Examen final Flashcards

1
Q

SC ouverts

A

le cœur pompe le sang dans un vaisseau et se déverse dans les espaces intercellulaires, puis retourne au cœur par des orifices de la paroi cardiaque. L’hémolymphe entourant le tissu est aussi le liquide qui circule dans les vaisseaux (insectes)

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2
Q

SC clos

A

le sang reste dans les vaisseaux sanguins, le liquide interstitiel entourant les tissus est distinct du sang (vers de terre)

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3
Q

Circulation simple/double

A

a. Poisson : circulation simple : cœur muni de deux cavités
b. Amphibiens, reptiles et mammifères : deux circuits et deux pompes, qui forment un cœur à plusieurs cavités

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4
Q

Sang

A

liquide rouge qui circule dans les vaisseaux sanguins, composé de plasma à 55% et d’éléments figurés (45%, leucocytes, thrombocytes et érythrocytes)

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5
Q

Plasma

A

eau, grosses protéines plasmatiques (albumine, immunoglobulines, fibrinogène, apolipoprotéines), autres solutés (ions, vitamines, nutriments, déchets métaboliques, hormones, gaz respiratoires, etc.)

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6
Q

Lymphe

A

dans un système parallèle au système circulatoire sanguin. Elle circule donc dans des vaisseaux lymphatiques qui appartiennent au système lymphatique (défense immunitaire) avec les ganglions lymphatiques, les amygdales, le thymus, la rate (il y a des cellules dans ce liquide), ressemble au plasma (sans les grosses protéines)

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7
Q

Liquide interstitiel

A

se retrouve entre les cellules (ressemble à de l’eau, entoure les cellules), ressemble au plasma (sans les grosses protéines)

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8
Q

Fonction composant plasma

A

i. Eau : solvant

ii. Ions (électrolytes sanguins) : équilibre osmotique, effet tampon pH et régulation perméabilité

iii. Protéines plasmatiques : équilibre osmotique et effet tampon pH (albumine), défense organisme (immunoglobines), transport lipides (apolipopro), coagulation (fibrinogène)

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9
Q

Fonctions Leucocytes (GB)

A

défense et immunité, tous phagocytes, noyau et organites, diapédèse pour sortir de la circulation sanguine (entre cellules de capillaires)

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10
Q

Fonctions Thrombocytes (P)

A

coagulation

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11
Q

Fonctions Érythrocytes (GR, hématies)

A

transport O2 et contribution transport CO2, membrane semi-perméable recouvrant l’hémoglobine (pigment) qui s’unit à l’oxygène par son groupement hème et au Co2 par sa partie globine, pas de noyau/organites, portent les antigènes, après 120 jours, phagocytose et donnent la bilirubine sécrétée par le foie

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12
Q

Types GB

A

a. Granulocytes (noyau lobé et présence de granulations)

b. Agranulocytes (pas de granulations) noyau ne prend pas toute la place

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13
Q

Granulocytes

A

Les neutrophiles: plusieurs lobes et granulations spécifiques neutres ou pâles, phagocytaires (d’agents pathogènes): les premiers à arriver au site d’une infection.

Les éosinophiles : deux lobes, granulations rouge/rose orangé, agissent contre certains vers parasites (libération d’enzymes)

Les basophiles : deux lobes, granulations bleu violet foncé, impliqués dans les réactions inflammatoires (sécrétion d’histamines), aussi responsables des réactions allergiques

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14
Q

Agranulocytes

A

Les monocytes : phagocytaires, comme les neutrophiles. Ils prennent plus de temps, mais se retrouvent alors en plus grand nombre. Très vite, les monocytes quittent la circulation sanguine et prennent alors le nom de macrophages (ou macrophagocytes). On les trouve en très grandes quantités dans le système lymphatique.

Les lymphocytes : se trouvent surtout dans le système lymphatique (ganglions, etc.). Les lymphocytes B et T reconnaissent des antigènes particuliers et sont responsables de la réaction immunitaire qui nous défend contre un très grand nombre d’agents infectieux

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15
Q

Érythropoïèse

A

provoquée par un apport réduit en O2 (à la suite d’une hémorragie, d’une altitude plus haute, d’exercices) perçu au niveau surtout des reins qui sécrètent alors l’hormone érythropoïétine (EPO dopage sportif, risque de caillots) qui va agir au niveau de la moelle osseuse.

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16
Q

Artères

A

transportent le sang du cœur aux tissus, paroi plus épaisse, forme plus régulière (intima : endothéliale + élastique interne; media : cellules de muscles lisses; adventitia : tissu conjonctif). Plus on s’éloigne du cœur, plus il y a d’embranchements et plus le diamètre diminue.

