Examen final org Flashcards
(89 cards)
Pourquoi diriez-vous que L’étiquette de terrorisme est une construction sociale ?
Définit par des rapports de forces particuliers (lié à un contexte politique, social et économique particulier)
1)Pas de définition universellement acceptée du terrorisme (Au canada, défintion dans la loi criminelle canadienne de ce qu’est un acte terroriste). pas de définiton d’un terroriste un du TERRORISME.
De plus, pourquoi on a pas de définitions c’est parce que c’est utile pour les gens qui utilisent le mot, qu’ils l,utilisent à leur avantage, les favorisent.
2) L’étiquette de terroriste et la doctrine contre-terroriste est un héritage des pouvoirs coloniaux. Ces empires ont développés pendant les guerres d’indépendances dans les années 1950-1960. Par exemple, la france a développé des techniques contre-insurrectionnelles très sadique (torture). Ce savoir s’est diffusé qui est encore utilisé aujourd’hui dans les méthodes contre-terroriste. Ces méthodes sont réapparues suite au 11 septembre.
Comment réfléchit-on le contre-terrorisme encore aujourd’hui ?
Il y a une histoire, une doctrine qui nous provient des expériences françaises et américaines en matière de défense, celles-ci étant en territoire majoritairement musulman. Ceka vient encore colorer la logique de comment on envisage le terrorisme et pourquoi on a de la difficultée à penser à autre chose lorsqu’on réfléchit à l’acte violent pour des questions idéologiques. Ce passé colonialiste, d’assassinats et de torture visant les musulmans est encore rester aujourd’hui
Quels sont les moyens légaux ou le cadre légal utilisé en ce qui à trait à la lutte au terrorisme ? ces dispositions sont souvent enchâssés dans les lois (loi antiterroriste s’enchâsse dans le code criminel)
1- interrogatoire obligatoire sans avocat (services policier et sécuritaire peuvent aller interroger le suspect sans qu’il ait droit à la présence d’un avocat pour une période donnée (24h-48h-72h)
2- détention sans accusation
3- ordonnance de contrôle : restreint les mouvements, la parole d’une personne ou d’une association (certificat de sécurité : on est souvent mis en détention chez soi, par exemple)
4- criminalisation de L,association avec une organisation JUGÉE terroriste : si notre nom se retrouve sur une liste antiterroriste, on est criminalisé de facto. Pas de procès pour téablir si oui ou non on est associé à L’organisation. On peut perdre certains droit seulement à cause de ça.
Dans quel contexte les lois antiterroristes et ces restrictions de droits sont-elles adoptées ?
Sont adoptées à la «très-va-vite», dans des contexte immensément politisé, en situation de crise.
(…)
Manque de données probantes, de bases concrètes et qui réfléchissent mal à d’autres moyens plus efficaces de prévenir de tels actes. (ex. : donner des nouveaux pouvoirs aux renseignements, police ne changent pas les pathologies organisationnelles des organisations de sécurité. Cela ne change rien sur comment ils échangent l’info, comment ils les forment. On ne fait que leur donner plus de pouvoirs, sans changer les façons de faire).
Ce sont des lois qui misent donc beaucoup sur la peur de la population envers ces actes
Elles sont aussi peu mûries, peu réfléchies. Pourtant ce sont des outils légaux exceptionnels puisque restreignent les droits fondamentaux, les libertés fondamentales
quels sont les autres problèmes associés à ces lois ? (radicalisation of canadian counter-terrorism methods)
Les lois promulguées dans les dernières années ont été adoptées sur «le coin de bureau» et qu’elles sont mêmes dommageables pour la lutte antiterroriste
quels sotn les 3 grands débats sur les mesures légales controversées ?
1- plus de Pouvoirs de perturbations et d’incapacitation au SCRS stratégies temporaires pour éliminer, rendre moins nuisibles une menaces (plus de pouvoir de pré-crime)
problème : Donc, le SCRS a eu plus de pouvoirs pour faire de la réduction de la menace (terme légalement très vague : donc très discrétionnaire).
Par exemple, le SCRS peut obtenir un mandat judiciaire MÊME SI CELA EST CONTRE LES DROITS CONSTITUTIONNELS DE LA PERSONNE. on donne donc des pouvoirs QUASI-POLICIER au SCRS avec ce genre de loi. On régresse sur la séparation du renseignement et de la police.
