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Langage > Examen final : Volet 1 > Flashcards

Examen final : Volet 1 Flashcards

1
Q

Communication

A

Concept large dans lequel on établi une relation avec quelqu’un ou quelque chose.

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2
Q

La boucle de la communication

A

L’émetteur utilise la formulation et l’expression pour communiquer un message au récepteur.

Le récepteur effectue une réception et une compréhension puis envoi une rétroaction à l’émetteur.

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3
Q

Le langage

A
  1. Capacité à utiliser et créer des outils de représentation.
  2. Système génératif universel ayant une grande vitesse d’acquisition.
  3. Faculté qui permet à l’humain de concevoir et d’acquérir des systèmes de communication élaborés : langues.
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4
Q

La parole

A

Comportement neuromusculaire qui rend possible la production de sons du langage.

Actualisation orale de la langue chez un locuteur donné, caractérisé par l’articulation, la voix, la fluidité et la résonance.

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5
Q

Langage : modalités

A

Orale

Écrite

Non-verbale

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6
Q

Langage : aspects

A

Réceptif : ce que je comprends

Expressif : ce que je produis (lorsque la modalité orale : articulation, voix, fluidité, résonance)

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7
Q

Langage : composantes

A

Contenu (quoi?)

Utilisation (pourquoi?)

Forme (comment?)

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8
Q

Langage : domaines linguistiques

A

Contenu : Sémantique et Lexicologie

Utilisation : Pragmatique

Forme : Phonologie, morphologie et syntaxe

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9
Q

Précurseur langagier : C’est quoi?

A

Certaines habiletés constituent à la fois les bases de la communication et celles sur lesquelles peut se développer le langage.

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10
Q

Précurseur : Pourquoi est-ce important ?

A

Habiletés qui mènent à avoir une communication fonctionnelle.

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11
Q

Précurseur : Quand se développent-elles ?

A

Période 0-1 an.

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12
Q

Précurseur : Contact visuel

A

Première forme d’interaction

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13
Q

Précurseur : Attention auditive

A

Réagir à l’environnement, à l’appel du prénom

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14
Q

Précurseur : Intention de communication

A

Conscience du partenaire de communication et fonctions pré-langagières.

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15
Q

Précurseur : Attention conjointe

A

Alternance du regard et-ou geste de pointer entre l’objet et l’interlocuteur.

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16
Q

Précurseur : Tour de rôle

A

Les interactions prennent la forme d’un dialogue.

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17
Q

Précurseur : Imitation motrice

A

Faire une action après le modèle de l’adulte

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18
Q

Précurseur : Imitation vocale

A

Répéter des sons.

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19
Q

Précurseur : Lien de causalité

A

Je pose une action et quelque chose se produit.

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20
Q

Précurseur : Permanence de l’objet

A

Réaliser qu’un objet continu d’exister même si on ne le voit pas.

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21
Q

Précurseur : Compréhension non-verbale

A

Gestes naturels, expressions faciales et indices contextuels.

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22
Q

Précurseur : Imitation verbale

A

Répéter des mots.

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23
Q

Précurseur : Jeu symbolique

A

Faire semblant, après le sensorimoteur et le fonctionnel.

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24
Q

Précurseur : Catégorisation

A

Selon ses caractéristiques perceptuelles et-ou conceptuelles.

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25
Q

Concept linguistique : terminologie (nommer les 5 termes)

A
  1. Sémantique
  2. Sémantique lexicale
  3. Lexique
  4. Lexique mental
  5. Vocabulaire
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26
Q

Domaine de la linguistique qui étudie les sens et leur organisation dans les messages :

A

Sémantique

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27
Q

Étude des sens véhiculés au moyen du mot :

A

Sémantique lexicale

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28
Q

Entité théorique qui correspond à l’ensemble des mots d’une langue :

A

Lexique

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29
Q

Vocabulaire passif + vocabulaire actif d’un individu :

A

Lexique mental

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30
Q

Occurrences effectivement employées par l’individu (= vocabulaire actif) :

A

Vocabulaire

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31
Q

Sémantique lexicale et conceptualisation :

A
  1. Pas de biunivocité
  2. Facteurs culturels et linguistiques
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32
Q

Exemple de non biunivocité :

A

«Belle-mère» VS «Step Mother» et «Mother in law»

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33
Q

Signe linguistique

A

Association entre une idée et une forme.

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34
Q

Signes intentionnels

A
  1. Idée - forme
  2. Outil de communication
  3. Type : symbole ou icône
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35
Q

Signes non-intentionnels

A
  1. forme-idée
  2. Interpréter l’existence
  3. Type : indice
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36
Q

Sens de l’expression linguistique

A

Stable et appartient à la langue.

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37
Q

Référent de l’expression linguistique

A

Il varie et relève de la «parole».

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38
Q

Sens et référent de l’expression linguistique : cas particulier :

A

Les déictiques :
1. Des symboles qui sont aussi des en partie des indices.
2. Le référent détermine alors le sens.

