gestions Flashcards

1
Q

Détermination du prix de vente

A

Méthodes :
* Basée sur les coûts : Coûts + profit désiré exemples séance 1 p. 3 à 5
* Coût complet total (tous les coûts) vs coût variable total (pas de frais fixes)
* Profit désiré = % MB (coût X (1-%MB)) ou % majoration (coût x % majoration)

  • Lorsque nouveau produit, monopole, soumission PP.
    o Basée sur la demande : PV optimal selon la demande, Lorsque demande élastique, étude de marché avec différents scénarios exemple 2 p.7-8
    o Basée sur le coût cible : PV – marge de profit = coût cible, Pression d’atteindre marge normale, produits avec niveau attendu de valeur ajouté exemple 3 p. 10-11
  • Basée sur le cycle de vie :
    o Lancement : écrémage vs pénétration de marché,
    o Croissance : Concurrence,
    o Maturité : quasi-stabilité des prix,
    o Déclin : sortie (lente vs rapide)

Basée sur la valeurs:
o Perception du client Prix client prêt à payer,
o Importance stratégie marketing.
o Utilités données client compréhension valeur ajoutés

Stratégie marketing importante : Basée sur la rétroingénierie, Décortique-le B/S Élimination d’une composante, remplacement éventuel

Processus de soumission : Court terme (1 seule occasion) Basé sur les coûts marginaux (variables) (Frais fixes inévitables = non pertinent)

Long terme : Récupération de tous les coûts : Approche du coût complet

Approche du coût variable (Marge de profit doit être supérieure) exemple 4 p. 16 -18

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2
Q

structure du secteurs

A

 Concurrence parfaite
o Aucune influence des acheteurs et vendeurs sur le prix (nombre d’acheteurs et de vendeurs est très grand et aucun n’a de poids suffisant pour influencer le PV)
o Produits homogènes (ou jugés équivalents)
o Libre accès et de sortie au marché
o Libre circulation des facteurs de production (main d’œuvre et capitaux se dirigent vers les marchés où la demande est supérieure à l’offre)
o Transparence de l’information

Concurrence monopolistique
o Être seul à proposer un bien ou un service avec des caractéristiques propres ce qui en fait un produit « unique »
o Exemples : Tesla, Iphone (surtout au début)
* Monopole
o Naturel (ex : Poste d’essence dans village isolé)
o Légal (ex : SQDC)
* Duopole (ex : Coke & Pepsi; Boeing & Airbus)
* Oligopole (ex : Rogers, Telus & Bell) (± 90% du marché)
* Cartel : entreprises s’entendent sur les prix

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3
Q

objectifs de la Budgétisations

A
  1. Planification
  2. Coordination
  3. Communication
  4. Suivis ( contrôle)
  5. motivation
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4
Q

Processus budgétaire

A

Processus budgétaire
1. Communication pré-budgétaire
2. Budget par centre
3. Ébauche de budget global
4. Révision et correction
5. Budget final
6. Approbation par le CA

Niveau de responsabilité
* Centralisation : Imposition par la haute direction
* Autoritaire -> « top-down », Gestionnaire = exécutant
* Consultation : Possibilité d’influence des gestionnaires, Risque de déception des gestionnaires
* Participation (décentralisation), Implication des gestionnaires, Responsabilité des chiffres budgétés

Objectifs du suivis Budgétaire
* Rétroaction : Déterminer les écarts
* Responsabilisation : Connaître les causes
* Recommandation : Plan d’action
* Correction des standards
* Décisions à prendre

