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Introduction à la communication > Module 5 - Acquisition du langage et compétences communicationnelles > Flashcards

Module 5 - Acquisition du langage et compétences communicationnelles Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la sémiologie?

A

C’est la discipline scientifique qui étudie les systèmes de communication.

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Q

Qu’est-ce que la sémiotique?

A

C’est un terme utilisé pour désigner l’étude des signes.

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3
Q

Selon Saussure, quelle est la meilleure façon d’étudier la nature de la langue?

A

C’est d’étudier ses caractéristiques communes avec les autres systèmes de signes.

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4
Q

Selon Saussure, le sémiologie devrait avoir quel objet d’étude?

A

« la vie des signes au sein de la vie sociale. »

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5
Q

Quels sont les 2 types de sémiologie et quel est l’objectif principal de chacun?

A
  • Sémiologie de la communication : l’objectif général est que la communication doit être au centre (la langue est fondamentalement un instrument de communication).
  • Sémiologie de la signification : l’objectif général est que la sémiologie devient une partie de la linguistique en raison du fait que les objets, les images ou les comportements ne peuvent jamais signifier de façon autonome, sans l’utilisation du langage.
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6
Q

Le signe linguistique se définit par son caractère ___, ___ et ___.

A

arbitraire, conventionnel et linéaire.

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7
Q

Pourquoi un signe a-t-il un caractère arbitraire?

A

Parce qu’il n’y a pas de relation « naturelle » entre le mot (le signifiant) et la réalité physique associée (le signifié).

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8
Q

Quelle est l’exception à la règle du signe arbitraire?

A

Les onomatopées.

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9
Q

Pourquoi un signe a-t-il un caractère conventionnel?

A

Parce que les membres d’une même communauté doivent s’entendre sur les mêmes conventions ou signes pour bien se comprendre.

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10
Q

Pourquoi un signe a-t-il un caractère linéaire?

A

Parce qu’il y a un ordre dans la prononciation d’un signe/mot.

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11
Q

Pourquoi dit-on que l’apprentissage d’une langue n’a pas de prédisposition génétique? (BAYLON & MIGNOT)

A

Parce que tout être humain est capable d’apprendre une langue (dès les premières dispositions linguistiques vers l’âge de 2 ans) avec la même facilité que n’importe quelle autre langue. Rien n’est déjà inné chez l’enfant quant à la langue maternelle de ce dernier. C’est le milieu et la société dans lesquels il vit qui décide de la langue qu’il apprendra.

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12
Q

La langue est un __1__, alors que le langage est une __2__ au cours du développement __3__, sous la dépendance du __4__. (BAYLON & MIGNOT)

A 
1 = état de connaissance atteint par un cerveau
2 = structuration acquise par tout cerveau humain
3 = embryologique
4 = code génétique
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13
Q

Que veut-on dire par « matérialisme saussurien »? (BAYLON & MIGNOT)

A

C’est que la langue a une réalité dans l’organisme humain.

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14
Q

Qu’est-ce qui est décrit par « la réunion ensembliste d’un certain nombre de connaissances pratiques, celles qu’ont ses usagers en tant qu’ils en sont usagers et mise à part la connaissance pratique qu’ils peuvent avoir d’autres »? (BAYLON & MIGNOT)

A

La langue.

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15
Q

Si la langue n’est plus directement quelque chose de concret, alors quelle est-elle? (BAYLON & MIGNOT)

A

La langue est une abstraction résultant d’une opération qui doit être menée à partir de données concrètes.

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16
Q

Qu’est-ce que la grammaire intériorisée de Chomsky? (BAYLON & MIGNOT)

A

Un mécanisme psychologique et l’ensemble des connaissances dont un cerveau humain doit disposer pour parler et comprendre.

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17
Q

Quelles sont les deux sous-catégories de grammaire intériorisée de Chomsky? (BAYLON & MIGNOT)

A
  • grammaire universelle: faculté de langage, possédée dès la naissance, d’origine génétique, donc partagée par tous les êtres humains.
  • grammaire particulière: apprise de l’entourage et variant d’une langue à une autre.
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18
Q

Qu’est-ce qui est aussi appelé « système de signes »? (BAYLON & MIGNOT)

A

La langue.

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19
Q

Quelle relation trouve-t-on dans la description d’un signe? (BAYLON & MIGNOT)

A

La relation entre le signifiant et le signifié.

