Examen final Flashcards

(49 cards)

1
Q

Quelle section du rapport présente l’objectif général de l’évaluation?
A. Procédure d’évaluation
B. Histoire de cas
C. Motif d’évaluation
D. Recommandations

A

C. Motif d’évaluation

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2
Q

Que doit-on éviter dans la terminologie d’un rapport d’évaluation?
A. Les observations comportementales
B. Les adjectifs superlatifs
C. Les recommandations personnalisées
D. Les citations du client

A

B. Les adjectifs superlatifs

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3
Q

Quelle est la longueur idéale d’un rapport, selon les préférences des lecteurs?
A. 3-5 pages
B. 5-10 pages
C. 10-15 pages
D. 15-20 pages

A

B. 5-10 pages

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4
Q

L’effet Barnum désigne :
A. L’utilisation de données quantitatives invalides
B. L’utilisation de termes trop techniques
C. Des descriptions vagues perçues comme très personnelles
D. Une interprétation fondée uniquement sur le diagnostic

A

C. Des descriptions vagues perçues comme très personnelles

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5
Q

Dans quelle section retrouve-t-on l’analyse du fonctionnement cognitif, émotif et interpersonnel?
A. Impressions et interprétation
B. Résumé
C. Histoire de cas
D. Procédure d’évaluation

A

A. Impressions et interprétation

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6
Q

Lequel des éléments suivants fait partie des recommandations efficaces?
A. Recommandation d’un suivi thérapeutique sans autre précision
B. Recommandation d’un test psychométrique sans justification
C. Suggestion concrète d’actions à poser par le client
D. Résumé de la procédure de test

A

C. Suggestion concrète d’actions à poser par le client

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7
Q

Que doit contenir la section « Procédure d’évaluation »?
A. L’interprétation des résultats
B. Le nom du professionnel
C. Les méthodes utilisées et les dates
D. Le résumé des symptômes

A

C. Les méthodes utilisées et les dates

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8
Q

Quel est le risque si on ne mentionne pas les contradictions dans les propos du client?
A. Le rapport sera trop long
B. Le rapport manquera de style
C. La crédibilité du professionnel sera mise en doute
D. Le rapport sera trop technique

A

C. La crédibilité du professionnel sera mise en doute

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9
Q

Le style d’écriture du rapport doit :
A. Être neutre, clair et adapté au public cible
B. Utiliser le jargon clinique pour faire autorité
C. Éviter toute forme d’interprétation
D. Privilégier une perspective littéraire

A

A. Être neutre, clair et adapté au public cible

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10
Q

Quelle est l’utilité principale des observations comportementales?
A. Remplir la section obligatoire du rapport
B. Confirmer ou nuancer les résultats des tests
C. Comparer les résultats à ceux d’autres clients
D. Évaluer les compétences sociales

A

B. Confirmer ou nuancer les résultats des tests

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11
Q

Pourquoi est-il important de spécifier si une comparaison est normative ou relative?
A. Pour respecter les normes APA
B. Pour éviter les répétitions
C. Pour être rigoureux dans l’interprétation
D. Pour justifier la longueur du rapport

A

C. Pour être rigoureux dans l’interprétation

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12
Q

Qu’indique la section « Identification » du rapport?
A. Les éléments d’analyse psychologique
B. L’état émotionnel du client
C. Les données sociodémographiques
D. Les diagnostics différentiels

A

C. Les données sociodémographiques

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13
Q

Que faut-il faire si certaines informations essentielles sont absentes lors de la rédaction du rapport?
A. Les ignorer pour éviter d’allonger le texte
B. Les remplacer par des hypothèses
C. Le mentionner explicitement dans le rapport
D. Ne pas finaliser le rapport

A

C. Le mentionner explicitement dans le rapport

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14
Q

Le JVIS permet d’évaluer principalement :
A. Les traits de personnalité
B. Les intérêts professionnels
C. Les aptitudes cognitives
D. Les styles de leadership

A

B. Les intérêts professionnels

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15
Q

Dans le Strong, un profil plat peut indiquer :
A. Une forte motivation
B. Des intérêts variés
C. Une identité vocationnelle peu développée
D. Une bonne connaissance de soi

A

C. Une identité vocationnelle peu développée

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16
Q

Le NEO-PI-3 mesure :
A. Six types d’aptitudes générales
B. Cinq grands traits de personnalité
C. Quatre types d’intelligences
D. Trois niveaux de motivation

A

B. Cinq grands traits de personnalité

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17
Q

Un score élevé à l’échelle Ouverture du NEO indique :
A. Une faible tolérance à la nouveauté
B. Un intérêt pour l’ordre et la structure
C. Une imagination riche et une curiosité intellectuelle
D. Une tendance à éviter les conflits