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5
Q

les écarts

A

Budget flexible : Refaire un budget redressé avec les mêmes données standard qu’en début d’année mais en utilisant le volume réel des ventes (unités vendues) exemple tricofil partie 2
R= réel S=standard Q=quantité
B=budgété Ca=Coût d’achat H=heuresNom Formules Justification
Écart de prix (PR - PB) x QR vendues Aide a trouvé les écarts de ventes en fonction du prix rééels vs Budgété
Écart net sur volume : (QR - QB) x MCV budgétée Aide a voir l’impact liée aux vente rééels vs budgetés
Écart de composition : (QR - QFcp) x MCV Cet écart est pertinent à calculer seulement lorsque les gammes de produit sont des produits substituables ou complémentaires.
Écart de quantité (QFcp - QB) x MCV
De son côté, l’écart de quantité n’indique que l’impact relié à la variation d’unités. Tenir compte que lorsque ce sont des gammes de produits indépendants, on ne calcule pas les écarts de composition et de quantité.
Taille de marché (Marché Réel – Marché Prévu) x PMP x MCV
Écarts reliés au marché
Situation de produits indépendants : On fait le calcul pour chaque produit en prenant les données
Spécifiques de chaque marché. L’addition des 2 écarts va donner l’écart net sur volume de ventes
Part de marché (PMR – PMP) x Marché Réel x MCV
Écarts reliés au marché
Situation de produits indépendants : On fait le calcul pour chaque produit en prenant les données
Spécifiques de chaque marché. L’addition des 2 écarts va donner l’écart net sur volume de ventes

P=prévue T= taux PM=Part de marché

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6
Q

écart de couts mp

A

NOM Calcule Justification
Écart sur coût d’achat (Ca) : (CaR - CaS) x QR
Achetées si objectif de suivre la performance du service des achats
Utilisées si objectif d’expliquer la variation du bénéfice
Écart sur quantité : (QR - QS) x CaS
Permet de voir l’impact des quantités sup par exemples
Écart de composition (QR - QFcp) x CaS Écart en lien avec composition du produit si substituables
Écart de rendement (QFcp - QS) x CaS

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7
Q

écart de couts de mod

A

NOM Formules Justification
Écart sur taux (TR - TS) x HR travaillées Différence entre le taux réels vs std
Écart sur temps (HR - HS) x TS
Déférence entre les h réels vs std
Écart de composition (HR - HFcp) x TS
Différence en lien avec mod substituables
Écart de rendement HFcp - HS) x TS Différence en lien avec mod substituables

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8
Q

écart fif sur mod réel

A

Écart de dépense variables (TRVar - TBVar) x HR Le HR est le volume de la base d’imputation. Ici, dans la formule, c’est le nombre d’heures (Heures-MOD ou Heures-Machines). Ce sont les 2 bases d’imputation les plus souvent utilisées.

Écart de dépense fixes Frais fixes Réels - Frais fixes budgétisés Permet de voir différence entre le réel et le budgetés
Écart d’efficience (HR – Heure Budget Flexible) x TSvar
Permet de voir les écarts entre le budget flexibles vs le stds en variables
Écart sur volume *Pas d’écart sur volume à calculer
Si rééels

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9
Q

écart de fifi sur mod rationnels

A

Les écarts de FIF Sur heur mod Le rationnels
Écart de dépense variables (TRVar - TBVar) x HR Le HR est le volume de la base d’imputation. Ici, dans la formule, c’est le nombre d’heures (Heures-MOD ou Heures-Machines). Ce sont les 2 bases d’imputation les plus souvent utilisées.

Écart de dépense fixes Frais fixes Réels - Frais fixes budgétisés Permet de voir différence entre le réel et le budgétés
Écart d’efficience : Pas de calcul à effectuer
Permet de voir les écarts entre le budget flexibles vs le stds en variables
Écart sur volume (HB - HR) * TBfixe
Le HB est le volume de la base d’imputation qui avait été prévue en début d’année afin d’imputer les frais fixes. On utilise la capacité normale comme volume. Donc, ici dans la formule, ce serait la capacité normale du nombre d’heures (MOD ou Machines)

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10
Q

écart selon le std

A

Écart de dépense variables (TRVar - TSVar) x HR
Le HR est le volume de la base d’imputation. Ici, dans la formule, c’est le nombre d’heures (Heures-MOD ou Heures-Machines). Ce sont les 2 bases d’imputation les plus souvent utilisées.
Écart de dépense fixes Frais fixes Réels - Frais fixes budgétisés Permet de voir différence entre le réel et le budgétés
Écart d’efficience (HR - HS) x TSvar
Permet de voir les écarts entre le budget flexibles vs le stds en variables
Écart sur volume (HB - HS) * TSfixe

