NRBC Flashcards

1
Q

différence entre risque technologique et menace NRBC

A

c’est le cadre de l’intervention qui est different, le risque technologique est du à un accident au cours d’une activité considéré comme normal (legal).
- 1976 SEVESO italie
-1984 BHOPAL inde
-2001 toulouse
La menace NRBC encadre la notion de menace d’attentat criminelle avec l’intention de nuir.

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2
Q

qu’est ce que la matière radioactive

A

Une matière radioactive émet des « rayonnements » qui peuvent provoquer des lésions y compris dans le corps humain. Donc, sans autre renseignement la présence de radioactivité dans l’environnement de l’intervention signifie un danger pour la population et les intervenants
Il s’agit d’un phénomène imperceptible par les sens humains, capable d’agir jusqu’à de très longues distances. Le phénomène radioactif est cependant détectable, mesurable voire identifiable au moyen d’appareils spécifiques.

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3
Q

la fission nucléaire

A

La fission nucléaire est la réaction par laquelle un atome initial se divise en plusieurs autres atomes en libérant une forte énergie “bombe A”

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4
Q

CNPE

A

les centres nucléaires de production d’électricité (CNPE)1

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5
Q

la fusion nucléaire

A

La fusion nucléaire est la réaction dans laquelle plusieurs atomes se fondent pour en former un autre tout en libérant une énorme quantité d’énergie (« bombe H pour hydrogène »).

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6
Q

Deux autres notions sont utiles à la compréhension de la radioactivité

A
  • la dose absorbée (Sv), c’est-à-dire la quantité de rayonnements reçue ;
  • le débit de dose (Sv/h), c’est-à-dire la quantité de rayonnements reçue par unité de temps.
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7
Q

deux types de sources radioactive

A

naturelle / artificielle

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8
Q

une source radioactive peut se présenter sous 3 formes

A
  • Source scellée sous forme spéciale : la matière radioactive ne peut pas s’échapper de l’objet (sauf si la source a été coupée ou fondue) o Elle est « encapsulée » dans une matrice résistant à des nombreuses épreuves normalisées. o Sur feu ou accident, il existe généralement un fort risque d’irradiation et normalement pas de risque de contamination.
  • Source scellée : la matière radioactive ne peut pas s’échapper de l’objet dans les conditions normales d’utilisation et de transport. o Elle est emprisonnée dans ou à la surface d’une matrice plus ou moins résistante. o sur feu ou accident il existe un risque de contamination. Le risque d’irradiation varie en fonction du type de source.
  • Source non scellée : la matière radioactive a vocation à être extraite de son contenant pour être utilisée (produit de contraste en imagerie médicale). o Elle se présente sous forme de poudre, de liquide ou de gaz stockés dans un emballage adapté plus ou moins facile à ouvrir (par exemple : liquide dans une fiole en verre). o Elle peut s’échapper de son emballage : fiole en verre cassée. - En cas d’accident le risque de contamination est important.
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9
Q

Pour l’homme, les dangers de la radioactivité se présentent sous deux formes :

A
  • irradiation : la source radioactive est à distance et on reçoit les rayonnements qu’elle émet (on peut faire un parallèle avec le rayonnement thermique d’un incendie ou le rayonnement solaire).
  • contamination : la source radioactive est sur nos vêtements, notre peau voire à l’intérieur de notre organisme (on peut faire un parallèle avec de la poussière dispersée dans une pièce que l’on traverse : la poussière nous recouvre et l’on risque d’en inhaler ou d’en ingérer).

contamination externe : la matière radioactive est sur les vêtements et/ou la peau.
contamination interne : la matière radioactive a pénétré à l’intérieur de l’organisme.

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10
Q

technique pour se protéger de l’irradiation

A

o le Temps d’exposition aux rayonnements qui doit être contrôlé et aussi réduit que raisonnablement possible ;

o des Ecrans en se plaçant derrière des murs épais par exemple ;

o la Distance en restant le plus loin possible de la source (la quantité de rayonnement diminue avec le carré de la distance).

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11
Q

se protéger de la contamination

A
  • contre la contamination : porter des équipements de protection individuelle et éviter autant que faire se peut d’entrer en contact avec le(s) support(s) contaminé(s).

o protéger la peau : tenue adaptée (tenue de feu, éventuellement TLD) ;
o protéger les voies respiratoires : appareil respiratoire isolant (ARI).

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12
Q

Qu’est-ce que le risque biologique ?

A

Les risques biologiques ont fait leur entrée dans le champ de compétence des sapeurs-pompiers en octobre 2001 au travers de « l’épidémie » d’interventions pour lettres, colis ou enveloppes suspectés de contenir un agent biologique pathogène appelé, en français ‘maladie du charbon’ (en anglais ‘anthrax’ du nom latin ‘bacillus anthacis’).
Les sapeurs-pompiers sont confrontés quotidiennement au risque biologique lors des interventions de SAP. Ils peuvent y être confrontés lors d’une intervention dans un laboratoire confiné de recherche, pour un accident et/ou feu de transport de matières « infectieuses », une épidémie, pandémie liée à une maladie émergente.
Ce sont les risques présentés par des matières vivantes.

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13
Q

Où sont les risques biologiques ?

A

Il est possible de localiser les risques biologiques dans des sites et installations où les agents biologiques sont présents, étudiés, travaillés, entreposés :

  • hôpitaux, cliniques, établissement de soins,
  • laboratoires médicaux, d’analyses médicales,
  • école, cabinet vétérinaires, zoos, animaleries,
  • centres de recherches (instituts publics ou privés).
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14
Q

Quels types de risque biologique ?

