Examen final Flashcards
(119 cards)
Quel type de communication l’approche fonctionnaliste met-elle en avant ?
A) Interprétation collective.
B) Recadrage et rhétorique.
C) Sensmaking et narration.
D) Dialogue empathique.
B) Recadrage et rhétorique.
Dans l’approche interprétative, qu’est-ce que le sensegiving ?
A) Le processus de créer des significations collectives.
B) Le processus d’influencer le sensmaking des autres.
C) La méthode de recadrer les perceptions de manière individuelle.
D) Une approche qui néglige les interactions sociales.
B) Le processus d’influencer le sensmaking des autres.
Selon l’approche constitutive, qu’est-ce qui est essentiel pour favoriser le changement?
A) La diffusion du projet de la direction.
B) L’utilisation d’une rhétorique persuasive.
C) La mise en place de dispositifs d’échange dialogiques.
D) La centralisation des décisions.
C) La mise en place de dispositifs d’échange dialogiques.
Quel facteur favorise la cohésion dans un groupe (courant des relations humaines) ?
A) Une divergence des buts entre les membres.
B) La présence d’un ennemi commun.
C) Une faible participation aux activités.
D) Une absence de compétition intergroupe.
Réponse : B) La présence d’un ennemi commun.
Quelle est une caractéristique de la pensée de groupe ?
A) Une réduction de l’unanimité.
B) Une forte évaluation des options existantes.
C) Une pression à la conformité des membres.
D) Une meilleure prise de décision en période de crise.
C) Une pression à la conformité des membres.
Dans la grille de Blake et Mouton, quel style représente une stratégie gagnant-gagnant ?
A) Collaboration (9.9).
B) Compromis (5.5).
C) Compétition (9.1).
D) Accommodation (1.9).
A) Collaboration (9.9).
Quelle est la critique principale de la théorie des parties prenantes ?
A) Elle ne prend pas en compte les salariés.
B) Elle est un habillage marketing masquant des rapports de force.
C) Elle exclut les clients des parties prenantes.
D) Elle se concentre uniquement sur les aspects environnementaux.
B) Elle est un habillage marketing masquant des rapports de force.
Quelle forme de discours R.S.E. vise à anticiper les attentes sociétales ?
A) Discours narratifs.
B) Discours anthropologiques.
C) Discours proactifs.
D) Discours autoréférentiels.
C) Discours proactifs.
Selon l’approche symbolique, quelle distinction est importante entre règle et norme ?
A) La règle vise l’adhésion, tandis que la norme impose l’obéissance.
B) La règle impose l’obéissance, tandis que la norme vise l’adhésion.
C) La norme est hiérarchique, tandis que la règle est collaborative.
D) La norme est juridique, tandis que la règle est culturelle.
B) La règle impose l’obéissance, tandis que la norme vise l’adhésion.
Dans un cadre fonctionnaliste, quel médium est le plus riche pour des problèmes complexes ?
A) Les échanges vidéo.
B) La communication face-à-face.
C) Les rapports quantitatifs.
D) Les échanges écrits informels.
B) La communication face-à-face.
Quel est l’objectif principal de la gestion des connaissances dans une organisation ?
A) Réduire les interactions entre les membres.
B) Maximiser la circulation des connaissances.
C) Limiter les échanges informels.
D) Centraliser les connaissances sur des supports physiques.
B) Maximiser la circulation des connaissances.
Quel défi l’implantation de technologies peut-elle entraîner dans les organisations ?
A) Une augmentation de la productivité sans ajustement.
B) Une institutionnalisation des routines.
C) Une réduction des tensions entre les employés.
D) Une élimination totale des incertitudes.
B) Une institutionnalisation des routines.
Qu’est-ce que le recadrage dans l’approche fonctionnaliste ?
Le recadrage consiste à proposer une nouvelle façon de voir ou d’interpréter une situation pour convaincre les individus d’adhérer au changement.
Quelles sont les trois dimensions de la rhétorique et leur rôle dans la communication d’influence ?
Ethos : Crédibilité et confiance inspirée par l’orateur.
Pathos : Capacité à susciter des émotions.
Logos : Arguments logiques et preuves.
Comment l’approche interprétative aborde-t-elle le changement ?
Elle le voit comme une modification des significations attribuées aux événements. La communication exprime les réactions au changement et permet d’influencer la perception collective à travers le sensmaking (construction de sens) et le sensgiving (influence sur le sensmaking).
Qu’est-ce que l’agir communicationnel dans l’approche critique ?
C’est une action orientée vers l’intercompréhension et la collaboration, qui cherche à transformer les rapports de domination en rapports égalitaires.
Comment l’approche constitutive considère-t-elle le changement ?
Elle le voit comme un phénomène naturel et continu qui émerge des interactions et des dialogues entre individus. Le changement réside dans les perceptions et les croyances (cartes mentales).
Quels facteurs favorisent la cohésion dans un groupe ?
Correspondance entre les buts individuels et ceux du groupe.
Activités synchrones (faire des choses ensemble).
Succès collectif.
Compétition intergroupe.
Qu’est-ce que la polarisation de groupe ?
C’est la tendance à prendre des décisions plus extrêmes en groupe qu’individuellement, due à l’influence informationnelle et normative.
Quels sont les symptômes de la pensée de groupe ?
Illusion d’invulnérabilité.
Rationalisations collectives.
Croyance en la moralité supérieure du groupe.
Pression à la conformité.
Autocensure et illusion d’unanimité.
Quelle est la différence entre un leader orienté vers la tâche et un leader orienté vers les relations ?
Un leader orienté vers la tâche se concentre sur les objectifs à atteindre, tandis qu’un leader orienté vers les relations met l’accent sur la motivation et la communication avec les membres.
Quelle est la différence entre développement durable (D.D.) et responsabilité sociale des entreprises (R.S.E.) ?
Le D.D. intègre des dimensions environnementales, économiques et sociales, tandis que la R.S.E. met l’accent sur le rôle social des entreprises dans la lutte contre les discriminations, le développement local et la préservation du milieu naturel.
Quelles critiques peut-on adresser à la théorie des parties prenantes ?
Elle est parfois perçue comme un habillage marketing visant à masquer les rapports de force existants dans les entreprises.
Comment les récits éthiques et R.S.E. influencent-ils les salariés ?
Ils créent un imaginaire collectif et une adhésion aux valeurs de l’entreprise, tout en participant à l’autodiscipline et à l’intériorisation des normes organisationnelles.