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20
Q

Que voulons-nous dire par « signes » dans « système de signes »? (BAYLON & MIGNOT)

A

Pas la totalité des signes potentiels, mais ceux qui peuvent être mémorisés par les usagers et qui sont forcément en nombre fini.

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21
Q

Quels sont 6 exemples de signes dans une phrase? (BAYLON & MIGNOT)

A
  • les mots
  • les constituants des mots
  • les procédés de formation des mots
  • à quoi s’ajoutent des formules toutes faites
  • des schémas syntaxiques
  • des procédures de combinaison
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22
Q

Quels sont les 2 types de rapports de système de la langue? (BAYLON & MIGNOT)

A
  • Les rapports de combinaison (rapports syntagmatiques)

- Les rapports de sélection (rapports associatifs ou paradigmatiques)

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23
Q

Rapports syntagmatiques ou paradigmatiques? Quand on émet un signe, on le puise dans le stock de signes que comporte un système. (BAYLON & MIGNOT)

A

Rapports paradigmatiques.

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24
Q

Rapports syntagmatiques ou paradigmatiques? Ce sont les rapports qui permettent de constituer des énoncés complexes, de combinaisons de signes. (BAYLON & MIGNOT)

A

Rapports syntagmatiques.

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25
Q

Rapports syntagmatiques ou paradigmatiques? Un mot a souvent plusieurs formes, avec des sens partiellement différents. (BAYLON & MIGNOT)

A

Rapports paradigmatiques.

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26
Q

Rapports syntagmatiques ou paradigmatiques? Le choix d’un signe sur un autre dépend du sens différent qu’un a de l’autre. (BAYLON & MIGNOT)

A

Rapports paradigmatiques.

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27
Q

Rapports syntagmatiques ou paradigmatiques? Les combinaisons de signes ne se font pas au hasard. Elles obéissent à des règles qui sont particulièrement contraignantes à l’intérieur de l’unité complexe appelée phrase. (BAYLON & MIGNOT)

A

Rapports syntagmatiques.

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28
Q

Rapports syntagmatiques ou paradigmatiques? Les mots ont des aptitudes combinatoires qu’il faut respecter. (BAYLON & MIGNOT)

A

Rapports syntagmatiques.

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29
Q

Comment appelle-t-on l’organisation de systèmes linguistiques? (BAYLON & MIGNOT)

A

Structure.

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30
Q

Les signaux qui, avec le ___, constituent les ___ sont eux-mêmes analysables comme des suites d’éléments ___, qu’on nomme ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

sens, signes, récurrents, phonèmes.

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31
Q

Comment appelle-t-on les sons prononcés par les communicateurs qui sont en nombre fini dans chaque langue? (BAYLON & MIGNOT)

A

Les phonèmes.

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32
Q

À l’écrit, les ___ sont remplacés, au moins dans les langues occidentales, par des ___, elles aussi d’effectif ___. Ce qui signifie que la ___ est parfois loin d’être parfaite entre ___ et ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

phonèmes, lettres, limité, correspondance, phonèmes, lettres.

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33
Q

Quelle est l’omnipotence du langage? (BAYLON & MIGNOT)

A

Pour de nouvelles significations, les usagers ont toujours le moyen de produire des messages nouveaux.

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34
Q

Qu’est-ce que la « double articulation »? (BAYLON & MIGNOT)

A

Les énoncés sont « articulés » en signes qui entretiennent entre eux des rapports syntaxiques, mais à leur tour les signaux entrant dans la constitution des signes s’articulent en phonèmes (secondairement en lettres) qui entretiennent entre eux des rapports syntagmatiques de successivité.

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35
Q

Comment appelle-t-on les choses que les autres peuvent percevoir, comme des sons, des formes, des gestes, etc? (ROSS)

A

Des signes.

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36
Q

Quels genres de signes sont les mots? (ROSS)

A

Des signes linguistiques.

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37
Q

Lorsqu’on entre en ___ avec une autre personne en communicant, on l’___ et on ___. On fait connaître à cette personne une ___ qu’on éprouve et un ___ qu’on a. On peut même ___ sur elle et l’amener à satisfaire notre désir. (ROSS)

A

relation, informe, agit, sensation, désir, agir.

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38
Q

Que peut-on utiliser autre que les signes directs et clairs pour exprimer un sentiment, un besoin, etc? Et ça, peut importe la langue de la personne à qui on veut communiquer? (ROSS)

A

Des indices.

