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sex2190 > examen mi session > Flashcards

examen mi session Flashcards

1
Q

coercition sexuelle

A

technique d’obligation a consentir a une relation sexuelle (menace ou manipulation)

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Q

revenge porn

A

conserver et partager du contenu intime sans le consentement

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3
Q

agression sexuel (définition politique)

A

un geste à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, commis par un individu sans le consentement de la personne visée ou par une manipulation affective ou par du chantage.

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4
Q

agression sexuelle a l’enfance (définition clinique)

A

Tout geste posé par une personne donnant ou recherchant une stimulation sexuelle non appropriée quant à l’âge et au développement de l’enfant ou l’adolescent, portant ainsi atteinte à son intégrité corporelle ou psychique

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5
Q

3 niveaux d’agression sexuelle

A
  1. agression sexuelle simple (peu ou pas de blessure corporelle)
  2. Agression sexuelle armée, menaces à une tierce personne ou infliction de lésions corporelles/psychologique (ou avec plusieurs agresseur)
  3. Agression sexuelle grave (Victime a été blessée, mutilée, défigurée ou sa vie a été mise en danger)
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6
Q

3 éléments nécessaire pour dire que c’est une agression sexuelle

A
  1. Emploi de la « force » (menace, drogue)
  2. Gestes de nature sexuelle
  3. Sans le consentement de la personne
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7
Q

formes d’agression sexuelle

A

Agression sexuelle intrafamiliale:
Agresseur·e = membre de la famille immédiate ou élargie
Agression sexuelle extrafamiliale: Agresseur·e = personne à l’extérieur de la famille
Agression sexuelle dans une relation amoureuse : Agresseur·e = partenaire ou ancien·ne partenaire intime

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8
Q

harcèlement sexuelle

A

Un comportement (geste ou parole) à caractère sexuel non désiré, qui se manifeste de façon répétée et qui a des conséquences néfastes sur la victime

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9
Q

coercition sexuelle

A

Recours à la force (physique, intimidation, chantage, menaces, intoxication) afin d’avoir des relations sexuelles non-désirées

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10
Q

Consentement valide

A
  1. libre
  2. éclairé
  3. enthousiaste
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11
Q

critère légaux de consentement

A
  • sans force ou menace
  • sans position de dépendance
    -sans état altéré
  • sans stealting ou condom percé
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12
Q

Age de consentement légale

A

16 ans
12-13 ans peut consentir avec quelqu’un de 2 ans plus vieux
14-15 ans peut consentir avec quelqu’un de 5 ans plus vieux

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13
Q

le consentement d’un mineur n’est pas valide si….

A
  1. La personne est en situation d’autorité
  2. Le jeune est en situation de dépendance à l’égard de la personne
  3. La personne est dans une relation où elle exploite le jeune (ex: porno, travail du sexe)
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14
Q

Prévalence d’agression sexuelle

A

8 à 31% pour les filles et 3 à 17% pour les garçon

AGRESSION SEXUELLE PLUS FRÉQUENTE A L’ENFANCE

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15
Q

VRAI OU FAUX : LA MAJORITÉ DES AGRESSION SEXUELLE SONT FAITE PAR UN INCONNU

A

FAUX!

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16
Q

Seul et unique facteur qui explique directement la victimisation sexuelle (SEULE FACTEUR DE CAUSE A EFFET)

A

être en présence/en contact avec une personne qui commet une agression sexuelle

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17
Q

FACTEUR DE RISQUE INDIVIDUEL

A

Être une fille
Avoir déjà vécu une AS
Avoir vécu d’autres mauvais traitements (sexuels ou physiques) dans le passé
Avoir des besoins particuliers (handicaps, déficience intellectuelle, problèmes de santé physique et mentale)
Consommation de drogues et d’alcool
Isolement/Vulnérabilité (ex: LGBTQ+)

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18
Q

facteurs de risque relationnel

A

Faible supervision parentale
Travailler dans l’industrie du sexe
Consommation de drogues et d’alcool des parents
Avoir de nombreux partenaires sexuels
Problèmes de santé mentale chez les parents
Conflits familiaux importants

