Final Flashcards

(187 cards)

1
Q

Trois types de fonction

A

Sensorielle : pas encore compris par le cerveau
Intégration : donne un sens
Motrice : produit un effet

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Q

Sensibilité vs sensation vs perception

A

Sensibilité: capacité à être informé des variations physiques et chimiques de son milieu (détection et envoi)

Sensation: expérience sensorielle induite par un stimulus (vient avant la perception et dépend du canal sensoriel)

Perception: accueillir et traiter les infos sensorielles en fonction de nos expériences (intégration et interprétation)

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3
Q

Sensation vs perception exemples

A

Vue = vision
Ouïe = audition
Toucher = tact
Goût = gustation
Odorat = olfaction
Sensation = perception

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4
Q

Déf récepteurs sensoriels (5)

A

Coder des stimulus sensoriels spécifiques pour les rendre compréhensible pour le système nerveux
Renseigne l’organisme sur variations de l’environnement
Regroupé dans un organe sensoriel ou réparti dans un tissus
Convertit énergie énergétique en potentiel chimique

Dans cortex somatosensoriel

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Q

6 types de sensibilité

A

Mécanique, photonique, thermique, chimique, osmotique, nociceptive

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6
Q

Sensibilité mécanique

A

Système sensoriel: toucher, audition, articulation

Stimulus adéquat: position, mouvement, vibration sonore

Récepteurs associé : mécanorécepteur

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7
Q

Sensibilité photonique

A

Système sensoriel : vision

Stimulus adéquat: longueur d’onde

Récepteurs associé: photorécepteurs

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8
Q

Sensibilité thermique

A

Système sensoriel: froid et chaud

Stimulus adéquat: chute ou élévation température

Récepteurs associé: thermorécepteurs

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9
Q

Sensibilité chimique

A

Système sensoriel: odorat, goût

Stimulus adéquat: substance dissoute dans l’air

Récepteurs associé: chimiorecepteur

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10
Q

Sensibilité osmotique

A

Stimulus adéquat: changement de concentration

Récepteurs associé: osmorécepteur

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11
Q

Sensibilité nociceptive

A

Système sensoriel: douleur

Stimulus adéquat: dommage tissulaire

Récepteurs: nocicepteur

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12
Q

Organisation des voies sensorielles

A

Stimulus
Récepteur
Fibre afférente primaire
Relais sous-corticaux
Cortex sensoriel primaire
Cortex sensoriel secondaire

(Prise de conscience débute dans les aires corticaux)

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13
Q

Comment voyage les infos dans les neurones

A

Dans les axones avec le potentiel d’action

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14
Q

Concept des voies indexées

A

Le cerveau fait la distinction entre les différentes infos CAR chaque récepteur est connecté au cortex sensoriel par un réseau neuronal spécifique

Ces stimulations sont envoyées dans différentes aires cérébrales

DONC chaque axone amène un seul type particulier information

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15
Q

Déf système somatosensoriel

A

-S’occupe de l’ensemble de sensations
-Distribué partout dans le corps et non à des endroits spécifiques comme les autres systèmes sensoriels

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16
Q

Trois systèmes en interaction dans système somatosensoriel

A

-Extéroceptif = traite stimulus externes sur la peau (stimuli mécanique, thermique, nociceptif)

-Proprioceptif = traite les infos sur la position du corps dans l’espace (récepteurs dans muscles, tendons, articulations)

-Intéroceptif = traite infos sur état interne du corps (température interne, pression)

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17
Q

Trois couches de la peau

A

Épiderme (sur le dessus)
Derme
Hypoderme

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18
Q

Types de mécanorécepteurs (5)

A

-Disque de Merkel (toucher)
Réduit, limite nette
Adaptation lente

-Corpuscule de Meissner (toucher)
Réduit, limite nette
Adaptation rapide

-Récepteur du follicule pileux (toucher)
Adaptation lente

-Corpuscule de Pacini (vibration)
Étendue, limite floue
Adaptation rapide = capte rapidement mais non si consistant

-Corpuscule de Ruffini (étirement)
Étendu, limite floue
Adaptation lente

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19
Q

Déf transduction sensorielle

A

Transformation par une cellule réceptrice d’un signal énergétique en potentiel électrique

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20
Q

Intensité vs localisation dans codage stimuli sensoriel

A

Intensité: déterminé par fréquence des potentiels d’action + nbre de cellules réceptrices activées

Localisation : déterminé par localisation des récepteurs excités

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21
Q

Exemple d’intensité et localisation

A

Dans systèmes bilatéraux (narines, oreilles) permet une localisation directe

Dépend de quelle narine ou oreille

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22
Q

Déf. adaptation sensorielle

A

Un récepteur exposé à un stimulus constant présentent un perte de sa réceptivité

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23
Q

Utilité adaptation sensorielle (2)