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39
Q

Qu’est-ce qui nous permet de communiquer, d’informer et d’être informés, d’influencer et d’être influencés? (ROSS)

A

Les signes.

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40
Q

Est-ce que les signes linguistiques sont les seuls signes qui existent pour communiquer? (ROSS)

A

Non.

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41
Q

Quelle combinaison retrouve-t-on dans une communication concrète? (ROSS)

A

Certains types de signes (par exemple, les signes linguistiques) sont très souvent accompagnés d’autre types de signes qui les complètent et parfois les contredisent.

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42
Q

Les signes et les ___ que l’on produit en les assemblant peuvent signifier toutes sortes de choses différentes selon le ___ (physique, social, etc.) de la ___. (ROSS)

A

messages, contexte, communication.

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43
Q

Pourquoi dit-on qu’un signe a une réalité physique, concrète? (ROSS)

A

Parce que c’est d’abord quelque chose qu’on peut percevoir: quelque chose qu’on peut voir, entendre, toucher, sentir ou goûter.

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44
Q

6 choses qui peuvent devenir des signes: formes, couleurs, sons, rythmes, pressions, saveurs. Quels sont 7 autres choses qui peuvent devenir des signes? (ROSS)

A
  • mouvements
  • positions
  • bruits
  • textures
  • températures
  • résistances
  • odeurs
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45
Q

Lorsqu’on parle de réalité physique, qu’est-ce qui est important de s’assurer? Donner un exemple. (ROSS)

A

Il est important de s’assurer que cette réalité physique est perceptible. Par exemple, les sourds ne peuvent percevoir la réalité physique de sons. Donc, pour les sourds, les sons ne sont pas des signes.

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46
Q

Nommer 4 instruments qui prolongent la vue (ainsi améliorer la perception des signes visuels). (ROSS)

A
  • lunettes
  • microscope
  • télescope
  • télévision
47
Q

Pour constituer un signe, une réalité physique ___ doit ___ à autre chose qu’à ___ pour celui qui la ___. Elle doit indiquer l’existence d’autre chose ou ___ autre chose. (ROSS)

A

perceptible, renvoyer, elle-même, perçoit, représenter.

48
Q

Comment un gros nuage noir peut-il passer de « gros nuage noir » à « signe de pluie »? (ROSS)

A

Un gros nuage noir deviendra un signe de pluie s’il est vu par quelqu’un qui associe « gros-nuage-noir » à « pluie-qui-s’en-vient ». Dans ce cas, le nuage apporte à celui qui le perçoit une information sur autre chose que la chose elle-même, et qui n’est pas directement perceptible (la pluie n’existe pas encore, ici).

49
Q

Quelle est une définition très générale et très classique du signe? (ROSS)

A

Une réalité physique qui représente autre chose qu’elle-même et qui peut s’y substituer.

50
Q

La variété des signes est finie ou infinie? (ROSS)

A

Infinie.

51
Q

Comment divisons-nous les signes en 5 types? Et quels sont ces 5 types? (ROSS)

A

On divise les signes en 5 types différents selon le sens par lequel on les perçoit.

  • signes auditifs
  • signes visuels
  • signes gustatifs
  • signes tactiles
  • signes olfactifs
52
Q

Sur quoi repose une des classifications les plus fondamentales des signes? (ROSS)

A

Elle repose sur la nature du lien entre le signe et la réalité à laquelle il renvoie. Plus précisément, la nature du lien entre le signe et son référent (ce à quoi il réfère).

53
Q

Quelle est la différence entre un signe naturel et un signe conventionnel (ou artificiel)? (ROSS)

A

Les signes naturels ont une association physique nécessaire entre le signe et le référent. Les signes conventionnels ou artificiels sont ceux qui ont été inventés par l’homme, adaptés pour chaque société ou culture.

54
Q

Quels sont les sous-catégories des signes conventionnels/artificiels? Donner un exemple de chaque. (ROSS)

A

Les signes conventionnels motivés: ont un lien direct avec ce qu’ils représentent. Ex: la tête de mort est signe du danger. (Danger = un peu lié à la mort…)
Les signes conventionnels immotivés: n’ont pas de représentation claire et directe avec ce qu’ils représentent. Ex: la canne blanche comme signe de cécité. (La canne blanche n’amène pas vers la cécité…)

55
Q

Les signes ___ sont liés à ce qu’ils représentent par une association ___ nécessaire, et c’est l’___ qui nous permet de les « lire ». (ROSS)

A

naturels, physique, expérience.