A

C. Une imagination riche et une curiosité intellectuelle

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18
Q

Le BGTA est particulièrement utile pour :
A. Évaluer l’humeur
B. Évaluer les capacités motrices et perceptives
C. Évaluer le fonctionnement émotionnel
D. Diagnostiquer un trouble de la personnalité

A

B. Évaluer les capacités motrices et perceptives

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19
Q

Une inconsistance dans le profil du Strong est observée quand :
A. Plusieurs scores sont très élevés
B. Le taux d’indifférent est très bas
C. Les résultats vont dans des directions opposées
D. Le client connaît bien ses intérêts

A

C. Les résultats vont dans des directions opposées

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20
Q

Dans la codification du Strong, les échelles thématiques servent à :
A. Évaluer les intérêts relatifs à des traits de personnalité
B. Créer un profil de motivation
C. Identifier les préférences environnementales globales
D. Confirmer les diagnostics cliniques

A

C. Identifier les préférences environnementales globales

21
Q

Le WAIS-III mesure principalement :
A. L’orientation vocationnelle
B. Les compétences sociales
C. L’intelligence cognitive
D. Les traits de la personnalité

A

C. L’intelligence cognitive

22
Q

Un taux d’indifférent élevé dans le Strong peut suggérer :
A. Une mauvaise connaissance de soi
B. Une forte confiance en soi
C. Une motivation élevée
D. Une préférence marquée pour les règles

A

A. Une mauvaise connaissance de soi

23
Q

Le code final du Strong est dérivé à partir de :
A. L’échelle occupationnelle uniquement
B. L’échelle de style personnel
C. La combinaison des thèmes récurrents dans les trois types d’échelles
D. L’entretien d’évaluation

A

C. La combinaison des thèmes récurrents dans les trois types d’échelles

24
Q

Dans le NEO, un score très faible à l’échelle Amabilité pourrait indiquer :
A. Une grande capacité d’écoute
B. Une faible capacité à faire confiance aux autres
C. Une personnalité très chaleureuse
D. Une tendance à l’évitement