Le HB est le volume de la base d’imputation qui avait été prévue en début d’année afin d’imputer les frais fixes. On utilise la capacité normale comme volume. Donc, ici dans la formule, ce serait la capacité normale du nombre d’heures (MOD ou Machines)
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11
Q

détermination des couts

A

Détermination des coûts
FIF par département : méthode de répartition des départements de soutient :
Méthode directe : Répartir les FIF des départements de soutient entre les départements de production selon l’utilisation du soutient.
Méthode séquentielle : Répartir FIF départements de soutient entre tous les départements qui utilise leur service (production et soutient) et ensuite répartir le solde des soutiens entre ceux de production Commencer par département de soutient avec les FIF les plus élevés

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12
Q

taux imputations

A

Taux d’imputation : méthode des points extrêmes :
1. Choix d’une base (H-MOD ou H-Machine)
2. Minimum et maximum ainsi que FIF correspondant
3. Taux variable = Δ FIF / Δ Volume
4. Montant fixe = FIF total – FIF Variable (volume max * taux var) = FIF fixe
Volume de la base d’imputation
* Capacité prévue : Fluctuation des taux d’imputation (Frais fixes)
* Capacité normale : Selon les normes CTB (habituellement)
* Capacité pratique (capacité maximum logique) : Risque élevé de sous-imputation des FIF fixes
* CC vs CV
* Méthode du coût complet : Attribution d’une juste part des FIF fixes au coût des stocks, Biais : influencer le bénéfice via le report de FIF fixes
* Méthode du coût variable : FIF fixes = coût de période, Stocks = coûts variables seulement (de fabrication), Calcul convertir BAI selon CV, BAI CC + FIF stocks début – FIF stocks de fin = BAI CV

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13
Q

Pertes normal vs anormal

A

Particularités
* Pertes normales : Dues aux caractéristiques de la commande : coût supporté par la commande, Dues aux caractéristiques du processus : ensemble des commandes, devient FIF
* Pertes anormales : coût d’exploitation affecté aux résultats

Coût de revient en série (uniforme ou continue)
* Coût moyen : coût unitaire moyen = (SPC début + coût période) /UEC totales
* Épuisement successif (PEPS) : coût unitaire période = Coût période/UEC période :
* Particularités
* Pertes normales (coût de fabrication) : Coût supporté par bonnes unités, Si inspection : réparti perte entre SPC fin et unités transférée, Si pas inspecté : attribuer pertes aux unités transférées
* Pertes anormales (coût d’exploitation affecté aux résultats)

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14
Q

seuil de rentabilité

A

Le seuil de rentabilité est la quantité d’unités que l’on doit vendre pour obtenir un profit égal à 0. Il peut aussi être exprimé en termes monétaires comme par exemple, 550 000 $ de chiffres d’affaires. Également, le seuil de rentabilité est le niveau où l’on couvre les frais fixes. Ainsi, il se calcule à l’aide des formules suivantes :
Quand utilisé seuil de rentabilité;
1. Nouveauté (Entreprise, Produit)
2. Évaluer les chances de réussite
3. Entreprise à perte
4. Viser la rentabilité
5. Produit à perte
6. Continuer ou abandonner
7. Rentabilité faible
8. Évaluer le niveau de risque
9. Établir la marge de manœuvre

seuil de rentabilité unitiaire = ( frais fixe)/ (MCV unitaire)

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15
Q

Comptabilité par activités (CPA)

A

Matière première
* Coût de transformation – MOD et FIF (par activité)
* Calcul en 2 étapes :
* Note : Faire la différence entre la CPA et la répartition du coût des départements de soutien (auxiliaire / secondaire)

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16
Q

Coût de revient par commande
Synonymes : par lot, par contrat, par projet

A
  • Cumulatif des coûts
  • Coût unitaire : Coûts cumulatifs
    volume d’unités
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17
Q

Système d’information de gestion (S.I.G.) = besoin d’informations

A
  • Bons de sortie (associés aux commandes)
  • Bons de travail (associés aux commandes)
  • Imputation des FIF ou FIF réels (rarement les réels)
    Particularités
    Pertes normales (entre dans le coût de fabrication)
  • Dues aux caractéristiques de la commande
  • Coût supporté par la commande
  • Dues aux caractéristiques du processus
  • Coût supporté par l’ensemble des commandes (via le taux d’imputation des FIF)
  • Coût devient un FIF
    Pertes anormales (entre dans le coût d’exploitation)
  • Coût affecté aux résultats
  • Coût de revient en série
  • Synonyme : uniforme et continu
  • Cumulatif des coûts par atelier (département)
    Coût unitaire périodique : Coûts
    U. E. C.*
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18
Q

