final Flashcards
(58 cards)
Le marché secondaire est celui sur lequel les nouveaux titresfinanciers sont émis et souscrits par des investisseurs. De plus, ce marché affecte le bilan de l’entreprise
Faux
C’est la définition d’un marché primaire
Lemarché secondaire est celui sur lequel sont transigés destitres financiers déjà créés (sur lemarché primaire).Il s’agit de transactions entre investisseurs, qui n’affectent pas le bilan de l’entreprise qui a émis originalement les titres.
vrai
Processus relativement long qui s’étend habituellement sur quelques mois (deux ou trois mois) et qui peut être souscrite à forfait ou souscrite sans responsabilité.
Emission publique
Les négociations entre l’émetteur et l’investisseur de l’émission _______ se font soit directement ou soit par l’entremise d’une maison de courtage en valeurs mobilières. De plus, cette émission propose un processus relativement court et un nombre limité de preneur.
privé
Un bon de souscription (warrant) permet à son détenteur d’acheter, pendant une certaine période de temps (entre 1 an et 10 ans), un certain nombre d’actions privilégié d’une compagnie à un prix stipulé d’avance (prix d’exercice).
Faux
Il permet d’acheter un certain nombre d’action ORDINAIRE
Les bons de souscription sont généralement attachés aux nouvelles émissions (obligations ou actions). Par la suite, les bons de souscription se détachent des obligations ou des actions et se transigent à la bourse ou sur le marché hors bourse.
Vrai
Un investisseur considère les deux possibilités de placement suivantes:
1- Achat de 100 actions de la compagnie XYZ inc. au prix de 18$.
2- Achat de 100 bons de souscription de la compagnie XYZ dont le prix d’exercice est de 16$.
Si le cours de l’action de XYZ passe de 18$ à 30$, déterminer le taux de rendement de l’investisseur selon chaque cas.
A: Achat d’actions = 600%
Achat de bons de souscription = 22%
B: Achat d’actions = 16.66%
Achat de bons de souscription = 600%
C: Achat d’actions = -35%
Achat de bons de souscription = 40%
B
Pas besoin de faire de calcul. Il faut trouver un rendement positif pour l’achat d’actions et un rendement encore plus positif pour l’achat de bons de souscription.
Les droits de souscription sont généralement en circulation pendant plusieurs années alors que les bons de souscription expirent après quelques semaines.
Faux
les droits de souscription expirent après quelques semaines alors que les bons de souscription sont généralement en circulation pendant plusieurs années.
Au moment de l’émission, le prix d’exercice des bons de souscription est généralement supérieur au prix de l’action tandis que celui des droits de souscription est inférieur au prix de l’action.
Vrai
Les bons de souscription sont émis aux actionnaires actuels de l’entreprise alors que les droits de souscription sont habituellement attachés aux émissions d’obligations et d’actions.
Faux
les bons de souscription sont habituellement attachés aux émissions d’obligations et d’actions alors que les droits de souscription sont émis aux actionnaires actuels de l’entreprise.
La ______________ permet au locataire d’obtenir l’usage d’un actif, tout en laissant au locateur les avantages et les risques associés à la propriété de l’actif.
A: La cession - bail
B: La location - acquisition
C: La location d’exploitation
C: La location d’exploitation
La _____________ transfère au locataire pratiquement tous les avantages et les risques liés à la propriété de l’actif.
A: La cession - bail
B: La location - acquisition
C: La location d’exploitation
B: La location - acquisition
La ___________ est lorsque l’entreprise vend un actif qu’elle a déjà en sa possession et le loue immédiatement de l’acheteur pour une certaine période de temps à des conditions précises.
A: La cession - bail
B: La location - acquisition
C: La location d’exploitation
A: La cession - bail
Pour calculer le CMPC, il faut déterminer la part de chacune des sources de financement dans la structure de capital de l’entreprise.
vrai
Du point de vue théorique, il est préférable d’utiliser les valeurs comptables des titres de l’entreprise plutôt que d’avoir recours à leurs valeurs marchandes.
faux
Du point de vue théorique, il est préférable d’utiliser les valeurs MARCHANDES des titres de l’entreprise plutôt que d’avoir recours à leurs valeurs COMPTABLES
( B.A.I.I / Total de l’actif ) > coût de la dette avant impôt
A: Effet de levier positif
B: Effet de levier négatif
C: Effet de levier nul
A: Effet de levier positif
( B.A.I.I / Total de l’actif ) = coût de la dette avant impôt
A: Effet de levier positif
B: Effet de levier négatif
C: Effet de levier nul
C: Effet de levier nul
( B.A.I.I / Total de l’actif ) < coût de la dette avant impôt
A: Effet de levier positif
B: Effet de levier négatif
C: Effet de levier nul
B: Effet de levier négatif
Théorie traditionnelle
Existe-il théoriquement une structure de capital optimale ?
OUI
M & M (1958) : pas d’impôt
Existe-il théoriquement une structure de capital optimale ?
NON
M & M (1963) : impôt des sociétés
Existe-il théoriquement une structure de capital optimale ?
OUI
M & M (1963) : impôt des société + coûts de faillite
Existe-il théoriquement une structure de capital optimale ?
OUI
Théorie des coûts d’agence (Jensen et Mecking (1976))
Existe-il théoriquement une structure de capital optimale ?
OUI
Miller (1977) : impôt des sociétés + impôt personnel
Existe-il théoriquement une structure de capital optimale ?
NON