Le rôle de la famille ( cours 13 : partie 2 ) Flashcards

1
Q

⚠️TOUTES LES QUESTIONS SONT DES VRAI OU FAUX MERCI⚠️

A

SLAY

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2
Q

Les proches aidants sont des personnes que le patient identifie comme étant celle qui l’accompagne dans son parcours de santé, qui peut lui offrir différents types de soutien et certains soins requis par son état.

A

easy yes

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3
Q

En 2016, 35% des Québécois ont posée un geste de proche aidant.

A

oui but no, proche aidant d’AÎNÉ (not the same)

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4
Q

16% des 35% des québécois, prenant soin d’un aîné atteint de démence.

A

faux, 13%

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5
Q

40-50% des adultes prennent soin d’un parent âgé varie selon déf. d’aidant (soutien émotionnel, aide hebdomadaire, etc.)

A

faux, 10-20%

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6
Q

Plus de 80% des besoins de soins et d’aide sont comblés par l’entourage, principalement famille.

A

YES ( SAVOIR CE % EXAMEN!! )

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7
Q

Les services publics et communautaires ont une place majeure dans les soins aux aînés.

A

faux –> mineure

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8
Q

Les conjoint.e.s et enfant.s occupe plus de 80% des aidants principaux .

A

ouiii

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9
Q

Le maintient à domicile est possibles grâces à la communauté.

A

faux, grâce aux familles

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10
Q

Les femmes occupes 15% des proches aidants.

A

NOP, 75%

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11
Q

60% des femmes se sentent coupables dans la proche aidance.

A

vrai, doivent se couper en morceaux pour accomplir tous les besoins.

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12
Q

60% des aidantes concilient travail, vie conjugale et famille.

A

faux, 12%

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13
Q

Les soins prodiguent les proches aidants sont uniquement:
rendez-vous, soutien affectif, soins clinique et AVD/AVQ.

A

faux,
organisation du domicile, rendez-vous, soutien affectif, mobilisation de l’entourage, soins clinique, représentation, avd/avq et surveillance des soins.

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14
Q

80% de soins sont prodigués à domicile.

A

yes

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15
Q

Prendre soin c’est une aide instrumentale et des soins de santé seulement.

A

faux, + monitoring.

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16
Q

L’aide instrumental se traduit par l’aide domestique(avd), les soins personnel (avé) et le soins cliniques.

A

vrai

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17
Q

Le monitoring est la surveillance des symptômes, des soins ( supervision - jour et nuit)

A

vrai

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18
Q

Le monitoring est d’assurer le suivi de la situation, anticipation.

A

vrai

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19
Q

Le monitoring est l’aide domestique.

A

faux -> aide instrumental

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20
Q

Le monitoring c’est l’interface avec le service.

A

vrai

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21
Q

Le monitoring c’est un soutien émotionnel, éthique et de prise de décision pour l’ainée.

A

yes

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22
Q

Le monitoring c’est la préservation de l’identité de l’ainé, stimulation aux activitées.

A

yep

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23
Q

Les principales raisons du besoins d’aide sont:
40% vieillissement
34% cancer
16% maladies cardiovasculaires
10% démences

A

faux
26% viellissement
11% cancer
9% maladies cardiovasculaires
6% démences

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24
Q

Le choix de la personnes responsables peut être déterminée par la proximité géographique

A

yep

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25
Q

Le choix de la personnes responsables peut être déterminée par la position dans la structure familiale

A

vrai

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26
Q

Le choix de la personnes responsables peut être déterminée par la relation privilégié avec les parents

A

oui

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27
Q

Le choix de la personnes responsables peut être déterminée par la dynamique et les traditions familiales.

A

ouep

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28
Q

Le choix de la personnes responsables peut être déterminée par les responsabilités familiales de l’aidant (santé, finances, compétence, disponibilité).

A

vrai

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29
Q

Le choix de la personnes responsables peut être déterminée par l’inadéquation des ressources formelles.

A

oui

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30
Q

Les impacts négatifs de la proche aidance sur la santé physique sont la diminution de l’espérance de vie.

A

faux, c’est la co-patient et non santé physique

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31
Q

Les impacts négatifs de la proche aidance sur la santé physique est les fonctions immunitaires et déficitaires, plus de maladies chroniques, santé générale moins bonne que la population générale.