Artères élastiques plus près du cœur (comme aorte), riches en fibres élastiques et peuvent subir une déformation importante (pour propulser dans l’organisme)

Artères musculaires : distribuent le sang aux divers tissus

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17
Q

Artérioles

A

transportent le sang du cœur aux tissus, muscles lisses en changent la forme

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18
Q

Capillaires

A

échanges de substances entre le sang et les cellules, très minces (parfois juste aussi gros qu’un GR), ce qui permet les échanges de gaz, nutriments et eau. Il n’y a qu’une seule couche (tunique interne). Certains organes sont plus capillarisés que d’autres.

Plus quand beaucoup d’échanges nutritionnels/respiratoires (foie, rein, muscles, poumons)

Moins quand ligaments et tendons

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19
Q

Veinules

A

transportent le sang des tissus vers le cœur

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20
Q

Veines

A

transportent le sang des tissus vers le cœur, paroi moins épaisse, lumière de celle-ci en général plus importante, valvules dans les grosses veines qui empêchent le retour du sang vers l’arrière (sang monte de valvule en valvule), (intima : endothéliale + élastique interne; media : cellules de muscles lisses; adventitia : tissu conjonctif).

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21
Q

Trajet sang vicié

A

veines caves, oreillette droite, valve AV, ventricule droit, valve pulmonaire, artères pulmonaires

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22
Q

Trajet Sang oxygéné

A

veines pulmonaires, oreillette gauche, valve AV, ventricule gauche, valve aortique, aorte

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23
Q

Composantes et fonctions système conduction cœur

A

a. Nœud sinusal : 1e pile, 120/min
b. Nœud auriculo-ventriculaire : 2e pile, 50/min
c. Faisceau auriculoventriculaire
d. Myofibres de conduction cardiaque

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24
Q

Automatisme cardiaque

A

a. Le rythme de base du cœur est réglé par le cœur lui-même et n’a donc pas besoin de stimulus externe (influx nerveux) pour battre. Il se dépolarise de manière autonome, sans apport externe grâce au système de conduction électrique du cœur. Chaque cellule musculaire cardiaque a donc la capacité de se contracter d’elle-même, autrement dit de générer un influx électrique. Il faut toutefois que ces contractions soient coordonnées de façon à faire avancer le sang.
b. Ceci se fait grâce au nœud sinusal (NS) (pacemaker) situé au plafond de l’oreillette droite. Ce nœud est constitué de tissu musculaire cardiaque spécialisé qui génère spontanément des potentiels d’action plus rapidement que les autres cellules cardiaques. Il donne la cadence et la rythmicité du
c. Les cellules du nœud sinusal n’ont pas besoin de stimulus (contrairement à la plupart des neurones) : leurs canaux à Na+ sont ouverts même au repos, ce qui fait que le Na+ diffuse vers l’intérieur de la cellule et que le potentiel passe de - 70 mV à + 30 mV, le potentiel d’action.
d. L’influx électrique se rend alors à travers les oreillettes, qui se contractent, et atteint le nœud auriculoventriculaire (NAV) au plancher de l’oreillette droite. Il continue dans la paroi interventriculaire jusqu’à l’apex et remonte dans les parois externes des ventricules grâce au faisceau auriculoventriculaire, ce qui provoque leur contraction (grâce aux myofibres de conduction cardiaque ou fibres de Purkinje)

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25
Q

Trajet circulation pulmonaire

A

achemine le sang vicié vers les poumons pour le réoxygéner
i. Le sang appauvri en oxygène est transporté aux poumons : oreillette droite, puis propulsé hors du ventricule droit en direction du tronc pulmonaire, qui se divise en artère pulmonaire gauche/droite (chacune parcourt le poumon correspondant) qui se ramifient en petites artères, et celles-ci en artérioles qui deviennent les capillaires pulmonaires qui entourent les alvéoles pulmonaires
ii. Alvéoles : lieu des échanges gazeux, le dioxyde de carbone passe du sang aux alvéoles et l’oxygène passe des alvéoles (très vascularisés) au sang (l’hémoglobine devient saturée en oxygène)
iii. Le sang enrichi en oxygène se dirige vers le cœur : les capillaires se regroupent pour former des veinules, qui deviennent les veines pulmonaires. En général, deux veines pulmonaires gauches et deux veines pulmonaires droites transportent le sang enrichi en oxygène à l’oreillette gauche, puis au ventricule gauche et à l’aorte.

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26
Q

Trajet circulation systémique

A

acheminer le sang oxygéné partout dans le corps
i. Le côté gauche est la pompe systémique (part du côté gauche pour revenir au côté droit du cœur, en passant par tous les tissus de l’organisme donc paroi ventriculaire très développée).
ii. Le sang oxygéné quitte le cœur gauche (oreillette gauche, valve auriculoventriculaire gauche, ventricule gauche). Il circule dans les ramifications de l’aorte pour atteindre les artères systémiques, puis les artérioles et les capillaires des organes et des tissus pour accomplir les échanges avec les cellules des divers systèmes de l’organisme
iii. Échange de nutriments, de gaz et de déchets métaboliques dans les cellules.
iv. Le sang appauvri en O2 passe par les veines systémiques, les veines caves inférieure et supérieure pour aller jusqu’au cœur (oreillette) droit.