les stocks

A

2 grandes méthodes :
Coût moyen
* Calcul d’un coût unitaire moyen
* SPC (début) + Coût de la période
* U.E.C. totales
Épuisement successif (PEPS)
* Calcul d’un coût unitaire de la période
* Coût de la période
* U.E.C. de la période
Particularités
Pertes normales (PN) (entre dans le coût de fabrication) →Coût doit être supporté par les bonnes unités →Bonne unité = unité qui a passé avec succès l’inspection
Attention aux SPC à la fin de la période
* Si inspectés →répartir PN ($) entre SPC-fin et unités transférées
* Si non inspectés →attribuer PN ($) aux unités transférées

Pertes anormales (entre dans le coût d’exploitation) →Coût affecté aux résultats
Gestion des coûts
1. Analyse comparative
Autres noms : Étalonnage, benchmarking
Étude et comparaison des pratiques adoptées par d’autres organisations qui exercent des activités ou ont des processus similaires
Objectif : Adopter la meilleure manière de faire quelque chose
Étapes du processus d’analyse :
1- Objectifs clairs
* Analyses comparatives préliminaires internes et externes
* Détermination des domaines d’étude clés (facteurs clés de succès)
2 - Identification des « partenaires »
* Nombre
* Taille
* Comparabilité
Étapes du processus d’analyse (suite) :

3 - Méthode de collecte
* Unilatérale
* Collaborative
* Base de données
* Indirecte/par tierce personne
4 - Prise d’actions
* Transformer les objectifs en bon plan d’actions (CT, MT, LT)
* Faire le suivi avec des indicateurs de performance
Domination par les coûts
* Avantage concurrentiel potentiel
* Nature des coûts
* Variables (contrôle)
* Fixes (utilisation de la capacité)
* Diminution des activités sans valeur ajoutée (améliorer l’efficience des activités à valeur ajoutée)
Utilité de la comptabilité par activités
* Connaître les coûts de chaque activité
Réseau de fournisseurs stratégiques
* Qualité
* Produit
* Livraison (délai)
* Permanence (fidélité, fiabilité, stabilité)
* Partenariat :
* Relation « gagnant-gagnant »
* Comptabilité à livre ouvert
* Bonne santé financière du fournisseur

19
Q

. Gestion de la qualité

A

A) Contrôle de la qualité
* Inspection des produits
* Total ou échantillon
* Détection de la non-qualité
* Produit rejeté est réparé ou détruit
* Coût de revient augmente avec le taux de rejet

B) Assurance qualité (on s’attarde au processus)
* Qualité des produits = détection
* Qualité des processus = prévention
* Contrôle statistique des processus pour détecter la non-qualité et la prévenir
* Méthode 6 sigma (6 écarts-types de la moyenne) (3,4 erreurs sur 1M)
* Cercles de qualité
C) Gestion intégrale de la qualité
Approche globale de gestion qui vise la recherche et l’obtention de la qualité, par une étroite collaboration de tous les partenaires et dans le but de satisfaire les besoins du client (Juran)
Objectif ultime : Satisfaction du client
D) Coûts de la qualité
Coûts de conformité
* coûts engagés afin d’assurer que la qualité initialement prévue dans les spécifications soit effectivement atteinte
* Coûts de prévention et évaluation
* Coûts de non-conformité
* coûts engagés parce que les produits n’ont pas effectivement atteint la qualité initialement prévue dans les spécifications
* Coûts de défaillances internes et externes

D.1) Coûts de prévention
Ensemble des coûts pour éviter l’apparition de défauts dans la production
* Formation
* Évaluation des fournisseurs
* Élaboration de systèmes
* Cercles de qualité
* Contrôle statistique du processus
* D.2) Coûts d’évaluation (inspection)
* Coûts engagés en vue de déceler les produits défectueux avant qu’ils ne soient expédiés aux clients
* Inspection des MP
* Inspection des PC et PF
* Coûts reliés aux installations servant aux inspections
* Amortissement, entretien, etc.
D.3) Coûts de défaillance interne
* Coût engagés par suite de la constatation de produits défectueux à l’interne
* Produits gâchés (rejets)
* Réfection (produits défectueux)
* Arrêts de production
* Recherche des causes
D.4) Coûts de défaillance externe
* Coûts incombant à l’entreprise lorsqu’un produit défectueux a été livré ou qu’un service insatisfaisant a été rendu au client
* Retours
* Garantie
* Poursuite
* Service après-vente
* Perte de réputation
L’audit qualité : Examen systématique et documenté d’une activité et de ses résultats, lesquels seront évalués en fonction du respect ou non d’exigences précises
* Interne ou externe
* Cadre dans la certification ISO