A

B. Une faible capacité à faire confiance aux autres

25
Lors de l’interprétation du Strong, pourquoi est-il important de vérifier la validité du profil? A. Pour s'assurer que le test a été corrigé correctement B. Pour confirmer le score total C. Pour garantir que les résultats sont interprétables et représentatifs D. Pour identifier les faiblesses intellectuelles
C. Pour garantir que les résultats sont interprétables et représentatifs
26
ahthn
27
L’entrevue d’évaluation vise principalement à : A. Diagnostiquer un trouble psychologique B. Favoriser le changement thérapeutique C. Recueillir des données pertinentes à l’évaluation D. Confirmer les résultats des tests projectifs
C. Recueillir des données pertinentes à l’évaluation
28
L’une des qualités essentielles d’un bon interviewer est : A. Savoir imposer un rythme rapide B. Réduire l’observation au minimum C. Savoir établir un rapport de confiance D. Diriger la conversation de manière rigid
C. Savoir établir un rapport de confiance
29
Quelle stratégie est utile pour aider le client à se souvenir d’événements passés? A. Éviter de lui poser des questions personnelles B. Lui demander de se concentrer uniquement sur l’instant présent C. Situer les événements dans le temps avec des repères historiques D. L’encourager à inventer des éléments s’il ne se souvient pas
C. Situer les événements dans le temps avec des repères historiques
30
Lors de la phase d’ouverture de l’entrevue, il est important de : A. Présenter les résultats de tests B. Interroger sur les symptômes cliniques C. Obtenir les données sociodémographiques D. Émettre des hypothèses diagnostiques
C. Obtenir les données sociodémographiques
31
Une source fréquente de biais liée à l’interviewer est : A. La mémoire sélective du client B. L’usage d’un vocabulaire simple C. Le biais de confirmation D. La prise de notes structurée
C. Le biais de confirmation
32
Comment aborder un thème difficile comme les idées suicidaires? A. En évitant d’en parler pour ne pas choquer B. En utilisant un langage technique pour objectiver C. En normalisant les symptômes dans une formulation bienveillante D. En posant directement une question fermée
C. En normalisant les symptômes dans une formulation bienveillante
33
Lorsqu’un client est très bavard, une bonne stratégie consiste à : A. Laisser parler jusqu’à ce qu’il s’arrête naturellement B. Utiliser des questions fermées pour recentrer l’échange C. Planifier une entrevue de groupe D. Lire les résultats de tests pour capter son attention
B. Utiliser des questions fermées pour recentrer l’échange
34
Quelle est la qualité psychométrique essentielle à considérer dans l’entrevue? A. La fréquence des interruptions du client B. La présence d’un enregistrement audio C. La validité de convergence avec d’autres outils D. L’apparence vestimentaire du client
C. La validité de convergence avec d’autres outils
35
Le but principal de l’entrevue de rétroaction est de : A. Déterminer un diagnostic précis B. Comparer les résultats du client à une norme C. Présenter les résultats et discuter des recommandations D. Réaliser une entrevue projective complémentaire
C. Présenter les résultats et discuter des recommandations
36
Lors de la rétroaction, comment doit-on aborder les faiblesses du client? A. En insistant pour qu’il en prenne conscience B. En les reformulant de manière non menaçante C. En évitant de les nommer D. En les rapportant sous forme de scores numériques
B. En les reformulant de manière non menaçante
37
Une bonne façon d’établir le rapport au début de la rencontre est de : A. Présenter d’emblée les résultats difficiles B. Questionner sur les attentes du client C. Adopter une attitude distante et neutre D. Fournir une analyse comparative des tests
B. Questionner sur les attentes du client
38
Si le client rejette les résultats présentés, le professionnel devrait : A. Cesser immédiatement l’entrevue B. Insister sur son expertise C. Rappeler qu’il s’agit d’une opinion professionnelle et proposer une consultation ailleurs D. Modifier le rapport pour l’adapter aux préférences du client
C. Rappeler qu’il s’agit d’une opinion professionnelle et proposer une consultation ailleurs
39
Quelle attitude est recommandée tout au long de l’entrevue de rétroaction? A. Donner peu de place au client pour parler B. Réduire l’impact émotionnel des résultats en les minimisant C. Encourager les questions et exprimer l’ouverture au désaccord D. Se concentrer uniquement sur les résultats positifs
C. Encourager les questions et exprimer l’ouverture au désaccord
40
Dans le cadre de la Loi 21, les activités réservées aux professionnels incluent : A. La passation de tous les tests projectifs B. L’évaluation des troubles mentaux C. L’enseignement de la psychologie D. L’accompagnement spirituel
B. L’évaluation des troubles mentaux
41
Le retard mental se définit notamment par : A. Un faible niveau scolaire uniquement B. Une déficience intellectuelle et des limitations dans le comportement adaptatif C. Un diagnostic psychiatrique documenté D. Une faible performance dans un seul domaine
B. Une déficience intellectuelle et des limitations dans le comportement adaptatif
42
En milieu organisationnel, une préoccupation majeure de l’évaluation est : A. L’établissement du diagnostic B. L’analyse de la dynamique familiale C. La gestion des biais interpersonnels D. La prédiction de la performance au travail
D. La prédiction de la performance au travail
43
Quel test est le plus souvent utilisé en évaluation organisationnelle? A. JVIS B. WAIS C. Inventaire de personnalité D. Échelle d’adaptation sociale
C. Inventaire de personnalité
44
Lors de l’évaluation d’un adulte en arrêt de travail, que faut-il considérer? A. L’indice de désorganisation cognitive B. Les mécanismes de défense inconscients C. Les attentes personnelles et les pressions sociales D. La dynamique de groupe au travail uniquement
C. Les attentes personnelles et les pressions sociales
45
Une des difficultés rencontrées dans l’évaluation en santé mentale est : A. Le manque de tests validés B. Le trop grand nombre d’outils C. La subjectivité du professionnel uniquement D. La résistance du client à l’introspection
D. La résistance du client à l’introspection
46
L’ABAS-II évalue les comportements adaptatifs répartis dans : A. 2 dimensions principales B. 3 secteurs d’activités C. 5 grands domaines D. 7 types d’intelligence
B. 3 secteurs d’activités
47
Lors de l’interprétation de l’ABAS-II, il est important de : A. Se fier uniquement aux résultats bruts B. Éviter de comparer les résultats aux normes C. Considérer les résultats dans le contexte de vie de la personne D. Ne pas inclure les résultats dans le rapport d’évaluation
C. Considérer les résultats dans le contexte de vie de la personne
48
Une limite fréquente de l’évaluation en contexte organisationnel est : A. L’absence de tests disponibles B. Le manque de collaboration du client C. La confusion entre performance et personnalité D. La difficulté à établir un rapport de confiance
C. La confusion entre performance et personnalité
49
Un bon rapport d’évaluation en milieu organisationnel doit : A. Être très technique pour convaincre la direction B. Contenir uniquement des recommandations générales C. Présenter des résultats clairs, adaptés aux enjeux du poste D. Utiliser un langage clinique détaillé
C. Présenter des résultats clairs, adaptés aux enjeux du poste