Final Flashcards

Question

Lumières

Answer 1

phénomène européen du 18e siècle, projet fondé sur un optimisme anthropologique (Rousseau) et historique (pas Rousseau) qui combat l’obscurantisme et la superstition au nom du progrès - L’être humain est essentiellement autonome et doit sortir de l’état de tutelle (déresponsabilisation, paresse) et doit avoir le courage de se servir de son entendement (pas modestie de Montaigne) - La nature humaine ne doit pas être corrigée, mais cultivée et accompagnée, car elle est bonne. - Le progrès de l'humanité passe par les développements économique et technique et la diffusion de tous les savoirs (égalité)

Answer 2

absence de trouble, quiétude, tranquillité de l’âme

Answer 3

rappel qu’on est soumis au hasard, faire face à notre vulnérabilité et notre finitude

Answer 4

capacité à se dépasser pour devenir ce qu’on n’est pas

Answer 5

Vérité à communiquer Construction d’un système philosophique Ethos philosophique (Montaigne)

Answer 6

Humilité intellectuelle: limites de l’intelligence, remise en question, autres points de vue, fidéisme, pas d’anthropocentrisme, sagesse vs érudition: - La pensée inhibe la spontanéité et la simplicité (corps) - Privilégie la théorie par rapport à la pratique - Pédantisme Art de vivre: réponse aux questions existentielles, médecine de l’âme L’ordinaire devient extraordinaire: banalité devient philosophique selon le regard, intérêt pour le particulier peut mener à l’universel.

Answer 7

accès à des idées et concepts indépendamment de l’expérience sensible

Answer 8

représentation d’images à partir de l’expérience sensible

Answer 9

état dans lequel se retrouve une conscience qui ne connaît pas le monde extérieur

Answer 10

loi à soi (vs hétéronomie)

Answer 11

avec/ensemble + pathos = ressentir le pathos d’autrui avec autrui

Answer 12

conformisme, ondoyance, principes et valeurs, regard des autres, société, vulnérabilité, transparence Romantique, existentialiste, communautariste et psychanalytique

Answer 13

être fidèle à soi, individualité propre contre le mensonge social qui corrompt. Moi naturel pré-social (être soi sans partage). Ne pas dépendre de l’approbation d’autrui (comparaison souffrante), ne pas sacrifier sa sincérité au nom de conventions sociales (déshumanisation des rapports, trahison), ne pas se mentir à soi-même

Answer 14

critique du romantisme: le moi naturel est une illusion. Il n’existe aucune essence: nous sommes projetés dans le monde sans nature. Étapes de l’authenticité: - Accepter l’absence de sens et le caractère contingent de son existence - Faire le choix de son être (autodétermination identitaire) - Ne jamais se référer à une nature ou une essence à priori: mensonge, mauvaise foi (ressentiment nietzschéen), quelques déterminants accessoires qui permettent la liberté au sein de contraintes

Answer 15

philosophie politique, communautés d’appartenance qui guident nos choix, tenir compte de ses liens avec sa communauté et ne pas les trahir.

Answer 16

vrai soi (authentique, avant socialisation, égo pur, omnipotence animale, besoins premiers) et faux soi (inauthentique, individuation, adulte fonctionnel), il faut sacrifier une part de soi, mais pas trop rapidement. Un développement trop précoce du faux soi nous empêche de connaître nos véritables besoins. La psychanalyse permet le retour de la spontanéité du vrai soi. Il faut trouver un équilibre entre les deux

Answer 17

non-nécessaire

Answer 18

féminité est une essence et les femmes incarnent cette idée éternelle et fixe (mythe de l’éternel féminin) - Autoréalisant: idée inculquée et intériorisée (mauvaise foi) - Glorification de la féminité mise au service de la domination, oppression sur un piédestal et dans un rôle prescrit

Answer 19

attributs physiologiques qui produit des différences psychologiques (parallélisme psychophysiologique), naturalisation de l’Histoire (mauvaise foi)

Answer 20

effet de langage ou de discours, qui n’existe pas, négation du vécu genré et des perspectives empiristes