20
Q

La réingénierie des processus

A

Définition : Une révision fondamentale et une refonte des processus d’entreprise afin d’améliorer considérablement les mesures modernes et cruciales du rendement telles que le coût, la qualité, le service et la rapidité.
* Changement important dans un processus
* Différent de l’amélioration continue
* Changement graduel
* Critères de sélection
* Degré d’efficacité du processus actuel
* Incidence sur la clientèle
* Délais
* Faisabilité
* Ressources matérielles
* Ressources humaines (compétences)
* Ressources financières

21
Q

Juste à Temps (production)

A
  • Produire ce que les clients demandent
  • Taux uniforme de productivité (cadence)
  • suivre la productivité
  • Approche PULL (flux tiré)
  • temps de cycle à surveiller
  • Achat de MP en petits lots
  • coût unitaire augmente (frais de transport,…)
  • frais de possession diminuent
  • Possibilité d’achat de pièces préassemblées
  • coût unitaire augmente
  • diminution de coûts de fabrication
  • diminution de coûts d’administration
  • Mise en course rapide et non dispendieuse
  • flexibilité des équipements
  • connaissance des employés (formation, courbe d’apprentissage rapide)
  • Qualité de fabrication élevée
  • suivi des coûts de la qualité
  • Élimination de toute forme de reprise
  • Entretien préventif des installations
  • suivi des coûts de prévention
  • Implication des employés pour améliorer le processus
  • Suggestion des employés
  • Flexibilité des ressources humaines et physiques
  • formation continue
  • Réduction du délai global (temps entre la commande et la livraison)
  • Achat au fur et à mesure, selon les besoins
  • Peu de fournisseurs
  • prix est moins important
  • fiabilité nécessaire
  • Engagement à long terme des fournisseurs
  • fidéliser le fournisseur
22
Q

Juste à Temps (achat)

A
  • Livraison en petits lots ou sur demande (rapide)
  • Augmentation des coûts de réception
  • Diminution des coûts de possession
  • Peu d’inspection de la MP reçue
  • Fiabilité du fournisseur
  • Paiement des factures regroupées
  • Éviter d’augmenter les frais d’administration
23
Q

Système ERP

A

« Enterprise Resource Planning »
* SAP, Oracle
Système intégrant les données financières et non financières
* Exemple :Ventes, Comptes-clients, Production, Inventaire, Approvisionnement, Comptes-fournisseurs, Paie, etc.
Plateformes compatibles entre les divers modules
* Sinon, besoin de création d’une application pour transfert
* Mise à jour des données peut être automatique ou périodique

Avantages
o Centraliser l’information
o Évite d’attendre l’information d’une autre partie
o Informations complètes pour le gestionnaire
o Améliorer la prise de décision
o Transferts électroniques des informations entre les modules
o Diminue les coûts de retranscription de données
o Élimine les erreurs de retranscription des données
Inconvénients
o Beaucoup de personnes ont accès aux systèmes
o Avoir contrôle d’accès (mots de passe)
o Risque de modifications non autorisées
o Mode Lecture vs Écriture (en fonction des mots de passe)
o Journal des accès / modifications (remonter à la source)
o Erreur d’entrée peut avoir d’importantes conséquences
o Erreur sur la quantité reçue d’une matière (520 vs 250)
o Inventaire, Production, Livraison, Comptes-fournisseur
o Coût peut être élevé et Temps d’implantation aussi
o Taille de l’entreprise, nombre de départements / filiales
o L’utilisation de logiciel en nuage peut être une alternative

