Examen final Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la segmentation

A

Découpage du marché en groupe homogènes de consommateurs, d’utilisateurs ou de client ayant des comportements semblables, chaque groupe étant toutefois différent des autres (ex : consommateur de bières séparé en bières importées, bières faible teneur en calories et bières locales

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2
Q

Ciblage

A

consiste à choisir les segments , les marchés ou les clientèles que l’entreprise veut conquérir et fidéliser

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3
Q

Persona

A

Caractéristique de la cible selon différents critères (sociodémographiques, géographiques, psychographiques…)

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4
Q

positionnement

A

position qu’occupe ou veut occuper une marque ou une entreprise dans la tête et le coeur des clients, par rapport aux positions occupées par les marques ou les entreprises conccurentes (l’image que la marque veut que les consommateurs aient)

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5
Q

Différenciation

A

consiste pour une marque ou une entreprise de se distinguer des autres à être perçues par les clients comme différentes des conccurents et ce, dans un sens positif pour eux en fonction d’un ou plusieurs attributs significatifs (ex : Labatt bleu qui se différencie par son identité)

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6
Q

Marché

A

le marché est un lieu de rencontre et d’échanges entre les entreprises (B) et les individus alors devenus consommateurs (C) d’où la notion B2C. La marché fait office de cadre délimitant de la discipline du comportement du consommateur

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7
Q

différence entre marque produit et marque organisationnelle

A

marque produit : s’apparente le plus souvent à un ensemble de produits/services similaires vendus sous le même nom de marque (ex : uber eat et prime vidéo)

marque organisationnelle : est, quant à elle, un peu plus “l’entreprise” derrière la marque-produit (ex: Uber et Amazone)

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8
Q

Éveil d’un besoin

A

il s’agit de la perception d’un besoin, de devoir combler un manque / de résoudre un problème

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9
Q

Comment on appelle la différence significative entre notre état désiré et notre état actuel?

A

la tension

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10
Q

La reconnaissance de besoins arrive suite à quel(s) facteur(s)?

A

Stimuli lié à l’individu : “je ressens quelque chose et je veux quelque chose”

Stimuli lié au contexte / à l’environnement : “il se passe quelque chose, je remarque quelque chose” (exemple : correction d’une situation problématique, adaptation à un changement, tu réalises que tu as faim après avoir senti l’odeur de Mcdo)

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11
Q

Qu’est-ce qu’un stimuli interne?

A

Qui provient de l’individu même, stimuli psychologique (sensation de faim, de soif, tremblement, bâillement) et psychologique (pensée, état d’esprit)

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12
Q

Qu’est-ce qu’un stimuli externe?

A

provient de l’environnement autour de l’individu. L’objectif est d’augmenter la tension ressentie. Pour cela on peut chercher à promouvoir un état désiré plus élevé ou on peut jouer sur l’état actuel en cherchant à diminuer son niveau. On peut également jouer sur les deux

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13
Q

Comment on augmente l’état désiré?

A

Essayer d’influencer le consommateur pour devenir comme une célébrité, on augmente son état désiré en terme d’estime ou d’accomplissement de soi. Quand une publicité vous fait ressentir “Je veux être comme ça” elle joue sur l’état désiré

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14
Q

Comment on diminu l’état actuel?

A

Une publicité au alentours de 18-19h qui viendrait mettre de l’avant un beau hamburger livré à domicile. On cherche à faire ressentir la faim et donc à diminuer l’état actuel sur l’échelle de satiété)

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15
Q

Vrai ou faux : les entreprises créent des besoins?

A

FAUX : le besoin est déjà à l’intérieur du consommateur. La seule chose sur quoi l’entreprise peut jouer c’est la TENSION

Toutefois : l’entreprise peut jouer sur les besoins des individus en essayant par exemple de :
- Amplifier l’importance de ces besoins et de leur esprit
- Jouer sur la nécessité de solutionner un problème urgemment
- mettre en lumière un problème latent
L’entreprise peut aussi jouer sur la solution qu’elle propose au besoin : leur proposer une solution miracle, un choix qu’elle ne peut pas refuser

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16
Q

Identifie les deux types de recherche d’informations

A

Interne (mémoire)
Externe (amis, vendeurs, internet..)
C’est l’analyse des coûts/bénéfices subconsciente qui lance (ou non) la recherche externe

** Dans la réalité, le consommateur fait un va et vien entre la recherche interne et externe

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17
Q

Quels types de source d’infos sont consultés?