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39
Q

Réseau lexical

A

Réseau qui se construit en fonction des relations entre les mots, dans lequel on codera :
1. Le connaissances lexicales
2. Les relations sémantiques

40
Q

Le lexique … pour chaque locuteur et … selon son expérience

A

…. = diffère
….= évolue

41
Q

5 connaissances lexicales :

A
  1. Sens lexicaux
  2. Catégorie grammaticale (propriétés combinatoires)
  3. Structure interne (racine-affixes)
  4. Forme sonore (prononciation)
42
Q

7 relations sémantiques fondamentales

A
  1. Hyperonymie
  2. Hyponymie
  3. Synonymie
  4. Antonymie
  5. Conversivité
  6. Homonymie
  7. Polysémie
43
Q
  1. Hyperonymie
A

Niveau hiérarchique supérieur

44
Q
  1. Hyponymie
A

Niveau hiérarchique inférieur

45
Q
  1. Synonymie
A

Ont presque les mêmes signifiés, mais ont des signifiants distincts (ex : emploi et travail)

46
Q
  1. Antonymie
A

Tous les traits presque identiques sauf la mise en opposition d’une de leur caractéristique.

47
Q
  1. Conversivité
A

Prédicat qui partage deux arguments dont les rôles sont inversés (ex : travailler - employer)

48
Q
  1. Homonymie
A
  1. Même signifiant, signifié distincts.
  2. Homophone : même signifiant sonore (col-colle)
  3. Homographe : même signifiant écrit (Mon fils - couper des fils)
49
Q
  1. Polysémie
A

Lien entre les signifiés, même signifiants.

50
Q

Période d’apprentissage : Lexique précoce

A
  1. 0-50 mots
  2. Rythme d’acquisition lent
  3. Mots appris par l’enseignement de l’adulte
51
Q

La richesse du lexique

A

Pas juste le nombre de mots dans son lexique, mais surtout la façon dont c’est organisé grâce aux :
1. liens paradigmatiques (= à l’intérieur du lexique) : relations sémantiques et morphologiques
2. Liens syntagmatiques (= à l’intérieur de la phrase) : relations combinatoires

Mieux c’est organisé : plus l’enfant pourra apprendre de nouveaux mots (fast mapping) et des nuances entre les mots pour acquérir une connaissance complète du mot (slow mapping).

52
Q

Construction du lexique : périodes d’apprentissages (3)

A
  1. Lexique précoce*
  2. Explosion du vocabulaire
  3. Raffinement
53
Q

Construction du lexique : processus d’acquisition (3 principes)

A
  1. Principe de l’objet entier
  2. Principe de l’exclusivité mutuelle
  3. Principe N3C (Novel Name-Nameless Category)
54
Q

Période d’apprentissage : Explosion vocabulaire

A
  1. Lorsqu’on atteint le 50 mots
  2. Rythme d’acquisition accéléré
  3. Mots appris par l’enfant lui-même
  4. Fast Mapping
55
Q

Période d’apprentissage : Raffinement

A
  1. Vers une connaissance complète (jusqu’à l’âge adulte)
  2. Slow mapping
56
Q

Forme morphosyntaxique : Morphologie : terminologie

A

Structure interne des mots

57
Q

Morphologie : terminologie : morphème libre

A

Indépendants, complets ; racine lexicale

58
Q

Morphologie : terminologie : morphèmes liés

A

Dépendants d’un morphème libre : possibilité de plus d’un morphème lié dans un «mot».
- Morphème flexionnels
- Morphèmes dérivationnels

59
Q

Morphologie flexionnelle :

A

Marques grammaticales (syntaxe) :
- Genre
- Nombre
- Personne
- Mode, temps et aspects

60
Q

Morphologie dérivationnelle :

A

Création et compréhension de nouveaux mots :
- Affixes : préfixes et suffixes
- Effet (modifie le sens ou la classe de mots)

61
Q

Syntaxe : définition

A

Structure des phrases

62
Q

Ordre canonique :

A

Sujet - Verbe - Objet (SVO)

Lorsque l’ordre n’est pas respecté : transformation syntaxique

63
Q

Récursivité :

A

En théorie, une phrase pourrait être de longueur infinie

64
Q

Caractère génératif :

A

En appliquant les règles d’une phrase, on peut produire une infinité de phrases

65
Q

Caractéristique de la phrase : Complexité syntaxique (2)

A
  1. Simple
  2. Complexe
66
Q

caractéristique de la phrase : Forme (4 paires)

A
  1. Positive VS négative
  2. Active VS passive
  3. Neutre VS empathique
  4. Personnelle VS impersonnelle
67
Q

Caractéristique de la phrase : constituants (3)

A
  1. Sujet
  2. Prédicat
  3. Complément de phrase
68
Q

Caractéristique de la phrase : Type (4)

A
  1. Déclarative
  2. Interrogative
  3. Exclamative
  4. Impérative
69
Q

Les morphèmes peuvent s’appliquer de façon systématique dans tous les contextes répondant aux conditions de leur application.

