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condition féminine 2 > lectures > Flashcards

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1
Q

BROWNMILLER, Susan. 1980 (1975). Le Viol. Montréal : Nouvelles éditions de poche, p.7-23.
1. Lequel de ces énoncés ne fait pas parti du «code parallèle inspirant l’opinion publique et les tribunaux» servant à rendre les victimes coupables décrit par Brownmiller ?

a) « Toutes les femmes doivent être prises de force (p.10). »
b) « Aucune femme ne peut être violée contre son gré (p.10). »
c) « Les fausses dénonciations représentent un problème de société (p.10)
d) « Même quand les femmes disent non, elles pensent oui (p.10) »
e) « Si vous ne pouvez y échapper, alors… relax and enjoy (p.10) ! »

A

c) « Les fausses dénonciations représentent un problème de société (p.10)

2
Q

DUMONT, Micheline, et Louise TOUPIN. 2003. La pensée féministe au Québec. Anthologie 1900-1985. Montréal : Éditions du remue-ménage, p. 550-554.
2. Qu’est-ce que les autrices décrivent comme une autre forme de « violence hypocrite et vicieuse (p.550) » fait dans les domaines professionnels essentiellement masculin ?

a) La recherche de preuves et de sperme dans le vagin
b) Le fait de remettre en question la parole des femmes dévoilant leur agression
c) La banalisation des scènes de viol ou de relation de domination dans les médias
d) Les professionnels cherchant à convaincre les femmes qu’elles avaient des désirs inconscients d’être violées.
e) a) et c)
f) c) et d)

A

a et c
a) La recherche de preuves et de sperme dans le vagin

c)La banalisation des scènes de viol ou de relation de domination dans les médias

3
Q

ATKINSON, ti-grace. 1975. Odyssée d’une amazone. Traduit de l’américain par Martha Carlisky. Paris :Des femmes, p. 29-39.
3. Lequel des arguments ne fait pas partie des arguments d’Atkinson pour justifier que l’instinct maternel serait inexistant, donc une construction des hommes pour garder les femmes soumises ?

a) La grossesse et l’accouchement déforment de manière permanente le corps de la femme, leur corps n’est donc pas fait pour ce processus. (p.30)
b) La maternité fait tripler le risque de mortalité de la femme lors des grossesses (p.31)
c) Il est injustifiable de dire que les femmes aiment avoir des enfants, ne serait-ce que par les cris lors des accouchements (p.32)
d) Comment dire qu’il s’agit d’un instinct puisque les deux tiers des femmes font des dépressions post-partum (p.33)
e) Aucune de ces réponses.

A

e) Aucune de ces réponses.

4
Q

FIRESTONE, Shulamith 1970. La dialectique du sexe : le dossier de la révolution féministe. Traduit de l’américain par Sylvia Gleadow. Paris : Stock, p. 187-198.

  1. Vrai ou faux , selon Firestone, la virilité et les performances sexuelles en viennent à se confondre avec la valeur sociale et à ce que les hommes ne voient que les femmes comme des être dont il faut vaincre la résistance (p.189)?
    R : Vrai
A

vrai

5
Q

FIRESTONE, Shulamith 1970. La dialectique du sexe : le dossier de la révolution féministe. Traduit de l’américain par Sylvia Gleadow. Paris : Stock, p. 187-198.

  1. Lequel de ces énoncés reflète les manifestations du sentimentalisme, outil culturel utilisé par les hommes pour maintenir les femmes dans l’ignorance de leur condition ?
    a) L’érotisme
    b) Le mythe de la personnification du sexe
    c) L’idéal esthétique
    d) Toutes ces réponses
A

Toutes ces réponses:

a) L’érotisme
b) Le mythe de la personnification du sexe
cL’idéal esthétique

6
Q

CALIFIA, Pat. 2008. « Féminisme et sadomasochisme ». Sexe et utopie. Traduit de l’américain par Patrick Ythier. Paris : La Musardine, coll. l’attrape-corps, p. 39-56.
6. Quel énoncé ne fait pas partie des arguments déployés par Califia pour justifier le BDSM comme des pratiques sexuelles compatibles avec le féminisme ?