A
  • Sources personnelles (famille, amis, collègue)
  • source commerciales (vendeurs, publicités, sites de vente)
  • source expérientielles (test du produit, l’inspection en magasin)
  • source indépendante (site web, forums, réseaux sociaux)
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18
Q

Quels types d’informations sont recherchées?

A
  • les critères de choix
  • les marques et produits existants
  • le positionnement de ces produits existants dans les critères établis
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19
Q

Quels sont les facteurs influençants sur le degré de recherches externes?

A

Les variables individuelles et les variables contextuelles (exemple dans les notes)

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20
Q

Qu’est-ce que la règle conjonctive?

A

Définir le seuil minimal pour CHAQUE critère

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21
Q

Qu’est-ce que la règle disjonctive ?

A

le seuil minimal pour AU MOINS un critère

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22
Q

Qu’est-ce que la règle d’élimination par critères?

A

Un critère à la fois, du plus important au moins important

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23
Q

Qu’est-ce que la règle lexicographique?

A

Le meilleur produit, pour le critère le plus important

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24
Q

Qu’est-ce que la règle linéaire compensatoire ?

A

Le produit avec le meilleur score TOTAL

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25
Q

Qu’est-ce que la satisfaction et/ou l’insatisfaction (en évaluation post achat)

A

correspond à l’écart entre les attentes du consommateur et les performances reçues

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26
Q

Vrai ou faux : les différents attributs jouent le même rôle dans l’évaluation post achat?

A

FAUX :
Attribut de base :
- présente = faible impact sur la satisfaction
- absente = gros impact sur l’insatisfaction

Attributs de performance :
- présence = gros impact sur la satisfaction
- absence = gros impact sur l’insatisfaction

Attributs d’enchantement :
- présence = gros impact sur la satisfaction
- faible = faible impact sur l’insatisfaction

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27
Q

Qu’est-ce que la dissonance cognitive ?

A

État psychologique d’inconfort résultant d’une incohérence entre les croyance.
- Survient fréquemment après un achat difficile
- N’est pas lié à l’écart entre les attentes et la performance perçue

  • Elle est lié à la décision d’achat
    (je n’aurais pas du faire cet achat j’en avais pas de besoin ; cela me plat mais mes amis n’approuvent pas ; je viens de voir sur internet que la marque a une mauvaise réputation)
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28
Q

La dissonance cognitive post achat dépend de quoi?

A

L’irrévocabilité de la décision d’achat
La difficulté du choix
L’importance de la décision
L’anxiété générale du consommateur

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29
Q

Quels sont les 3 facteurs qui influencent le degré d’implication du consommateur dans le processus de décision?

A

a. l’importance du bien/service acheté (ex : acheter une auto vs un dentifrice)
b. la familiarité avec le bien/service acheté
c. les facteurs affectifs

Achats routiniers (décisions fréquentes ; bonne connaissance de la catégorie ; recherche minimal d’information)

Achats de difficulté modéré (bonne connaissance de la catégorie ; ensemble évoqué peu défini)

Achats complexes (pas d’expérience ; peu de connaissance dans la catégorie ; peu de connaissance des options disponibles)

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30
Q

Quelles sont les limites du modèle logico-rationnelle?

A

1) Il nous permet de mieux comprendre le choix d’un produit/service en particulier mais n’explique pas toutes les facettes de la décision d’achat (quelle qte? comment? où et quand?)

2) Le consommateur a parfois recours à des heuristiques (ou raccourcis) pour faciliter sa prise de décision (ex : acheter la même marque, heuristique de représentativité (stéréotype) ; se fier sur des options qui nous viennent à l’esprit ; privilégier la première option présenté

3) Rationalité limitée : le consommateur est un être humain qui n’est pas parfait ; ses choix ne le sont pas non plus. Ainsi, il est entre autres limité par - ses valeurs, ses habiletés, ses capacités cognitives, sa rigueur/implication, ses erreurs . Le consommateur ne cherche pas toujours un choix optimal (rationalité complète) mais bien souvent un choix satisfaisant (rationalité limité)

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31
Q

Qu’est-ce que la motivation?