-Risque de POLICE SECRÈTE, POLICE POLITIQUE
- Peut venir perturber le travail des organisations policière
-Peut remettre en question la confiance entre les institutions policières et sécuritaires avec certaines partie de la populations
2-criminalisation du support ou de l,association aux grupes terroriste
- cela revient à criminaliser les idées radicales en quelque sorte. Certes, il y a toujousr eu la criminalisation d’idées amenant à la violence ou qui font la promotion de la violence. Cette loi ÉLARGIT LE SPECTRE de ce qui est considéré comme étant de la promotion de la violence. Donne un pouvoir d’interprétation beaucoup plus large.
- Brise beaucoup le droit à la liberté d’expression
- rend difficile la collaboration avec des groupes plus radicaux afin de discuter et prévenir parce qu’ils vont avoir peur d’exprimer leurs réels allégeances.
3- détention préventive sans accusations : amener les gens devant la cours et que la cour émette une surpervision judiciaire sur l’individu. C’est beaucoup ue mesure d,Incapacitation et de perturbation. On a permis ce genre de détention pour un maximum de 72h.
- Ces mesures-là faisait beaucoup partie des mesures de défenses, dans les lois sur les mesures de guerres. MAINTENANT, fait partie de la loi criminelle (anti-terroristes)
qu’est-ce qu’une clause crépuscule
On comprend que ces lois sont tellement restrictives des droits et libertés, cette mesure est tellement exceptionnelle qu’elle a une «date de péremption». La clause dit qu’il faut que cette loi soit redébattue en assemblée pour la valider ou l’invalider.
qu’est-ce que l’habeas corpus ?
Avoir le droit de faire contrôler la légalité de sa détention devant un juge rapidement après le début de celle-ci. Limite les pouvoirs arbitraires du pouvoir exécutif.
QUelles sont les deux grandes approches en matière de lutte à la radicalisation
1) Approche cognitive (plus européenne)
- Met l’emphase sur la lutte aux croyances extrémistes. Aux idées extrémistes.
Les idées extrémistes sont dangereuses pour la stabilité politique
-probablement dû aux historiques du fascisme, nazisme. C’est donc normal qu’il soit beaucoup plus craintif par rapport à cela.
LA lutte n’est pas laissé seulement à la police. Il faut des partenariats communautaires entre, par exemple, les systèmes de santé et la police pour aller chercher le plus de gens qui ont des idées radicales.
2) approche comportementale (d’avantage par les pays anglo-saxons
- Met l’emphase sur le comportement ou l’action extrémiste (violente)
Newman nous dit que le comportemental nous amène à avoir des dilemme profond à réfléchir en comportemental. ON est dans un seuil qui porte sur :e est-ce que l’individu a l’intention de contrevenir à la loi
Quels sont les débats qui découlent de ces approches ?
- Il y a une ambiguité importante dans ce qu’on décrit comme étant extrémiste (est-ce que ce sont les idées politiques par exemple ou l’extrémisme découle de comportements ou de méthodes particulières)
- Qu’est-ce qui est extrême, qu’est-ce qui est radical (et par rapport à quoi : à un contexte politique, social particulier)
Il y a des débats plus universitaires, MAIS AUSSI POLITIQUE
Quel est l’impact de choisir une ou l’autre des deux approches ?
Impact sur les politiques publiques, sur les façons de faire la lutte à la radicalisation, comment on va développer des stratégies sécuritaires.
qu’est-ce que dit Newman par rapport à ces approches
Newman dit que les comportemnets de l’individu et le parcours d’action des individus s,Inscrit dans un contexte particulier et il faut comprendre ce contexte pour comprendre ce qu’il fait et veut faire.
c’est important de comprendre comment les gens donnent un sens à leur action (pourquoi certaines ont des idées radicales sans amener à la violence).
Les deux modèles ont des conséquences négaitves quelles sont telles ?
- Le modèle comportemnet PEUT amener de l’indifférence par rapport aux discours de haine. Indifférnece aux comportements non-violents mais non coercitif (ex. : blesser les gens, insécurité).
- AUSSI, la capacité d’agir des organisations policières est plus réduite. Cela encourage la fabrication de comportements illégaux (ex. : par l’infiltration on pousse les gens à commettre des crimes violents)
MODÈLE européen ?
-amène une supression de la dissidence, le harcèlement des opposants politiques
Différence entre les deux approches sur leur travail ?
l’approche anglo-saxonne est une approche à court-terme. On intervient rapidement lorsque le sindividus sont à risque de devenir ou sont violent. L’apprche cognitive est une idéologie à long-terme, aevc un grand travail en amont.
Quelles sont les deux limites dans la littérature en ce qui à trait au radicalisme non-religieux. (scrimmens et perry)
1) biais dans cette littérature envers la radicalisation religieuse (islam) au détriment de l’extrémisme de droite. ET DONC, peu d’effort du Canda pour développer des programmes, d’approches (communautaires) et lutter contre la radicalisation de tout type
Quels sont les problèmes principaux avec les interventions en contre radicalisation ?