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27
Q

Événements cycle cardiaque

A

ensemble des évènements qui se produisent pendant un battement du cœur. Le sang circule à travers la pompe cardiaque en raison de l’alternance entre systoles et diastoles des oreillettes et ventricules. Le sang circule dans le cœur uniquement par des variations de pression. Le sang s’écoule toujours des régions où la pression est forte vers des régions de plus faible pression. Les variations de pression proviennent des contractions et des relâchements du myocarde. Les changements de pression et les contractions cardiaques provoquent l’ouverture ou la fermeture des valves cardiaques, ce qui oriente ainsi la direction du flot sanguin.

Systole & diastole

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28
Q

Systole

A

contraction du cœur.
i. Auriculaire (plus courte, ventricules en diastole, force tout le sang restant des oreillettes vers les ventricules à 20-30%)
ii. Ventriculaire (oreillettes en diastole, éjecte le sang dans le tronc pulmonaire et l’aorte par les valves semi-lunaires)

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29
Q

Diastole

A

phase de relâchement, remplissage de sang (70-80% de sa capacité), la plus longue, relaxation, le sang revenant des veines caves et pulmonaires afflue dans les oreillettes puis les ventricules

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30
Q

Rôle SNA régulation fréquence cardiaque

A

les fibres nerveuses du SNA qui sont rattachées au muscle cardiaque servent à modifier le rythme ou la cadence de l’activité cardiaque.

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31
Q

Rôle SNAS fréquence cardiaque

A

augmente la fréquence, libère de la noradrénaline (NA) (stress, excitation, exercice, peur, augmentation de la température) en agissant par l’intermédiaire des nerfs cardiaques qui innervent le nœud sinusal, le nœud auriculoventriculaire et la majeure partie du myocarde. Donc, l’activité du nœud sinusal augmente et alors la fréquence des potentiels d’action et la contractilité du cœur augmentera aussi (150/min).

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32
Q

Rôle SNAP fréquence cardiaque

A

diminue la fréquence cardiaque au nœud sinusal par les nerfs vagues (nerf X) en libérant de l’acétylcholine (ACh) et c’est lui qui prend habituellement le dessus au repos (75/min)

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33
Q

Facteurs influence fréquence cardiaque

A

a. Système nerveux

b. Le système endocrinien
i. Adrénaline : stress, exercice, augmente
ii. Thyroxine : hormones de la glande thyroïde, FC augmente quand beaucoup d’hormones, baisse quand pas assez d’hormones

c. Température : augmente avec la chaleur

d. Exercice physique

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34
Q

Réaction SC exercice

A

lorsqu’on fait de l’exercice, on a une augmentation de la fréquence, mais, à long terme, l’effet de l’entrainement est de diminuer la fréquence au repos. En effet, il y a un lien direct entre la fréquence cardiaque et la pression artérielle et il y a aussi un lien entre la force de contraction et la pression. Un cœur entrainé est plus fort, ce qui augmente la pression; or, celle-ci doit demeurer la même, donc la fréquence cardiaque doit diminuer pour compenser.

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35
Q

Valeurs enregistrées mesure pression

A

a. Pression systolique : plus élevée, valeur de la pression dans l’artère quand le cœur se contracte
b. Pression diastolique : plus faible, valeur de la pression dans l’artère quand le cœur est au repos entre deux contractions

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36
Q

Bruits cœur

A

a. 1er bruit du cœur : plus fort, ventricules se contractent (systole ventriculaire, correspond à la fermeture des valves auriculoventriculaires)
b. 2ième bruit du cœur : correspond à la fermeture des valves sigmoïdes à la fin de la systole ventriculaire

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37
Q

Mécanismes de défense organisme

A

1e : barrières sur surfaces corporelles (peau et muqueuses), non spécifique

2e : défenses cellulaire et chimique, non spécifique
i. Réaction inflammatoire (avec histamine, prostaglandines) : rougeur, enflure, gonflements
ii. Cellules NK (cellules tueuses naturelles) : lymphocytes, phagocytes (macrophage, neutrophiles), éosinophiles (cytotoxique), basophiles (perméabilité)
iii. Fièvre : tue rapidement certains organismes (altère le fonctionnement des protéines bactériennes
iv. Substances antimicrobiennes

3e : réactions immunitaires, spécifique, lymphocytes B et T, systémique, mémoire

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38
Q

Immunité innée

A

dès la naissance

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39
Q

Immunité acquise

A

développée grâce à une infection, des vaccins ou par injection d’immunosérum

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40
Q

Rôle peau défense pathogènes

A

a. Barrière physique : revêtement continu
b. Substances chimiques protectrices (sébum, cérumen, kératine, pH acide)
c. Bactéries résidentes (microbiote, bénéfiques)
d. Lysozymes (enzymes destructeurs, dans les larmes, salive)

