Notes Flashcards
(105 cards)
Nommer 3 raisons du déclin des naissances
1) Commercialisation de la contraception.
2) Démocratisation des méthodes de planification de naissances.
3) Montée du féminisme.
Qu’est-ce qui caractérise le baby boom?
Après la guerre et l’influence de la religion sur les familles et l’obligation d’avoir des enfants.
Qu’est ce que la politique nataliste?
Congés parentaux, services de gardes, etc. Permet aux parents de choisir d’avoir des enfants parce qu’ils ont plus de solutions à quelques problématiques. Conditions plus favorables à la décision d’avoir des enfants.
Qu’est-ce qui se passe en 1990 au niveau des naissances?
Période plus difficile économiquement, donc affecte le désir d’avoir un ou plusieurs enfants. Climat économique.
Quel est la taux ISF par femme présentement?
(ISF = indice synthétique de fécondité).
1,6 enfant/femme.
Nommer des conditions qui poussent les femmes à avoir moins d’enfant qu’avant.
1) Études plus longues.
2) Travail, carrière.
3) Vivre chez les parents plus longtemps.
Donner une explication de la diminution de l’écart entre les enfants dans une famille?
Pression de l’horloge biologique - augmentation du potentiel d’infertilité avec l’âge.
Qu’est-ce qui explique l’augmentation des femmes sans enfant entre 1946 et 1956?
1) Montée du féminisme.
2) Contraception.
Pourquoi il y a moins de mise en adoption qu’avant?
Augmentation de moyen IVG, les femmes choisissent d’interrompre la grossesse au lieu de mettre au monde l’enfant et le donner en adoption.
Quel est l’âge moyen de maternité en 2015?
30,5 ans.
Qu’est-ce que l’hyperparentalité?
Surprotéger son enfant sur tout.
DÉSIR D’ENFANT
Un concept…
- Récent : du désir de contrôler la fertilité à désir d’enfant (1960).
- Maturité autour de la maternité : on a des enfants plus tard, après notre carrière, donc vraiment désiré, donc très entouré : hyperparentalité.
- Une façon différente d’élever ses enfants, comme si l’enfant était le reflet de soi, donc on essaye de l’élever son enfant comme si on était jugé à travers lui.
- Complexe : beaucoup de variations, vaste étendue de motivations et de sentiments, parfois contradictoires avec les comportements.
- Politisé : tabou de la non maternité (identité des femmes), pressions politiques à faire des enfants, impacts démographiques de la natalité, etc.
- Dynamique.
- Temporel.
- Influencé par différents facteurs.
Nommer des raisons de ne pas vouloir avoir d’enfant.
Ne pas être maternel/paternel. Pas envie de modifier sa vie. Conditions de travail/études qui ne le permettent pas trop grosse responsabilité. Coûte trop cher. Image corporel. Trop grosse responsabilité. Projets de vie qui ne l’inclut pas. Maladie héréditaire qu’on ne veut pas transmettre. Conjoint qui n’en veut pas.
Nommer des raisons de vouloir avoir d’enfant.
Descendance, lien du sang. Affection. Vivre la maternité, valorisation. Faire comme tout le monde, pression sociale. Faire plaisir au conjoint. Sauver le couple. Combler un vide affectif Projet de vie, nouveau départ. Transmettre ses valeurs. Finalité du couple devient famille. Avoir une aide financière. Altruisme (famille d’accueil, adoption).
Selon une étude, quelles sont les 3 principales raisons de ne pas vouloir d’enfant?
- Sécurité financière (stabilité d’emploi).
- Relation stable et sure (relation solide pour se projeter dans l’avenir).
- Équité dans le partage des tâches en lien avec l’enfant et ménagère.
Le contexte entourant le désir d’enfant. Multiplicité des situations, telles que :
- Un enfant à tout prix;
- L’essentielle réunion des « parfaites conditions »;
- Un enfant, si ça se produit;
- Avoir beaucoup d’enfants;
- Avoir un enfant en solo;
- Choisir de ne pas avoir d’enfant;
- Un enfant hors d’âge : plus tôt, plus tard;
- Avoir un enfant dans une union « différente »;
- Refuser d’avoir des enfants.
Nommer des pressions à avoir des enfants aux niveaux conjugale et familiale.
− Assurer la descendance familiale (voire du “nom”).
− Désir de “petits enfants” des grands-parents.
− Calquer le parcours de la mère.
− Bonheur complet et parfait passant par le couple qui devient “famille”.
− Grossesse = “cadeau” ou ciment pour la relation.
Nommer des pressions à avoir des enfants aux niveaux social et politique.
− Valorisation de la grossesse et de parentalité.
− Contrer la dénatalité.
Nommer les deux aspects sur lesquels reposent une efficacité contraceptive.
− Efficacité propre spécifique au moyen étudié.
− Utilisation de celui-ci (correcte et systématique).
Pour juger de l’efficacité contraceptive, on peut regarder soit le taux d’échec, soit le taux d’efficacité. Quelle est la différence?
− Taux d’efficacité : pas de survenue de grossesse pendant la période visée avec l’utilisation du moyen contraceptif.
− Taux d’échec : survenue d’une grossesse pendant la période visée avec l’utilisation du moyen contraceptif.
Qu’est-ce que l’observance en matière d’efficacité contraceptive?
Facteur de la façon dont la contraception doit être gérée par la personne, choisir le bon moyen selon ce que la personne peut y mettre comme effort.
Efficacité contraceptive : quel taux utiliser (optimal ou pratique)?
Pratique. Les gens utilisent les moyens contraceptifs de façon « typique » : les taux théoriques optimaux sont moins utiles pour informer les gens.
Quelle est la façon la plus utilisée de calculer le taux d’efficacité?
Indice de Pearl.
Les taux d’efficacité/d’échec obtenus lors des études sont-ils fiables? Oui, mais certains biais, lesquels?
− Ce ne sont pas toutes les femmes qui deviendraient enceintes, même si la méthode utilisée était complètement inefficace.
− Les caractéristiques propres à l’individu ont un impact sur les résultats : les femmes plus jeunes sont plus fertiles que les femmes plus âgées.
− Fréquence des relations sexuelles et le moment où celles-ci ont lieu dans le cycle sont des aspects importants.
− Malgré les précautions prises par les chercheurs, certains participants aux études n’utilisent pas le moyen étudié de façon correcte et/ou systématique lors de l’étude.