Hanna Hachim Partie 1 Flashcards
(51 cards)
digestion et absorption des lipides (système digestif)
Digestion
- nécessite suc pancréatique (Contient la majorité des lipases) et bile (Essentielle pour l’émulsification des graisses).
- Triglycérides non émulsionnés (-> lipase linguale dans bouche, lipase gastrique dans estomac, émulsification sous l’action des sels provenants du foie mais dans intestin grêle, lipases pancréatiques dans intestin grêle ->) monoglycérides et acides gras
Absorption
- acides gras et monoglycérides pénètrent dans les cellules intestinales par diffusion simple
- ils se recombinent pour former des triglycérides puis sont combinés à d’autres lipides/protéines pour former des chylomicrons qui sont expulsés des cellules par exocytose
- ils passent dans les vaisseaux chylifères des villosités et sont transportés avec la lymphe par le conduit thoracique jusqu’à la circulation systémique
- certains acides gras à chaine courte entrent dans le sang par diffusion facilitée au niveau des capillaires des des villosités puis ils sont transportés jusqu’au foie par la veine porte hépatique
** calcul de l’indice de masse corporelle (IMC)
- rend compte du rapport existant entre le poids d’une personne et sa taille
- IMC = masse [kg] / (taille [m]^2)
Différencier les artères et les veines systémiques
- le sang sort du coeur par une seule artère systémique (l’aorte) et rentre par 2 veines terminales (veines caves inférieure et supérieure). Exception -> sang qui s’écoule du myocarde est recuilli par des veines ratachées au sinus coronaire qui se déverse directement dans l’oreillette droite
- les artères sont profondes tandis que les veines sont profondes ou supeficielles. Les veines qui parcours les tissus profonds sont parallèles aux artères systémiques (souvent mêmes noms) et sont protégées par des tissus sur la majeure partie de leur trajet. Veines superficielles cheminent près de la peau et sont visibles.
- les voies veineuses possèdent plus d’anastamoses et beaucoup de veines se dédoublent. Voies veineuses sont donc plus difficiles à suivre.
- l’encéphale et le système digestif possèdent chacun leur propre système de drainage veineux (sang veineux de l’encéphale se draine dans les sinus de la dure-mère et non dans les veines typiques et sang du système digestif entre dans le système porte hépatique et parcours le foie avant de réintégrer la circulation générale dans la veine cave inférieure).
Identifier les principales artères systémiques
- a. carotide interne
- a. carotide externe
- a. carotides communes
- a. vertébrale
- a. subclavière
- tronc brachiocéphalique
- arc aortique
- aorte ascendante
- a. coronaire
- tronc coeliaque
- aorte abdominale
- a. mésentérique supérieure
- a. rénale
- a. testiculaire/ovarique
- a. mésentérique inférieure
- a. illiaque commune
- a. illiaque interne
- a. axillaire
- a. brachiale
- a. radiale
- a. ulnaire
- arcade palmaire profonde
- arcade palmaire superficielle
- a. digitales palmaires communes
- a. illiaque externe
- a. fémorale
- a. poplitée
- a. tibiale postérieure
- a. arquée du pied
Décrire la structure des parois vasculaires, du réseau artériel et des capillaires
- veines: valvules, tunique interne (endothélium -> couche sous-endothéliale), tunique moyenne (composée de myocytes lisses et de fibres élastiques) et tunique externe (composée de fibres collagènes, vasa vasorum)
- capillaires: 1 couche de cellules endothéliale entourée d’une membrane basale
- artères (en général): tunique interne (endothélium -> couche sous-endothéliale -> membrane élastique interne), tunique moyenne (composée de myocytes lisses et de fibres élastiques -> membrane élastique externe) et tunique externe (composée de fibres collagènes, vasa vasorum)
-> artères élastiques: grosses artères avec paroi épaisse. Près du coeur (aorte et ses ramifications). Faible résistance. Plus d’élastine (surtout tunique moyenne). Rôle peu actif dans la vasoconstriction. Parois se dilatent et se ressert pour qu’il y ait un flot continu de sang (et non par à coup quand le coeur se contracte)
-> artères musculaires: apportent le sang au divers organes. Diamètre = 1cm -> 0.3 mm. Tunique moyenne épaisse (contient plus de muscle lisse et moins de tissu élastique = rôle plus actif vasoconstriction mais moins extensible)