A

le processus qui explique les liens entre le besoin, l’objectif et l’action

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32
Q

Explique le processus de motivation

A
  • L’existence d’un besoin
  • Ce besoin est associé à un état désiré et un état actuel et l’écart entre les deux c’est la tension
  • lorsque l’état actuel est égal à l’état désiré ou mieux : la tension est positive. Lorsque l’état actuel est moins bonne que l’état désiré, alors la tension est négative et le besoin se retrouve insatisfait. Lorsque cette tension est suffisamment forte/importante, il se crée une drive (un cou d’élan ou un boost) qui fait alors passer le besoin comme “activé” auprès de l’individu
  • Celui-ci va chercher alors à le satisfaire et pour cela il va évaluer différentes manières de le faire et va alors en choisir une, ce qui va devenir son objectif à atteindre
  • Cet objectif peut être réalisé au moyen de différentes actions. Comme avec le processus de décision, le consommateur va évaluer les différentes options pour atteindre son objectif et une fois ce choix fait, il va passer à l’action
  • La réalisation de cette action permet de satisfaire le besoin en réduisant la tension associé à ce besoin - c’est ce qu’on appelle la satisfaction du besoin
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33
Q

Quels facteurs influencent l’ordre d’importance des besoins?

A
  • l’intensité relative aux différentes tensions
  • la puissance des options retenues
  • de nombreuses caractéristiques individuelles (importance relative à chacun des besoins )
  • des ressources actuelles (temps, énergie, argent)
  • de sa capacité à produire les actions permettant de combler le besoin (disponibilité de l’action, accessibilité)
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34
Q

Est-ce que les “chemins” peuvent se croiser?

A

OUI, tout le temps. Il arrive qu’une même action comble plusieurs besoins (ex : l’achat d’un téléphone)

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35
Q

Qu’est-ce que l’approche expérientielle?

A
  • ce qui motive le consommateur est la recherche de plaisir, de sensation, d’esthétique. Le consommateur veut surtout se divertir. Il cherche la gratification immédiate
    (cette approche n’invalide pas Maslow : elle met simplement de l’avant l’existence de nouveaux besoins humains plus expérientielles, qui vont être comblés par l’atteinte d’objectifs davantage ancrés dans le plaisir, la sensation, l’émotion et l’expérience
36
Q

Qu’est-ce que la perception?

A

le processus par lequel les consommateurs délectionnent, organisent et interprètent les informations qui parviennent à leur sens par des stimulis internes et externes

37
Q

Qu’est-ce que le seuil sensoriel inférieur

A

Niveau minimal d’intensité requis pour qu’une personne puisse détexter un stimulus

38
Q

Qu’est-ce que le seuil sensoriel supérieur?

A

Niveau d’intensité à partir duquel une augmentation d’intensité n’est plus perçue ou devient associée à la douleur

39
Q

Comment on peut être exposée à un stimulus?

A

Il faut que le stimuli soit capté par un de nos 5 sens, et pour cela il doit se trouver à l’intérieur de nos seuils sensoriels absolus (il y a toujours un seuil minimum et parfois il y a aussi un seuil supérieur)

40
Q

Qu’est-ce qu’un seuil différentiel?

A

la plus petite variation nécessaire pour distinguer deux stimulus.

Nous sommes biologiquement limités par nos seuils sensoriels inférieurs et supérieurs. En revanche, nouis pouvons développer nos seuils différentiels avec de l’entrainement

41
Q

En quoi les seuils sensoriels sont pertinent en marketing?

A

Comprendre les seuils sensoriels inférieurs et supérieurs de nos consommateurs orientent nos innovations.

En effet, éduquer nos consommateurs sur les sensations qu’ils ressentent et sur les caractéristiques de nos produits qui les provoquent, notamment lorsque distinguer deux stimuli provenant de caractéristiques différentes est difficile (attention à l’effect placebo)

42
Q

Les critères de sélection dépendent de quel facteur?