56
Q

Les signes ___ reposent sur une ___, et c’est l’___ qui nous permet de les « lire ». (ROSS)

A

artificiels, convention, apprentissage.

57
Q

Quel est le fondement du signe naturel, ainsi que l’origine de la valeur du signe naturel et le mode de « lecture » de ce signe? (ROSS)

A

Fondement : corrélation empirique entre A et B.
Origine de la valeur : expérience.
Mode de lecture : reconnaissance.

58
Q

Quel est le fondement du signe artificiel, ainsi que l’origine de la valeur du signe artificiel et le mode de « lecture » de ce signe? (ROSS)

A

Fondement : corrélation instituée entre A et B.
Origine de la valeur : apprentissage.
Mode de lecture : décodage.

59
Q

Pourquoi les spécialistes du signe trouvent-ils que la définition du signe comme étant d’un côté le signe (A) et de l’autre la réalité qu’il représente (B) trop simple? (ROSS)

A

Parce que, selon eux, même si le signe (A) est toujours quelque chose de perceptible (ayant donc une existence physique actuelle), tel n’est pas le cas de la réalité à laquelle il renvoie (B). Les signes peuvent désigner des choses concrètes (chat, soleil, voiture) aussi bien que des choses abstraites (bonté, équivalence), des choses futures, passées, présentes, virtuelles ou irréelles aussi bien que réelles.

60
Q

Le signe renvoie non pas à une ___ mais à une ___ ___. (ROSS)

A

réalité, image mentale.

61
Q

Le signal est le signe ___ et le symbole est le signe ___. (ROSS)

A

naturel, artificiel.

62
Q

L’homme vit non pas dans un univers de choses et de faits, mais bien dans un monde de ___. Tout pour lui est ___, c’est-à-dire que tout est ___ par son univers ___, par sa ___. (ROSS)

A

symboles, symbole, médiatisé, symbolique, culture.

63
Q

Le signal des non-spécialistes est appelé ___ par les spécialistes du signe, ce qui équivaut aux signes ___. (ROSS)

A

indice, naturels.

64
Q

Le symbole des non-spécialistes est appelé ___ par les spécialistes du signe, ce qui équivaut aux signes ___. (ROSS)

A

signal, artificiels.

65
Q

Les signes d’un système renvoient les uns aux autres, et tirent leur ___ de signe du fait de leur ___ à d’autres signes. (ROSS)

A

valeur, opposabilité.

66
Q

Que veut dire Shannon par « incertitude »? (ROSS)

A

Il y a une équivalence entre incertitude et information. La quantité d’information qu’on obtient lorsqu’un événement se produit est égale à la quantité d’incertitude qui était associée auparavant à l’événement. Pour avoir de l’information sur quelque chose, il doit y avoir un doute équivalent à quelque part.

67
Q

L’incertitude (Shannon) dépend de 2 facteurs. Quels sont-ils et que veulent-ils dire? (ROSS)

A
  • Le nombre d’événements possibles : plus ils sont nombreux, plus l’incertitude quant à celui qui va se produire est grande.
  • La probabilité d’occurrence de chacun des événements : l’incertitude est à son maximum lorsqu’ils sont tous également probables.
68
Q

À quoi servent les codes de communication? (ROSS)

A

Pour fabriquer ou comprendre des messages.

69
Q

Les langues ___, ou codes ___ (le français, l’anglais, le chinois, etc.) comptent parmi les codes de communication les plus développés. Si on parle le français, on dira que cette langue est un ___ qui comprend un répertoire de ___ (dictionnaire, lexique, vocabulaire, etc.) et un ensemble de ___ (syntaxe, grammaire, morphologie) qu’il faut ___ pour pouvoir fabriquer des messages ___. (ROSS)

A

naturelles, linguistiques, code, mots, règles, respecter, significatifs.

70
Q

Quelles deux principales composantes les codes de communication autres que les codes linguistiques (les langues) ont-ils? (ROSS)

A
  • Un stock ou un répertoire de signes

- Des règles d’agencement de ces signes.

71
Q

Quel rôle jouent les règles d’Agencement des signes du code de la route, par exemple? (ROSS)

A

Elles interdisent la combinaison de signes contradictoires (« tourner à droite » ne peut pas être agencé avec « interdiction de tourner à droite »).