A

Productivité de la morphologie flexionnelle

70
Q

Morphologie flexionnelle : sur-régularisation

A

Développement morphosyntaxique :)

71
Q

Morphologie dérivationnelle : sur-généralisation

A

Développement lexical comporte des lacunes :( (création de mots inexistants)

72
Q

Les morphèmes dérivationnels ne peuvent pas s’appliquer sur n’importe quels morphèmes libres : les procédés s’appliquent de manière arbitraire.

A

Productivité partielle : morphologie dérivationnelle

73
Q
  1. Vers 1 an
  2. Un seul «mot» isolé
  3. Possibilité d’un contour prosodique significatif et-ou accompagné de gestes et-ou expressions faciales.
A

Stades de développement de la syntaxe : Holophrases

74
Q
  1. Vers 18 mois
  2. stade universel du développement langagier
  3. Composition : 1 mot plein ou deux mots pleins
  4. Interaction avec le développement lexical et le développement morphologique.
A

Stades de développement de la syntaxe : combinaison de deux mots

75
Q
  1. Vers 2 ans
  2. Construction du noyau de la phrase
  3. début des morphèmes flexionnels, mots-fonction, pronoms personnels
A

Stades de développement de la syntaxe : phrase simple

76
Q
  1. Vers 2 ans et demi
  2. Lien avec le développement lexical
  3. Allongement des phrases
A

Stades de développement de la syntaxe : explosion syntaxique

77
Q
  1. Vers 4 ans
  2. Particularités développementales : phrases réversible et phénomène de reprise-hésitation
  3. vers une maîtrise des formations complexes
A

Stades de développement de la syntaxe : principales structures de la syntaxe

78
Q
  1. Vers 5 ans
  2. Décontextualisation du propos
  3. Lien avec le développement pragmatique : cohérence et cohésion
  4. Coréférence et anaphore
  5. connecteurs
A

Stades de développement de la syntaxe : construction du récit

79
Q

Évolution de la LMÉ : Pourquoi et avantages

A

Pourquoi ? : C’est une mesure chiffrée du développement morphosyntaxique : la longueur d’un énoncé serait corrélée à la complexité de son organisation syntaxique.

Avantages : Permet de comparer plus objectivement le développement syntaxique qui présente une grande variabilité interindividuelle de la façon de complexifier les phrases lorsqu’on arrive au stade d’allongement des phrases.

80
Q

Terminologie « Phon* » (4)

A

Phonologie : Branche de la linguistique qui étudie des systèmes des sons

Phonétique : Acoustique (physique) et articulatoire (physiologique)

Phonème : Unité de sens, paires minimales

Phone : actualisation morale du phonème

81
Q

Syllabes orales : définition

A

Les syllabes qu’on entend

82
Q

Trouver à quoi appartient cette définition :

  1. La clarté de la parole du point de vue de la perception auditive
  2. Une mesure un peu subjective du pourcentage de parole comprise par l’interlocuteur, sans tenir compte des transformation phonologiques en tant que telles.
A

Intelligibilité

83
Q

Processus phonologiques (3 points)

A
  1. Les enfants n’ont pas la même prononciation des mots que les adultes.
  2. Ils font des patrons d’erreurs qui sont tout à fait normaux.
  3. Enfant ayant un développement phonologique typique : transformations phonologiques vont s’estomper elles-mêmes pour arriver à une prononciation mature (5-6 ans).
84
Q

Quels sont les deux types d’inventaires dans le développement phonologique ?

A
  1. Répertoire phonologique
  2. répertoire syllabique
85
Q

De quel répertoire il s’agit ?

L’ensemble des phonèmes présent dans la production orale de l’enfant. Il est généralement décrit par la position dans le mot (initiale, médiane, finale).

A

Répertoire phonologique

86
Q

De quel répertoire il s’agit ?

C’est l’ensemble des structures syllabiques présentes dans la production orale de l’enfant.

A

Répertoire syllabique

87
Q

Présupposition linguistique comporte deux parties : …

A

La partie posé et la partie présupposé (sous entendu linguistiquement)

88
Q

Actes de langage : 3 composantes

A
  1. Locutoire
  2. Illocutoire
  3. Perlocutoire
89
Q

Locutoire : c’est quoi?

A

C’est l’énoncé de base, ex : « Il fait chaud ! »

90
Q

Illocutoire : c’est quoi ?

A

Dans l’exemple « Il fait chaud ! », c’est une demande

91
Q

Perlocutoire : c’est quoi ?

A

L’effet produit (le résultat) : dans l’exemple « Il fait chaud! », il ouvre la fenêtre.

92
Q

Discours : Macrostructure : 2 points

A
  1. Cohérence
  2. Structure narrative
93
Q

Discours : Microstructure : 3 points

A
  1. Cohésion
  2. Unités grammaticales
  3. Diversité lexicale
94
Q

4 maximes conversationnelles

A
  1. Quantité
  2. Qualité
  3. Relation
  4. manière
95
Q

4 habiletés de conversation

A
  1. Tour de parole
  2. Maintien du sujet
  3. Introduction au sujet
  4. Gestion des bris de communication

Langage (1 decks)

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