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41
Q

Façon dont les leucocytes phagocytaires ingèrent les agents pathogènes dans le sang et dans les tissus de l’organisme :

A

un macrophagocyte incorpore les protéines de surface du microbe sur sa propre surface.
a. Adhésion : la membrane de la cellule phagocytaire adhère à la particule qu’elle va ingérer
b. Ingestion : la cellule phagocytaire émet des pseudopodes qui entourent la bactérie et forment une vésicule d’endocytose appelée phagosome
c. Digestion : digestion de la bactérie par fusion des lysosomes avec la membrane du phagosome qui déversent les enzymes s’attaquant aux divers constituants de la bactérie et qui aboutit à la formation d’un phagolysosome.
d. Rejet des déchets : les débris bactériens sont rejetés en dehors de la cellule.

42
Q

Antigène

A

substance capable de mobiliser (ou stimuler) le système immunitaire et de provoquer une réaction immunitaire (microorganismes (bactéries, virus, champignons, etc.) ou fragments de ceux-ci, protéines ou toxines libérées par des microorganismes), pour la plupart des macromolécules (protéines ou polysaccharides), surface cellule

43
Q

Anticorps

A

appelé aussi immunoglobuline (Ig), protéine soluble sécrétée par les plasmocytes (cellules) suite à l’activation des lymphocytes B en réponse à un antigène; un anticorps reconnaît un antigène spécifique et se combine de façon spécifique à cet antigène afin de le neutraliser, agent protecteur, circule dans le plasma

44
Q

Production anticorps

A

a. Lorsque le lymphocyte B spécifique à un antigène le rencontre, fixé à la membrane d’un macrophagocyte, il se transforme en plasmocytes
b. Ces plasmocytes sont responsables de la fabrication des anticorps (ou immunoglobulines) correspondant à cet antigène.
c. Les anticorps s’attachent aux antigènes et les empêchent ainsi de venir en contact avec l’organisme. Cette action ne détruit pas l’antigène, mais le prépare à être éliminé par des macrophages.
d. Les lymphocytes particuliers à un antigène existent déjà; ils ne sont qu’activés que lorsqu’ils entrent en contact avec lui.
e. Après la défense contre une première attaque, les lymphocytes B activés produisent aussi des lymphocytes B à mémoire qui gardent l’information et sont prêts à agir de façon foudroyante lors d’une seconde attaque.

45
Q

Lymphocyte B

A

responsables de la production d’anticorps, utilisés surtout contre les microorganismes complets, les toxines, des agents étrangers, agissent par des anticorps contenus dans le plasma, on dit qu’il s’agit d’immunité humorale, produisent LBM et plasmocytes

46
Q

Lymphocytes B à mémoire

A

gardent l’information et sont prêts à agir de façon foudroyante lors d’une seconde attaque, produisent plasmocytes

47
Q

Plasmocytes

A

sécrètent des anticorps

48
Q

Lymphocytes T

A

spécifiques (pour la plupart) à un antigène particulier et existent en milliers de sortes, s’activent de la même façon qu’un lymphocyte B (macrophage, etc.) et vont alors former différents types de lymphocytes T (auxiliaires (Th), à mémoire, NK, etc.). Immunité cellulaire
i. Lorsqu’une cellule est infectée par un virus ou qu’elle devient cancéreuse, elle va installer sur sa membrane des fragments de ces protéines étrangères, ce qui va alerter des lymphocytes T
ii. Détruisent directement l’antigène. Ils sont surtout utilisés contre nos cellules infectées et non contre des microorganismes
iii. Peut activer un lymphocyte B

49
Q

Cellules NK

A

non spécifiques, lysent les membranes de nos cellules infectées par un virus ou cancéreuses.

50
Q

Lymphocytes T auxiliaires

A

aident les lymphocytes B à produire leurs anticorps, stimulés par les cellules présentatrices d’antigène, se multiplient et produisent des LTA mémoire

51
Q

LTA mémoire

A

stimulent les lymphocytes T cytotoxiques mémoire et les LB mémoire, sécrétés par LTA

52
Q

LT cytotoxiques mémoires

A

produisent des lymphocytes T cytotoxiques activés

53
Q

LTC activés

A

défense contre les agents intracellulaires et certaines cellules cancéreuses grâce à leur lyse suite à la détection d’antigènes

54
Q

LTC

A

production de LCTM & LCTA, stimulé par l’antigène

55
Q

Immunité naturelle

A

i. Active : par infection et donc contact avec un agent pathogène.
ii. Passive : lorsque les anticorps passent de la mère au bébé par le placenta et le lait.