A
  • Produit de l’évolution pour ne pas être submergé par des stimulations

-Mais amplifient changements de stimulation pour notre survie

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24
Q

Adaptation sensorielle lente vs rapide

A

Lente: toniques ou statiques
Génère PA constant
Renseigne sur intensité et durée de stimulation
EX: propriocepteurs et maintien de l’équilibre ou nocicepteur et douleur chronique

Rapide : phasiques ou dynamiques
Décharge maximal et brève au début et à la fin pour marquer l’arrêt
Fréquence des PA diminue
Renseigne sur les variations
EX: mécanorécepteurs de la main et pichenotte

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25
Deux formes de contrôle de l'info entrante
-Structures accessoires Filtre infos pour réduire intensité des stimulus avant qu'il atteigne le récepteur EX: ferme paupière pour moins de lumière -Centres cérébraux supérieurs Effectue triage info sensorielle en amplifiant ou inhibant certains effets
26
Rôle thalamus
Centre de tri où infos passent avant le cortex + cortex peut commander au thalamus de supprimer ou amplifier certains signaux
27
Chaque neurone...
réfère à son propre champ récepteur (surface de stimulation qui provoque PA comme une région de la main)
28
Déf. sensibilité différentielle
Seuils de sensibilité diffèrent d'une région à une autre EX: doigts plus sensible que le dos
29
Conséquences dommage au cortex somatosensoriel (4)
Altérer seuils sensoriels, proprioception, perception haptique (identifier objet au toucher) et mouvements simples
30
Deux types de racine dans la moelle épinière
Racine dorsale/postérieure Racine ventrale/antérieure
31
Racine dorsale vs ventrale
Dorsale: Constituée de fibres sensitives du corps vers la moelle épinière (axones sensoriels afférents) Ventrale: Constituée de fibres motrices en direction des muscles (axones moteurs efférents)
32
Deux grandes voies somato-sensorielle ascendants
-Système des colonnes dorsales et du lemnisque médian = véhicule infos sur le toucher et proprioception -Système antérolatéral = véhicule infos sur douleur et température
33
Explication système colonnes dorsales et du lemnisque médian
1. récepteurs tactiles captent stimulation et envoient PA dans corne dorsale 2. Puis rejoignent faisceaux ascendants des colonnes dorsales 3. Dans le bulbe rachidien = décussation 4. Infos passent par lemnisque médian 5. thalamus gauche reçoit infos issues du côté droit
34
Voie des colonnes dorsales lemnisques médian transmet quoi
infos issues du tiers postérieur de la tête et du reste du corps
35
Deux noyaux dans le bulbe rachidien
Noyau gracile = afférence partie inférieure du corps Noyau cunéiforme = afférence partie supérieure du corps (en haut de la ceinture)
36
Déf. plasticité corticale
Champs récepteurs corticaux peuvent être réorganisés sous l'effet de l'expérience DONC cortex est malléable, car capable de créer, défaire ou réorganiser connexions neuronales
37
3 facettes de la douleur
-Cognition (douleur sur échelle de 1 à 10, différent pour chacun) -Motivation et affectivité -Discrimination sensorielle (à quel point s'est précis) NOCICEPTION
38
Contrôle périphérique de la douleur (5)
1. Cellules lésées excitent terminaisons nerveuses 2. PA engendrés stimulent les vaisseaux sanguins et cellules immunitaires pour inflammation 3. Axone sensitif rentre par la racine dorsale 4. Dans moelle épinière, fibres nociceptives libèrent neurotransmetteur glutamate et substance P 5. Remontent infos jusqu'au thalamus
39
Fibres somesthésiques afférentes (4)
Fonctions sensorielles: douleur/température, température/douleur/démangeaison Types de récepteur: terminaisons libres, terminaisons libres Types de fibres: Fibre a - delta, plus large pas de gaine de myéline pour terminaisons libre pour fibre C
40
Différence entre fibre a delta et fibre c au niveau de la transmission
Fibre a delta : Douleur rapide comme se cogner l'orteil Répond rapidement Myélinisé Fibre c : Douleur qui s'étend comme migraine Persistante
41
Déf. système antérolatéral
Influx douloureux se propagent par les fibres a - delta ou C DÉCUSSATION dans la moelle épinière Passe par le système antérolatéral (pas le même que le toucher)
42
Systèmes descendants
Cortex somesthésique Amygdale/hypothalamus Substance grise périaqueducale du mésencéphale Noyau parabrachial/formation réticulaire bulbaire/locus coeruleus/noyaux du raphé Corne dorsale de la moelle
43
Déf. substance grise périaqueducale du mésencéphale
Suite aux messages du Cortex, produit des anti-douleurs endogènes et envoyés dans les noyaux du tronc cérébral + les opioïdes exogènes agit sur ça
44
Système du portillon
