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Élèves en difficulté > Fin de session > Flashcards

Fin de session Flashcards

1
Q

Quelle est la définition non-catégorielle des “élèves à risque”?

A

« Des élèves (…) qui présentent des facteurs de vulnérabilité susceptibles d’influer sur leur apprentissage ou leur comportement et peuvent ainsi être à risque, notamment au regard de l’échec scolaire ou de leur socialisation, si une intervention rapide n’est pas effectuée ».

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2
Q

Pourquoi doit-on accorder une attention particulière aux élèves à risque?

A

Parce que ces élèves:
• présentent des difficultés pouvant mener à un échec;
• présentent des retards d’apprentissage;
• présentent des troubles émotifs;
• présentent des troubles du comportement;
• présentent un retard de développement ou une déficience intellectuelle légère.

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3
Q

Comment se manifeste les difficultés d’un élève à risque au primaire?

A
  • éprouvent des difficultés à atteindre les objectifs du Programme de formation de l’école québécoise,
  • présentent un retard de langage expressif (autre que la déficience langagière),
  • sont considérés comme sur-réactifs (problèmes de discipline, d’attention et de concentration) ou sous-réactifs (très faible interaction avec les camarades de leur classe),
  • ont des difficultés ou des troubles d’apprentissage,
  • ont des retards d’apprentissage,
  • ont une déficience intellectuelle légère,
  • ont des problèmes émotifs,
  • ont des troubles du comportement;
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4
Q

Comment se manifeste les difficultés d’un élève à risque en lecture au secondaire?

A
  • Décodage approximatif
  • Lecture ardue
  • Difficulté compréhension
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5
Q

Comment se manifeste les difficultés d’un élève à risque en mathématique au secondaire?

A
  • Opérations plus complexes utilisant les nombres
  • Planification, estimation difficile
  • Traitement calcul lent
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6
Q

Comment se manifeste les difficultés d’un élève à risque en écriture au secondaire?

A
  • Dysorthographie importante
  • Rédaction ardue de texte
  • Correction complexe
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7
Q

Comment se manifeste les difficultés d’un élève à risque en général au secondaire?

A
  • Grande difficulté au niveau de la prise de notes

* Persistance des difficultés des fonctions d’organisation et de planification

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8
Q

Quels sont les sphères affecté des élèves en difficulté d’apprentissage?

A
  1. Apprentissages scolaires
  2. Processus cognitifs et métacognitif
  3. Motivation scolaire
  4. Estime de soi
  5. Compétence sociales
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9
Q

Comment sont affecté les apprentissages scolaires des élèves en difficulté d’apprentissage?

A
  • Difficultés en lecture (80-90% des élèves en difficulté d’apprentissage)
  • Difficultés en écriture
  • Difficultés en mathématiques
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10
Q

Comment est affecté le processus métacognitif des élèves en difficulté d’apprentissage?

A

Difficulté à :

  1. Anticipation et planification
  2. Surveillance de l’action ou monitoring
  3. Autocontrôle ou autoévaluation
  4. Régulation
  5. Transfert
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11
Q

Qu’est-ce que la motivation scolaire?

A
  • Motivation extrinsèque et intrinsèque
  • Locus de contrôle de type interne ou externe
  • Attribution causale interne ou externe
  • Résignation apprise
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12
Q

Comment est affecté l’estime de soi et des compétences sociales des élèves en difficulté d’apprentissage?

A
  • Modification de l’estime de soi des élèves en difficulté en cours de scolarité
  • Moins compétent et difficulté à résoudre des problèmes
  • Déficit dans les cognitions sociales
  • Difficultés comportementales
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13
Q

Qu’est-ce que la métacognition?

A

apprendre à apprendre (stratégies d’apprentissage)

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14
Q

Comment est affecté le processus cognitif des élèves en difficulté d’apprentissage?

A

Difficulté d’organisation (ex: sélection, organisation)

Difficulté de compréhension (ex: inférence, analyse)

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15
Q

Nomme trois troubles d’apprentissage.

A

Dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, etc.,

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16
Q

Nomme les 5 postulats des élèves en difficulté d’apprentissage.