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19
Q

Facteur de risque sociétaux

A

Tolérance face à l’agression sexuelle
Faibles sanctions légales face à l’agression sexuelle
Hypersexualisation des jeunes
Rôles de genre et normes traditionnels
Idéologie des droits dominants de l’homme

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20
Q

conséquence psychosociale AS a l’enfance

A

Atteinte au plan de l’estime de soi
Problèmes intériorisés (anxiété, dépression, isolement, etc.)
Problèmes extériorisés (agressivité, crises de colère, troubles de la conduite, opposition etc.)
Problèmes scolaires (adaptation sociale et rendement académique)
Symptômes de stress post-traumatique
Dissociation
Difficultés liées à la régulation émotionnelle
Fugues, actes de délinquance

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21
Q

conséquence sexuel d’une AS à l’enfance

A

Comportements sexualisés inappropriés*
Activités sexuelles précoces
Plus grand nombre de partenaires sexuels
Plus de grossesse à l‘adolescence
Sexualisation des relations interpersonnelles (entrer dans une relation avec comme but la sexualité)

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22
Q

conséquence AS age adulte

A

concept de soi défavorable
Symptômes de dépression et idéations suicidaires
Consommation abusive d’alcool et de drogue
Anxiété
Troubles somatiques
Troubles de conduite (délinquence)
Consultation accrue des services de santé
Difficultés au plan social; troubles de la personnalité (TPL+)
Symptômes de stress post-traumatique
Symptômes de dissociation
Revictimisation (violence conjugale, violence sexuelle)

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23
Q

conséquence sexuelle AS a l’age adulte

A

Comportements sexuels à risque
Problèmes gynécologiques
Dysgfonction sexuelle
Compulsion sexuelle
Honte et culpabilité en lien avec la sexualité
Concept de soi sexuel plus défavorable (je suis pas assez bonne ou cochonne)
Satisfaction sexuelle moindre
Perturbations de l’identité sexuelle (hommes ++)

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24
Q

critère de diagnostique PTSD

A

A. Exposition ou menaces de mort, de blessures sérieuses ou de violences sexuelles
B. Présence de symptômes intrusifs associés au trauma (ex: rêves, flashbacks)
C. Évitement persistant des stimuli associés au trauma (ex: souvenirs, lieux)
D. Altérations négatives des cognitions et de l’humeur (ex: honte, culpabilité, détachement)
E. Perturbations importantes de la vigilance et de la réactivité (ex: irritabilité, colère, hypervigilance)
F. Perturbations (critères B, C, D et E) qui durent depuis au moins un mois
G. Perturbations causent une détresse et un dysfonctionnement

25
Q

symptomes de PTSD

A

Incapacité de se souvenir d’un aspect important du trauma
Croyances ou attentes négatives persistantes et exagérée (pas faire confiance à personne, le monde est dangereux, je suis mauvais)
Distorsions cognitives liées au trauma – blâme de soi ou des autres
Affect négatif persistant (colère, crainte, horreur, culpabilité)
Sentiment de détachement, incapacité persistante à éprouver émotions
Souvenirs répétitifs, involontaires, envahissants
Rêves répétitifs
Réactions dissociatives (flashbacks) – continuum
Détresse ou réactions physiques liée à des indices internes ou externes du trauma (maux de tete, vomissement, shaker, maux de ventre)
Comportement irritable, excès de colère
Comportement autodestructeur ou irréfléchi
Réaction de sursaut exagérée
Problèmes de concentration
Perturbation du sommeil
Hypervigilance

26
Q

deux type de dissociation

A

La dépersonnalisation : l’impression persistante ou récurrente de se sentir détaché
de son corps, d’observer en spectateur son corps ou ses pensées comme dans un rêve, ou de ressentir un sentiment d’irréalité de son corps et de soi. La personne peut avoir l’impression que le temps arête ou avance au ralenti;

La déréalisation : l’expérience persistante ou récurrente pour la personne que le monde qui l’entoure est irréel, distant, distordu. (limpression de regarder un film a distance dans lequel je ne suis pas, pas la réaliter, detacher des autres)

27
Q

Dynamiques traumagéniques de Finkelhor & Browne

A

stigmatisation = Les connotations négatives associées à l’AS qui sont incorporées à l’image de soi de la victime.

trahison = Réalisation qu’une personne de laquelle l’enfant dépend ou en qui il a confiance l’a manipulé / lui a causé du tort

impuissance = Processus à travers duquel la volonté et les désirs de la victime ne sont pas respectés (les limites, les besoins et les demandes de l’enfant sont ignorés à répétition)

sexualisation traumatique = Les sentiments et les attitudes sexuels de l’enfant se développent de façon inappropriée dans le cadre d’une AS.