Answer 21

donner à un objet une valeur qu’il n’a pas

Answer 22

lois par et pour les êtres humains

Answer 23

discours rationnel sur l’être humain (juge et jugé)

Answer 24

les humains ont une place spéciale, humanisme (sauf Montaigne)

Answer 25

qui sommes-nous (essence: autonomie, conscience de soi, sens moral, imagination, travail, langage, etc.) et qui devrions-nous devenir (humanité: raison DC, liberté SDB)

Answer 26

propre, liberté/déterminisme, identité, sens de la vie

Answer 27

- L’être humain est un projet pour lui-même - Je suis obligé de mener mon projet (autodétermination, transcendance) - C’est nous qui donnons sens à nos projets (pas de sens à priori) - Nos projets prennent sens par et pour autrui (condition nécessaire)

Answer 28

vérité (liberté, intégrité, véracité) > bonheur, objection à l’eudémonisme hédoniste (telos = bonheur)

Answer 29

Question la plus radicale Question proprement humaine Question inévitable (situations limites) Question particulièrement moderne (atomisation libérale et autonomie)

Answer 30

SDB, dans quelle mesure pouvons-nous donner sens à nos projets? Anthropologie existentialiste

Answer 31

Les Essais: connaissance de soi et ataraxie, fin 16e, humanisme Introspection Essai Humaniste Ethos philosophique Vivre à propos Sortir de soi

Answer 32

que suis-je et que sais-je (sur moi malgré ondoyance)? « Plus je me hante, moins je m’entends en moi » Autoportrait philosophique: regarder à l’intérieur Le moi est un mystère en raison de son ondoyance: caractère changeant continuel, pas toujours transparent face à lui-même (Nietzsche)

Answer 33

Nouvelle forme littéraire: l’essai, flexible, dicté par les pensées, le lecteur l’accompagne dans sa réflexion, français (langue du peuple, ondoyante)

Answer 34

s’intéresse à l’être humain et à lui-même, valorise l’expérience terrestre, répond aux philosophes antiques (mais pas pédantisme)

Answer 35

vivre pleinement et entièrement l’instant présent, attentif aux petits plaisirs pour atteindre l’ataraxie, réconciliation avec l’impermanence des choses, passivité et recueillement (carpe diem)

Answer 36

aller à la rencontre de l’altérité pour découvrir la nouveauté, l’inédit et se découvrir soi-même comme altérité (introspection). Le rapport avec soi passe par l’Autre - Voyage: relativisme culturel et ouverture - Art de conférer

Answer 37

vulnérabilité et abandon de la volonté de domination et de l’identification existentielle à ses idées - Tenir ses idées à distance - Accueillir la contradiction - Douter de tout et de soi - Bien choisir son interlocuteur.

Answer 38

Raison et vérité 17e - Réforme protestante et révolution copernicienne: Recherche de nouveaux fondements Par rapport à Montaigne Discours de la méthode Méditations métaphysiques

Answer 39

Affinités: humanisme (sauf sources antiques), mise en scène du moi philosophique et introspection Différences: - Rapport au doute: immunité contre les certitudes dogmatiques vs outil méthodique qui sert à établir des certitudes indubitables - Rapport à la raison: fidéisme vs rationalisme (anthropologique et épistémologique)

Answer 40

nouvelle méthode intellectuelle pour éviter les erreurs du passé. Règles: - Évidence: ne pas se contenter de ce qui est vraisemblable - Division: décortiquer les problèmes en fondements - Ordre: procéder de manière ordonnée, grâce à la déduction (contraire à l’empirisme)

Answer 41

édification en 3 étapes - Doute radical - Refondation - Reconstruction Doute méthodique → sens trompeurs → rêve? → mauvais génie → scepticisme → cogito ergo sum → solipsisme → Dieu → monde matériel

Answer 42

scepticisme méthodique, hyperbolique et provisoire, ne peut pas faire confiance à ses sens. Il envisage la suspension de son jugement (scepticisme)

Answer 43

à partir de la certitude indubitable (cogito: je suis, j’existe). Une certitude demeure, fondation du rationalisme. Si je doute ou que je suis manipulé, c’est que j’existe en tant que chose pensante (croire/douter du doute)

Answer 44

des savoirs à partir des fondements (nouvelles certitudes indubitables (Dieu, monde matériel) et rationalistes (partent de l’idée, du concept) Argument par causalité Argument ontologique

Answer 45

idée d’une substance infinie et parfaite qui ne peut pas venir d’un être imparfait (qui doute), mais de Dieu lui-même.

