avec idées suicidaires.
Il rapporte avoir des symptômes dépressifs depuis quelques temps, et dit que ses idées suicidaires sont apparues il y a 3 semaines lorsqu’il a dû faire euthanasier son chien qu’il avait depuis les 12 dernières années. Au dossier, il est inscrit que
M. Bergeron dit se sentir souvent anxieux depuis son enfance. Concernant celle-ci, il est noté qu’il a vécu des abus physiques lors de cette période. M. Bergeron est un homme de 45 ans qui entretient une relation profonde et solide avec sa conjointe. Au niveau de son emploi, une restructuration a eu lieu, ce qui lui occasionne une surcharge de travail depuis environ 1 an. Sa mère est décédée il y a deux mois.
C’est quoi un facteur de protection ?
Ce qui permet d’augmenter la capacité à faire face a une situation difficile de la vie, en augmentant son répertoire de solutions.
Ex: caractéristique biopsychosociale
Quel est le rôle de l’infirmière en facteurs de protection, pour prévenir le suicide ?
- L’infirmière doit Considérer
ces facteurs et les
renforcés. - L’infirmière doit aider la personne à prendre conscienc de ses facteurs de protection et l’encourager à les utiliser.
- L’infirmière doit aider la personne à trouver ge nouvelles e Nouvelles stratégie qui l’aideront à mieux faire face aux adversités de la vie, reprendre sa vie en main et augmenter sa confiance en elle et son estime d’elle-même.
Les facteurs associés au suicide:
rôle de l’infirmière
* Dans une perspective de prévention du suicide, sur lequel les 4 facteurs associés l’infirmière a-t-elle un rôle primordial à jouer?
a) Facteurs prédisposants
b) Facteurs précipitants
c) Facteurs contribuants
d) Facteurs de protection
Sur protection.
- car les autres facteurs
associés, qui constituent des facteurs de risque la plupart du temps hors de son contrôle.
TRÈS IMPORTANT:
Dangerosité du passage à l’acte suicidaire
Fortinash p.808 à 810
Tableau 29.7 collecte de donnés
Qu’est-ce que la dangerosité du passage à l’acte (dans un contexte de suicide)?
l’évaluation du passage à l’acte.
- Il s’agit du potentiel de danger qu’une personne commette un acte violent entraînant la mort.
- Toujours vérifier si les idées suicidaires sont accompagnées d’idées homicidaires (amener quelqu’un avec soi dans la mort).
L’évaluation de la dangerosité du passage à l’acte comprend l’évaluation de 4 éléments, lesquelles ?
- L’urgence suicidaire
- La étalite du plan +
L’accessibilité du moyen - Les facteurs associés au suicide (facteurs de risque et facteurs de protection).
Dangerosité du passage à l’acte.
Pour estimer adéquatement la dangerosité d’un passage à l’acte, c’est-à-dire le potentiel de danger qu’une personne commette un acte violent entrainant la mort,
La létalité du plan représente son potentiel d’entrainer la mort.
Les questions sur laccessibilité visent à savoir si la personne possède, à portée de main, ce qu’il faut pour mettre en cuvie son plan suicidaire, ou si elle sait comment se procurer le tout
Pour compléter l’estimation de la dangerosité du passage à l’acte.
les facteurs de risque de suicide et les facteurs de protection doivent aussi être considérés.
La prise en compte de ces divers éléments permet à linfirmière de déterminer le niveau de risque et le degré de dangerosité.
L’urgence suicidaire est la probabilité qu’une personne adopte un comportement suicidaire dans les 48 prochaines heures.
Collecte de donné
Évaluer dangerosité du passage à l’acte.
Avec quel échelle on doit évaluer la dangerosité du passage à l’acte ?
Échelle GÉRIS
Mises en garde:
- formation nécessaire pour utiliser la grille.
- pas remplir seule.