28
Q

50% des enfant victime d’agression sexuelle ont….

A

une mère victime d’AS

29
Q

cycle intergénérationnel

A

Les conséquences découlant du trauma vécu par la mère pourraient influencer le rôle parental, le développement de l’enfant et l’environnement dans lequel il grandit

30
Q

résilence

A

capacité à s’adapter positivement devant l’adversite / Capacité de maintenir un bon fonctionnement malgré l’adversité

31
Q

vague de conceptualisation de la résilience

A

Première vague : Ensemble de qualités dites «résilientes»
Deuxième vague : Processus d’adaptation menant au développement des qualités résilientes
Troisième vague : Complexité de la résilience, vague intégrative (intéraction)

32
Q

la résilience est un processus dynamique qui dépend de

A

Facteurs de risque et de protection d’une personne à un moment précis

33
Q

facteur de protection individuel

A

Utilisation de stratégies d’adaptation positive
Compétences sociales
Régulation de soi
Estime de soi
Attachement sécure
Régulation des émotions
Spiritualité

34
Q

facteur de protection relationnel

A

Environnement familial à la petite enfance (Early family environment)
Vivre avec ses parents biologiques
Parentalité positive et soins donnés aux parents
Fonctionnement familial (conflits, abus, etc.)
Rôle de la religion positif chez l’enfant
L’amitié
Relations avec partenaires amoureux
Relations avec fratrie
Relations avec les pairs

35
Q

facteur de protection sociaux

A

Présence d’un adulte bienveillant (extrafamilial)
Bienveillance d’un enseignant
Soutien social
Sécurité à l’école
Soutien de la communauté
Soutien éducatif
Vivre dans un quartier sans problèmes (e.g. sans violence)
Engagement social (sports, art, musique ; activité parascolaire)

36
Q

le portfolio de la résilience sert à…

A

promouvoir les forces de l’individu, intégrer les facteurs, Se concentrer sur modification intervention au lieu de caractéristiques démographiques

37
Q

3 domaines de forces individuel

A
  1. force d’auto-régulation
  2. force de création de sens
  3. forces interpersonnelle
38
Q

croissance post-traumatique

A

Trouver un sens aux expériences difficiles menant à des changements positifs dans la vision que l’on a de soi, des autres et du monde (Résultat)

39
Q

le dévoilement est..

A

UN PROCESSUS (les gens dévoile petit a petit)

40
Q

barrière individuel au dévoilement

A

Internalisation du blâme envers la victime
Mécanismes de protection
Immaturité du développement au moment de l’AS

41
Q

barrière relationnel au dévoilement

A

Violence et dysfonctionnement dans la famille
Dynamiques de pouvoir
Conscience de l’impact de dévoiler
Réseau social pauvre

42
Q

barrière socio-culturelle au dévoilement

A

Stigmatisation
Sexualité = tabou
Manque de services disponibles
Culture/période historique

43
Q

éléments déclencheur du dévoilement

A
  • motivation intérieur (prise de conscience / besoin d’aide)
  • initier par un proche / contexte propice (sentiment de sécurité, sujet venu par film)
  • influencer par l’extérieur (témoignage de victime ou de l’agresseur / indice physique)
44
Q

barrière au dévoilement spécifique au hommes

A
  • manque de prévention adaptée aux garçons/hommes
  • manque de modèles dans notre société
  • garçons vivraient davantage de honte ou de culpabilité
  • stigmatisation liée à la peur d’être étiqueté comme homosexuel
  • valeurs entourant la masculinité hégémonique: un gars n’est pas censé être une victime, devrait savoir se défendre
  • peu de services offerts aux hommes victimes
  • réaction physiologique habituellement associée au plaisir, donc pensée erronée par rapport à son consentement («Je devais être consentent si j’ai eu une érection»).
45
Q

réaction aidante a un dévoilement

A
  • Écouter (Ne pas juger, écouter les confidences, ne pas questionner trop précisément, rester calme, être ouvert et rassurant)
  • Respecter
  • Encourager
  • Confidentialité (Lui promettre de garder l’information confidentielle si adulte)
  • Besoins (L’amener à identifier ses besoins immédiats et l’accompagner)
  • Ressources (Tenter de la guider vers les ressources appropriées)
46
Q