Answer 46

idée d’un être suprême parfait qui implique son existence (l’existence est une qualité)

Answer 47

puissance et créativité 19e Le gai savoir Volonté de puissance Médecin Décadent Grande santé Amor fati Éternel retour Surhumain Dernier homme

Answer 48

la mort de Dieu (l’insensé) → influence des religions monothéistes s’estompe, laïcisation et rationalisation; mort de la métaphysique (arrières-mondes plus importants que les nôtres qui justifient notre vie terrestre). Nietzsche donne la dernière secousse et déconstruit la métaphysique (dynamite). Redécouverte du monde physique et du potentiel du corps humain (inversion de la métaphysique). Choix: Nihilisme passif Nihilisme actif

Answer 49

Nihilisme passif: ne pas accepter la mort de Dieu, se raconter les histoires sans y croire, pas créer de nouvelles valeurs découragement, lâcheté. Nihilisme actif: création de nouvelles croyances et valeurs. Affirmation de sa puissance

Answer 50

principe premier, volonté involontaire et inconsciente de vivre, de se répandre et de s’affirmer, être parce qu’on le veut et sans raison, sentiment de transcendance. Tout doit être subordonné à la vie, qui permet la volonté de puissance (contraire à l’hédonisme et l’eudémonisme). La vérité est secondaire et peut être dévitalisante (perspectivisme). Il faut reconstruire de nouvelles valeurs (chrétiennes: humilité, etc. sont dévitalisantes) au nom de la vie et avoir une discipline de soi. Toute souffrance est inévitable et doit être sublimée (autodépassement). Autorité sur soi, pas de domination.

Answer 51

diagnostic sur l’état de santé

Answer 52

dernier homme: morale pour partager sa dévitalisation (il n’y a pas de bien ou de mal), horizontalité et nivellement par le bas. Morales: socratique, chrétienne et libérale

Answer 53

- Socratique: hyperrationalisme freine la volonté de puissance - Chrétienne: arme qui brise la volonté de puissance, abnégation de soi (pardon, sacrifice, altruisme, miséricorde) - Libérale: triomphe après la mort de Dieu, abêtissement grégaire du troupeau, promesse d’autonomie et d’individualisme, mais mène à la recherche du confort et du conformisme (êtres d’exception ne peuvent se démarquer, ils dérangent)

Answer 54

capable d’affirmer sa volonté de puissance, spiritualisation des pulsions, hiérarchie qui les intensifie Inimitié: canaliser, spiritualiser, s’affirmer, pas vengeance Pulsions sexuelles: créatives et intenses Toute souffrance peut être spiritualisée et sublimée

Answer 55

dire oui au destin, l’aimer, affirmation renouvelée de sa puissance (contraire au ressentiment). Règles: - Se réconcilier avec le laid: occasion d’affirmer sa puissance - S’exercer à l’oubli: vivre le présent et passer à autre chose - Éviter tout ressentiment (déresponsabilisation, excuse sa faiblesse)

Answer 56

du même: pour savoir si on est amoureux du destin (même vie pour l’éternité), nous pousse à agir

Answer 57

idéal anthropologique, qualitativement supérieur à l’humain médiocre - Autojustification: invente les critères qui le définissent et le justifient de manière autonome - Autodépassement: dépasser de nouveaux obstacles - Capacité à sublimer sa souffrance Pas comme vivre à propos/ataraxie (Montaigne)

Answer 58

recherche du confort et de la satisfaction, triomphera inévitablement.

