Les Figures de Styles 2 Flashcards
Exemples (20 cards)
“Ciel offensé, lois violées, filles séduites, familles
déshonorées, parents partagés, femmes mises à mal,
maris poussés à bout, tout le monde est content”
Accumulation / énumération
“Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. Elle
allait à grands pas moissonnant et fauchant, Noir
squelette laissant passer le crépuscule”
Allégorie
“Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine, / Plus
mon Loire gaulois que le Tibre latin, / Plus mon petit Liré
que le mont Palatin, / Et plus que l’air marin la douceur
angevine”
Anaphore
“Hé bonjour, monsieur du corbeau. / Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !”
Antiphrase
“Il en avait, mené d’autres, des dociles et des rétives, des courageuses et des fainéantes”
Antithèse
“Une place pour les rêves / Mais les rêves à leur place”
Chiasme
“Et la mort entre en moi comme dans un moulin”
Cliché
“Il pleure dans mon cœur / Comme il pleut sur la ville ; /
Quelle est cette langueur / Qui pénètre mon cœur?”
Comparaison
“JACQUES, encore extasié : Cha-a-armant”
Epenthèse
“On ne meurt qu’une fois et c’est pour si longtemps !”
Euphémisme
“Âgé de cent mille ans, j’aurais encore la force de
t’attendre (…)”
Hyperbole
“Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte, […]”
Litote
“J’ai embrassé l’aube d’été”
Métaphore
“DON DIEGUE : Rodrigue as-tu du cœur ?” (Pour évoquer
son courage)
Métonymie
“Sublime ignominie”
Oxymore
“Trace l’inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira
Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Pérec”
–> à l’envers: “ce repentir, cet écrit me perturbe le lucre : Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l’écart”
Palindrome
“J’aimerais que la mer qui voyage sans cesse m’écrive
une lettre de sel très blanc avec juste une ombre de
mélancolie”
Personnification
“Mme Smith Mon Dieu, le pauvre, quand est-ce qu’il est
mort ?
M. Smith : Pourquoi prends-tu cet air étonné ? Tu le
savais bien. Il est mort il y a deux ans. Tu te rappelles, on
a été à son enterrement, il y a un an et demi”
Paradoxe
“Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, / je sens
que cela ne se peut exprimer qu’en répondant : / Parce
que c’était lui ; parce que c’était moi”
Parallélisme
“Mais enfin je l’ai vu, vu de mes yeux, vous dis-je”
Pléonasme