Quand on se cogne l'orteil, on a une sensation douloureuse car la porte de la voie nociceptive est ouverte MAIS frotter son orteil active la voie sensitive et réduit le flux d'infos dans la voie nociceptive car la porte de la douleur se ferme partiellement (Créer compétition entre voie sensitive et nociceptive) EX: acupuncture
45
Interneurone
L'activation de la voie des colonnes dorsales induirait une action inhibitrice sur la voie antérolatérale (libère sérotonine) Donc l'interneurone inhibiteur agit comme opioïde endogène
46
2 opioïdes
Substance grise périaqueducale et interneurone
47
Douleur membre fantôme
Sensation illusoire Dysfonctionnement neurones nociceptifs Souvent personnes amputées ont une réorganisation fonctionnelle
48
Traitement de la douleur (5)
Médicaments opiacés Stimulation cutanée Chirurgie Acupuncture Placebo
49
La motricité d'une articulation dépend de quoi
De 2 groupes musculaires antagonistes : fléchisseurs (contraction) + extenseurs (étirement)
50
Les muscles travaillent en...
complémentarité Muscles agonistes = intervient activement dans le mouvement Muscles antagonistes = freine et règle le mouvement
51
Déf. synergie musculaire
Connexions entre les interneurones et motoneurones pour que les muscles travaillent ensemble
52
Déf. unité motrice
motoneurone + ensemble des fibres musculaires qu'il innerve
53
Neurotransmetteur avec les muscles
Acétylcholine
54
Connexions entre les interneurones et motoneurones pour que les muscles travaillent ensemble
Synergie musculaire
55
Déf. taux d'innervation d'une unité motrice
Nbre de fibres musculaires innervées par le motoneurone et caractérise la finesse de la motricité
56
Taux d'innervation faible vs élevé
Faible: Dans les muscles impliqués dans des mouvements fins (muscle oculomoteur) Élevé: Dans les unités motrices des gros muscles pour bcp de forces (comme dans la jambe)
57
Fonction mécanorécepteurs proprioceptifs
Renseigner sur la position spatiale des membres
58
Deux types de récepteurs proprioceptifs musculaires
Fuseau neuromusculaire: Intérieur du muscle Informe SNC étirement des muscles Organe tendineux de Golgi: Dans le tendon Informe SNC contractions musculaires
59
Déf. fuseaux neuromusculaires
Dans quasi-totalité muscles Ce qu'on capte au niveau des mouvements
60
Deux types de fibres musculaires
Intrafusale: Fine et peu contractile, contrôlé par motoneurone gamma (MNy) Intérieur du fuseau Extrafusale: Grosses et contractiles, stimulées par motoneurone alpha (MNa) Extérieur du fuseau
61
Deux catégories de fibres sensorielles
Terminaison primaire (annulospiralées) Groupe Ia: détectent les changements longueur muscle et donne réponse à adaptation rapide Renseigne sur dynamique des muscles (vitesse et direction) Terminaison secondaire (en gerbe) Groupe II: répondent par une émission continue à des longueurs constantes Donne infos sur position statique des membres
62
Où se trouve les fibres musculaires et les fibres sensorielles
Dans le fuseau neuromusculaire
63
Les fibres sensorielles se trouvent seulement avec
Les fibres musculaires intrafusales
64
Contrôle vs motricité
Contrôle = fait par le cerveau Motricité = fait par les muscles
65
Réflexe vs mouvement vs acte vs programme moteur
Réflexe: Réponse innée simple, protéger organisme Mouvement: Limité à un membre du corps pas orienté vers un but Acte: Combinaison ordonné de mouvements (langage) Programme moteur: Commandes préprogrammés par SN (chorégraphie, piano, conduire)
66
Déf. réflexe myotatique + exemples
Déclenchement d'une contraction en réponse à un étirement EX: remplissage d'un contenant réflexe rotulien
67
Réflexes spinaux et moelle épinière sectionnée
Réflexes spinaux fonctionnent toujours
68
Trois niveaux contrôle moteur
Supérieur: Définit stratégies motrices (pas de mouvement) Aires associatives cortex, noyaux gris centraux Intermédiaire: Définition paramètres du mouvements Cortex moteur, cervelet Inférieur: Exécution du mouvement Tronc cérébral, moelle épinière
69
Hiérarchie du contrôle moteur
Inférieur Appareil locomoteur = squelette et muscles Moelle épinière = contrôle muscles squelettiques Tronc cérébral = relais entre moelle et cerveau antérieur Cortex moteur primaire = initie principales commandes Cortex moteur non primaire = fournit commandes motrices supplémentaires Cervelet et noyaux gris centraux = rétrocontrôle
70
Initiation d'une séquence motrice
1. Cortex préfrontal planifie 2. Cortex prémoteur organise 3. Cortex moteur exécute mouvements
71
Deux principes pour l'efficacité
Vitesse d'exécution et la précision
72
Deux mécanismes pour contrôle de nos mouvements
Boucle ouverte: Maximise vitesse aux dépens de la précision (séquences préprogrammées de mouvements) Boucle fermé: Maximise précision aux dépens de la vitesse (rétroaction)