Answer 59

Nietzsche lui répond Ontologie: vouloir Anthropologie pessimiste Lutte contre le vouloir

Answer 60

tout ce qui existe est l’expression d’un vouloir aveugle et impersonnel - Force aveugle: sans direction/intention, sans fondement/raison/finalité - Force qui veut s’accroître pour s’accroître - Le vouloir s’objective dans diverses formes de vie

Answer 61

l’existence humaine est essentiellement tragique et souffrante - L’existence est absurde, contingente - L’existence humaine est la plus souffrante qui soit (Montaigne): conscience de sa souffrance et anticipation - Bonheur négatif: exceptions momentanées au mode par défaut de la souffrance. Moment où on comble le manque: bonheur - Bonheur paradoxal: être de désir → assouvissement → ennui (dans le meilleur des cas)

Answer 62

Toute vie est vouloir → effort/désir → souffrance Contemplation esthétique et pitié

Answer 63

entrée en rapport avec le réel sans qu’il soit déterminé par le désir, contemplation désintéressée (utilité, appropriation), calmant passager

Answer 64

oublier, faire taire le vouloir, s’identifier à la souffrance d’autrui, sympathie, spirituelle et fondamentale, libératrice (pas de différences entre nos souffrances: universalité), contraire à l’égoïsme par défaut (propres intérêts, connaissance de sa seule réalité). La méchanceté est le fruit de l’égoïsme.

Answer 65

Nietzsche: critique ce nihilisme passif, effacement de soi, pense son vitalisme en réaction à ce pessimisme

Answer 66

authenticité et engagement 20e Existentialisme Phénoménologie Choix et engagement Mauvaise foi Être-pour-autrui Féminisme existentialisme

Answer 67

L'existence précède l’essence: être-projeté dans le monde, L’existence est radicalement contingente, les choses sont là sans raison L’être humain est condamné à être libre, fardeau de la responsabilité existentielle, suite ininterrompue d’autodétermination

Answer 68

investigation philosophique existentialiste qui analyse et décrit les phénomènes tels qu’ils se présentent à la conscience plutôt que le monde même. Part du concret, de l’expérience vécue, deux expériences Nausée Angoisse

Answer 69

rapport réflexif, je suis moi-même contingent, inessentiel, radicalement libre, phobie de l’impulsion

Answer 70

découverte de l’absurdité nauséeuse, de la contingence radicale, insignifiance

Answer 71

Choix (engagement) comme obligation existentielle: nous courons vers nous-mêmes et ne coïncidons jamais avec nous-mêmes, la transcendance permet l’engagement - Je ne choisis pas de choisir, urgence du choix de tous les instants - Je choisis seul essentiellement, ne pas porter le poids de la liberté serait inauthentique - Je choisis l’humanité entière en me choisissant: somme des choix individuels = humanité, définition de sa « nature » - Je choisis constamment tant que je suis vivant, rétrospective possible qu’à la mort

Answer 72

ne pas accepter sa contingence radicale et se référer à un à priori pour calmer son angoisse Quiétisme Esprit de sérieux

Answer 73

passivité, inactivité, déresponsabilisation (poser l’historique et le social en naturel, prétexter la situation pour ne pas exercer sa responsabilité)

Answer 74

se donner une importance qu’on n’a pas, s’imaginer une essence, se donner une fausse nécessité, s’essentialiser (garçon de café)

Answer 75

projeté dans l’existence avec, pour et devant autrui → enfer - Je n’échappe jamais à autrui et son regard: être-regardé sans échappatoire - L’autre est une instance médiatrice nécessaire entre moi et moi (autodétermination devant, pour et avec autrui), impossible de se penser sans passer par l’autre (cogito) - Je prends conscience que je suis pour autrui un objet: réification, car c’est la seule manière d’approcher autrui (le réduire à quelque chose de fixe et connu), interdit un accès véritable à l’autre, qui n’est pas fixe - Je ne sais pas quel objet je suis pour autrui (être-vu), les autres ont davantage accès à ce que nous sommes. Il ne faut pas devancer sa réification et le faire soi-même.