Trauma vicariant VS fatigue de compassion

A

Exposition répétée à des discours ou du matériel traumatiques VS Usure profonde et douloureuse à la détresse d’autrui

47
Q

pourquoi avoir un Trauma vicariant ou fatigue de compassion

A
  • Surcharge émotionnelle (mimétisme et neurones miroirs sont constament activer donc on fini par y croire quon est triste et que ce nest pas juste notre réponse psychologique de ce que le client vit)
  • Structure de peur post-traumatique (cognitions empreintes du SSPT  association cérébrale de ça = peur / ex : couteau = peur de me faire stabber)
  • Remise en question de croyances fondamentales (bien et mal, injustices, soi, etc.)
  • Accumulation de facteurs de risque (liés au travail ou à l’intervenant  congé, relation avec les collègues, ressources a qui parler, soutien sociale, comment décrocher de la job, expérience personnel)
48
Q

revictimisation

A

Réfère au fait d’avoir vécu deux agressions (ou plus) par deux agresseur·e·s différent·e·s à deux (ou plus) a des moments différents (temporalité!!!!!)

49
Q

polyvictimisation

A

Cooccurrence de plusieurs formes différentes de violence, le plus souvent commises par des perpétrateur·e·s différent·e·s. (Peuvent avoir lieu ou pas au même moment du développement mais pas le même évènement)

50
Q

exemple d’évènement de victimisation

A
  • vol, enlèvement, attaque avec une arme)
    – Mauvais traitements (p. ex., négligence, abus physique, abus émotionnel)
    – Victimisation par les pairs/fratrie (p. ex., attaque par un groupe, intimidation, VRA)
    – Victimisation sexuelle (p. ex., ASE, viol, harcèlement sexuel, témoin d’exhibitionnisme)
    – Victimisation indirecte (p. ex., témoin de violence conjugale, de suicide ou de meurtre)
51
Q

Trauma cumulatif

A

Réfère à la cooccurrence (cumul) de plusieurs traumas interpersonnels, de nature différente vécus pendant l’enfance, souvent par les mêmes perpétrateur·e·s (MINEUR et PLUSIEURS)

52
Q

Évèvement de vie adverse (ACEs)

A

Comprend la maltraitance, mais
également d’autres évènements stressants (p. ex., maladie mentale, toxicomanie, divorce ou incarcération d’un parent)
Avant 18 ans, dans un contexte familial ou au sein du nid familial

53
Q

élément nécessaire pour parler de trauma complexe (TSPT-C)

A
  • TPSP + PERTURBATION DU SOI (ÉMOTION, IDENTITÉ, RELATION)
54
Q

CONSÉQUENCES DU TSPT-C

A
  • Problèmes relationnels et attachement
  • Dissociation et évitement
  • Problèmes cognitifs/ d’apprentissage
  • Alexithymie et dysrégulation émotionnelle
  • Comportements dysfonctionnels
  • Identité et concept de soi altéré
  • Compréhension du monde
55
Q

3 composante du modèle de trauma en soi

A
  • régulation émotionnelle
  • relation interpersonnelles
  • construction identitaire
56
Q

Critères pour une pratique sensible aux
traumas (4R)

A

Réaliser (Que le trauma à des impacts sur comment les personnes (ré)agissent)
Reconnaître (Les manifestations possibles des traumas et ce qui les déclenches)
Répondre (Aux besoins des personnes en étant capable de leur offrir ou de les orienter vers des services adaptés)
Résister (À la retraumatisation des personnes en mettant en place les conditions nécessaires)

57
Q

importance de l’alliance thérapeutique et le contexte sécuritaire pour les victimes

A

le besoin premier est la sécurité et le but est de réparer le style d’attachement

58
Q
A

sex2190 (1 decks)

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