56
Q

Immunité artificielle

A

i. Active : par les vaccins.
ii. Passive : par l’injection d’immunosérum (qui contient donc des anticorps).
1. Chez la mère Rhésus, qui n’a pas au départ d’anticorps anti-Rh, on injecte à la naissance de chacun de ses bébés des anticorps anti-Rh qui vont entourer les globules potentiellement présents de son bébé Rh positif. Ceci va l’empêcher de développer ses propres anticorps anti-Rh, car son système immunitaire ne viendra pas en contact avec les antigènes Rh+ du bébé. Le prochain bébé sera ainsi protégé, car les anticorps de la mère pourraient traverser la barrière placentaire.
2. Contre les morsures de serpents venimeux
3. Contre le tétanos et la rage, dont l’action extrêmement rapide ne permet pas au système immunitaire de monter une défense

57
Q

Réponses immunitaires primaire et secondaire

A

a. Primaire : création des cellules mémoires et réponse des lymphocytes B
b. Secondaire : réaction immunitaire plus intense au même antigène que la réaction primaire grâce aux cellules mémoires

58
Q

Vaccination

A

contiennent des antigènes affaiblis et permettent la production de lymphocytes B à mémoire qui seront prêts à agir de façon très efficace lors d’une prochaine attaque (donc pas de symptômes)

59
Q

SR oiseaux

A
  1. Chez les oiseaux, il y a eu évolution d’un système beaucoup plus efficace avec l’addition de sacs aériens connectés aux poumons.
  2. Lors de la première inspiration, l’air passe à travers des sacs aériens, puis, lors de l’expiration et de la 2e inspiration, l’air passe dans les poumons et d’autres sacs aériens pour finalement sortir complètement lors de la 2e expiration.
  3. Il n’y a donc pas d’espace mort anatomique ou de volume résiduel. L’air frais ne se mélange donc pas avec l’air ayant déjà participé aux échanges gazeux.
60
Q

Types échanges gazeux

A

Surface entière de la cellule lorsque l’animal est très petit (amibe, protozoaire unicellulaire)

Surface cutanée : l’O2 entre par la peau humide et rejoint les cellules de l’organisme par le sang. Le CO2 suit le chemin inverse pour être éliminé à l’extérieur du corps (vers de terre, grenouille qui a aussi des échanges pulmonaires

Branchies : permettent des échanges de gaz dans l’eau (poissons)
1. L’O2 pénètre dans le sang qui circule dans les branchies vers les cellules des organes
2. Le CO2 quitte le sang pour être éliminé dans l’eau

Trachées : ramifications de tubes qui s’étendent dans toute la cavité interne des insectes (sauterelle)
1. L’O2 pénètre par les stigmates dans les trachées, les trachéoles et va vers les cellules du corps.
2. Le CO2 va dans le sens inverse pour être rejeté dans l’air.

Poumons : formés de sacs où les échanges se font (dans les alvéoles) (reptiles, oiseaux, mammifères)

61
Q

Fonctions SR

A

apporter à nos cellules l’O2 nécessaire à la respiration cellulaire et à les débarrasser du CO2 produit qui est toxique

62
Q

Structures SR

A
  1. Nez : olfaction, humidification, chaleur, muqueuse et filtres
  2. Pharynx : voie de passage où l’air et la nourriture transitent.
  3. Larynx : lieu des cordes vocales, de la pomme d’Adam, de l’épiglotte.
  4. Trachée : conduit pour l’air où il y a des anneaux de cartilage qui maintiennent la forme, épithélium cilié.
  5. Bronches et bronchioles où il y a des cils qui font remonter les déchets, entourées de muscles lisses qui changent le diamètre
  6. Poumons : Les canaux alvéolaires se terminent dans des sacs alvéolaires composés d’alvéoles.
  7. Alvéoles : minces, associés à des capillaires, en forme de grappe, présence de pneumocytes de type II qui produisent un surfactant empêchant l’affaissement des alvéoles lors de l’expiration, présence de macrophages qui phagocytent les microbes.
63
Q

Alvéoles pulmonaires

A
  1. Minces, associés à des capillaires, en forme de grappe, présence de pneumocytes de type II qui produisent un surfactant empêchant l’affaissement des alvéoles lors de l’expiration, présence de macrophages qui phagocytent les microbes.
  2. Lieu des échanges de gaz
64
Q

Mécanique ventilatoire

A

Inspiration : processus actif qui nécessite un influx nerveux.
1. Contraction et descente du diaphragme
2. Contraction des muscles intercostaux externes et expansion de la cage thoracique (élévation des côtes) et des poumons
3. Dilatation des alvéoles  baisse de pression à l’intérieur du poumon  entrée d’air

Expiration : est normalement un processus passif.
1. Relâchement des muscles intercostaux externes et du diaphragme (élévation)
2. Diminution du volume des poumons, rétraction des alvéoles
3. La pression à l’intérieur des poumons devient plus élevée par rapport à l’extérieur.
4. Les poumons se vident  sortie d’air