A
  1. Postulat d’intrinsèque
  2. Postulat de divergence
  3. Postulat d’hétérogénéité
  4. Postulat d’exclusion
  5. Postulat d’adaptation scolaire obligatoire
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17
Q

Décris les caractéristique d’une interventions de niveau primaire.

A
  • Des efforts de prévention universaux sont mis en œuvre pour tous.
    • Collectif
    • 80% des élèves ne demanderont pas d’autres interventions
    • Ex: Enseignement de qualité, manipulations, etc.
    • Prévention
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18
Q

Décris les caractéristique d’une interventions de niveau secondaire.

A
  • Les élèves identifiés comme « à risque » reçoivent des interventions supplémentaires ou en petits groupes
  • Différenciation
  • Plan d’intervention 1
  • Tutorat, groupe de lecture, etc.
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19
Q

Décris les caractéristique d’une interventions de niveau tertiaire.

A
  • Intervention intensive
  • Individuel
  • Élèves qui vivent des difficultés et qui risquent d’en développer de plus sérieuses
  • 2-7% des élèves
  • Remédiation
  • Plan d’intervention 2
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20
Q

Quels sont les moyens d’adaptation?

A
  1. Variation
  2. Différenciation
  3. Adaptation
  4. Modification
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21
Q

Décrit la variation. Donne des exemples.

A 
Changement dans la prestation de l’enseignement. 
• Variation dans le type d’activités 
• Variation dans les modes
• Variation dans les intérêts
• Variation dans les choix

(tout le monde fait la même activité au même moment)

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22
Q

Décrit la différenciation. Donne des exemples.

A

Action pédagogique planifiée ayant pour objectif de s’adapter aux différents besoins des élèves

  1. Contenus
  2. Structures
  3. Processus
  4. Produits

(pas tout le monde fait la même activité au meme moment)

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23
Q

Décrit la pédagogie CONDERE?

A

Contextualisation (mise en contexte)
Décontextualisation (trouve un autre contexte)
Recontextualisation (applique à d’autre sphère)

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24
Q

Qu’est ce que l’induction?

A

Induction - remarquer un phénomène

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25
Q

Qu’est-ce que la déduction?

A

Déduction - ressent d’une règle général. On dit la règle, il l’applique

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26
Q

Qu’est ce que l’abduction?

A

Abduction: Générer une hypothèse sans avoir toute els informations

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27
Q

Quels sont les facteurs a considérer pour choisir l’intervention?

A

a) Degré d’efficacité
b) Facilité d’application
c) Valeur pédagogique

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28
Q

Nomme 5 critères pour savoir si une méthode est efficace?

A
  1. Fidélité du traitement
  2. Des résultats observables et mesurables (effets de taille)
  3. Description des caractéristiques des apprenants
  4. Le contrôle des variables
  5. Contrôle des risques de contamination
  6. Impacts acceptables (effets indirects)
  7. Basées sur une théorie
  8. Suivi (follow-up)
  9. Conditions de recherche vs conditions naturelles
  10. Révision par les pairs
  11. Reproduction de l’expérience
  12. Efficience
  13. Signification pratique
  14. Accessibilité
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29
Q

Nomme 7 pratiques efficaces.

A 
- L'éducation inclusive
• Apprentissage coopératif
• Tutorat
• Co-enseignement
• Implication parentale
• Culture scolaire/Qualité de l'environnement/climat de classe
• Enseignement stratégique
• Enseignement autonome (ex. : contrat)
- Stratégies mnémotechniques
• Enseignement réciproque
• Conscience phonologique
• Enseignement explicite
• Évaluation formative et la rétroaction
• TIC
• Occasions d'apprendre
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30
Q

Qu’est-ce que la collaboration scolaire?

A 
La collaboration entre: 
• Enseignants
• Orthopédagogues
• Éducateurs
• Psychologues
• Orthophonistes et autres spécialistes
 • Parents
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31
Q

Quel sont les types de collaboration avec l’orthopédagogue?

A

1) Modèle de consultation
2) Modèle de co-enseignement
3) Modèle de co-intervention

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32
Q

Qu’est-ce que le modèle de consultation?

A

L’orthopédagogue ou le spécialiste consulte l’élève brièvement et hors de la classe.