- on ne crée pas d’alliance thérapeutique si on fait juste questionner et évaluer. L’évaluation doit se faire en même temps que l’intervention: à mesure que l’on questionne, on doit démontrer de l’empathie, aider la personne à retrouver l’espoir, travailler son ambivalence, valider sa souffrance et intervenir sur les facteurs de protection
- On doit convenir d’un plan d’action avec la personne, raviver ou préserver la partie d’elle qui veut vivre, la protéger face à ses idées suicidaires et déterminer avec elle le plus petit pas qu’elle pourrait faire pour rester en vie
Vrai ou faux:
risque de décès par suicide peut augmenter au moment du congé temporaire / congé.
vrai
Étapes à suivre à l’hôpital en présence d’idées suicidaires chez un patient
1) Évaluation de la dangerosité du passage à l’acte suicidaire avec le GÉRIS
2) Déterminer la fréquence de la ré-évaluation
3) Déterminer le type de surveillance
4) Transmettre l’information à l’équipe
5) Documenter ces informations: PTI + notes
Quels sont les niveaux de surveillance selon le niveau de risque suicidaire déterminer par le GERIS (varie selon les milieux)
Discite
de risque
Discrète : soit q 30 minutes → niveau léger
• Étroite : soit q 15 minutes minimum, on doit savoir où se trouve l’usager et ce qu’il fait en tout temps → niveau modéré de risque
• onstante: soit présence continue auprès du patient → niveau élevé de risque
TRÈS IMPORTANT:
3 éléments à retrouver dans le PTI selon LOIIQ lors de risque de suicide.
Et en stage? Si la modification des PTI informatisés du CIUSSS n’est pas faite: comprendre que «niveau d’urgence suicidaire» correspond à «niveau de risque»…
1) Le niveau d’urgence suicidaire (léger, modéré, élevé)
2) La fréquence de la réévaluation
3) Le niveau de surveillance (étroite, discrète, constante)
Vrai ou faux :
Il faut une ordonnance médicale pour instaurer un niveau de surveillance ou pour augmenter le niveau de surveillance d’un patient. (Ex.: passer de surveillance discrète à surveillance étroite.)
Faux, mais doit aviser médecin, car c’est un indicateur de changement dans la condition clinique du patients
vrai ou faux :
le risque de décès peut augmenter au début de l’hospitalisation.
Vrai
Avant de mettre en place un plan de sécurité en collaboration avec la personne, il faut … ?
Avant (pas bon): surveillance étroite + limitation de l’accès aux moyens.
Aujourd’hui :
relation thérapeutique entre la personne soignée et les professionnels de la santé doit demeurer au centre des interventions.
Quels sont les autres interventions auprès d’un patient avec idées suicidaires ?
Créer un - environnemer sûr pour le client: enlever tout objet potentiellement dangereux. (objets pointus, courroies, cravates, ceintures, objets en verre, alcool, prévoir plateau de repas sécuritaire)
Surveillance selon le degré d’urgence, verrouiller
la chambre au besoin (le
client doit être avisé de cette démarche.
- Suspendre les droits de sortie jusqu’à ce que le patient soit revu par le psychiatre.
- Demander au client s’il se sent capable de demande l’aide auprès d’un membre du personnel s’il a des idées suicidaires ou des pensées/sentiments inconfortables ou difficilement contrôlables, et
l’encourager à le faire.
Interventions:
- Prévenir l’accès aux moyens du suicide
- informer l’équipe du potentiel suicidaire du client.
- Tout indice relatif à un suicide, aussi insignifiant soit-il, doit être signalé à tous les membres de l’équipe, y compris le médecin.
- Discuter des solutions de recharge pour résoudre les problèmes.
Comment assurer la sécurité physique lors de risque de suicide ?
Lampleur de la surveillance de la personne dépend du degré de risque évalué (faible, modéré ou élevé).
Pendant cette surveillance, la personne doit se sentir accompagnée et soutenue, mais non observée, Réalisées en collaboration avec l’ensemble de l’équipe soignante, les mesures prises peuvent être sécurisantes au cours de la crise suicidaire.
Cependant, les restrictions personnelles très poursuives
importantes associées à la surveillance étroite sont souvent difficiles à accepter par la personne.
Il s’avère donc essentiel que celle-ci se sente respectée.
L’infirmière peut l’inviter à collaborer aux procédures nécessaires pour assurer sa sécurité.
Elle peut lui poser plusieurs questions. Par exemple:
* Que peut-on faire ensemble pour maintenir un environnement sécuritaire pour vous?
- Actuellement, dans vos effets personnels ou votre environne-ment, quels objets potentiellement dangereux représentent un risque?
( on veut que personne poursuive ces habitudes chez elle, de façon autonome ).
En intervenant de cette façon, l’infirmière démontre que la responsabilité ultime pour la santé et la sécurité de la personne est entre les mains de celle-ci.
Cette notion de responsabilité personnelle constitue un facteur clé dans la prévention du suicide.
Les approches favorisant l’apprentissage, le contrôle et l’autonomie de la personne sont pertinentes même au cours de situations de crises suicidaires aiguës.