65
Q

Spirométrie

A
  1. Environ 500 mL se déplacent à chaque inspiration et expiration (volume courant ou VC)
  2. De ces 500 mL, 350 mL atteignent les alvéoles et 150 mL restent dans le nez, pharynx, larynx, trachée et bronches et n’atteignent pas les alvéoles : c’est l’espace mort anatomique qui ne participe pas aux échanges.
  3. De plus, à la fin d’une expiration forcée, il reste 1200 mL dans les conduits, ce qui est le volume résiduel riche en CO2. Cet air se mélange à celui inspiré et fait descendre la PO2 et augmenter la PCO2 pulmonaire.
  4. Spirométrie : technique qui permet de tester les fonctions respiratoires. Elle permet aussi de diagnostiquer différentes maladies respiratoires. On peut donc mesurer la quantité volume et/ou la vitesse (débit) à laquelle l’air peut être inspiré ou expiré.
  5. Le spiromètre est l’appareil qui permet de mesurer les volumes d’air échangés et détecte les changements de ventilation. Il peut aussi mesurer le rythme respiratoire (FR) d’un sujet au repos ou lors de l’activité physique par exemple. Les données sont présentées sur un affichage numérique (spirogramme, tracé graphique).
66
Q

Fréquence ventilatoire

A

FV (fréquence ventilatoire ou FR fréquence respiratoire) : nombre de respirations effectuées par unité de temps.
1. FV au repos oscille entre 12 et 18 respirations / minute.
2. Quantité totale de gaz inspiré et expiré en une minute = VC x FR (fréquence respiratoire)

67
Q

V.C (volume courant)

A

volume d’air inspiré ou expiré à chaque respiration au repos. (500mL)

68
Q

V.R.I (volume de réserve inspiratoire)

A

volume additionnel d’air inspiré qui entre au cours d’une inspiration forcée (entre 2100 et 3200 mL)

69
Q

V.R.E (volume de réserve expiratoire)

A

volume additionnel d’air expiré qui est expulsé au cours d’une expiration forcée (1200mL)

70
Q

V.R (volume résiduel)

A

quantité d’air qui reste dans les poumons après une expiration forcée (1200mL)

71
Q

C.V (capacité vitale)

A

correspond à la quantité totale d’air échangeable et à VRI + VRE +VC, ou mesure de la puissance respiratoire (4 800mL chez l’homme ou 3400mL chez la femme)

72
Q

C.T (capacité pulmonaire totale)

A

correspond à la quantité totale que les poumons peuvent contenir. Correspond à CV+ VR (6000 mL chez l’homme ou 4500mL chez la femme)

73
Q

Transport oxygène sang

A
  1. Ne se dissout pas facilement dans l’eau, donc il y en a très peu (1,5%) dans le plasma.
  2. 98,5% est lié à la partie hème de l’hémoglobine : Hb + O2 → HbO2 (oxyhémoglobine)
74
Q

Transport co2 sang

A
  1. 7 % dissous dans le plasma
  2. 25 % sous forme de carbhémoglobine lié à la partie globine, donc pas en compétition avec l’O2 : Hb + CO2 → HbCO2 (carbhémoglobine)
  3. 70 % dans le plasma sous forme d’ions bicarbonate : HCO3- CO2+H2O→ H2CO3 (instable)→ H+ +HCO3-
75
Q

Contrôle chimique respiration

A
  1. Les chimiorécepteurs détectent les variations du pH du liquide cérébrospinal (LCR) (bulbe) ou du sang (gros vaisseaux sanguins) en raison des changements de concentrations d’oxygène et de gaz carbonique.
  2. Cette information est acheminée au bulbe rachidien (centre de régulation), lequel peut modifier la fréquence ventilatoire et l’amplitude de la respiration selon les besoins de l’organisme en envoyant des potentiels d’action aux muscles intercostaux et au diaphragme
76
Q

Structures contrôle taux ventilation

A

bulbe rachidien et chimiorécepteurs des gros vaisseaux sanguins

77
Q

Courbe dissociation oxyhémoglobine

A

La saturation de l’Hb en oxygène augmente plus la pression partielle en O2 (la pO2) augmente. Lorsque la pO2 diminue, dans le cas des capillaires des tissus, l’Hb libère davantage d’oxygène aux cellules. En contrepartie, l’Hb va s’associer davantage à l’oxygène lorsque la pO2 augmentera comme dans le cas des capillaires dans les alvéoles.
1. 20 mm Hg : tissus actifs
2. 40 mm Hg : tissus au repos
3. 100 mm Hg : poumons

78
Q

Facteurs influençant courbe dissociation oxyhémoglobine

A
  1. pO2
  2. Température : dissociation de l’oxygène est accélérée par une élévation de la température ou en d’autres termes, l’affinité de l’hémoglobine pour l’oxygène diminue à mesure que la température augmente.
  3. pH et pCO2 : l’affinité de l’Hb pour l’O2 diminue si le pH diminue (ou s’il y a une augmentation de CO2). De cette façon, l’oxygène se combine en plus petite quantité avec l’hémoglobine et devient plus disponible pour les tissus. Cela favorise donc davantage la dissociation de l’oxyhémoglobine (on appelle cela « l’effet Bohr »). Si la PCO2 diminue ou que le pH augmente, l’oxygène se combine plus fortement à l’hémoglobine (Hb).
79
Q