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33
Q

Nomme les deux types de co-intervention avec l’orthopédagogue?

A
  1. Interne (ex: traducteur en language des signes, orthophonistes qui vient dans la classe)
  2. Externe (psychoed, orthopedagogie, enseignant ressource) en dehors de la classe
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34
Q

Décrit les types de co-enseingement.

A 
- Un enseigne, l’autre observe et/ou aide
. Enseignement parallèle
. Enseignement par ateliers
. Enseignement alternatif
. Enseignement partagé/simultané
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35
Q

Décrit le modèle de co-enseignement où un enseigne l’autre observe/aide.

A
  • Un enseignant planifie et prend l’activité en charge, l’autre enseignant fournit les adaptations et autres formes de soutien, selon les besoins
    • Requiert très peu de planification conjointe
    • Doit être utilisé avec parcimonie ! Peut se traduire par un enseignant, le plus souvent celui de l’ordinaire, qui prend le rôle de chef de file dans la majorité des cas
    • Les élèves peuvent également devenir dépendants de l’enseignant « assistant ».
    • Il est crucial pour les enseignants de partager les rôles d’enseignement et d’assistance
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36
Q

Décrit le modèle enseignement parallèle de co-enseignement .

A
  • Les enseignants se partagent la responsabilité de la planification et de l‘enseignement
  • La classe est divisée en groupes et à chaque enseignant prend en charge une moitié avec le même matériel
  • Le contenu couvert est le même, mais les méthodes d’enseignement peuvent différer
  • Ne devraient pas être utilisés pour les premières phases d’un apprentissage
  • La composition d’un groupe peut varier, en fonction des besoins des étudiants et l’objectif de la leçon.
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37
Q

Décrit le modèle enseignement par atelier de co-enseignement .

A
  • Les enseignants se partagent la responsabilité de la planification et de l‘enseignement.
  • Les étudiants permutent selon un parcours prédéterminé par le biais d’ateliers
  • Les enseignants répètent leur leçon à chaque groupe qui vient - bien que l’approche peut varier selon les besoins des élèves
  • L’enseignement par ateliers peut être utilisé même si les enseignants ont des approches pédagogiques très différentes
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38
Q

Quels sont les avantages de l’enseignement par atelier?

A

• Les élèves en difficultés peuvent être plus facilement intégrés dans de petits groupes
- Cette séparation peut augmenter le niveau de confort des co-enseignants inexpérimentés.
• Les élèves peuvent bénéficier de la réduction du ratio enseignant-élèves et d’être exposés à un plus large éventail d’expériences, lorsqu’ils passent d’un atelier à l’autre.

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39
Q

Quels sont les inconvénients de l’enseignement par atelier?

A

Les inconvénients comprennent une planification et de préparation supplémentaire, le bruit et des questions de gestion du temps.

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40
Q

Décrit le modèle enseignement alternatif de co-enseignement .

A
  • Les enseignants se partagent la responsabilité de la planification et de l‘enseignement

• La majorité des étudiants restent en grand groupe, alors que certains élèves travaillent dans un petit groupe de pré-apprentissage, d’enrichissement, de ré- enseignement, de remédiation ou autre enseignement individualisé.
- Pour les étudiants qui ont des besoins d‘apprentissage qui sont différent des autres membres du groupe.
• Permet d’individualiser
• Les enseignants devraient être attentifs à ce que les mêmes élèves ne soient pas toujours pris à part
• Enseignant spécial peut être considéré comme un assistant s’il / elle est toujours dans la variante rôle pédagogique

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41
Q

Décrit le modèle enseignement partagé de co-enseignement .

A

Cette organisation nécessite le plus haut degré de collaboration et de confiance entre les co- enseignants.
• Elle exige également que les deux enseignants soient en mesure de mailler ou mélanger de styles d’enseignement.

42
Q

Quel est le modèle de co-enseignement le plus enrichissant tant pour les enseignants que pour les élèves?

A

Enseignement partagé

43
Q

Quels sont les avantages de l’enseignement partagé (co-enseingement)?

A
  • Plus grande quantité de la responsabilité partagée
  • Permet de la créativité dans la livraison de leçon
  • Les enseignants sont invités à essayer des techniques novatrices qu’ils n’auraient pas tentés seuls
44
Q

Quels sont les désavantages de l’enseignement partagé (co-enseingement)?