73
Exemple boucle fermée et ouverte
Fermée: Auto pousse vers la gauche puis vers la droite ensuite droit (à un moment plus besoin de la boucle car automatisé) Ouverte: le lancer du javelot, pas de rétroaction il ne contrôle pas par la suite
74
Le cerveau envoie ses ordres de 2 façons
Système pyramidal Système extrapyramidal (passe pas par les pyramides bulbaires)
75
Troubles moteurs associés à des lésions du tronc et de la moelle
Tronc cérébral: Paralysie cérébrale = difficulté mouvements volontaires mais conscient Syndrome d'enfermement = conscient et éveillé mais ne peut plus bouger ou parler sauf les yeux Moelle épinière: Paraplégie = paralysie 2 membres inférieurs Tétraplégie = paralysie 4 membres
76
Explication système pyramidal ou corticospinaux
Décussation des faisceaux pyramidaux au bulbe rachidien
77
Faisceau corticospinal latéral et ventral
Latéral: Subit décussation Déplace les doigts et les membres du côté opposé du corps Ventral: Subit pas décussation Déplace les muscles de la ligne médiane du corps du même côté du corps
78
Système extrapyramidal
Module et contrôle les programmes moteurs, précision des mouvements Regroupe: Noyaux gris centraux Thalamus Noyaux majeurs du tronc cérébral Cervelet
79
Composition noyaux gris centraux
Noyau caudé Putamen (ensemble = striatum) Globulus pallidus
80
Rôle de chaque NGC dans la fonction motrice
Striatum: mouvements involontaires + inhibe voies qui interfère pas avec mouvement pour faire geste de précision (noyau caudé = préparation putamen = initiation et exécution mouvement) Globus pallidus: contrôle posture, contrôle mouvements squelette axial (actif au repos)
81
Résumé rôle NGC
Régule force du mouvement en jouant un rôle avec la force et estimation effort nécessaire
82
Voie directe de la régulation du mouvement
Commence au cortex qui excite le putamen, celui crée un effet d'inhibition sur le globus pallidus interne (inhibe un inhibiteur), donc cela va empêcher le globulus pallidus interne d'inhiber le thalamus ce qui va l'activer et créer du mouvement
83
Voie indirecte de la régulation du mouvement
Commence au cortex qui excite le putamen, celui crée un effet d'inhibition sur le globus pallidus externe (inhibe un inhibiteur), donc cela va empêcher le globulus pallidus externe d'inhiber le noyau sous thalamique ce qui va l'activer et activer le globus pallidus interne qui va inhiber encore plus le thalamus empêchant certains mouvements
84
2 types principaux de symptômes moteurs lorsque NGC touché
Hyperkinétique: Dommage au noyau caudé et putamen crée mouvements non désirés de torsion et de contraction (dyskinésie) (Tourette) Hypokinétique: Dommage aux noyaux gris centraux = perte capacité motrice ce qui entraine rigidité et difficulté à produire mouvement (Parkinson)
85
Utilité du cervelet
Contient infos sur ce qu'on voulait faire et ce qu'on a fait, calcule erreur et dit au cortex de corriger l'erreur Améliore synchronisation et précision + maintien des habiletés motrices apprises
86
Séquence pour produire un mouvement (7)
1. Aires motrices du cortex planifie et commande le mouvement 2. Moelle épinière transmet info à la main 3. Motoneurones propagent infos aux muscles 4. Récepteurs sensoriels envoient un message pour dire que l'objet est saisie 5. Moelle épinière transmet info 6. NGC évalue la force nécessaire et cervelet corrige erreurs 7. Cortex sensoriel reçoit message
87
Neurones moteurs
Traitons le mouvement comme si c'est nous qui le faisons (baillement) Hypoactivité chez les autistes dans ces neurones
88
Transduction de quelle énergie pour la vision
Énergie lumineuse en énergie chimique, requiert le + ressources cérébrales
89
Lumière visible
Longueurs d'onde de 400 à 700nm visible à l'oeil nu (couleur)
90
Particularité de l'image sur la rétine
Renversée verticalement et inversée horizontalement par rapport au champ visuel
91
Utilité cornée et cristallin
Focalisent rayons lumineux pour projeter image inversée
92
Trois feuillets de l'oeil
Sclérotique : transparent, conjonctive Choroïde : chambre noir, couche opaque, vaisseaux sanguins Rétine : intérieur de l'oeil, très fragile, tous les récepteurs EN ORDRE DE COUCHE
93
Trois milieux transparents
Humeur aqueuse: assure nutrition, entre cornée et cristallin Cristallin : lentille, souple, adaptable, converge les rayons lumineux Corps vitré : liquide à l'intérieur
94
Cornée
Transparente, courbature fixe, dirige rayons lumineux sur cristallin
95
Muscles ciliaires
Ajustement courbature du cristallin pour que lumière converge sur rétine
96
Phénomène d'accommodation