-> artérioles: plus petites artères. Grosses artérioles ont 3 tuniques mais tunique moyenne = muscle lisse et quelques fibres élastiques. Plus petites artérioles = endothélium entouré d’une couche de myocytes lisses. L’écoulement du sang dans les lits capillaires dépend de la vasoconstriction/vasodilatation des artérioles (influencé par stimulus nerveux et influences chimiques locales et hormonales que subit le muscle lisse de la paroi). Artérioles se contractent = le sang contourne les tissus qu’elles déservent. Artérioles se dilatent = débit sanguin augmente de façon marquée dans les capillaires locaux
Différencier la vasoconstriction et la vasodilatation (effet du système nerveux sympathique, substances vasoactives, rôle de l’endothélium)
- système nerveux sympathique: artérioles de la peau et du système digestif reçoivent des potentiels d’action issus des neurofibres vasomotrices (innervent la couche de muscle lisse) grâce au centre vasomoteur. Augmente la libération d’adrénaline (stimule les récepteurs beta 2 adrénergique = vasodilatation. Artères coronaires et muscles squelettiques) et de noraadrénaline (stimule les récepteurs alpha 1 adrénergique = vasoconstriction. Vaisseaux sanguins)
- substances vasoactives: neurotransmetteurs (ex. adrénaline forte dose et noraadrénaline = vasoconstriction), hormones (angiotensine II et ADH = vasoconstriction), médiateurs locaux (Endothéline-1 et Sérotonine = vasoconstriction, Oxyde nitrique (NO), Prostacycline (PGI2), Bradykinine = vasodilatation)
- rôle de l’endothélium: tapisse l’intérieur des vaisseaux, joue un rôle clé en libérant des facteurs vasoactifs qui modulent la contraction ou la relaxation des muscles lisses vasculaires
pression artérielle
- pression sanguine: force par unité de surface que le sang exerce sur la paroi d’un vaisseau (mmHg)
- pression artérielle: pression sanguine dans les artères systémique (surtout gros artères près du coeur)
- mécanisme d’autorégulation régissent la pression artérielle
- pression veineuse dépend de la pression artérielle
- les différences de pression hydrostatique dans le système cardiovasculaire fournissent la force propulsive nécessaire à la circulation sanguine (régions haute pression -> basse pression)
- fluctue entre la pression diastolique et la systolique. 120/80 mmHg
débit cardiaque et sanguin
- débit sanguin: volume de sang qui s’écoule dans un vaisseau, dans un organe ou dans le système cardiovasculaire en une période donnée (mL/min)
- à l’échelle du système cardiovasculaire, débit sanguin = débit cardiaque
- au repos = relativement constant
- à tout instant, peut varier fortement selon les besoins de l’organe
résistance vasculaire
- force qui s’oppose à l’écoulement du sang. Résulte de la friction du sang sur la paroi des vaisseaux
- se manifeste surtout dans la circulation systémique (loin du coeur)
- 3 facteurs l’influence
- viscosité du sang: résistance inhérente d’un liquide à l’écoulement qui dépend de son épaisseur et de sa fluidité. Plus le frottement entre les molécules est fort, plus la viscosité est grande. Assez stable. Grand froid ou augmentation numération érythrocytaire = plus visqueux
- longueur totale des vaisseaux sanguins: plus le vaisseaux est long, plus la résistance est grande
- diamètre des vaisseaux sanguins: plus le diamètre est petit, plus la résistance est grande. Facteur principal (car le seul qui varie à court terme). Près des parois = liquide est ralenti par la friction contrairement au centre (petit diamètre = plus grande proportion du sang en contact avec les parois donc plus grande résistance)
précharge
- degré d’étirement des cellules myocardiques juste avant leur contraction
- détermine le volume systolique (plus elle est élevée plus il le sera, loi de Frank-Starling)
- principal facteur de l’étirement du muscle cardiaque = le retour veineux
- augmentation du retour veineux -> augmentation VTD -> augmentation VS -> augmentation DC
- fréquence cardiaque baisse laisse plus de temps pour remplissage ventriculaire (augmente VTD)