Effet Bohr

A

consiste en une diminution de l’affinité de l’Hb vis-à-vis de l’oxygène causée par une chute de pH. Il favorise donc la libération d’oxygène par les molécules d’Hb se trouvant à proximité de tissus actifs. L’effet Bohr assure donc un apport d’O2 supplémentaire à des muscles en activité intense

80
Q

Modes de digestion

A

a. Digestion extracellulaire : pas de bouche ou d’anus. Cette digestion se fait en sécrétant des enzymes digestives à l’extérieur et en absorbant les molécules plus petites ainsi produites. Champignons
b. Digestion intracellulaire : pas de bouche ou d’anus. Cette digestion se fait par phagocytose, suivie de l’action des lysosomes contenant des enzymes digestives. Amibe
c. Une seule ouverture (pas d’anus) et une cavité gastro-vasculaire, hydre
d. Deux ouvertures : bouche et anus, vers de terre, oiseau (avec gésier) et humain

81
Q

Rôle SD

A

ingérer les molécules organiques, les hydrolyser, les absorber et les assimiler

82
Q

Glandes salivaires

A

début de la digestion enzymatique (production d’amylase salivaire qui commence l’hydrolyse de l’amidon et du glycogène en maltose)

83
Q

Œsophage

A

péristaltisme (contractions musculaires) qui fait avancer le bol alimentaire, pas de nouvelle digestion

84
Q

Estomac

A

digestion mécanique grâce aux contractions musculaires, pepsine (pH acide) commence l’hydrolyse des protéines en polypeptides. Le suc gastrique (acide, sécrétion HCl) permet une digestion chimique.

85
Q

Intestin grêle

A

poursuite de la segmentation. La digestion enzymatique se termine grâce aux enzymes immobilisées dans les microvillosités de la bordure en brosse des cellules épithéliales des villosités intestinales. Le gros de l’absorption (dans le sang et la lymphe pour les lipides) de l’eau et des monomères s’y fait (90%), grâce aux villosités de l’intestin grêle (villosités intestinales) qui augmentent de beaucoup la surface d’échange.

86
Q

Foie

A

sécrète des sels biliaires qui émulsionnent les graisses, ce qui permet ainsi une meilleure digestion et absorption des lipides. Les sels biliaires composent une grande partie de la bile, sécrétée par le foie

87
Q

Vésicule biliaire

A

emmagasine la bile (sels biliaires, pigments biliaires, cholestérol, triglycérides, phospholipides, électrolytes, eau)

88
Q

Gros intestin

A

segmentation et péristaltisme, plus de sécrétion enzymatiques, bactéries qui terminent la digestion des glucides complexes et élaborent certaines vitamines, évacue les déchets et matières non digérées ou non digestibles (fibres alimentaires) et les bactéries en les compactant sous forme de fèces (amollies par la présence de fibres donc meilleure efficacité des contractions), absorbe eau et électrolytes

89
Q

Étapes SD

A

a. Absorption : les produits alimentaires digérés sont absorbés dans la circulation sanguine et transportés vers les cellules. Cette absorption se produit dans l’intestin grêle
b. Assimilation : les produits alimentaires digérés sont convertis en d’autres composés plus complexes
c. Ingestion : nourriture absorbée
d. Digestion : nourriture décomposée mécaniquement et chimiquement
e. Élimination : résidus alimentaires non digérés sont éliminés

90
Q

Structure villosité

A

augmentent la surface d’échange, présence d’enzymes qui permettent à la digestion enzymatique de prendre fin.

91
Q

Digestion lipides

A

a. De gros agrégats de graisse sont émulsifiés par les sels biliaires dans le duodénum pour permettre leur digestion
b. Digestion des graisses par la lipase pancréatique. Ces substances s’associent ensuite aux sels biliaires pour former des micelles qui les transportent vers la muqueuse intestinale.
c. Acides gras et monoglycérides quittent les micelles et pénètrent dans les cellules épithéliales par diffusion. Dans ces cellules, ils sont recombinés sous forme de chylomicrons.
d. Les chylomicrons sont expulsés des cellules épithéliales par exocytose et entrent dans le vaisseau chylifère, d’où ils se dispersent dans la lymphe

92
Q

Suc pancréatique

A

enzymes hydrolysant glucides, protéines, acides nucléiques et lipides

93
Q

Suc gastrique

A

acide, eau et HCl

94
Q

Bile

A

sels biliaires, pigments biliaires, cholestérol, triglycérides, phospholipides, électrolytes, eau

