introduction au système nerveux et SNA (suite) Flashcards
(29 cards)
système nerveux autonome (SNA) : quelle type de système
système sensoriel et moteur qui innerve les viscère et les organes
système nerveux autonome (SNA) : à quoi est-il infiniment relié
à l’homéostasie : définie comme l’habilité de l’organisme à maintenir un environnement interne relativement stable face à des condition/s externes changeantes
système nerveux autonome (SNA) : système végétatif
système végétatif contrôle les fonctions involontaires qu’exercent les fibres musculaires lisses, les fibres musculaire cardiaques et les glandes
subdivision du système nerveux autonome (SNA)
sympathique : muscles lisses et cardiaques.
gouvernent les réactions d’urgence appelées réactions de lutte ou le fuite
parasympathique : muscles lisses et cardiaques
responsable des processus de repos et digestion
entérique : contrôle l’intestin
organisation anatomique des voies motrice (efférent) du système nerveux autonome (SNA)
les neurones moteurs du systèmes autonome (neurone post-ganglionnaires) sont situés à l’extérieur de la moelle épinière dans des groupes de cellules appelés ganglions autonome
ils sont activés par les neurones pré-ganglionnaires donc le corps cellulaires sont situés dans la moelle épinière ou dans le tronc cérébrale
pour ;a division sympathique, les ganglions végétatifs se situent près de la moelle épinière
pour la division parasympathique, les ganglions végétatif se trouvent dans le plexus neural (réseau neural) dans l’organe lui-même ou à son voisinage immédiat
système nerveux autonome (SNA) : fibres motrices végétatives
ont tendance è présenter des ramifications abondantes et è former de nombreuses terminaisons sympathique au niveau des varicosités qui porte la branche terminale de l’axone
La surface du tissu cible ne présente pas de structure régulière comme la plaque motrice, donc, les neurotransmetteurs libérés diffusent souvent sur plusieurs centaines de microns avant de se fixer aux récepteurs postsynaptiques (distance supérieure à la fente synaptique).
structures qui coordonnent les activités du système végétatif
ensemble de structures corticales et sous-corticales réparties dans les régions ventrales et médianes du cerveau antérieur et dans le tronc cérébrale
les centrent qui contrôlent le SNA sont majoritairement situés dans l’hypothalamus qui est contrôlé par l’activité de l’amygdale, de l’hippocampe, de l’insula et d’autre régions corticales situées dans les partie ventrale et médiale du lobe frontal
neurotransmetteur libéré par les terminaison motrice végétatives
sont en majorité à petites molécules, qui comprennent les acide aminées et les amines
elles sont stockées dans les vésicules synaptiques
rôle de l’activité sympathique
- dilate les pupilles
— Les pupilles se dilatent et les paupières se rétractent → entrée de lumière plus importante et facilitation des mouvements oculaires (mieux voir) - contracte les vaisseaux
— La constriction des vaisseaux sanguins de la peau et de l’intestin → redirection du sang vers les muscles - inhibe la salivation
- Les poils se hérissent → donnait aux ancêtres velus un aspect plus redoutable
- dilate les bronche
— Les bronches se dilatent → accroissement de l’oxygénation - accélère le rythme cardiaque
— La fréquence cardiaque accélère et la force des contractions augmente → irrigation maximale des muscles squelettiques et du cerveau - inhibe la digestion
— La digestion et les autres fonctions végétatives se mettent au repos - stimule la libération de glucose
- sécrétion d’adrénaline
— La médullosurrénale libère de l’adrénaline et de la noradrénaline dans la circulation et le pancréas libère de l’insuline et du glucagon → augmentation des fonctions de mobilisation de l’énergie. - contracte la vessie
- déclenche l’orgasme
rôle de l’activité parasympathique
- contracte les pupilles
- stimule la salivation
- contracte le bronches
- diminue le rythme cardiaque
- stimule la digestion
- régule la sécrétion d’hormones et de sucs digestifs
- dilate les vaisseaux sanguins (de l’intestin)
- stimule la vessie
- stimule l’éveil sexuel
disposition des neurones déclenchant les effets sympathiques
disposé en colonne de neurones préganglionnaires du premier segment thoracique (T1) à L2-L3
motoneurones
les neurones des ganglions sympathiques sont les motoneurones de la division sympathique innervant directement les muscles lisses, les muscles cardiaque et les glandes
fonctionnement neurones pré-ganglionnaires et post-ganglionnaires
Les neurones pré-ganglionnaires sympathiques libèrent de l’acétylcholine, laquelle active les neurones postganglionnaires par leurs récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine.