A
  • facteur structurel (relatifs au stimuli) - taille, intensité, couleur, contraste, position, durée, caractère positif et négatif
  • Facteur motivationnels (relatifs à l’individu) : les besoins, les préférences, l’état affectif
43
Q

Comment une marque peut augmenter ses chances de sélection?

A
  • se distinguer des publicités pour des produits/services similaire (comme la pub tide)
  • se distinguer des publicités juste autour de nous (publicités physiquement à côté)
44
Q

Qu’est-ce que l’organisation de l’information?

A

les informations qui parviennent aux sens des consommateurs via des stimuli sont désordonnées. Les consommateurs organisent donc ces informations . L’organisation est un processus quasi automatique par lequel votre cerveau va ordonner/organiser/grouper de nombreux stimuli différents et les interpréter comme un ensemble.

45
Q

Qu’est-ce que l’interprétation de l’information?

A

c’est le processus par lequel les consommateurs donnent des significations aux informations transmises par les stimuli. Il s’agit de la phase de traitement d’information.
L’interprétation conduit à la formation de perceptions (ou de croyance) subjectives à partir d’informations objectives issus de stimuli autour de nous

L’interprétation se fait sur la base de schéma cognitif que les consommateurs ont en mémoire. Ces schémas sont des associations de codes, concepts, d’idées et d’attributs que les consommateurs construisent pour comprendre le monde qui les entourent

46
Q

Qu’est-ce que l’on fait lorsqu’il est difficile de se bâtir des perceptions?

A

on fait de l’inférence

47
Q

Qu’est-ce que l’inférence?

A

Un processus de raisonnement logique par lequel on part de certaines assertions (faits/vérités) pour en arriver à d’autres (une construction de sens sur la base des informations disponibles et du raisonnement.

L’inférence est donc une manière d’interpréter certaines informations pour développer d’autres croyances

Ce processus ce produit souvent lorsque :
- nous ne sommes pas capable d’observer directement l’information
- obtenir l’information est trop couteux (en terme de ressource)
- l’information est tout simplement manquante

48
Q

Qu’est-ce que les inférences d’attributs?

A

a. la perception multi critères : développer une perception d’un attribut sur la base d’autres informations ; produire un résultat (ex : perceptiond e l’état de la voiture) sur la base d’un raisonnement logique issue de plusieurs autres informations (les caractéristiques de la voitures - nb de kilos, défaut visuels, années de production)

b. Heuristique : on évalue souvent la qualité d’un produit à son emballage et/ou son prix (ex : bouteille de vin en plastique = vin cheap - produit dispendieux = de qualité)
On est plutôt dans les raccourcis cognitifs sur la base d’un seul attribut. Afin de minimiser les chances de se tromper, il faut utiliser le plus d’informations pertinentes possible

c. Associations linguistiques et symboliques
Linguistiques : sur la base de langage, des lettres, des mots
Symboliques : sur la base des signes, des symbôles

49
Q

Qu’est-ce que les inférences de catégories (ou catégorisations) ?

A

Développer une perception d’un objet sur la base de catégories mentales
Catégorisation : les consommateurs regroupent les choses pour former des catégories mentales. En placant un objet dans une catégories perceptuelle, on lui attribue les qualités de cette catégorie. La catégorisation est importante et souvent utilisée par les consommateurs car elle facilite la compréhension de nouveaux produits

50
Q

Qu’est-ce qu’une inférence métacognitive?

A

développer une perception sur la base d’une réflexion sur ses propres pensées (ex : la perception d’avoir été distrait par une publicité améliore notre attitude envers le produit commercialisé - car on attribue notre distraction à notre intérêt pour le produit)

51
Q

Pourquoi les marketers devraient développer le marketing sensoriel?

A

Afin de renforcer des perceptionrecherchées par les marques (qualité, aspect relaxant, innovant, dynamique)
Exemple de marketing sensoriel : musique dans les magasins, dans les spas, à l’embarquement dans les avions : elles influencent notre comportement et nos niveaux d’énergie.