72
Q

Dans la communication, nous émettons et recevons des ___ (et pas seulement des informations), et il faut pour cela avoir recours à des ___ de communication. C’est pourquoi on dit qu’on ___ des messages et qu’on les ___. (ROSS)

A

messages, codes, encode, décode.

73
Q

Les signes impliquent leur ___, et l’existence de ___ de signes (comme l’information implique l’___). (ROSS)

A

opposabilité, systèmes, incertitude.

74
Q

La ___ requiert la connaissance de ___. (ROSS)

A

communication, codes.

75
Q

Les codes ___ (ou ___) sont des ensembles plus ou moins contraignants, plus ou moins formalisés et plus ou moins ouverts de ___ et de ___ de comportement. Leur principale fonction est de ___ la vie en ___. (ROSS)

A

sociaux, socioculturels, règles, normes, régir, société.

76
Q

Les codes de ___ sont des répertoires de ___ associés à des règles d’___ de ces ___ pour produire des messages ___. Leur principale fonction est de permettre la ___, au sens d’échange de ___. (ROSS)

A

communication, signes, agencement, signes, significatifs, communication, messages.

77
Q

Dans la communication interpersonnelle, on serait alternativement ___ et ___, puisqu’on est alternativement ___ et ___ de messages. (ROSS)

A

actif, passif, émetteur, récepteur.

78
Q

Dans la communication de ___, les messages circulent à sens unique, le ___ serait constamment cantonné dans un rôle ___. (ROSS)

A

masse, récepteur, passif.

79
Q

Dans la communication de ___, le récepteur contribue de façon ___ au processus de communication. Il ne fait que ___ les ___. (ROSS)

A

masse, limitée, sélectionner, messages.

80
Q

La réception de messages est une activité fort ___. (ROSS)

A

complexe

81
Q

Une fois qu’il a perçu des sons (ou d’autres ___), le ___ doit procéder à leur ___. (ROSS)

A

signifiants, récepteur, décodage.

82
Q

Le ___ est une opération complexe qui comporte de multiples aspects. (ROSS)

A

décodage

83
Q

Quels sont les 3 facteurs qui compliquent l’opération de décodage des messages? (ROSS)

A
  • La variabilité concrète des énoncés linguistiques.
  • La polysémie des signes linguistiques.
  • L’existence de messages parallèles aux messages linguistiques.
84
Q

Qu’est-ce que la « variabilité des énoncés linguistiques »? (ROSS)

A

Chaque locuteur a sa façon personnelle d’utiliser la langue. Il utilise une telle partie du vocabulaire au lieu d’une autre, une syntaxe au lieu d’une autre, un accent, etc.

85
Q

Qu’est-ce que la « polysémie des signes »? (ROSS)

A

Un signe (ou un mot) a différentes significations, dépendamment du contexte ou de sa place dans la chaîne linguistique.

86
Q

Qu’est-ce que « l’existence de messages parallèles »? (ROSS)

A

En parlant, nous n’encodons pas seulement des messages linguistiques, nous émettons aussi des messages non verbaux et des messages paralinguistiques.

87
Q

Le décodage d’un message nous permet d’en trouver sa ___ et que son interprétation consiste à lui attribuer un ___. (ROSS)

A

signification, sens.

88
Q

La signification est le message « ___ » alors que le ___ est ce qu’on fait avec le message, la façon dont on y réagit, dont on l’intègre dans sa vie et dans ses actions. (ROSS)

A

objectif, sens.

89
Q

Dans un processus de communication, le récepteur joue un rôle qui n’a rien de ___: il ___, ___ et ___. (ROSS)

A

passif, perçoit, décode, interprète.

90
Q

Les 3 activités que le récepteur fait sont en fonction du contexte ___. ___ et culturel de la ___. (ROSS)

A

physique, social, communication.

91
Q

L’___ communicationnel (et surtout linguistique) est rendu plus complexe par la ___ de la parole, la ___ et la ___ des signes, les ___ qui se superposent à la ___, l’existence simultanée de nombreux ___ et de nombreux ___, complémentaires ou ___. (ROSS)

A

échange, variabilité, polysémie, synonymie, connotations, dénotation, canaux, messages, contradictoires.

92
Q

Qu’est-ce que la « circularité de la communication »? (ROSS)

A

C’est l’alternance des participants au processus de la communication dans les rôles d’émetteur et de récepteur.