A
  • Requiert plus grande quantité d’engagement

* Les plus difficiles à mettre en œuvre

45
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une collaboration efficace?

A
  1. Participation volontaire
  2. Égalité
  3. Buts communs
  4. Responsabilité partagée
  5. Partage des expertises
  6. Imputabilité partagée
46
Q

Quels sont les désavantage à faire une co-intervention externe?

A
  • Stigmatisation a sortir de la classe
  • plus difficile a faire le transfer
  • moins efficace que le interne
47
Q

Quels sont les besoins des co-enseignants?

A
  • Soutien administratif
  • Volontarisme
  • Temps de préparation
  • Formation
  • Compatibilité
  • Mariage des styles
48
Q

Quels sont les avantages pour l’enseignant à faire du co-enseignement? Nomme en 5.

A
  • Possibilités d’apprentissage pour satisfaire tous les élèves.
  • Plus de temps pour se concentrer sur le contenu et moins sur les problèmes individuels.
  • Avec l’aide de l’orthopédagogue, répondre aux besoins des différents styles d’apprentissage des étudiants.
  • Plus de temps pour apprendre, de partager et utiliser des stratégies d’apprentissage.
  • 2 X plus de possibilité d’aider les étudiants.
  • Plus d’informations sur les élèves.
  • Assistance à tous les élèves, « étiquetés » ou non.
  • Soutien aux élèves qui ont besoin de stratégies organisationnelles
  • La pression des pairs pour un comportement approprié – les comportements négatifs diminuent.
  • Une plus grande satisfaction personnelle!
49
Q

Quels sont les avantages pour l’orthopédagogue à faire du co-enseignement? Nomme en 5.

A
  • Enseigner dans sa zone d’expertise tout en connaissant les attentes d’une classe d’enseignement ordinaire.
  • Consacrer plus de temps et d’énergie pour aider les élèves à développer leur motivation, l’effort et leur autonomie.
  • Plus de possibilités d’utiliser des stratégies d’apprentissage spécifiques et les généraliser.
  • « Ajuster à la réalité » les objectifs d’enseignement.
  • Partenariat avec un collègue pour atteindre les objectifs individuels des élèves.
  • Récompensé de voir directement la réussite des élèves intégrés et à établir leur « crédibilité ».
  • Amélioration des comportements des élèves.
  • L’apprentissage mutuel et l’appréciation des compétences des uns et des autres.
  • Une plus grande satisfaction personnelle !
50
Q

Quels sont les avantages pour les élèves à faire du co-enseignement? Nomme en 5.

A
  • Plus de temps passé à travailler en collaboration.
  • Fort accent sur l’apprentissage de compétences, d’organisation et d’autonomie.
  • Techniques d’apprentissage et d’enseignement diversifiées.
  • Plus de contacts avec les enseignants.
  • Meilleurs suivis des projets individuels.
  • Leurs besoins « uniques » d’apprentissage sont satisfaits dans la mesure du possible.
  • Amélioration de l’estime de soi.
  • Occasions de leadership et de développement dans un environnement le moins restrictif possible.
  • Moins de peur de l’échec en raison des expériences réussies.
  • Augmente le sens des responsabilités.
51
Q

Quels aménagement facilitent le travail avec les EHDAA?

A
  • Un service-conseil pour supporter les équipes-écoles dans leur travail avec les élèves ayant des retards d’apprentissage et des troubles de comportement (plus de la moitié des écoles).
  • Au primaire, utilisation du coenseignement avec l’enseignant- orthopédagogue (quelques écoles).
  • Sur la base du principe d’une école désignée pour un groupe d’élèves, l’école développe une expertise et en fait profiter d’autres écoles qui intègrent dans les classes ordinaires un service-conseil pour les enseignants intégrant des EHDAA (quelques écoles).
  • Au lieu de retirer les élèves de la classe, des enseignants-ressources co- enseignent avec les enseignants. Les élèves en difficulté sont aussi accompagnés en classe.
  • Toutes les écoles ont des enseignants experts pour soutenir les enseignants (ensemble des écoles).
52
Q

Quelles modalité voit on plus au Québec pour les EHDAA

A
  • Les élèves passent tout leur temps avec les autres élèves et une ressource vient en classe apporter un soutien à l’enseignant ou aux élèves
  • Les élèves passent la majorité de leur temps avec les autres élèves, mais sont retirés de la classe uniquement pour recevoir certains services complémentaires
53
Q

De combien a augmenté le nombre de classes spéciales dans l’ensemble des commissions scolaires?