A

vrai

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32
Q

Les impacts négatifs de la proche aidance sur la santé psychologique est l’augmentation de sx dépressifs et anxieux, fort sentiment de fardeau, qualité de vie moindre.

A

vrai

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33
Q

Les impacts négatifs de la proche aidance sur la santé sociale est le besoins de services et soutien plus grand.

A

faux, c’est le co-patient

34
Q

Les impacts négatifs de la proche aidance sur la santé sociale est de modifier ou abandonner des actives, fatigue du «prendre soin de»

A

vrai

35
Q

Les impacts négatifs de la proche aidance sur le co-patient est la diminution de l’espérance de vie, et le besoins de services et de soutien.

A

yes

36
Q

La restriction de la liberté , temps libre & projets constitue un stress pour le proche aidants.

A

oui

37
Q

Le sentiment d’impuissance ou d’incompétence constitue un stress pour le proche aidants.

A

yep

38
Q

Le sentiment de solitude, perte de vie sociale constitue un stress pour le proche aidants.

A

yep

39
Q

Conflits de rôles et familiaux constitue un stress pour le proche aidants.

A

oui

40
Q

La perte d’intimité du couple, moins d’attention au enfants constitue un stress pour le proche aidants.

A

ouiiiii

41
Q

Le partage inégal des tâches, impression de fardeau constitue un stress pour le proche aidants.

A

yes sir/lady/iel

42
Q

La réactivation des conflits avec les parents constitue un stress pour le proche aidants.

A

ouep

43
Q

La honte, culpabilité, anxiété, épuisement et l’insomnie constitue un stress pour le proche aidants.

A

oui

44
Q

Le coûts professionnels et financiers , tel que l’absentéisme, la réduction du temps de travail, l’abandon d’emploi, constitue un stress pour le proche aidants.

A

oue

45
Q

La dépression, l’épuisement, les maladies et la surmortalité constitue un stress pour le proche aidants.

A

oui

46
Q

Voici les obstacles au soutien des pâ :
- distance géographique, problèmes financiers, professionnels, conjugaux, familiaux, de santé et sentiment à l’égard des parents.

A

yesssssssssssss

47
Q

Lors de la proche aidance, pour certain une réactivation des conflits familiaux sera un sentiment à l’égard des parents.

A

oui, par le sentiment à l’égard de l’autorité, la compétitivité entre les membre de la patrie, la peur de la désapprobation, les rôles inversée, l’hostilité/amertume face aux négligence du passé, déchirement entre le devoir et sentiment réels.

48
Q

Afin d’aider la famille à jouer son rôle d’aidante on peut adopter une perspective inégale.

A

faux, juste hehe easy

49
Q

Afin d’aider la famille à jouer son rôle d’aidante on peut s’en tenir à des attentes irréalistes.

A

faux, réaliste

50
Q

Afin d’aider la famille à jouer son rôle d’aidante on peut s’adresser à seulement un membre de la famille.

A

faux à toute la famille.

51
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Toutes les similitude dans l’état de santé du proche :
-Sentiments d’impuissance,
-Impression de prendre soin d’un enfant
-N’est plus la personne qu’elles ont connue.

A

faux, il manque l’instauration d’une surveillance étroite.

52
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Toutes les différence dans l’état de santé du proche :
-Épouse: signalement du comportement dangereux pour sa sécurité,
-Fille: description détaillé et chrono de la détérioration
-Épouse: non réanimation - arrêt de l’absence de qualité de vie
-Fille: réanimation - déni devant la gravité de l’état.

A

faux pour :
-Épouse: signalement du comportement dangereux pour sa sécurité,
-Fille: description détaillé et chrono de la détérioration

vrai rep :
-Épouse: description détaillé et chrono de la détérioration

-Fille: signalement du comportement dangereux pour sa sécurité,

reste vrai!

53
Q

Les quatre phases du placement sont :
1. Prise de décision,
2. Attente
3. Quête de ressources
4. Ajustement au milieu d’hébergement

A

faux,
prise de décision
attente ou quête de ressources
ajustements au milieu d’hébergement
réorganisation de sa vie personnelle

54
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les similitude dans la prise de décision est la prise de décision lente.

A

faux

55
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les similitude dans la prise de décision est le placement devient l’unique solution

A

vrai

56
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les similitude dans la prise de décision est le manque de soutien de l’entourage - famille et professionnels.