95
Q

Structures SU

A
  1. Système urinaire
  2. Rein
  3. Pelvis rénal : collecte de l’urine pour l’envoi vers l’uretère
  4. Uretère : transport de l’urine entre le pelvis et la vessie
  5. Vessie : stockage de l’urine jusqu’à son évacuation
  6. Urètre : évacuation de l’urine
  7. Glande surrénale
  8. Artère et veine rénales
  9. Artère rénale : achemine le sang non filtré (1200ml/min) aux reins vers l’artériole afférente
  10. Veine rénale : transporte du sang désoxygéné qui sort des reins mais filtré
  11. Veine cave inférieure : ramène le sang vicié vers le cœur
  12. Aorte abdominale : amène le sang oxygéné aux organes
  13. Artère et veine iliaques communes : transport du sang vers les membres inférieurs du bassin
  14. Foie : filtration et épuration du sang
  15. Gros intestin : absorption de l’eau et des éléments nutritifs
96
Q

Fonctions reins

A

Élimination ou excrétion de déchets issus du métabolisme (urée, acide urique, créatinine, eau en excès, etc.) et de substances en excès (médicaments, vitamines, hormones, etc.)

Maintien de l’équilibre hydrique (élimine ou réabsorbe de l’eau, maintien le volume sanguin, à l’aide de l’ADH: hormone antidiurétique)

Maintien de la composition ionique du sang

  1. Régulation du pH sanguin
  2. Participe à la régulation de la pression artérielle
  3. Production d’hormones (ex : EPO (érythropoïétine), calcitrol (forme active de la vitamine D))
  4. Constitués de nombreux tubules (NÉPHRONS) et d’un dense réseaux de capillaires associés.
97
Q

Régulation ADH et réabsorption

A

une des fonctions importantes des reins est de participer à l’osmorégulation. Celle-ci implique également la participation de l’hormone ADH (libérée par la neurohypophyse). Ce phénomène de régulation est assuré par un mécanisme de rétro inhibition ou rétroaction négative
1. Déshydratation détectée par l’hypothalamus, qui envoie un signal à la neurohypophyse, qui sécrète de l’ADH, qui est détectée par les tubules rénaux des reins et réabsorbe de l’eau et diminue la quantité d’urine.

98
Q

Application tests urine

A
  1. Dépistage des troubles métaboliques ou rénaux
  2. Dépistage des infections urinaires ou certaines ITSS
  3. Détecter et mesurer des substances normalement absentes de l’urine (globules rouges et globules blancs, bactéries, protéines, corps cétoniques, glucose)
  4. Test de dépistage de drogues dans l’organisme
  5. Dépistage pour le dopage sportif
  6. Détecter des concentrations d’hormones (test de grossesse : hormone HCG)
99
Q

Fonctionnement néphron

A
  1. Filtration glomérulaire (glomérule et capsule glomérulaire) : par un processus passif et non sélectif, les liquides et les solutés du sang sont poussés à travers les capillaires du glomérule à la capsule glomérulaire pour former le filtrat. Donc, la pression du sang très forte fait sortir presque tout le plasma, à l’exception des molécules trop grosses (comme des protéines) et les éléments figurés (cellules sanguines)
  2. Réabsorption tubulaire (tubule proximal, anse du néphron) : permet la récupération des solutés importants à partir du filtrat vers le sang (eau, glucose, acides aminés, eau, ions), essentielle pour récupérer l’eau et les nutriments (presque tout revient dans le sang)
  3. Sécrétion tubulaire (tubule contourné distal et collecteur) : permet de se débarrasser des ions K+, H+ en trop grande quantité, donc c’est à ce niveau qu’il y a régulation du pH sanguin et élimination de certains médicaments, vitamines hydrosolubles en excès, etc. Ces substances passent donc du sang au filtrat.
100
Q

Urine normale

A

stérile, pH entre 4,5 et 8

  1. Eau (95%)
  2. Solutés (5%) dont
  3. Déchets azotés:
  4. Urée (déchet organique le plus abondant, sous-produit de la dégradation des acides aminés dans le foie.)
  5. Créatinine (déchet organique généré par le tissu musculaire squelettique)
  6. Acide urique (déchet produit pendant le recyclage des molécules d’ARN)
  7. Ions (Na+, K+, H2PO4-, SO4-, Mg2+, Ca2+ et HCO3-) en excès
  8. Ammoniac
101
Q

Filtrat urine

A

filtrat a des éléments du plasma (ions K+ et H+, vitamines en excès, etc.), sauf les grosses molécules, les éléments figurés, les solutés importants, les nutriments

102
Q

Pancréas

A

aucune digestion mécanique, sécrétion de bicarbonate de soude qui neutralise ce qui arrive de l’estomac, production du suc pancréatique qui se jette dans le duodénum (première partie intestin grêle) et qui contient des enzymes travaillant à pH 7 hydrolysant
i. Les glucides (comme l’amylase pancréatique)
ii. Les protéines (protéases)
iii. Les acides nucléiques (nucléase pancréatique)
iv. Les lipides : la lipase pancréatique est la seule enzyme importante à digérer les graisses en acides gras.