En engageant la personne suicidaire dans la prise de décisions concernant sa propre vie, l’infirmière lui apprend à gérer sa santé au quotidien; elle sera ainsi mieux outillée pour affronter les situations difficiles à l’avenir. On utilisera donc un plan de sécurité plutôt qu’un contrat de non-suicide.
Quel est l’intervention principal lorsqu’il a risque de suicide ?
Plan de sécurité en prévention du suicide
À connaître:
* Ce que c’est
* Objectifs visés
* Quand le compléter
- les éléments qu’il contient
Un plan de sécurité en prévention du suicide, c’est un plan d’action personnalisé par le patient lorsqu’il est dans une période où il se sent bien, en prévision où il devrait s’en servir un jour s’il recommence à se sentir moins bien ou à avoir des idées suicidaires.
Ça sert à prévenir les rechutes et à responsabiliser la personne dans sa prise en charge.
Prévention:
rôle de l’infirmière
1, Selon Laflamme (2007), la restriction de
acces au moyen (étaux dusuicide est l’approche préventive trop souvent sous-estimée en prévention du suicide.
- Les suicides par arme à feu sont souvent des actes impulsifs.
De quelle clientèle parle-t-on ici particulièrement?
Les jeunes et les personnes sour l’effet de l’alcool + drogues.
Prévention:
rôle de l’infirmière
* La restriction de l’accès à une arme mortelle peut diminuer le risque qu’une personne se suicide.
Pourquoi? (2 explications)
1) L’accès difficile à une arme mortelle peut alors entraîner un délai vuffirant pour que la crise suicidaire 'allenue et que la personne abandone son projet ou
2)encore qu’elle se tourne vers un moyen moins sureptible d’entraîner sa mort, ce qui lui donne une meilleure chance de s’en sortir.»
Madame Dumais est hospitalisée depuis 2
le rôle de semaines pour idées suicidaires (intoxication par l’infirmière des médicaments). Elle n’a pas d’enfant, et elle
demeure avec son conjoint avec qui elle semble avoir un bon lien. Il vient d’ailleurs la visiter à chaque jour. L’état mental de madame Dumais s’améliore, et elle n’a plus d’idées suicidaires. Elle aura un congé temporaire dans 4 jours, où elle passera la journée à la maison avec son conjoint qui aura pris congé. Ensuite, si sa journée s’est bien déroulée, elle devrait obtenir son congé définitif. Vous préparez votre entretien quotidien avec madame Dumais.
Quels éléments devriez-vous aborder en lien avec la prévention du suicide?
a) Revenir sur les idées suicidaires présentes à l’admission de Mme Dumais, et la faire verbaliser sur l’évolution de ces idées jusqu’à aujourd’hui (est-elle contente d’être en vie, soulagée de ne pas être passée à l’acte, etc.).
b) Demander à Mme Dumais si elle avait pensé à quels médicaments elle aurait employés pour se suicider, et à quel endroit elle les aurait trouvés.
c) Inciter Mme Dumais à détruire ses médicaments des ordonnances précédentes, et lui demander si elle se sentirait à l’aise de demander à son conjoint qu’il fasse la même chose avec ses médicaments à lui.
d) Demander à madame Dumais son accord afin de sensibiliser son conjoint et solliciter sa collaboration pour éviter qu’une dose létale de médicaments soit à sa portée (médicaments en vente libre, médicaments d’ordonnance).
e) Demander à madame Dumais son accord afin de sensibiliser son conjoint afin qu’il range de façon sécuritaire ses propres médicaments.
IMPORTANT:
La note évolutive doit comprendre minimaler it ces 3 éléments principaux :
1) Évaluation de l’état mentale (y compris l’estimation de la dangerosité du passage à l’acte).
2) Les interventions effectué par infirmière (ex: enseignement sur les ressources communautaires, rédaction du plan de sécurité en prévention du suicide, transmission de l’espoir, renforcement positif, exploration des facteurs de protection, offre de disponibilité, responsabilisation face à ses pensées et comportements, reflet, normalisation du vécu, principes de TCC, pleine conscience, etc.)
3) les réactions du patient (ex. son niveau de participation à la discussion, sa passivité ou non, son niveau de compréhension, son accord concernant les interventions proposées, etc.).
C’est quoi le programme SILAR ?