Mise au point accompli par muscles ciliaires et cristallin pour affichage image nette
97
Anomalie de la vision
Myopie: Difficulté de voir de loin, car point focal ne se trouve pas au niveau de la rétine Globe oculaire long Hypermétropie: Difficulté de voir de proche, point focal se projette au-delà de la rétine Globe oculaire court Presbytie: Adultes âgés, problème avec cristallin qu'on remplace Astigmatisme: Cornée ovale, ne vient pas de proche ou de loin
98
Iris et pupille
Iris: Contracte ou dilate pour la lumière et couleur de l'oeil Pupille: Porte d'entrée pour la lumière
99
Contrôle ouverture de la pupille
Par le système nerveux autonome Innervation sympathique = dilatation Innervation parasympathique = contraction
100
Rétine
Sensible à la lumière qui tapisse le fond de l'oeil composée strates de neurones
101
Strates de neurones (5)
Photorécepteurs (cône et bâtonnet) Cellules horizontales Cellules bipolaires Cellules amacrines Cellules ganglionnaires (plus sur le dessus) 4 premiers produisent potentiels locaux, ne se rend pas au cerveau Dernier = émet potentiel d'action
102
Fovéa
Spécialisée dans l'acuité visuelle élevée
103
Interneurones de l'oeil
Cellule amacrine Cellule bipolaire Cellule horizontale
104
Bâtonnets vs cônes
Bâtonnets: Vision scotopique (nocturne) Très sensible à la lumière Résolution spatiale faible Perception grossière 1 type de pigment Forte convergence Cônes: Tous opposé 3 types de pigment (rouge, vert, bleu) Daltonisme
105
Distribution des cellules de la rétine
Acuité visuelle au max au fovéa et décroit en périphérie, car bcp de cônes en région centrale et plus de bâtonnets en périphérie
106
Tache aveugle / disque optique
Vaisseaux sanguins entrent et nerf optique en direction du cerveau, PAS de photorécepteurs À gauche de la fovéa dans l'oeil gauche et à droite dans l'oeil droit
107
Phototransduction
Absorption de la lumière crée une cascade d'événements neurochimiques, ce qui permet de convertir énergie lumineuse en énergie nerveuse
108
La cascade de réactions provoque
phénomène d'amplification, ce qui rend la vision très sensible à une faible stimulation
109
Que se passe-t-il lorsque la lumière atteint les photorécepteurs
Crée une hyperpolarisation (et non une dépolarisation) DONC réduit libération neurotransmetteurs (glutamate) EX: absence de lumière cause dépolarisation donc cause excitation
110
Que fait l'amplitude de l'hyperpolarisation
Détermine à quel point la libération des neurotransmetteurs sera réduite (intensité plutôt que fréquence)
111
Phototransduction à l'obscurité vs à la lumière
Obscurité: Récepteurs dépolarisés libèrent continuellement glutamate Lumière: Récepteurs hyperpolarisés réduisent leur libération de glutamate
112
Adaptation à diverses intensité de lumière
Sombre à lumineux: Éblouissement donc ajustement de la taille de la pupille avec contraction iris Lumineux à sombre : (+ long) Adaptation des photorécepteurs Rétinal et opsine doit se recombiner et que les réserves de calcium se refassent
113
Champs récepteurs
Chaque neurone de la rétine possède un champ de récepteur unique qui chevauche les champs récepteurs adjacents
114
Transfert de l'info de photorécepteurs aux cellules bipolaires
Cellules à centre ON: Si atteint le centre = effet excitateur donc dépolarisation Si atteint la périphérie = effet inhibiteur donc hyperpolarisation À centre OFF = OPPOSÉ
115
Résumé hyperpolarisation et dépolarisation
Dépolarise en obscurité et hyperpolarise à la lumière En absence de stimulation lumineuse, ils libèrent non stop du glutamate. Si il y a lumière = libère moins de glutamate
116
Transfert de l'info cellules bipolaires à ganglionnaires (4)
Cellules ganglionnaires produisent potentiels d'action contrairement aux bipolaires Cellules ganglionnaires transmet par décharge neuronale au cerveau qu'il aie de la lumière ou non La lumière dans le centre ou la périphérie du champ récepteur accroit ou décroit sa décharge Réponse à la stimulation du centre est supprimé par celle de la périphérie
117
3 principales voies visuelles dans le cerveau
Voie rétino-géniculo-striée: part de la rétine pour rejoindre le corps géniculé latéral du thalamus, puis le lobe occipital Voie tectopulvinarienne: Voie rétinohypothalamique: Synapses dans le noyau suprachiasmatique (régulation rythme circadien)
118
Champ visuel
Panorama qu'on peut voir sans bouger la tête ou les yeux
119
Champ visuel et cortex
Cortex visuel de l'hémisphère droit reçoit les influx de la moitié gauche et inversement Chiasma optique où les nerfs optiques se croisent (décussation)
120
Deux types de cellules ganglionnaires