a) Les relations SM sont générallement égalitaires et basées sur le dialogue, sur des mises en scène de drames sexuels, mais ou le consentement en est la clé (p.44-45).
b) La dynamique entre un top et un bottom n’est pas comparable à celle du dynamique homme femme, ou d’une personne noire et d’une blanche ou entre bourgeois et ouvriers (p.47)
c) Les personnes pratiquant le S/M sont souvent elles-mêmes opprimées dans plusieurs domaines de leur vie (p.48).
d) Lorsqu’une femme est top avec un homme, cela constitue un moyen de renverser les rôles de domination sociétales (p.48).
e) Le S/M permet une liberté de changer de rôle au gré de ses pratiquants, contrairement au genre, à la race et au statut socio-économique (p.47).

A

d) Lorsqu’une femme est top avec un homme, cela constitue un moyen de renverser les rôles de domination sociétales (p.48).

7
Q

STEINEM, Gloria. 1983. « Érotisme et pornographie : une différence claire ». Lederer, Laura. L’envers de la nuit : Les femmes contre la pornographie. Traduit par Monique Audy. Montréal : Les Éditions du remue-ménage, 35-40.

  1. Vrai ou faux, selon Steinem il est essentiel de différencier l’érotisme et la pornographie, qui est une forme de violence et domination de l’homme sur la femme (p.37) ?
    R : Vrai
A

vrai

8
Q
  1. Lequel des énoncés résume mieux la thèse qu’essaie d’émettre Steinem dans son texte (p.38)?
    a) L’érotisme parle de sexualité tandis que la pornographie est basée sur les rapports de pouvoir qui font de la sexualité une arme.
    b) La pornographie pourrait théoriquement utilisée comme moyen de libération de la sexualité de la femme, mais le marché actuel rend cela impossible.
    c) Il est imminent que le corps de la femme cesse d’être sexualisé pour qu’elle se libère du rapport de domination.
    d) Aucune de ces réponses.
A

a) L’érotisme parle de sexualité tandis que la pornographie est basée sur les rapports de pouvoir qui font de la sexualité une arme.

9
Q

OGIEN, Ruwen. 2003. Penser la pornographie. Paris : Presses universitaires de France, coll. Questions d’éthique, p. 1-22.

  1. Parmi les énoncés suivants, lesquels (3) font partie des libertés qui pourraient se voir attaquées par la censure de la pornographie selon l’auteur (p.16)?
    a) la liberté des choix sexuels
    b) la liberté d’expression artistique
    c) les droits des personnes racisées
    d) les droits des femmes
    e) les droits des minorités sexuelles
A

b) la liberté d’expression artistique
d) les droits des femmes
e) les droits des minorités sexuelles

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Q
  1. Quel énoncé ne fait pas partie de la « panique morale » décrite par Ogien se manifestant même jusque dans les raisonnements des philosophes (p.22)?
    a) Baser son raisonnement en fonction de ses valeurs au lieu de déterminer ses conceptions du bien et du mal en fonction d’un raisonnement.
    b) Le refus d’aller au bout de ses raisonnements moraux lorsque la conclusion va à l’encontre de de nos valeurs et préjugés.
    c) Le refus de payer un coût intellectuel en s’engageant dans la défense de certains droits.
    d) La tendance d’envisager toujours le pire de la personne, bien qu’on la juge autonome.
    e) Ne pas tenir compte du point de vue des personnes dont on défend supposément les intérêts.
A

a) Baser son raisonnement en fonction de ses valeurs au lieu de déterminer ses conceptions du bien et du mal en fonction d’un raisonnement.

11
Q

Source : Brownmiller, Susan. 1976. Le Viol (Traduction de Against Our Will : Men, Women and Rape). Montréal : Nouvelles éditions de poche.

Question 1 : Qu’est-ce qui fait en sorte que le mâle humain peut violer, contrairement aux animaux ?
A. Le cycle mensruel des femmes
B. L’absence de saison d’accouplement déterminée biologiquement (page 22)
C. Sa virilité.

A

B. L’absence de saison d’accouplement déterminée biologiquement (page 22)

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Q

Source : Atkinson, Ti-Grace. 1968. Odyssée d’une Amazone. Paris : Éditions des femmes.

Question 2 : Vrai ou faux ; l’orgasme vaginal est une théorie qui fut inventée par un homme.
A. Vrai : c’est Freud qui est derrière l’orgasme vaginal. (p.29)
B. Faux.