24
Q

La gestion décentralisée dans les organisations

A

o Avantages :
* Libérer la haute direction de certaines tâches
* Décisions prises plus rapidement
* Décisions souvent plus adaptées au contexte
* Motivation des responsables
o Inconvénients :
* Risque de comportement dysfonctionnel
* Risque de pertes d’économies d’échelle
* Risque de perdre de vue les objectifs globaux de l’entreprise
* Le prix de cession interne peut devenir une source de conflits
B) Type de centres de responsabilité
o Centre de revenus
* Ne contrôle que les revenus
o Centre de coûts
* Ne contrôle que les coûts d’opération
o Centre de profits
* Contrôle les revenus et les coûts d’opération
o Centre d’investissement
* Contrôle les revenus, les coûts d’opération et d’infrastructure
Évaluation des centres de responsabilité
o Évaluation en fonction d’un facteur clé
o Élément contrôlable par le responsable
o Tenir compte des responsabilités
o Indicateurs financiers et non financiers
o Avoir un équilibre entre les catégories
o Influence de Kaplan-Norton (4 axes)
o Financier
o Clientèle
o Processus
o Innovation & Apprentissage

25
Q

) Centre de revenus

A

o Indicateurs financiers
o Atteinte des revenus prévus
o Augmentation des revenus
o Revenu par client
o Indicateurs non financiers
o Augmentation du nombre de client
o Parts de marché
o Taux de satisfaction des clients

26
Q

centre de couts

A

 Indicateurs financiers
o Respect des coûts prévus (Unitaire ou totaux)
o Diminution des coûts
 Indicateurs non financiers
o Taux de productivité
o Taux de conformité (gestion de la qualité)
o Taux de formation de la main-d’œuvre
o Niveau de R&D
o État des installations

Évaluer la performance en fonction de l’indicateur
o Coûts variables
o Coûts fixes
o Taux de productivité
o Taux de rejet
o Taux de formation

27
Q

C.3) Centre de profit

A

o Évaluer la performance en fonction de l’indicateur (à faire) :
o Bénéfice ($ vs %)
o MCV (Totale, unitaire, %)

28
Q
  • C.4) Centre d’investissement
A

o Indicateurs financiers
o Atteinte ou dépassement de l’objectif cible en fonction de critères suivants
o Rendement sur capital investi (RCI)
o Résultat net résiduel (RNR)
o Valeur économique ajoutée (VÉA)
o Autres facteurs comme centre de profit
o Indicateurs non financiers
o Mêmes facteurs non financiers que le centre de profit

29
Q

) Prix de cession interne (PCI)

A
  • D.2) Types de PCI
    o Prix du marché
    o Souvent nommé « Juste Valeur Marchande »
    o Marché externe existant pour le bien ou le service
    o Partie cédante est relativement à pleine capacité (sans la demande interne)
    o Prix négocié
    o Laisser les gestionnaires prendre leur propres décisions
    o Les deux parties n’ont pas de pouvoir de force
    o Siège social doit éviter de s’en mêler

o Prix basé sur les coûts (avec ou sans majoration)
o Réel
 Risque que la partie cédante ne cherche pas à contrôler ses coûts car ceux-ci sont transférés à l’autre partie.
 Partie cédante = perte de motivation
 Partie acquérant = frustration

o Standard (ou prédéterminé)
 Coût à privilégier
 Connu d’avance par les deux parties
 Évite le transfert d’inefficience
 Récompense l’efficience
 Peut être difficile à appliquer dans les petites entreprises ou lors de nouveaux transfert

  • D.2.1) PCI basé sur les coûts
     Coût complet
    o Montant « réaliste » du coût du produit ou service
    o L’entreprise globalement doit récupérer tous ses coûts
    o Affecté par la répartition des frais fixes
     Coût variable
    o Ne pas affecter acheteur par la variation de volume du vendeur
    o PCI plus stable
    o Affecté principalement par l’inflation
30
Q

D.4) Double PCI

A

 Fonctionnement
o Partie cédante reçoit un montant « X »
o Partie acquérant paie un montant « Y »
o Siège social comble la différence
 Objectifs
o Souvent dans le cas d’impasse entre les deux parties
o Aider « temporairement » une partie qui devra voir à améliorer sa situation
o Conserver la motivation des gestionnaires impliqués

31
Q
  • D.5) PCI international
A

 Facteurs importants à considérer
 Lois sur le commerce (« dumping »)
 Taux d’impôts
 Volatilité de la devise étrangère
 Relations avec le pays étranger (gouvernement)
 Transfert de capitaux

32
Q

Régime d’intéressement

A

Un régime de rémunération incitatif devrait avoir pour but prédominant de motiver et de retenir l’effectif, sans être démesurément généreux. Il doit être intimement lié au rendement du personnel et de la société.