Magnocellulaires: Grand Reçoivent entrée des bâtonnets Sensible à la lumière et au mouvement Parvocellulaire: Petit Reçoivent entrée des cônes Sensible à la couleur, aux détails et aux objets stationnaires Deux voies indépendantes qui font relais dans chaque corps genouillé latéral du thalamus
121
La majorité des axones des cellules ganglionnaires innervent...
les corps genouillés latéraux du thalamus et forment les nerfs optiques
122
Chemin pour les voies visuelles
1. rétine nasale et rétine temporal 2. chiasma optique 3. tractus optiques 4. Corps genouillés latéraux et colliculus supérieurs 5. Radiations optiques 6. Cortex visuel primaire
123
Pathologie de la vision
Selon la localisation d'une lésion la perte de vision est différente
124
Neurones du cortex strié
Intégration encore plus complète Certains neurones de V1 ne s'activent que si le stimulus est en mouvement et d'autres ne détectent que des déplacements spécifiques Cortex visuel primaire
125
Organisation en colonnes dans le cortex strié
Localisation dans le champ visuel Dominance oculaire Orientation Couleur C'est pour ça que ce qu'on voit se superpose Chaque point du champ visuel est projeté sur un point correspondant du cortex strié
126
2 voies principales pour la vision
Courant dorsal: localisation et mouvement Courant ventral: Reconnaissance
127
3 types de rythmes biologiques
Circadien: (24h) Alternance éveil sommeil Température corporelle Concentration hormonale Mélatonine Ultradiens (- de 24h) Rythme cardiaque Rythme respiratoire Comportement alimentaire Sommeil paradoxal Infradiens (plus de 24h) Cycle menstruel Grossesse
128
Déf synchronisateurs et exemples
Issus de l'environnement qui influencent les rythmes biologiques EX: lumière, température, activités quotidiennes, repas, réveil-matin Peut modifier rythme biologique avec synchronisateurs (décalage horaire)
129
Horloge biologique est un système...
endogène
130
Utilité horloge chronologique
Synchronise les comportements en fonction de l'heure de la journée et fait des prédictions pour le lendemain Régule l'expression de gènes
131
Où se situe l'horloge biologique
Noyau suprachiasmatique de l'hypothalamus (près de l'oeil)
132
Expérience en isolement temporel
Les périodes d'activité ont commencé à se décaler, car plus d'indice MAIS garder un cycle de 24h
133
La voie rétinohypothalamique
Les photorécepteurs rétiniens informent le noyausuprachiasmatique de l'hypothalamus qu'il fait jour Cellules ganglionnaires synthétisent un photopigment (mélanopsine) qui donne photosensibilité FONCTIONNE CONSTAMMENT, même endormi
134
Noyau suprachiasmatique de l'hypothalamus libère quoi
Libération de mélatonine par épiphyse Sécrétion inhibé avec la lumière Induit sommeil et exerce action sur système parasympathique Max produit de 2h à 5h
135
Noyau suprachiasmatique de l'hypothalamus contrôle aussi...
Libération du glucocorticoïdes par les glandes surrénales dans la phase de lumière Mobilise les réserves de glucose pour assurer l'éveil et action du système sympathique
136
Besoin de sommeil régulé par 2 processus
Homéostatique Circadien
137
Processus homéostatique
Dépend de la qté d'éveil et de sommeil Détermine besoin de sommeil -Augmente selon cumul des heures éveil -Diminution graduelle au fur et à mesure qu'on cumule des heures de sommeil Bousillé par la privation de sommeil Marqueurs: sommeil lent profond, activité à ondes lentes, production d'adénosine (sommeil)
137
Processus circadien
Dépend de l'horloge biologique interne Indépendant de la qualité de sommeil ou d'éveil Diminution graduelle du besoin circadien vers 16-18h Augmentation graduelle du besoin circadien vers 4-6h Marqueurs: température corporelle, sécrétion de mélatonine
138
Température corporelle et endormissement
S'endort plus quand la température baisse S'endort moins quand la température élevé (18h à 21h)
139
Deux chronotypes
Type du soir: Fonctionne mieux le soir Retarde l'heure du coucher et du lever Niveau de vigilance max lorsque max de température Type du matin: Fonctionne mieux le matin Se couche et se lève plus tôt Niveau de vigilance max 3h avant acrophase
140
Comment mesurer sommeil en laboratoire
Électroencéphalogramme (EEG) Électrooculogramme (EOG) Électromyogramme (EMG)
141
Stades du sommeil
Non REM: Stade N1 = période d'endormissement, sursaut d'endormissement Stade N2 = Complexes K et fuseaux de sommeil (ondes), apprentissage procédural Stade N3 = Fonction de récupération, libération hormone de croissance, renforcement système immunitaire Sommeil REM Stade R = Cerveau actif dans corps paralysé, production de rêves vivides , apprentissage/mémoire (synaptogénèse)
142
Dans quel stade du sommeil on rêve
Tous
143
Évolution des types de sommeil
Sommeil paradoxal diminue (bcp apprentissage)