- activité physique intensifie l’activité du SNS -> compression des veines par les muscles squelettiques diminue le volume de sang qu’elles contiennent à cet endroit en retournant ce sang au coeur -> augmentation du retour veineux -> augmentation du volume systolique
postcharge
- pression qui s’oppose à celle que produisent les ventricules lorsqu’ils éjectent le sang du coeur (contre-pression exercées sur les valves de l’aorte et du tronc pulmonaire par le sang artériel)
- n’influence pas beaucoup le volume systolique chez les personnes en bonne santé, mais le diminue chez les personnes souffrant d’hypertension artérielle (réduit la capacité des ventricules à éjecter le sang -> plus grande quantité de sang demeure dans le sang après la systole -> augmente le volume télésystolique -> diminue le volume systolique)
contractilité
- force de contraction pour une longueur musculaire donnée
- indépendante de l’étirement musculaire et du volume télédiastolique
- augmentation du Ca2+ qui passe du liquide interstitiel et du réticulum sarcoplasmique au sarcoplasme -> augmentation contractilité -> permet éjection d’une plus grande quantité de sang du coeur
- augmentation de l’activité du SNS augmente la contractilité
- neurofibres sympathiques et médullosurrénale libèrent adrénaline et noradrénaline -> déclenche l’AMP -> accroît l’entrée de Ca2+ dans le sarcoplasme -> favorise la liaison des têtes de myosine à l’actine et intensifie la force de contraction des ventricules
- agents inotropes positifs: hormones comme glucagon, adrénaline, haut taux de Ca2+ dans liquide interstitiel -> augmente contractilité
- agents inotropes négatifs: ex. acidose, augmentation K+ dans liquide interstitiel, antagoniste du Ca2+ -> diminue contractilité
** équation de la pression artérielle
- TA = DC (débit cardiaque) x RVS (résistance vasculaire systémique)
- DC = FC x VES (volume d’éjection systolique)
- FC dépend de l’activité électrique
- VES: dépend de la précharge, de la post charge et de la contractilité
pression sanguine systémique
- pression sanguine: force par unité de surface que le sang exerce sur la paroi d’un vaisseau (mmHg). Peut être veineuse, artérielle, capillaire
- atteint son maximum dans l’aorte et son minimum dans les veines caves
- chute la plus abrupte se produit dans les artérioles (où la résistance est la plus forte)
- des artères aux veines
la pression différentielle
- différence entre la pression systolique et la pression diastolique
- pression systolique: pression maximale produite par la contraction ventriculaire (ventricule gauche se contracte et expulse le sang dans l’aorte -> sang étire les parois élastique de l’aorte -> pression aortique est à son max)
- pression diastolique: pression aortique atteint son point minimal (fermeture de la valve de l’aorte -> sang ne peut pas refluer dans le ventricule gauche -> parois de l’aorte reprennent leur forme initiale -> maintiennent une pression suffisante pour que le sang s’écoule dans les plus petits vaisseaux -> évacuation du sang de l’aorte)
- diminue graduellement dans les artères musculaires (pas de retour élastique des parois)
la pression artérielle moyenne
- pression qui propulse le sang dans les tissus
- PAM = pression diastolique + (pression différentielle/3) car la diastole dure plus longtemps que la systole
- diminue à mesure qu’on s’éloigne du coeur (à cause du frottement contre les parois vasculaires)
Nommer et décrire les facteurs qui influent sur la pression artérielle
Débit cardiaque (DC)
- Dépend du volume systolique et de la fréquence cardiaque.
- Augmenté par le système nerveux sympathique en réponse au stress.
- Une augmentation du DC entraîne une hausse de la pression artérielle.
Résistance périphérique (R)
- Dépend de trois facteurs: Diamètre des vaisseaux sanguins (facteur principal). Viscosité du sang (plus le sang est épais, plus la résistance est élevée). Longueur totale des vaisseaux (plus ils sont longs, plus la résistance est grande).
- Une augmentation de la résistance périphérique entraîne une hausse de la pression artérielle.
Volume sanguin
- Influence directement le débit cardiaque.
- Une augmentation du volume sanguin accroît le retour veineux et la pression artérielle.
- Régulé par les reins et les mécanismes hormonaux (ex. : aldostérone, ADH).