33
Q

B - Rémunération globale

A

 Partie fixe
 Salaire de base
 Avantages (auto fournie, abonnement)
 Partie variable
 Commissions
 Bonis de performance
Régime de partage des bénéfices

34
Q

Rémunération indirecte

A

o Régime de retraite
o Incitatif de rétention
o Congés et vacances
o Avoir un employé « reposé » et performant
o Tenir compte des impacts de l’absence de l’employé
o Régime d’assurances
o Protéger l’employé (physiquement et mentalement)
o Prime de départ basée sur le niveau d’ancienneté
o Incitatif de rétention
o Autres avantages (ex. cours de formation)

34
Q
A
35
Q

Comportements selon la théorie des attentes

A

 Recherche la récompense et évite la pénalité
 Récompense désirable avec degré élevé d’obtention
 Récompenses
 Intrinsèques (satisfaction de soi-même)
Extrinsèques (stimuli externe)
 Individu est rationnel et veut maximiser son bien-être
 Pour obtenir le résultat attendu, on doit
 Soit le surveiller
 Soit le récompenser

36
Q
  • Évaluation de la performance
A

 Évaluation selon les éléments contrôlables
 Utilisation de critères financiers et non financiers
 Comparaison avec les objectifs visés
 Permet d’avoir accès à la rémunération variable

37
Q

F - Régimes de rémunération variables

A

o Fondé sur la performance individuelle
o Fondé sur la performance d’équipe
o Fondé sur le rendement à long terme

38
Q

1.1 Prime individuelle

A

o % du salaire de base ou $ par heure ou $ total
o Prime totale ou graduelle selon le niveau atteint
o Doit être raisonnable, sinon risque de comportement dysfonctionnel (abus)

39
Q

1.2 Commissions

A

o Salaire principal
o Risque pour l’employé
o Doit être « payant » sinon rétention faible
o Complément au salaire de base
o % dépend du niveau désiré d’incitatif à la performance et à la rétention

40
Q

1.3 Travail à la pièce

A

 Employé a le contrôle de sa rémunération totale
 + Gestion simplifiée
 + Productivité améliorée
 - Risque relié au niveau de la qualité
 - Peu ou pas de collaboration entre employés

41
Q

F.2 - Fondé sur la performance d’équipe

A

2.1 Primes d’équipe
 Récompense l’effort collectif
 + Incite les employés à contribuer au groupe
 - Récompense tous les membres également

2.2 Participation aux bénéfices
 % ou $ du bénéfice répartis entre les membres du groupe
 + Aligner intérêts ENTREPRISE et EMPLOYÉS
 - Éléments ± contrôlables pouvant affecter le boni

42
Q

F.3 – Fondé sur le rendement à long terme

A

Tenir compte de :
 Utilisé normalement pour les cadres supérieurs
 % Actions = % de la JV de l’entreprise (bénéfices passés et futurs)
 Possibilité de monnayer les actions détenues
3.1 Octroi d’actions
 Gratuit : Récompense la performance à LT
o + Aucun déboursé pour l’employé
o - Motivation incertaine (gain éventuel seulement)
 Achat : permettre l’actionnariat
o + Engagement à LT
o - Pression financière personnelle

43
Q

3.2 Option d’achat d’actions à prix de faveur

A

o Cours actuel VS prix de levée
o Délai pour exercer les options (min. et max.)
Employé
o + Aucun déboursé jusqu’à la levée (↓ risque financier)
o - Aucun contrôle sur facteurs externes (impact sur valeur action)
Entreprise
o + Argent perçu au moment de la levée
o - Motivation incertaine de l’employé (gain éventuel seulement)

3.3 Utilisation des actions fictives (ou fantômes)
o Pour l’employé, donnent les mêmes avantages que des actions réelles mais sans être émises
o Pour l’entreprise, pas de frais d’émission ni de dilution de contrôle
o Dividendes = Boni imposable à 100%
o Remboursement au départ = Boni imposable à 100%