-banalise le phénomène de l’extrême-droite. (pourtant les recherches démontrent que l’influence de ces gorupes est plus importante qu’on le croit)
On parle même d’AVEUGLEMENT POLICIER
et donc quel est l’impact sur ces groupes ?
Le manque de surveillance contribue à leur résilience, qu’ils s’organisent mieux, prennent de l’expansion.
Quels sont les raisons pour lesquelles on associe pas encore les termes extrême droite et radicalisation
c’est parce que les mesures de prévention de la radicalisation ne sont pas neutres mais ont une partie prise sur les mesures mises en palce pour l’extrémisme religieux et les communautés arabo-musulmanes
En quelle année sécurité publique canada a noté l,importance de l’extrême droite
En 2017, sécurité publique canada a noté l’importance dans son rapport officiel que l’extrémisme de droite était une meancne grandissante pour le canada et qu’on devait y accorder de l,attention
quel sera l’impact sur l’étude ou la prévention du phénomène ?
ON s’intéressera plus aux processus de radicalisation et les programmes de prévention aussi permettront de prévenir la violence en découlant parfois. On parlera ausis de terrorisme, de radicalisation
quelles ont été les tendances dans les dernières années quant à l’extrême droite ?
Les groupes parlementaires, politqiues, mais aussi extra-parlementaires ont augmentés (au Canada aussi ?), les supports populaires ont augmentés
quels ont été les déclencheurs principaux de cette montée ?
Crise migratoire ayant pris naissance surtout en 2015
attentat terroristes en europe
Plsuieurs groupes ont vu le jour après ces évènements. ON A PAS DE DONNÉES EMPIRIQUE pour le confirmer mais vu le sliens de temporalité on peut penser qu’il y a eu une infleunce forte
Quelles sont les trois grandes catégories de groupes extrémistes ?
suprémacistes (blancs ) : KKK, Aryan guard
- supériorité raciale des blancs
- prône la pureté raciale
- mettent des idées de l’avant et les pousses souvent par la violence (impliqués dans des actes violents envers les ethnies)
SEMBLABLE AVEC LES GRUPES DE MOTARDS : coûts d’entrées élevées (rites de passages, rituels), signe sdistinctifs, hiérarchie
maintenant inactifs (beaucoup de conflits internes et dissolutions, implosion du groupe)
base militant essaie encore de s,Organiser, mais souven tle smêmbres ont changés d’allégenace (sont maintenant antifasciste, veulent des idéologies moins violentes)
NATIVISTES\réformistes
-imposer une seule vision de la nation et prôner un retour assez drastique aux traditions
contre le fait qu’une femme travaille
ultranationaliste (restaurer un état canadien français :
blanc, catholique)
-rejette la violence (discours public très convenu)
CEPENDANT, pourquoi des groupes skinhead vont à leur discours (DIFFÉRENCE DISCOURS PUBLIC-PRIVÉ)
-diffiicle d’approche (ne parle pas aux médias, ne s’Implique pas dans la sphère politique
mouvements à la amrge des mouvements politqiues contemporains
-objectifs : augmenter leur acceptabilité sociale et influencer les politqiues notamment sur l’immigration
-groupe qui ont pris de l’ampleur par les médias sociaux
- très présent sur le web (recrutent, annonce)
DONC, base militant plus grosse
- Populiste : se positionnent contre les élites, l’establishment
-nationaliste, anti-immigration (déportation ou tout simplement avoir de meilleures politiques en immigration)
-discours publique plus accessible afind ‘aller chercher le plus de gens possible
-ne prône pas la violence, MAIS NE LA CONDAMNE PAS (ambiguité problématique)
EX. : MEUTES, SOLDATS D’ODIN
le portrait géographique et socail de l’extrême droite au Canada ?
Se retrouve beaucoup dans les 4 provinces canadiennes ayant els cnetres urbains le splus importants (québec, alberta, ontario, BC)
- le plus garnd nombre de groupe serait en ontario et au Québec.
- 125 groupes actifs au Canada (difficile à évaluer le nombre de personne totale avec facebook par exemple, puisque ce ne sont pas nécessairement tous des membres actifs). Mouvments très dynamiques et instable qui rendent le compte très diffiicle
- majoritairement masculin (de plus en plus de femmes)
les groupes à la amrge ont plus de femmes et cherchent justement à avoir des femmes
POURQUOI ? : parce que ils se portent à la défense du droit des femmes (ex. : pas de voile)
Maintenant moins porté sur l’action violente et donc à savoir se battre