A

A. Vrai : c’est Freud qui est derrière l’orgasme vaginal. (p.29)

13
Q

Question 3 : Les féministes de quel mouvement ont-elles choisi de s’attaquer à l’orgasme vaginal ?
A. Les féministes marxistes
B. Les féministes libérales
C. Les féministes radicales (p.30)

A

C. Les féministes radicales (p.30)

14
Q

Source : Firestone, Shulamith. 1970. La dialectique du sexe dans Le dossier de la Révolution féministe. Éditions Stock.

Question 4 : Quelles sont les trois composantes du sentiment romantique ?
A. L’érotisme, le mythe de la personnalisation et l’esthétique idéal.
B. L’érotisme, l’amour propre et l’esthétique idéal.
C. L’amour propre, le mythe de la personnalisation et l’esthétique idéal.

A

A. L’érotisme, le mythe de la personnalisation et l’esthétique idéal.

15
Q

Source : Califa, Pat. 1980. Féminisme et sadomasochisme, dans Sexe et utopie. Paris : La Musardine.

Question 5 : Pourquoi certaines féministes considèrent le sadomasochisme comme de la violence ?
A. À cause de l’histoire
B. À cause de leurs propres valeurs (p.40)
C. À cause de leurs phobies

A

B. À cause de leurs propres valeurs (p.40)

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Q

Question 6 : Vrai ou faux ; Le sexe sadomasochiste est une activité consensuelle.
A. Faux
B. Vrai : les rôles sont polarisés et les sensations sont intenses. (p.44)

A

B. Vrai : les rôles sont polarisés et les sensations sont intenses. (p.44)

17
Q

Butler, Judith et Gayle S. Rubin. 2001. Entretien : marché au sexe et Imitiation et insubordinations du genre dans Marché au sexe. Paris : Vilo.

Question 7 : Pourquoi rendre le lesbianisme visible est un impératif politique ?
A. Parce que les hommes gays ont déjà cette visibilité.
B. Parce que toutes es lesbiennes sont engagées politiquement.
C. Parce que le lesbianisme est exclu du discours politique, ou encore inclus comme un mensonge (153)

A

C. Parce que le lesbianisme est exclu du discours politique, ou encore inclus comme un mensonge (153)

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Q

Source : Andro, Armelle, Nathalie Bajos et Michèle Ferrand. La sexualité à l’épreuve de l’égalité, dans Enquête sur la sexualité en France. Paris : La Découverte.

Question 8 : Qu’est-ce qui a causé «l’éclatement de la sphère privée et la reconstitution d’une sphère spécifique, celle de la sexualité» ?
A. Les luttes sociales des années 1970 ayant aboutit à la reconnaissance du droit des femmes à contrôler leur fécondité. (p.546)
B. Le féminisme marxiste et les luttes qui en découlent.
C. La découverte de la pilule contraceptive.

A

A. Les luttes sociales des années 1970 ayant aboutit à la reconnaissance du droit des femmes à contrôler leur fécondité. (p.546)

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Q

Source : Steinem, Gloria. 1983. Érotisme et pornographie : une différence claire et nette dans L’envers de la nuit, les femmes contre la pornographie. Montréal : les éditions du remue-ménage.

Question 9 : Pourquoi érotisme et pornographie sont difficiles à distinguer ?
A. Les deux impliquent une sexualité sans but de conception (p.36)
B. Les deux impliquent une sexualité entre deux partenaires qui ne se connaissent pas.
C. Les deux n’impliquent pas de sexualité.

A

A. Les deux impliquent une sexualité sans but de conception (p.36)

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Q

Source : Ogien, Ruwen. 2003. Penser la pornographie. Paris : Presses universitaires de France.

Question 10 : Quels sont les deux groupes pornophobes que l’auteur mentionne dans son texte ?
A. Les féministes pornophobes et les marxistes pornophobes
B. Les marxistes pornophobes et les conservateurs pornophobes
C. Les libéraux pornophobes et les conservateurs pornophobes (p.18)
D. Les libéraux pornophobes et les féministes pornophobes.

A

C. Les libéraux pornophobes et les conservateurs pornophobes (p.18)