A

12 %.

54
Q

À quelle niveau y a-t-il une augmentation la plus noté des classes spéciales? (2007-2008)

A

Préscolaire

55
Q

Quelle est la formule pour du tutorat?

A

10 semaines, 3-5 fois par semaines d’une 30 de minutes chaque fois

56
Q

Avec qui le tutorat est-il le plus efficace?

A

Les enfants plus vieux

57
Q

Quels sont les caractéristiques du tutorat?

A
  • Un étudiant agit comme tuteur et l’un comme tutoyé.
  • Les élèves peuvent être du même âge ou d’âges différents
  • Habituellement 20 minutes de tutorat et 7 minutes d’évaluation sur dix semaines
  • Pour des exercices, l’entraînement, la lecture, etc.
  • Nouveaux matériaux (par matériel vue en classe)
  • Rôles échangeables
58
Q

Que permet d’augmenter le tutorat?

A

a) la réussite scolaire
b) performance en lecture
c) performance en écriture
d) performance en math/science
e) engagement dans l’activité / attention
f) Attitudes face aux activités
g) Interaction avec les pairs
h) Habiletés sociales
i) Estime de soi

59
Q

Que permet de diminuer le tutorat?

A

a) Les comportements de compétition

b) L’orientation vers des classes spéciales

60
Q

Vrai ou faux : Les tutorés bénéficient plus du travail avec un tuteur plus âgé et plus capable qu’avec un tuteur du même âge.

A

Vrai

61
Q

Vrai ou faux : Pour les tuteurs, le tutorat a généralement un effet énorme, mais peu significatif sur les performances académiques, l’estime de soi et l’attitude face au programme

A

Faux. Il a un effet faible, mais significatif sur les performances académiques, l’estime de soi et l’attitude face au programme

62
Q

Vrai ou faux: En lecture, le tutorat est plus efficace sur le tuteur que sur le tutoré.

A

Vrai

63
Q

Quels sont les risques et les limites du tutorat?

A
  • Le tutorat n’est pas plus efficace que l’enseignement 1/1, l’enseignement en petit groupe ou que l’enseignement direct
  • Risque de dépendance
  • Risque de sur-utilisation de certains tuteurs
  • Vérifier la compatibilité entre pairs
  • Ne remplace pas un bon enseignement –» approfondissement des apprentissages
64
Q

Donne un exemple d’application du tutorat?

A
  • Lecture guidée, compréhension, Topping, lecture interactive, etc.
  • Écriture guidée, étude des mots d’orthographe, lecture de pseudo-mots, entrainement, schéma de récit, etc.
  • Fixation des procédures de base,
  • Tutorat parental
65
Q

Donne un exemple du tutorat en orthographe?

A

Le tuteur dicte chaque mot
Le tutoré écrit et épelle
En cas d’erreur, le tuteur épelle et le tutoré l’écrit 3X

OU

  1. Le tuteur écrit le mot
  2. L’élève lit le mot
  3. L’élève dit les lettres du mot
  4. L’élève écrit le mot sur une feuille
  5. Le tuteur demande à l’élève de regarder le mot et de la photographier
  6. Le tuteur demande à l’élève de fermer les yeux et d’épeler le mot
  7. Le tuteur demande d’écrire le mot
  8. Contrôle
  9. Analyse des erreurs
66
Q

Quels sont les étapes du tutorat en lecture AVANT la séance?

A
  1. Choix du livre
  2. Lire le livre
  3. Choix de 6-10 mots difficiles
  4. Cartes-éclairs avec mot et phrase
  5. 5 questions (où, quand, comment, pourquoi, qu’est-ce que)
  6. Contrôle enseignant
67
Q

Quels sont les étapes du tutorat en lecture PENDANT la séance?