Valoriser l’expérience de consommation au moyen de sensations qui répondent à des motivations expérientielles

L’expérience devient de plus en plus un moyen de différenciation

52
Q

Qu’est-ce qu’une attitude?

A

une évaluation relativement durable, générale et résumée d’un objet allant du négatif au positif

53
Q

Quelles sont les 3 étapes du modèle de Fishbein?

A

1) identification des attributs
2) mesure des attributs
3) mesure de croyances

54
Q

Nomme les 3 avantages du modèle de Fishbein?

A

1) Améliorer les croyances des consommateurs envers le produit pour certains attributs (donner plus de point à un attribut plus important)
2) Augmenter l’importance accordé par les consommateurs à certains attributs (ei) pour lesquels le produit obtient des scores bi élevé (ou vise versa) - Faire des publicités pour mettre de l’emphase sur un point que tu te démarques pour que les consommateurs lui accordent plus d’importance
3) mettre de l’avant un nouvel attribut pour lequel le produit obtiendra un score (bi) plus élevé - vendre le fait que ton auto est éco responsable et faire prendre conscience aux consommateurs que c’est important de considérer ce point là.

55
Q

Qu’est-ce que représente les croyances dans la dimension cognitive de l’attitude?

A

regroupent l’ensemble des jugements subjectifs (propres à chacun) relatifs à l’objet (ex : il est rapide, performant, la personne est gentille)
- les croyances ne découlent pas seulement d’informations cognitives (efficacité, prix…) mais aussi d’informations affectives (stimuli sensoriels, plaisir, émotion élicitées) et d’informations béhaviorales (liées aux expériences de consommation passées)

56
Q

Qu’est-ce que la dimension affective?

A

c’est l’attitude envers l’objet. Les attitudes représentent l’opinion subjective, positive ou négative envers l’objet (ex : j’aime cette voiture, je n’aime pas la crème glacer)

57
Q

Qu’est-ce que la dimension conative?

A

les intentions et comportements envers l’objet : représentant la dimension comportementale envers l’objet (ex : je n’ai pas envie de ça, je suis prêt à tout pour l’avoir, je l’achète

58
Q

Quelle est la théorie de Heider?

A

Selon lui, l’être humain cherche à maintenir une certaine cohérence dans leur vie. Poussés par ce besoin de cohérence, ils développent de nouvelles attitudes (ou vont modifier des existantes) de manière à conserver cette balance psychologique envers leurs attitudes (afin d’éviter, par exemple, la dissonance cognitive)

59
Q

Qu’est-ce que les triades permettent?

A

ils permettent de prédire et d’évaluer l’attitude naissante d’un consommateur à l’égard d’un nouvel objet à l’aide de l’attitude existante entre ce même consommateur et un autre objet ainsi que de l’attitude (ou l’association) entre l’objet 1 et l’objet 2

60
Q

Pourquoi le modèle de triades est critiqués?

A

Parce qu’il dépend beaucoup de :
1) la relative importance de la cohérence chez le consommateur
2) l’hypothèse que l’attitude de C envers O ne découle seulement que de deux autres attitudes
3) L’absence de nuance dans la positivité/négativité des attitudes

Ainsi, la balance d’heider de permet pas de réellement mesurer précisémment les attitudes des consommateurs.
En revanche, ce modèle demeure toutefois intéressant afin de prédire la variation d’une attitude existante

61
Q

Quel est le but des influenceurs?

A

de faire modifier les attitudes des consommateurs envers les marques en s’associant à des influenceurs pour amener une attitude positive envers la marque

62
Q

Pourquoi on a un intérêt envers le style de vie et les valeurs?

A

Les variables sociodémographiques et géographiques ne permettent plus à elles seules d’expliquer les comportements de consommation que nous observons dans les sociétés post-moderniste

La recherche sur la personnalité n’est que relativement peu adapté au contexte marketing lorsque appliquée au comportement du consommateur

63
Q

Quelle est l’utilité de la recherche psychographique? Pourquoi en conduire?