Les neurones post-ganglionnaires libèrent la norépinephrine (noradrénaline), laquelle module les tissus cibles par son interaction avec les récepteurs α et β adrénergiques
provenance des fibres pré-ganglionnaires de la division parasympathique
Les fibres préganglionnaires qu’émet le système nerveux de la division parasympathique proviennent de neurones qui ne se distribuent que dans le tronc cérébral et dans la région sacrée de la moelle.
L’innervation préganglionnaire crânienne parasympathique
L’innervation préganglionnaire crânienne est située dans le tronc cérébral et comprennent :
- Le noyau d’Edinger-Westphal innervant le ganglion ciliaire par le nerf III
- Les noyaux salivaires supérieur et inférieur innervant les glandes salivaires et les glandes lacrymales
- Le noyau ambigu et le noyau moteur dorsal vague innervant les ganglions parasympathiques situés dans les viscères du thorax et de l’abdomen en plus des réponses motrices vagales du cœur, des poumons et de l’intestin
l’innervation préganglionnaire sacré parasympathique
L’innervation préganglionnaire sacrée empruntent les nerfs splanchniques pour innerver les ganglions parasympathiques du tiers inférieur du côlon, du rectum, de la vessie et des organes génitaux.
Les ganglions parasympathiques innervés sont situés à l’intérieur ou à proximité des organes qu’ils contrôlent.
(plus proche des organes cibles que le système sympathique)
différence structure des neurones des ganglions sympathique et parasympathique
Les neurones des ganglions sympathiques ont des arborisation dendritiques touffues → ils sont innervés par un grand nombre de fibres préganglionnaires
Les neurones parasympathiques ont peu/pas de dendrites, de sorte qu’ile ne sont innervés que par un petit nombre de fibres ganglionnaires.
Implication : Les influences qui convergent sur les neurones des ganglions sympathiques sont plus variées que celles que reçoivent les neurones des ganglions parasympathiques.
différence des effets du systèmes parasympathique et sympathique
les systèmes sympathique et parasympathique tendent à avoir des effet opposés sur les tissus cible
division entérique : contrôle quoi
le tractus gastro-intestinal, le pancréas et la vésicule biliaire
les neurones moteurs entériques contrôle autant les muscles lisse de l’intestin que les vaisseaux sanguins locaux que la sécrétion par les muqueuses
système entérique : nbr de neurone
contient environ 100 millions de neurones soit autant que la moelle épinière
système entérique : fonctionnement
reçoit de l’information des systèmes sympathique et parasympathique, mais est très autonome et peut fonctionner normalement en l’absence d’information neuronales extérieur
système entérique : type de neurone
neurone cholinergique : tendent à activer les contractions péristaltique de l’intestin
neurones adrénergiques : suppriment le péristaltisme de l’intestin
neurones qui libèrent des neuropeptides : de l’ATP et du NO
division du système entérique
comprend 2 plexus (corps cellulaires et fibres neuronales) présent sur toute la longueur du tractus gastro-intestinal
- plexus myentérique (plexus d’Auerbach) : contrôle principalement la mobilité intestinale
-plexus sous-muqueux (plexus de Meissner) : contrôle les fonctions sécrétoires de l’intestin
trajet des informations sensorielles du SNA
La plupart des informations sensorielles provenant des viscères atteignent le cerveau par le nerf vague. L’information sensorielle viscérale provenant de la tête et du cou entre dans le cerveau par les nerfs glossopharyngien et facial. Ces informations mènent à la formation d’une synapse dans le tronc cérébral dans le noyau du tractus solitaire.
Cette région gère les réflexes autonomes directs et projette aux centre supérieurs du cerveau (ex. hypothalamus) qui régulent des réponses autonomes plus complexes.