A
  1. Lire le titre ensemble
  2. Regardez les illustrations
  3. Prédiction
  4. Lire les cartes-éclairs
  5. Lire le livre avec le doigt
  6. Parler des illustrations pendant la lecture.
  7. Aider au besoin
  8. Poser les 5 questions et encourager à fouiller dans le livre
  9. Félicitations
68
Q

Donne des caractéristiques de l’enseignement autonome?

A
  • Fichiers de fixation et d’exercisation
  • Programmation quotidienne, hebdomadaire, mensuelle
  • Autocorrection
  • Achat ou « home-made »
  • Prévoir des séances quotidiennes d’une heure environ
  • Contrat –» lundi/évaluation –» vendredi
69
Q

Quels sont les avantages de l’enseignement autonomes?

A
  • Permet d’individualiser/différencier
  • Chacun avance à son rythme/aucun élève ne fait la même chose au même moment
  • Permet de fixer des apprentissages
  • Permet d’offrir du temps à certains élèves
  • Permet de déléguer des responsabilités (ex. : correction, synthèse de l’avancement, etc.)
  • Temps idéal pour des prises en charge individuelles (ex. ortho, etc.)
  • Permet la responsabilisation des élèves
70
Q

Quels sont les limites de l’enseignement autonomes?

A
  • Lourd à mettre en place au début
  • Pas pour des activités d’apprentissage
  • Peut agrandir les écarts dans la classe
  • Peut favoriser la compétition
  • Travail parfois sans signification et peu d’explications
  • Tricherie possible
71
Q

Qu’est-ce que l’enseignement coopératif?

A
  • Différenciation par les structures (groupement)
  • Des élèves qui travaillent ensemble pour réaliser des tâches individuelles ou collectives.
  • Travailler en groupe et non dans un groupe
72
Q

Quels sont les avantages de l’enseignement coopératif?

A
  • Très économique
  • Très efficace dans les groupes hétérogènes
  • Utile avec de grands groupes
  • Efficace avec les élèves en difficultés
  • Quand des élèves coopèrent, il y a un effet synergique. (1+1 = 3)
  • Influence sur le climat de classe
  • L’apprentissage est situé, contextualisé dans un environnement. L’apprentissage est socialement situé (socioconstructivisme) –» Effet sur la ZPD
73
Q

Quels sont les points important de l’enseignement coopératif?

A 
. Formation des groupes
. Proximité physique
. Les habilités de collaboration
. Durée des groupements
. Solidarité
. Participation et apprentissage individuel
. Rôle de l’enseignant
74
Q

Quel sont les caractéristiques de l’enseignement coopératif?

A
  1. Interdépendance
  2. Redevabilité individuelle
  3. Coopération
  4. Évaluation/récompense
75
Q

Quel est le rôle de l’enseignant dans l’enseignement coopératif?

A
  • Développer des tâches coopératives adaptées
  • Enseigner aux groupes les compétences de coopération et communication
  • Gérer efficacement tout problème pouvant survenir
76
Q

Pourquoi favoriser un groupe hétérogène plutôt que homogène dans l’enseignement coopératif?

A
  • Effet négatif de l’homogénéité sur les élèves les plus faibles
  • Espérances plus faibles qui affectent la motivation et l’accomplissement
  • Surreprésentation de groupes (garçons, primo, etc.) qui accentue des divisions
  • Réduction des chances d’évoluer entre les groupes
  • Les élèves faibles dans des groupes de niveaux ont tendance à recevoir moins d’enseignement que dans un groupe hétérogène
  • Environnement moins stimulant
  • Manque de modèles positifs
  • Enseignement sur des procédures de bases plutôt que sur les compétences (niveau des savoirs et compétences)
77
Q

Quand utiliser les groupes homogènes dans l’enseignement coopératif?

A

Utiliser les groupes homogènes seulement quand il peut accroitre l’efficacité de l’enseignement ou donner plus de temps d’enseignement sur une compétence spécifique.

78
Q

Qu’est-ce que l’enseignement réciproque?

A
  • Très efficace
  • Chaque élève assume, à tour de rôle, tous les rôles (lecteur, critique, etc.)
  • Intérioriser une pratique interindividuelle
  • Élargissement de la zone proximale de développement (tâche complexe)
  • Réduction de l’anxiété face à une tâche • Engagement actif
79
Q

Quelles sont les 4 stratégies essentielles?