A
  • Pour segmenter le marché cible (segmentation basée sur des critères psychographiques)
  • Afin de mieux se positionner dans le marché (rejoindre le consommateur et modifier son attitude envers notre marque en communiquant autour de ses valeurs et de son style de vie. La cohérence est importante!)
64
Q

Qu’est-ce que le style de vie ?

A

façon dont une personne se comportement dans son environnement à la fois pour elle-même mais aussi pour communiquer son identité auprès des autres. Cela englobe ses activités, ses champs d’intérêts et ses opinions, ainsi que les produits qu’elle achète et consomme.

Le style de vie défini un modèle de consommation qui reflète les choix d’une personne quant à sa façon de dépenser ses ressources (argent, temps etc)

(** Parfois elle inclut les attitudes, la personnalité et les valeurs)

65
Q

Qu’est-ce qu’une valeur et comment elle est utilisée en marketing?

A

Croyance fondamentale ayant trait à la façon dont on doit agir afin d’atteindre les buts qu’on juge important. Une valeur exprime ce qui vaut la peine d’être soutenu, encouragé, défendu

Les valeurs sont utilisés pour segmenter les consommateurs et favoriser l’identification des consommateurs avec la marque

66
Q

Liste des valeurs de Kahle importante en marketing

A
  • l’amusement et la joie de vivre
  • être respecté
    -la quête de sensation forte
  • l’épanouissement personnel
  • le sentiment d’appartenance`
  • la recherche de sécurité
  • le sens de l’accomplissement
  • la volonté d’établir des relations chaleureuses avec les autres
  • le respect de soi
67
Q

Qu’est-ce que la culture?

A

la culture envoie aux valeurs, aux normes et aux significations plus ou moins partagées dans un groupe social donné

Elle permet d’agir d’une manière approprié ou acceptable ; elle rend intelligible et compréhensible ce qui se fait dans un contexte donné

La culture est donc un ensemble de codes, de connaissances et outils intangible tel que : les normes, les lois et règlements, les mythes et légendes, les rituels, le sacré et le profane, le verbal et le non verbal, la religion

68
Q

Qu’est-ce que le marketing d’influence?

A
  • 92% des consommateurs font confiance aux recommandations de d’autres consommateurs sur les médias sociaux
  • les consommateurs accordent de plus en plus d’importance aux recommandations d’autres individus plutôt qu’à des informations provenant directement des marques et de leur publicité
  • Les consommateurs jouent donc un rôle clé dans le bouche à oreille digital
69
Q

Qu’est-ce qu’un influenceur?

A

Une personne qui est suivie pour son contenu dans un domaine spécifique. C’est une personne qui a généralement une forte communauté engagée autour de ce qu’elle diffuse. C’est un travailleur autonome approché par des entreprises pour prendre part à leur stratégie de marketing d’influence

70
Q

Qu’est-ce qu’un nano influenceur?

A
  • utilise les réseaux sociaux comme passe temps et pour partager leur expérience
  • partage leur propre opinion personnelle ressenti. contenu authentique, leur contenu représente ce qu’ils sont.
  • ils favorisent les relations personnelles avec leur communauté par l’entremise d’intéraction (commentaire, stories)
  • Leur communauté est souvent active sur les réseaux sociaux, mais est souvent plus hétérogène (pas centré autour de domaines en particulier)
  • < 5000 abos
71
Q

Qu’est-ce qu’un micro-influenceur?

A
  • ont des utilisateurs très actifs et expérimentés. Il publie continuellement du contenu et sont à l’affut des nouvelles tendances
  • souvent spécialisé dans un domaine. Souvent engagés personnellement dans le contenu. Ils ont un souci particulier pour la trame narrative ou le story telling et l’authenticité dans leur contenu. Ils s’adressent à des communautés compactes, relativement loyales et engagées avec l’influenceur et son contenu. Ils ont un impact direct sur la prise de décision de leur communauté
  • < 100 000 abos
72
Q

Qu’est-ce qu’un macro influenceur

A
  • Sont considérés comme des célébrités
  • malgré leur milleurs/millions d’abonnés, ils n’exercent pas une grande influence sur la prise de décision
  • Un grand nombre d’abonnés n’est pas synonyme d’un fort taux d’engagement
  • les abonnés sont plutôt des spectateurs
  • > 100 000
73
Q

Quels sont les formes de collaboration avec les influenceurs?