93
Q

Comment est la communication d’après Watzlawick et ses collègues de l’école de Palo Alto? (ROSS)

A

La communication est circulaire et connue : pour tout être humain, elle commence à la naissance et ne se termine qu’à la mort.

94
Q

Comment s’est élargie le champ de la communication de Shannon à Watzlawick? (ROSS)

A

Ça inclut tous les comportements humains, volontaires ou involontaires, conscients ou inconscients.

95
Q

Pour qu’il y ait une communication, il doit y avoir non seulement ___ mais ___ (égal ou non, symétrique ou non) d’information, ou au moins la possibilité d’un ___. (ROSS)

A

information, échange, échange.

96
Q

Qui voit la mode comme un système de signes, comme une façon intentionnelle ou non, d’entrer en relation avec les autres, de dire (ou de cacher) ce que nous sommes, de manifester nos appartenances sociales et culturelles, voire nos opinions, etc.? (ROSS)

A

Barthes.

97
Q

Selon qui est-ce que l’étude scientifique des signes se restreint-elle aux seuls seuls qui ont été créés pour servir de moyens de communication (c’est-à-dire aux codes de communication et non codes sociaux)? (ROSS)

A

Mounin.

98
Q

Selon Baylon et Mignot, en quoi consiste l’acte de communiquer? (BAYLON & MIGNOT)

A

Communiquer consiste à faire passer des informations sur ce que l’on a dans l’esprit.

99
Q

Dans le langage courant, le terme ___ désigne toute marque révélant ce qui est normalement ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

indice, dissimulé.

100
Q

Dans la communication, on peut désigner d’___ ce qui informe sur un état ___ qui, par nature, n’étant ni ___, ni accessible à aucun de nos autres ___, demeure ___, sauf dans la mesure où il « extériorise », où il se manifeste par ses conséquences ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

indice, psychologique, visible, sens, caché, perceptibles.

101
Q

Qu’est-ce que le signal? (BAYLON & MIGNOT)

A

Toute marque porteuse d’information, à condition qu’elle ait été délibérément produite par quelques-uns escomptant qu’elle sera comprise comme telle.

102
Q

Le signal est synonyme d’indice ___. Ainsi, les mots constituent des ___, grâce auxquels des informations sont ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

intentionnel, signaux, transmises.

103
Q

Naturellement, les signaux ont des formes ___. Les mots prennent une forme ___ ou une forme ___ et certains signaux peuvent changer de ___ au cours du processus de communication. C’est le cas du ___.(BAYLON & MIGNOT)

A

diverses, phonique, graphique, forme, téléphone.

104
Q

L’indice donne de l’information ___ et le signal en fournit ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

occasionnellement, par nature.

105
Q

Quel est la définition de Baylon et Mignot pour désigner un message? (BAYLON & MIGNOT)

A

C’est un signal, ou un ensemble de signaux, transmis au cours d’un acte de communication.

106
Q

Selon Baylon et Mignot, qu’est-ce qu’un énoncé? (BAYLON & MIGNOT)

A

C,est un message linguistique, généralement de forme orale.

107
Q

Un ___ est un message linguistique de forme ___, tandis qu’un ___ est un message linguistique de forme ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

énoncé, orale, texte, écrite.

108
Q

Un ___ est une entité complexe composée de deux autres entités : le ___ et son ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

signe, signal, sens.

109
Q

Pour Saussure, le terme de ___ est remplacé par ___ et celui de ___ par ___, ce qui met en valeur la ___ des termes. (BAYLON & MIGNOT)

A

signal, signifiant, sens, signifié, complémentarité.

110
Q

Le ___ est l’information que le s___ comporte qui vient d’un esprit-cerveau humain, sur lequel elle enseigne. (BAYLON & MIGNOT)

A

sens, signe.

111
Q

Les ___ inclus dans les signes n’ont par eux-mêmes rien de ___ avec le ___ qu’ils sont destinés à ___. (BAYLON & MIGNOT)

A

signaux, commun, sens, transmettre.

112
Q

Saussure dit que les signes linguistiques sont ___, c’est-à-dire qu’aucune raison ne justifie le ___ de tel signal plutôt que de tel autre pour un ___ donné. (BAYLON & MIGNOT)

A

arbitraires, choix, sens.

113
Q

Une image est moins et plus rarement ___ qu’un mot ou qu’une ___, ce qui fait que la communication par ___ a plus d’___. (BAYLON & MIGNOT)

A

arbitraire, phrase, images, efficacité.

Introduction à la communication (3 decks)

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