Relations entre les facteurs
- Formule : PA = DC × RVS
- Toute augmentation ou diminution de l’un des trois facteurs (DC, RVS, volume sanguin) modifie la pression artérielle.
- L’homéostasie est maintenue par des ajustements compensatoires entre ces variables.
Expliquer les mécanismes régulateurs de la pression artérielle (court terme, mécanisme nerveux)
- Influence sur la résistance périphérique et le débit cardiaque.
- Maintien de la pression artérielle moyenne par la modulation du diamètre des vaisseaux.
- Redistribution du sang selon les besoins des organes (ex. muscles vs. système digestif).
- Régulation via des arcs réflexes impliquant: Barorécepteurs, Chimiorécepteurs et Centres cérébraux supérieurs et Régulation par l’hypothalamus et le cortex cérébral.
Rôle du centre cardiovasculaire (bulbe rachidien)
- Centres cardioaccélérateur et cardio-inhibiteur → Régulation du débit cardiaque.
- Centre vasomoteur → Contrôle du tonus vasomoteur (vasoconstriction ou vasodilatation).
- Effets: Augmentation du tonus sympathique → Vasoconstriction → ↑ Pression artérielle.
Diminution du tonus sympathique → Vasodilatation → ↓ Pression artérielle.
Réflexes des barorécepteurs
- Hausse de la pression → Activation des barorécepteurs → Vasodilatation (réduction de la résistance périphérique) + Diminution du débit cardiaque (↓ fréquence et force de contraction).
- Baisse de la pression → Vasoconstriction réflexe et augmentation du débit cardiaque.
- Adaptation rapide aux variations transitoires, mais inefficace contre l’hypertension chronique.
Réflexes des chimiorécepteurs
- Activation en cas de : ↑ CO₂, ↓ pH ou ↓ O₂ -> Augmentation du débit cardiaque et vasoconstriction réflexe pour accélérer l’oxygénation du sang.
Influence des centres cérébraux supérieurs
- Hypothalamus et cortex influencent la pression artérielle via le bulbe rachidien (ex. stress, émotions, température corporelle).
Expliquer les mécanismes régulateurs de la pression artérielle (court terme, mécanismes hormonaux)
- stress → ↑ libération Adrénaline et noradrénaline par la médulla surrénale → intensification réaction du système sympathique → ↑ Débit cardiaque et vasoconstriction → ↑ pression artérielle
- pression artérielle ou volume sanguin bas → libération de rénine par les reins → Angiotensine II → Vasoconstriction intense → ↑ pression artérielle. Stimule également libération de l’aldostérone et de l’ADH.
- ↑ pression artérielle → distension des oreillettes → ↑ production du facteur natriurétique auriculaire (FNA) → Vasodilatation + stimule l’excrétion de sodium et d’eau (→ ↓ du volume sanguin) → ↓ Pression artérielle.
- baisse critique de l’ADH → libération accrue d’ADH par l’hypothalamus → Réduction de la diurèse + vasoconstriction → ↑ pression artérielle
Expliquer les mécanismes régulateurs de la pression artérielle (long terme, mécanisme rénaux)
Régulation du volume sanguin pour stabiliser la pression artérielle.