144
Évolution du sommeil dans une nuit
Le sommeil paradoxal s'allonge + même plus de stade 3 dans la 2e partie de la nuit
145
Utilité du sommeil
Développement, mémoire/apprentissage, métabolisme, immunité
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Mécanisme neurologique du sommeil quatre systèmes neurologiques
Système télencéphalique: Produit le SOL Libération du GABA dans le noyau tubéro-mamillaire de l'hypothalamus Système du tronc cérébral: Active le cerveau antérieur à l'éveil Stimulation électrique= réveil et vigilance accrue Lésion = sommeil persistant Système pontique: Déclenche sommeil paradoxal Stimulation électrique = induit ou prolonge le SP Lésion = disparition du SP Système hypothalamique: Déterminer si le cerveau doit être endormi ou non
147
Amygdale privation de sommeil ou non
Bien dormi: Cortex effectue contrôle sur l'amygdale Réponses émotionnelles adaptées selon le contexte Privé de sommeil: Augmente sensibilité aux stimuli émotionnels (réponses exagérées)
148
Insomnies deux types
D'ajustement: Causés par facteurs environnementaux Difficulté d'endormissement Par interruption du sommeil: Causés par drogues ou états neurologiques Difficulté à rester endormi
149
Comment on traite insomnie
Traitements pharmacologiques (antipsychotiques, mélatonine) Traitements chronobiologiques (manipulation horaire de sommeil, luminothérapie) Psychothérapie (thérapie cognitivo-comportementale)
150
Narcolepsie (5)
Accès de sommeil récurrents soudains et incontrôlables Entrent en SP dès les premières minutes Cataplexie ou non (perte soudaine de tonus musculaire déclenché par émotion intense même sexe) Problème de neurotransmission hypocrétinergique Traitements: amphétamines, modafinil
151
Apnée du sommeil (4)
Ralentissement ou arrêt périodique de la respiration peuvent causer dommages cérébraux Deux types: Obstructive = relaxation progressive des muscles, diaphragme et gorge Centrale = Altérations touchant neurone du système respiratoire du tronc cérébral Traitement: CPAP
152
Parasomnies (6)
Manifestations indésirables lors du sommeil Terreurs nocturnes, cauchemars, énérusie nocturne (pipi), somnambulisme, bruxisme (dents), somniloquie (parler)
153
Apprentissage vs mémoire
Apprentissage: Acquisition de nouvelles infos qui induit un changement permanent dans le comportement Prévision du futur Mémoire: Rétention de l'info acquise Référence au passé Représentation mentale de l'expérience antérieure
154
Habituation vs sensibilisation
Habituation: Réponse à un stimulus s'atténue au fur et à mesure Sensibilisation: Réponse à un certain stimulus est renforcé (PTSD)
155
Processus habituation
Stimulation répétée = canaux calciques deviennent moins sensibles à un PA Afflux de CA2+ moins important Moins de NT libéré à l'arrivé d'un synapse ¸ DONC PPSE neurone postsynaptique voit amplitude décroître
156
Processus sensibilisation
Interneurone établit synapse avec neurone sensoriel qui fait synapse avec neurone moteur Lors d'une stimulation, neurone sensoriel active interneurone qui libère sérotonine La sérotonine se fixe à un récepteur métabotropique Cette liaison provoque activation du second messager qui perturbe activation canaux potassiques (repolarisation + long) Donc canaux potassiques plus long à ouvrir ne pouvant plus repolariser aussi rapidement Conséquence = PA dure plus longtemps donc entrée prolongé de calcium Augmentation de NT
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Résumé processus habituation et sensibilisation
Habituation: Baisse de sensibilité de canaux calciques, - entrée de calcium, moins de NT libéré Sensibilisation: Baisse sensibilité canaux potassiques, afflux plus important de calcium, plus de NT libéré (avec interneurone)
158
Deux types de mémoire à long terme
Déclarative (explicite): Choses que l'on sait et dont on peut parler aux autres Procédurale (implicite): Choses que l'on sait et qu'on montre par des actions
159
2 catégories déclarative
Épisodique: Se rappeler 1ere rentrée scolaire Sémantique: Connaître capitale du Canada
160
3 catégories procédurale
Apprentissage de compétence: Savoir faire du vélo Amorçage: Utiliser mots entendus dans un passé récent Conditionnement: Saliver à la vue de nourriture bonne
161
Mémoire implicite (procédurale) vs explicite (déclarative)
Implicite: -Processus ascendant -Part des récepteurs sensoriels et arrive au cerveau -Codée de la même manière qu'elle a été perçue -Rôle passif dans l'encodage Explicite: -Processus descendant -Circuits cortico-sous-corticaux s'organisent -Sujet réorganise infos traitées ce qui influence le rappel ultérieur - Rôle actif dans traitement
162
Processus mnésiques
