midterm Flashcards
Trois méthodes de recherche post-positivistes
- Étude de sondage
- Étude d’analyse de contenu
(documents/textes) - Étude d’observation
Étude de sondage
Demander aux participants à la recherche de réfléchir sur leur
propre comportement, attitude, perception ou le
comportement, attitude, perception des autres personnes
en utilisant un sondage.
Types de sondage
- face-à-face
- par la poste
- par téléphone
- par courriel/Internet (ex. Google Forms)
Avantages des études de sondage
– compréhension des réflexions des participants à la recherche.
– possibilité d’étudier un grand nombre de personnes.
Désavantages des études de sondage
– saturation des sondages dans notre vie moderne.
– limitations d’expressions; difficile d’étudier un phénomène en
profondeur
- Étude d’analyse de contenu
Analyser des variables (de communication) dans des
textes/documents existants :
– Documents visuels (affiches publicitaires, films, etc.).
– Documents écrits (journaux, livres, articles, etc.).
– Documents sonores (enregistrements radio, etc.).
Avantages
des études d’analyse de contenu
– des archives sont « non réactives » : Puisque ces archives ont été créées indépendamment de l’étude, elles n’ont pas été influencées par la présence du chercheur ou par les objectifs de la recherche, ce qui évite tout biais de réactivité
– facile de conduire une étude longitudinale : En analysant des documents produits à différentes époques, le chercheur peut identifier l’évolution des attitudes, des valeurs, ou des représentations culturelles au fil du temps
Désavantages
des études d’analyse de contenu
Désavantages :
– parfois accès difficile aux documents.
– prend souvent beaucoup de temps (et d’énergie !).
– souvent problèmes de validité et de fidélité.
Étude d’observation
Observer le comportement de communication (normalement
des variables de communication spécifiques) dans les
interactions des participants à la recherche.
But de l’échantillonnage
But idéal : sélectionner un petit
groupe de personnes
représentatif d’une grande
population, ce qui nous permet
de généraliser, avec une certaine
précision, les résultats
de ce petit groupe par rapport
à notre concept clé (ou nos
concepts clés).
Quelle est la population (N) de notre étude ?
Population (N) : « Groupe de personnes individuelles avec des
caractéristiques spécifiques dont on tire un échantillon pour la
mesure statistique » (Brummans, 2020).
Ex. :
- population des étudiant-e-s de baccalauréat aux États-Unis.
- population des moines bouddhistes au Ladakh, Inde.
Définition d’un échantillon (n)
Échantillon (n) : « Sous-ensemble d’une population, duquel on
collecte des données afin de faire des généralisations sur la
population entière » (Richards, 1998, p. 35, traduction libre).
Comment déterminer
la taille de l’échantillon ?
- La taille de l’échantillon dépend de la complexité de la
population. La plupart de temps, au moins 200 à 600
personnes, dépendant de l’homogénéité de la population en
termes des caractéristiques centrales, la précision de notre
recherche, et nos ressources. - Le but idéal est de s’assurer que chaque personne de la
population a une chance égale d’être incluse dans
l’échantillon—mais souvent ce n’est pas possible d’atteindre
ce but dans la réalité de la vraie recherche…
Qu’est-ce que la « base
de l’échantillonnage » de notre étude ?
- La base de l’échantillonnage (« sampling frame ») : « la liste
utilisée pour tirer un échantillon » (Brummans, 2020).
Ex. : - une liste de classe.
- un annuaire du téléphone.
- une liste électorale.
Deux types d’échantillonnage
Probabiliste (aléatoire) : possible de déterminer la probabilité
qu’un-e participant-e à la recherche soit sélectionné-e dans l’échantillon—
dans ce cas
*il faudra avoir accès à une base de l’échantillonnage.
- Non probabiliste (non aléatoire) : impossible de déterminer la
probabilité qu’un-e participant-e à la recherche soit sélectionnée dans l’échantillon—dans ce cas
*on n’a pas d’accès à une base de
l’échantillonnage.
Types d’échantillonnage non probabiliste
- L’échantillonnage de commodité/accidentel (n’importe qui dans la
population cible) → nous ne pouvons pas savoir si notre échantillon est
représentatif. - L’échantillonnage de volontaires → nous ne pouvons pas savoir si notre
échantillon est représentatif. - L’échantillonnage par quotas (des personnes avec quelques caractéristiques
similaires) → nous ne pouvons pas savoir si notre échantillon est
représentatif. - L’échantillonnage en boule de neige (partir d’un échantillon restreint de
personnes, auxquelles on adjoint des personnes avec lesquelles les
premières se déclarent en relation, et ainsi de suite jusqu’à ce que l’échantillon soit complet) → n
Qu’est-ce que la problématisation et pourquoi est-elle essentielle dans la méthode scientifique ?
La problématisation consiste à définir le problème ou la question de recherche qui justifie l’étude. Elle est essentielle car elle clarifie l’objectif de la recherche et oriente la démarche scientifique.
Comment un chercheur post-positiviste détermine-t-il le problème ou la question de son étude ?
Un chercheur post-positiviste identifie un problème en observant un phénomène empirique et en consultant la littérature scientifique pour cerner une question précise et mesurable.
Pourquoi est-il important d’introduire un concept clé lors de la phase de problématisation ?
Introduire un concept clé aide à focaliser la recherche sur un aspect spécifique du phénomène étudié, facilitant ainsi sa compréhension et son analyse.
écart de connaissance
absence de données scientifiques sur un sujet d’intérêt, portant sur un groupe particulier, dans un contexte particulier, de vérfication
d’une théorie, contradiction des conclusions
recherche qualitative
Généraliser, viser le grand nombre, utile pour la précision et pour décrire l’ensemble de la société (même si le sujet est précis). Méthode : sondage, expérimentation, analyse de contenu. Perspective de recherche : réponses plus ou moins définies à l’avance, objectif, établir une relation statistique entre des variables. Résultats : données chiffrées, anonymes, visant l’objectivité, mettant en évidence la relation entre les variables avec un échantillon représentatif.
enjeux éthiques
Le consentement, la confidentialité, les effets néfastes / principes-clés : l’innocuité (ne pas causer de tort, veiller à ce que les participants quittent la participation dans le même état qu’auparavant), le service (faire du bien, orienter la recherche vers le bien commun), le développement (encourager l’autodétermination, veiller à ne pas influencer les réponses), la justice (traiter les individus de manière équitable).
Hypothèse
En recherche quantitative, influencée par le raisonnement déductif, avec une perspective post-positiviste. Variables : indépendante et dépendante. Deux issues possibles : hypothèse infirmée ou confirmée. Objectif : comprendre la relation entre les variables indépendante et dépendante, en visant la généralisation et la prédiction.
Méthodes
Entrevues
Observation
Groupe de discussion