A

1) association influenceur/marque
2) concours
3) code promo

74
Q

Qu’est-ce que le concept de soi?

A
  • ensemble de croyance qu’une personne a d’elle même
  • il s’agit de notre perception de nous-même, il résume ce qu’une personne pense d’elle-même. Le concept de soi est intimement lié à l’identité
75
Q

À travers quels éléments le concept de soi se crée t-il?

A
  • l’observation de notre propore comportement
  • le comportement des autres à notre égard et ce qu’ils nous communiquent à propos de nous
  • les comparaisons que nous faisons avec les autres
76
Q

Le concept de soi est composé de quoi?

A
  • ses valeurs comme individus
  • ses compétences
    -ses rôles sociaux
  • ses traits perçues de la personnalité
  • son genre, son identité sexuelle
  • son identité ethnique
  • son corps / apparence physique
77
Q

Quelles sont les 3 grandes composante de soi

A

1) l’estime de soi
2) le soi idéeal
3) le soi réel

78
Q

Qu’est-ce que l’implication personnelle envers la marque?

A

l’implication personnelle représente l’importance accordée à un objet par un individu
- Au delà du type de produit, le niveau d’implication est influencé par différents facteurs qui peuvent être associés à l’individu lui-même, au produit/service ou au contexte

Quelques exemples de facteurs liés à l’individu (ses besoins, ses intérêts, ses valeurs et sa culture)

Liés au produit/service : ses attributs, son unicité, la publicité qui en fait, les valeurs, les messages communiqués par le produit/la marque

79
Q

Qu’est-ce que la conscience de soi?

A

caractérise la reconnaissance faite par l’individu de son propre soi dans l’environnement dans lequel il évolue

80
Q

Qu’est-ce que la surveillance de soi?

A

les individus plus conscients prêteront davantage attention à leur image publique, à leur apparence, leurs actions. Ils seront plus aptes à pratiquer la surveillance de soi

81
Q

Qu’est-ce que le soi multiple?

A

tu peux avoir plusieurs soi, qui sont, en quelques sortes, les micro identité de toi
- la femme sportive
- la mère de famille
- la femme d’affaire
- la collectionneuse de papillon
-la militante pour l’environnement

Toutes ses micros identités se construisent autour de situations/caractéristiques importantes de sa vie et nous les activons/désactivons selon les situations. Chaque soi peut être associé à des comportements, des normes, codes, langages, tenues vestimentaires, attitudes etc. qui sont spécifique à ce soi

82
Q

Qu’est-ce que la présentation de soi?

A
  • notre côté acteur
  • on insiste sur la performance selon notamment l’importance de l’audience (la gestion des impressions) , la scène et l’arrière scène
83
Q

Quelle est la différence entre le soi privé et le soi public?

A
  • le soi privée est ce que l’on garde pour nous ou avec nos amis proche-famille
  • Le soi public est comment on se présente aux autres (collègue de travail, supérieur).

Nous modérons nos faits et gestes, nos comportements, notre manière d’être et plus globalement qui nous sommes lorsque nous sommes en présence d’autres individus

84
Q

Qu’est-ce que le soi numérique?

A
  • les extensions/projections digitales de soi (mon profil instagram)
85
Q

Quel est le lien entre le soi étendu et la consommation?

A

le consommateur achète le produit car celui-ci est cohérent avec son concept de soi. Le produit renforce donc ou redéfinit le concept de soi du consommateur.

Il y a 4 niveaux de soi étendu :
1) le niveau individuel (nos biens…)
2) le niveau familial
3)le niveau communautaire
4) le niveau collectif

86
Q

Pourquoi il est important de s’intéresser à l’expérience?

A

l’expérience en soi est déterminante de la satisfaction. Elle déterminera en grande partie ce qu’en diront les personnes vaccinés (chemin vu en classe). Elle sera aussi probablement liée à leur désir de se faire vacciner à nouveau
- réduction dissonance cognitive
- favorise le réengagement