Étapes qu'on passe pour mémoriser Encodage = filtres sensoriels à stockage à court terme Consolidation = stockage à court terme à stockage à long terme (permet de garder à long terme)
163
Mémoire de travail
Processus conscient et utile pour un travail dans l'immédiat
164
Deux types d'amnésies
Antérograde: Incapacité de générer des nouveaux souvenirs Rétrograde: Incapacité à se souvenir d'événements survenus
165
Henri Molaison
Systèmes de mémoire reliés à différentes structures cérébrales Lésion du lobe temporal médian détériore la mémoire explicite
166
K.C
Dommages hippocampiques bilatéraux expliquent la nature antérograde de son amnésie comme HM Amnésie rétrograde autobiographique serait la conséquence de lésions au niveau cortical
167
JK
Dysfonctionnement des noyaux gris centraux engendre un déficit de la mémoire implicite
168
Régions associés de la mémoire explicite (5)
Hippocampe, amygdale, cortex périrhinal, cortex entorhinal, cortex parahippocampique, cortex frontal
169
Utilité cortex frontal dans mémoire explicite
Essentiel au maintien temporaire de la mémoire explicite et mémoire chronologique
170
Utilité cortex parahippocampique dans mémoire explicite
Traitement de l'info visuospatiale
171
Utilité cortex périrhinal dans mémoire explicite
Mémoire des objets visuels
172
Utilité cortex entorhinal dans mémoire explicite
Cible des processus neurodégénératifs dans maladie d'Alzheimer
173
Utilité hippocampe dans mémoire explicite
Mémoire visuospatiale comme un GPS (plus volumineuse chez taxi) Consolidation de nouveaux souvenirs pour les rendre permanents
174
Mise à jour de la mémoire explicite
Trace mnésique: Modification cérébrale persistante pour mise en mémoire d'un événement Consolidation: Trace mnésique se stabilise après apprentissage Reconsolidation: Trace mnésique préalablement stabilisée en mémoire est réactivée et retourne à un état instable = nécessite nouvelle consolidation Usage des souvenirs les rend plastiques et sensibles à une mise à jour
175
Où sont emmagasinés nos souvenirs
Passent de l'hippocampe à des régions du néocortex Pas de régions spécifiques comme le siège de la mémoire Aires du néocortex qui traitent un certain type d'infos sont aussi seront localisés les souvenirs
176
Structures de la mémoire implicite
Noyaux gris centraux, thalamus ventral, substance noire, cortex prémoteur
177
Spécification de la mémoire implicite (3)
Circuit unidirectionnel Mémoire inconsciente Passe pas par le lobe frontal
178
Structures mémoire émotionnelle
Amygdale (conditionnement de la peur) Cortex temporal median Tronc cérébral Hypothalamus Substance grise périaqueducale Noyaux gris centraux
179
Mémoire émotionnelle processus
Structures tronc cérébral: tension artérielle, fréquence cardiaque Hypothalamus: Systèmes hormonaux Substance grise périaqueducale: Perception de la douleur Amygdale: Lien étroit avec mémoire implicite à cause de sa connexion avec noyaux gris centraux
180
Neuroplasticité
Capacité du cerveau à se remodeler De nouvelles synapses peuvent apparaître ou disparaître Réorganisation des connexions par un processus de compétition
181
Utilité neuroplasticité
Récupération après une commotion cérébrale Réadaptation après épisode de toxicomanie Compensation d'un trouble d'apprentissage
182
Deux mécanismes de plasticité synaptique
Potentialisation à long terme: Renforcement durable de l'efficacité de la transmission Caractère durable Dépression à long terme: Réduction durable de l'efficacité de la transmission
183
Circuit trisynaptique
Voie perforante: Du cortex entorhinal vers le gyrus denté Fibres moussues: Du gyrus denté vers CA3 Collatérales de Schaffer: De CA3 vers CA1 (où se fait la potentialisation à long terme)
184
Neurochimie de la PLT
Une stimulation forte peut décrocher l'ion Mg2+ du récepteur NMDA Maintenant, glutamate libéré peut activer le récepteur NMDA permet l'entrée de Ca2+ dans la cellule Le Ca2+ peut augmenter la sensibilité des récepteurs AMPA et leur nombre
185
Neuroplasticité avantages et limites
Avantages: Acquisition de souvenirs déclaratifs Récupération à la suite d'une lésion cérébrale Évolution tout au long de la vie Optimisation du potentiel du cerveau Possibilité de changer Limites: Maintien mauvaises habitudes Réactivation souvenirs traumatiques Persistance douleurs chroniques Contrer le vieillissement
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Maladie d'Alzheimer
Existe pas de moyen de poser un diagnostic du vivant du patient (diagnostic de présomption) Neuropsychologue: Nature et sévérité trouble Extinction mémoire puis des aptitudes Dégénérescence neurofibrillaire Plaques séniles Perte diffuse de neurones Atrophie