Mécanisme rénal direct
- ↓ Pression artérielle → ↓ de la filtration par les reins → ↓ formation d’urine → ↑ du volume sanguin → ↑ pression artérielle moyenne
Mécanisme rénal indirect
- ↓ Pression artérielle → inhibition des barorécepteurs → ↑ activité du SNS → ↑ libération de rénine par les reins → angiotensinogène est converti en angiotensine I → angiotensine I est converti en angiotensine 2 grâce à l’ECA → cortex surrénal sécrète de l’aldostérone (→ ↑ réabsorption de sodium par les reins) + ↑ libération d’ADH par neurohypophyse (→ ↑ réabsorption d’H2O par les reins) + ↑ soif par l’hypothalamus (→ ↑ apport hydrique) + vasoconstriction (→ ↑ résistance périphérique → ↑ pression artérielle moyenne) → ↑ du volume sanguin → ↑ pression artérielle moyenne
** Expliquer l’hypertension artérielle causée par la suractivation du SNS
Stress → activation du SNS → ↑ libération d’adrénaline et de noradrénaline par médullosurrénale →
- Active récepteurs alpha 1 dans le muscle lisse vasculaire des artérioles → vasoconstriction des artérioles → ↑ RVS → ↑ PA
- Active récepteurs beta1 du cœur → ↑ FC et ↑ contractilité (→ ↑ VES) → ↑ débit cardiaque → ↑ PA
- Active les récepteurs beta 1 des cellules juxtagomérulaires des reins → ↑ libération de rénine par celles-ci → …
** Expliquer l’hypertension artérielle causée par la suractivation du SRAA
stress → activation du SRAA → ↑ libération de rénine par les cellules juxtaglomérulaires → angiotensinogène est converti en angiotensine I → angiotensine I est converti en angiotensine 2 grâce à l’ECA →
- sécrétion d’aldostérone par le cortex surrénal → ↑ réabsorption de Na+/H2O dans les tubules contournés distaux →↑ du volume sanguin → ↑ retour veineux → ↑ précharge → ↑ VES → ↑ DC → ↑ PA
- vasoconstriction artériolaire → ↑ RVS → ↑ PA
Phénomènes mécaniques : la révolution cardiaque - Différencier la systole et la diastole
Généralités
- Le cœur alterne entre contraction (systole) et relâchement (diastole) ventriculaire, constituant la révolution cardiaque.
- systole: entre le 1er (fermeture des valves auriculoventriculaires) et le 2e (fermeture des valves du tronc pulmonaire et de l’aorte) bruit cardiaque
diastole: entre le 2e et le 1er (de la révolution suivante) bruit cardiaque
- La circulation sanguine suit un gradient de pression et est régulée par l’ouverture et la fermeture des valves cardiaques.
Phases de la révolution cardiaque
- Remplissage ventriculaire (mésodiastole → télédiastole): Pression basse dans les cavités cardiaques.
Le sang s’écoule passivement des oreillettes vers les ventricules à 80%.
L’onde P de l’ECG marque la contraction auriculaire, complétant le remplissage ventriculaire (20% restants). Volume sanguin atteint son maximum (Volume Télédiastolique – VTD).
- Contraction isovolumétrique: Les oreillettes se relâchent. Début de la contraction ventriculaire (complexe QRS de l’ECG). Fermeture des valves auriculoventriculaires (pression ventriculaire élevée, début systole). Volume sanguin constant car toutes les valves sont fermées.
- Éjection ventriculaire: Ouverture des valves de l’aorte et du tronc pulmonaire. Expulsion du sang dans la circulation (pression aortique : 120 mmHg).
- Relaxation isovolumétrique (protodiastole): Relâchement des ventricules (onde T de l’ECG).
Fermeture des valves de l’aorte et du tronc pulmonaire (incisure catacrote, début diastole).
Volume restant : Volume Télésystolique – VTS. Oreillettes se remplissent à nouveau.
Durée de la révolution cardiaque (75 bpm)
- Systole auriculaire : 0,1 s
- Systole ventriculaire : 0,3 s
- Phase de quiescence (repos) : 0,4 s
- Cycle total : 0,8 s
Différences entre cœur gauche et droit
- Cœur gauche : Pression élevée (120/80 mmHg – circulation systémique).
- Cœur droit : Pression basse (24/10 mmHg – circulation pulmonaire).
Les deux ventricules expulsent le même volume sanguin.
** Sources alimentaires selon les types de lipides
- gras saturés: solide à température ambiante. Beurre, gras de la viande, produit laitier, noix de coco. Augmente la synthèse de cholestérol. Dommageable.
- lipides insaturés: liquide à température ambiante. Huile d’olive, de maïs, d’arachide, de soja, graines, noix (proviennent de plantes). Oméga-6 (oeufs, certaines huiles) et oméga-3 (poissons gras, graines de lin. Diminue proportion d’acide gras et de LDL et fait augmenter HDL). Augmente l’excrétion de cholestérol.
- gras trans: dans produits transformés et margarines. Huiles solidifiées par l’ajout d’atomes d’hydrogène à l’emplacement des liaisons doubles entre les atomes de carbone. Le plus dommageable pour le coeur (augmentation LDL et baisse de HDL)