A
  • Prédire
  • Clarifier
  • Questionner
  • Résumer
80
Q

Quels sont les 3 étapes de l’enseignement réciproque?

A
  1. Modelage et objectivation
  2. Pratique guidée et objectivation
  3. Pratique autonome
81
Q

Comment faire l’étape du modelage et de l’objectivation de l’enseignement réciproque?

A
  • modeler l’utilisation des quatre stratégies à l’aide d’un texte que les élèves ont également en main;
    • penser à voix haute tout au long du modelage pour démontrer le processus de réflexion pendant l’application des quatre stratégies;
    • inviter les élèves à consulter leur référentiel pendant le modelage;
    • animer une période d’objectivation après le modelage.
82
Q

Comment faire l’étape de la pratique guidée et de l’objectivation de l’enseignement réciproque?

A
  • choisir un texte et le diviser en quatre parties;
  • former un groupe de quatre volontaires;
  • disposer le reste de la classe autour de ce groupe afin que les élèves puissent observer l’utilisation des quatre stratégies durant la pratique guidée et qu’ils puissent comprendre le fonctionnement du groupe;
  • distribuer le texte et le référentiel à tous les élèves afin qu’ils puissent suivre l’activité;
  • assigner une section du texte à chaque élève du groupe et leur expliquer que chacun sera à tour de rôle mini-prof pour sa section;
  • agir comme facilitateur et guider la discussion;
  • inviter les autres élèves de la classe à donner leurs idées et leurs suggestions;
  • animer une période d’objectivation après la pratique guidée.
83
Q

Comment faire l’étape de la pratique autonome de l’enseignement réciproque?

A
  • choisir un texte et le diviser en quatre parties;
  • former habituellement des groupes hétérogènes de quatre élèves et changer les groupes régulièrement;
  • distribuer le texte à tous les élèves. On peut aussi utiliser plus d’un texte mais tous les membres d’un groupe doivent avoir le même;
  • demander à chaque élève de choisir une section du texte et de devenir mini-prof pour sa section;
  • circuler de groupe en groupe et intervenir au besoin;
  • prévoir une période d’objectivation après chaque séance d’enseignement réciproque;
  • après avoir observé les élèves, planifier au besoin des séances de perfectionnement, afin de les amener à améliorer l’utilisation d’une stratégie particulière.
84
Q

Quels sont les trois analyse de l’enseignement explicite?

A
  • L’analyse du comportement
  • L’analyse de la communication
  • L’analyse didactique
85
Q

Que cherche à comprendre l’analyse du comportement de l’enseignement explicite?

A

cherche à comprendre comment l’environnement (ex. : stimulus de l’enseignement) influence le comportement.

86
Q

Que cherche à comprendre l’analyse de la communication de l’enseignement explicite?

A

cherche à comprendre comment définir logiquement des séquences efficaces d’enseignement et ainsi prévenir les erreurs.

87
Q

Que cherche à comprendre l’analyse didactique de l’enseignement explicite?

A

cherche à savoir comment organiser ou classifier de manière logique les connaissances et comment enseigner des compétences aux élèves

88
Q

Quelle sont les caractéristiques de l’enseignement explicite?

A
  • Les leçons sont élaborées en suivant un ordre précis de développement. Elles sont hautement structurées et divisent la nouvelle matière en petites étapes.
  • Les enseignants travaillent selon des séquences de tâches préétablies. Ils connaissent exactement ce qu’il faut demander ou ce qu’il faut dire pour encourager les élèves à exprimer leurs incompréhensions et/ou pour les aider.
  • Ces scénarios (mémorisés par les enseignants) assurent que les enseignants proposent des exercices en employant les termes exacts pour présenter le plus clairement la notion abordée.
  • L’objectif est la maitrise. Les leçons devraient être réussies par 90 % ou plus des élèves.
  • L’enseignant doit être vigilant face aux erreurs. Celles-ci doivent être évitées, traitées et éliminées.
  • L’enseignant fournit beaucoup d’occasions aux élèves de pratiquer et de travailler la matière pour s’assurer que tous les élèves sont des participants actifs.
  • Les évaluations sont utilisées fréquemment pour garantir que tous les élèves maitrisent la matière et pour déterminer quels concepts, règles ou stratégies cognitives nécessitent un enseignement supplémentaire.
  • On enseigne aux élèves répartis en petits groupes de niveau d’environ 8 à 12 élèves pour que l’enseignant puisse facilement contrôler leurs progrès et fournir une aide individuelle.
  • L’enseignant joue le rôle de guide. Il s’assure que les élèves maitrisent des tâches accessibles en leur fournissant une aide puis en diminuant peu à peu le niveau d’étayage.
89
Q