A

vrai

57
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les similitude dans la prise de décision est la bureaucratie du système d’évaluation.

A

vrai

58
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les différences dans la prise de décision est notamment chez les épouse, la prise de décision est rapide, comparer chez les filles la prise de décision est lente.

A

faux , c’est l’inverse

59
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les différences dans la prise de décision est chez les filles, l’épuisement face à la lourdeur de la tâche.

A

faux, c’est chez les épouses.

60
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les différence dans la prise de décision est chez les filles, la peur pour la sécurité de la mère.

A

vrai

61
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))
Les différences dans la prise de décision est chez les épouses la révolte à l’égard du système d’évaluation qui décide de relogement.

A

faux, chez les filles.

62
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitude dans l’attente ou quête de ressources est la pression auprès des travailleurs sociaux pour que le relogement soit fait rapidement.

A

vrai

63
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitude dans l’attente ou quête de ressources est la recherche de ressources temporaires d’aide à domicile.

A

vrai

64
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans l’attente ou quête de ressources est chez les filles, l’attente est courte car celle-ci est épuisée.

A

faux chez l’épouse

65
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différence dans l’attente ou quête de ressources est chez les filles, l’attente est longue, la quête d’épuisante de ressources alternatives et privées en attendant l’hébergement définitif.

A

vrai

66
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans l’attente ou quête de ressources est pas de justification de placement chez les épouses.

A

faux chez les filles.

67
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans l’attente ou quête de ressources est chez les épouse, la justification du placement est la.

A

vrai

68
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitudes dans l’ajustement au milieu d’hébergement est la soulagement partiel du fardeau.

A

vrai

69
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitudes dans l’ajustement au milieu d’hébergement est la surveillance étroite des soins fournis au proche.

A

yep

70
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitudes dans l’ajustement au milieu d’hébergement est le désir d’activités stimulantes pour leur proche.

A

vrai

71
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans l’ajustement au milieu d’hébergement est chez les épouses il y a aucun changement financier.

A

faux, il y a un appauvrissement économique chez l’épouse, mais la fille aucune.

72
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans l’ajustement au milieu d’hébergement est chez les épouses, celles-ci sont globalement satisfaites des soins dispensés au conjoint par le personnel, l’importance de la propreté et de l’alimentation.

A

vrai

73
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans l’ajustement au milieu d’hébergement est chez les filles, celles-ci ont une déception face au personnel soignant et par l’environnement physique et social. Manque de communication avec le personnel, importance des soins esthétiques (coiffure, soins des pieds et habillement). Se sentent exclues des décisions.

A

vrai

74
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitudes dans la réorganisation de sa vie personnelle est la libération complète.

A

faux libération incomplète

75
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitudes dans la réorganisation de sa vie personnelle est le sentiment de responsabilité car proche toujours vivant.

A

vrai

76
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les similitudes dans la réorganisation de sa vie personnelle est le sentiment de culpabilité face à l’hébergement.

A

vrai

77
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans la réorganisation de sa vie personnelle est chez l’épouse la reconstruction d’une nouvelle vie sans la présence de leur conjoint.

A

yes

78
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

Les différences dans la réorganisation de sa vie personnelle est chez la fille la respire du cours normal de leur vie auprès de leur famille. MAIS préoccupation constante pour la mère.

A

vrai!

79
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

En conclusion pour les épouses :
- Relogement utilisé pour protéger leur mère, un lien qui répond mieux à ses besoins.
- Une expérience d’inquiétude et de frustration qui engendre un intense besoins de contrôle. Se sentent exclues des décisions.
- L’attente de l’hébergement et la période des ajustements au niveau milieu de vie sont les périodes qui les stressent le plus.

A

faux –> pour les filles

80
Q

Dans la comparaison du vécu des épouses et des filles lors du placement d’un proche en institution (Lavoie, Lapierre, Benoit (2008))

En conclusion pour les épouses :
- Relogement : une des étape de la longue détérioration de la santé de l’époux, la dernier sera la mort.
-Mettent l’emphase sur la longue période de prise de décision. Constamment besoin de la justifier tout au long de l’entretien.
-Le relogement est surtout une expérience de pertes : un deuil à faire.

A

OUI