Programme SILAR (Service intégré de liaison, d’accompagnement et de relance) :
- Suivi post hospitalisation : prise en charge en moins de 48 heures (10 rencontres)
- Soutien dans la reprise des activités
- Recherche de solutions pour éviter passage à l’acte ultérieur
- Briser isolement
- Intervention auprès de la famille pour donner un sens au geste suicidaire
- Consolider et développer réseaux de soutien plus efficaces
Qu’est-ce qu’un trouble à symptomatologie somatique ?
Ça gérèrent une détresse importante et une altération du fonctionnement. Troubles à symptomatologie et troubles apparentés.
- anxiété se manifeste par des symptômes physiques.
- avec une maladie physique.
- ou des symptômes inexpliqués.
C’est quoi un trouble de conversion (symptomatologie neurologique fonctionnelle) ?
Symptômes touchent la fonction sensorielle ou motrice: vue, odorat, ouïe, goût, toucher, mobilité d’un ou plusieurs membres.
- La présentation des symptômes laisse croire à la présence d’un trouble neurologique.
- Lien entre le début / aggravation des symptômes.
- L’apparition des symptômes habituellement précédée de conflits / facteurs de stress importants.
- Parfois relation symbolique entre évènements stressants et les symptômes.
C’est quoi un trouble d’associatif de l’identité ?
Perturbations qui touchent les fonctions normalement intégrées et génèrent aussi une détresse importante + une altération du fonctionnement.
- mémoire
- identité
- conscience
- émotions
- perceptions de l’environnement
- représentation co
- contrôle odeur ou comportement
C’est quoi un trouble de déréalisation ?
Sensation irréelle de détachement vs environnement.
Sensation d’être dans le brouillard / derrière.
Environnement semble distordu / altéré.
Champs de vision diminué.
Entendre les sons de façon étouffée.
Épisodes récurrents de sen
C’est quoi un trouble de dépersonnalisation ?
Épisodes récurrents de sentiment de détachement de son corps et de devenir un observateur externe de celui-ci.
- accompagné d’une altération de la perception du temps.
- engourdissement émotionnel et physique.
- anesthésie sensorielle.
- manque de maîtrise des gestes ou de la parole.
Quels conséquences découlent du trouble dissociait de l’identité ?
Vraiment pas bons.
Plusieurs personnalités à sa propre façon d’agir, de percevoir l’environnement et soi.
Critères dx :
A) fragmentation de l’identité.
B) Problème de mémoire.
C) Détresse / altération des fct au quotidien.
D) Ne fait pas partie d’une coutume culturel / religion.
E) Pas attribuable à une maladie / substance.
Que veut dire être hypocondriaque ?
Crainte excessive d’avoir une maladie.
- peur d’être atteint d’une maladie grave non-diagnostiquée.
- anxiété démesurée p/r à la gravité des symptômes physiques.
- pas rassurés par examen ou résultats d’analyses.
- altère fonctionnement au quotidien.
Le cas de madame Casavant:
Quelles principales données problématiques laissent croire à la possibilité d’un trouble de conversion ?
Quels types de symptômes pouvons-nous observer dans le trouble de conversion ?
Symptômes d’appartenance neurologique et atteintes motrices + sensorielles.
Sur quels éléments de l’évaluation clinique insisterait-vous dans le cas de Mme Casavant ?
Porter une attention particulière au système neurologique lors de l’examen physique.
Durant l’entrevue, l’infirmière a demandé à Mme Casavant si les symptômes étaient pires après la dispute avec son conjoint ? Pour quelles raisons lui a-t-elle posé cette question ?
Déterminer si les liens présents entre anxiété et symptômes.
Nomme deux critères pour troubles à symptomatologie somatique et troubles apparentés.
A) Symptômes somatiques (physiques) qui engendrent une détresse psychologique.
B) Pensées, sentiments ou comportements excessifs qui auront un impact sur le fonctionnement de la personne.
Quelles interventions l’infirmière pourrait-elle mettre en place pour venir en aide à Mme Casavant ?
1) Déterminer le degré d’urgence suicidaire et la présence de symptômes dépressifs chez la personne.
2) Aider la personne à utiliser des méthodes d’adaptation qui l’ont aidée à maîtriser dans le passé.
3) Enseigner à la personne d’utiliser des stratégies pour diminuer l’anxiété.
Quels sont les 4 facteurs de risques de développer un trouble de conversion présents chez madame Casavant ?
1) ATCD épilepsie
2) Sexe: femme
3) Trouble mental: dépression
4) Facteurs de stress: dispute avec conjoint