Combien de temp dure la mémoire sensorielle?

A

• 1⁄4 de seconde

90
Q

Combien de temp dure la mémoire de travail?

A

20 à 60 secondes

91
Q

Quels sont les caractéristiques de la mémoire sensorielle?

A
  • Lien entre mémoire perceptive et MLT
  • Empan de +/- 7 éléments
  • Garder active l’information
  • Transférer et emmagasiner dans la MLT
  • Stratégies
92
Q

Quels sont les caractéristiques de la mémoire long terme ?

A
  • Permanente et accessible à vie
  • Quantité illimitée
  • Récupération –» encodage et organisation (ex. : schéma)
93
Q

Quels sont les étapes de la mémoire?

A
  1. Encodage
  2. Stockage
  3. Récupération
94
Q

Quels sont les types de mémoire long terme?

A
  • Autobiographique ou contextuelle
  • Déclarative
  • Procédurale
95
Q

Que signifie “comprendre pour mémoriser”?

A
  • Très difficile de mémoriser ce que l’on ne comprend pas
  • Place de la notion de la réseau conceptuel (connexions, liens, associations, …)
  • Redire dans ses propres mots (vérifier la compréhension, résumer, 1re mémorisation)
  • Expliquer le sens de l’apprentissage nouveau
96
Q

Nomme 3 façons de mémoriser quelque chose.

A
  1. Comprendre pour mémoriser
  2. Approfondir sa compréhension
  3. Mémoriser de manière dynamique
  4. Mémoriser pour réutiliser
  5. Réactiver
  6. Organiser les réactivations
  7. Importance des pauses
  8. Attention aux interférences
  9. Être disposé à mémoriser
97
Q

Quel est la loi de Joost en terme de mémoire?

A

1 minutes après
10 minutes après
1 heure après

1 jours
1 semaines
1 mois
1 trimestres

98
Q

Décrit l’importance des pauses dans la mémoire?

A
  • Pauses régulières –» le repos favorise la mémorisation (50 minutes activités + 10’ de pause)
  • On retient mieux un savoir issu de l’activité A après un repos qu’après une activité B
  • Étudier avant de se coucher
99
Q

Comment le surapprentissage peut aider à apprendre pour la vie?

A

SURAPPRENTISSAGE : maintenir l’apprentissage 50% de plus que le temp nécessaire pour l’apprendre
Ex: Si apprendre par coeur parfaitement les verbes irrégulier me prend 4h, en 6h je vais l’apprendre pour la vie

100
Q

Quels sont les interférences de la mémoire?

A
  • Interférences entre les matières proches (anglais/français, sciences/math, etc.),
  • Interférences entre les activités proches
  • Activités mentales qui se nuisent les unes aux autres
  • Agencement des horaires
  • Varier les matières et le type d’activités (ex. français, gym, math, arts, anglais)
101
Q

Comment être disposer à mémoriser?

A
  • Motivation, intérêt, conflit avec le prof, stress
  • Donner du sens aux apprentissages
  • Connaitre les exigences de la tâche (objectifs, moyens, stratégies, etc.)
  • Liens avec la matière –» on mémorise mieux ce que l’on aime –» RAPPORT AUX SAVOIRS
  • Bonne disposition physique
  • Effet important de la réussite (1er contact)
102
Q

Nomme trois truc de mémorisation.

A 
Acronyme
Phrase acrostiche
Méthodes des lieux
Mots-crochets
Associations grotesques (interactive et bizarre)
Chansons Imagerie (mots)

Élèves en difficulté (2 decks)

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