Answer 76

Définition beauvoirienne: la féminité est une réalité biologique et sociale, inextricable l’une de l’autre, synthèse des définitions précédentes. La biologie existe, mais ne prend de signification que dans ses médiations sociales. Définitions sont le résultat d’une altérisation et d’une secondarisation par rapport aux hommes (réduction à l’état de chose qui ne peut pas exercer sa liberté) Remise en question des fausses prétentions à l’universalité, pas se réduire à sa perspective

Answer 77

18e, Lumières mais distinction philosophique - comment rester soi-même Philosophie de l'histoire État de nature

Answer 78

sens et déroulement Progrès: l’histoire a un sens selon les philosophes des lumières (téléologie), l’instrument du progrès est la raison (barbarie – humanisation → civilisation Rousseau: l'homme à l’état de nature, avant toute socialisation, s’est déshumanisé en devenant à l’état de société. Le progrès nous a déshumanisé, il n’est pas nécessairement souhaitable: fétichisation du progrès - Phylogénétique: déshumanisation collective - Ontogénétique: traits essentiels propres à chacun perdus à cause de la corruption de la société

Answer 79

bonté, bonheur, liberté, retirés avec la socialisation, optimisme anthropologique Il faut accompagner de manière non-coercitive (pas précipiter et corriger la nature humaine) Accompagnement pour réaliser ses potentialités et possibilités déjà existantes La société rend égoïstes, nourrit notre amour-propre, multiplie les désirs factices et l’insatisfaction, asservit au regard d’autrui

Answer 80

Quantitatif: accumulation de savoirs, de richesses et développement technico-scientifique, pas véritable, pas dignes d’effort ou d’enthousiasme Qualitatif: nous rend plus libres, plus heureux et vertueux

Answer 81

État présocial hypothétique où il n’y a pas de droit positif (hétéronomie), mais un droit naturel (autonomie). L’homme civilisé est décrit en contraste avec celui à l’état de nature (on a perdu ces qualités). L'autonomie que l'on aurait suite à un nouveau pacte social serait plus grande encore que celle de l'homme à l'état de nature, puisqu'elle nous permettrait de nous réaliser encore davantage individuellement et collectivement. 3 aspects: Corps et comportement Âme et psychologie Cœur et moralité

Answer 82

semblable aux animaux: frugalité (peu de besoins/pas de désirs → satisfaction), léthargie (pas d’ambition/désir d’autodépassement), sentiment de l’existence (en jouit en étant), autosuffisant (pas besoin de la coopération ou du regard d’autrui), près de son animalité et liens stratégiques

Answer 83

distinction animaux: liberté (capacité de dire oui ou non à l’appel de l’instinct et en tirer plaisir: morale), perfectibilité de la nature humaine, malléabilité, potentialité, virtualité qui explique notre évolution (corrompue, mais possible de réhabiliter)

Answer 84

distinction animaux: pitié naturelle, aversion et répugnance pour la souffrance d’un être sensible. Aujourd’hui, froideur, égoïsme et avidité étouffent cet instinct et ce sens moral inné. L’amour de soi et l’instinct d’autoconservation contrebalancent la pitié naturelle.

Answer 85

L’invention de la propriété privée crée des inégalités importantes → guerre de tous contre tous (pas l’état de nature). Ceux qui ont plus de propriétés convainquent les moins privilégiés qu’ils y avaient droit naturellement, naturalisation de la superfluité qui n’est pas naturelle, société contre-nature, confusion progrès quantitatif et qualitatif.

Answer 86

Différent de l’amour-propre (orgueil): désir d’être reconnu par autrui

Answer 87

état de nature avant Rousseau: état de guerre permanent de tous contre tous, l’être humain est hostile et agressif (pessimisme, droit négatif) - Les lois nous calment et taisent notre volonté de domination, permettent d’éviter le chaos causé par l’essence mauvaise de l’être humain et pacifient les passions. - Insécurité permanente: céder une part de liberté pour un gain de sécurité (Léviathan) - Le droit naturel est corrigé par le droit positif (Rousseau: les deux vont de pair)

Final Flashcards

(111 cards)