A

Les bactéries :
o Micro-organismes capables de se reproduire seuls, ils peuvent survivre relativement longtemps à l’extérieur d’un organisme vivant (les spores d’anthrax peuvent survivre de nombreuses années, voire 100 ans, dans la terre par exemple).
o Les bactéries sont, en général, sensibles aux antibiotiques.

  • Les virus :
    o Beaucoup plus petits que les bactéries, ils ne peuvent se reproduire seuls. A l’extérieur d’un hôte, ils « meurent » relativement vite.
    o Les virus sont insensibles aux antibiotiques.
  • Les champignons :
    o Connus également sous le nom de ‘mycètes’, ils provoquent des ‘mycoses’.
    o Ceux qui nous intéressent sont microscopiques.
  • Les toxines :
    o Substance chimique toxique naturelle fabriquée par un animal ou un végétal :
    Ex. : le venin secrété par un serpent est une toxine Ex. : la ricine, poison mortel, est une toxine produite par une plante, la ricine.
    o Bien que beaucoup plus toxiques que les produits chimiques artificiels, les toxines sont cependant beaucoup plus fragiles.
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15
Q

quelles sont les difficultés à déterminer la présence d’un risque biologique

A
  • à l’instar des rayonnements liés à la radioactivité, la présence et les risques des agents biologiques ne sont pas perceptibles par les sens humain ;
  • il n’existe pas d’appareil capable de discriminer les agents biologiques ‘ennemis’ des ‘amis’ dans l’environnement (atmosphère, surfaces, etc.) ;
  • l’environnement humain est chargé d’agents biologiques, dont certains sont nécessaires voire indispensables à la bonne santé des êtres humains ;
  • rien ne ressemble plus à un agent biologique qu’un agent biologique, pathogène ou non.
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16
Q

citer les 4 groupes d’agent biologique

A

Groupe 1
N’est pas susceptible de provoquer une maladie chez l’homme.
Groupe 2
Peut provoquer des maladies chez l’homme mais la propagation est peu probable et des traitements et ou des prophylaxies existent.
Groupe 3
Est pathogène pour l’homme et la propagation est possible mais des traitements et ou des prophylaxies existent généralement.
Groupe 4
Cause de maladies graves chez l’homme. Risque de propagation élevé.
Il n’existe pas de moyens prophylactiques ni de traitements efficaces.

Ces 4 degrés se rencontrent précédés soit de la lettre P (pour Protection) soit des lettres NSB (pour niveau de sécurité biologique) ; ils servent aussi à catégoriser les laboratoires traitant ces agents.
S’il n’y a pas de laboratoire P4 sur le secteur de la BSPP, il existe plusieurs laboratoires classés P34.

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17
Q

les différent site sur le secteur BSPP

A

Le terme ‘pathogénécité’ signifie le caractère pathogène, c’est-à-dire susceptible de provoquer des maladies. 4 On citera, à titre d’exemples non exhaustifs, sur le secteur de la BSPP :

  • le site des laboratoires SANOFI-AVENTIS de Vitry-sur-Seine (GIS2/22e CIS/CSTC VITR);
  • le site du Commissariat à l’Energie Atomique (et aux énergies alternatives) de Fontenay-aux-Roses (CEA-FAR ; GIS3/21e CIS/CSTC PLCL) ;
  • le site de l’école nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA ; GIS2/17e CIS/ CSTC MALF) ;
  • les laboratoires de l’agence nationale de sécurité environnement santé (ANSES ; GIS2/17e CIS/ CSTC MALF) ;
  • le site de l’Institut Pasteur dans le 15e arrondissement de Paris (GIS3/3e CIS/CSTC PLAI).
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18
Q

quelles sont les principaux risques chimiques ?

A
  • l’explosibilité,
  • l’inflammabilité,
  • la toxicité,
  • la nocivité, considérée comme une sous-catégorie de la toxicité,
  • la corrosivité.
    Ces risques peuvent apparaître de manière unique ou bien se présenter simultanément.
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19
Q

différentes catégorie de produit chimique

A
  • Les produits explosifs par natures :
    o TNT, TATP5, pentrite, poudre noire, etc. ;
    o Si certains sont très instables, tous peuvent engendrer des dégâts considérables.
  • Les produits engendrant un risque d’asphyxie :
    o azote, hélium, CO2, gaz de ville, etc. ;
    o ce phénomène est amplifié par le caractère « gaz lourd » (au sens de « plus lourd que l’air ambiant ») du produit en cause et par le degré de confinement du local.
  • Les produits inflammables :
    o essence, gaz de ville, butane, etc. ;
    o outre des risques d’incendie ils présentent des risques d’explosion.
  • Les solides inflammables :
    o soufre, phosphore, sodium ;
    o ils peuvent s’enflammer : au contact d’une flamme, au contact de l’air, au contact de l’eau, ou dégager des gaz inflammables au contact de l’air ou de l’eau.
  • Les comburants :
    o oxygène, peroxydes organiques, etc. ;
    o ils favorisent l’incendie mais ce ne sont pas des produits inflammables (Cf. triangle du feu : combustible + comburant + énergie d’activation).
  • Les produits toxiques :
    o chlore, cyanure, toxiques de guerre (organophosphorés, vésicants), etc. ;
    o les produits sont considérés comme toxiques lorsque de très faibles doses suffisent pour tuer ou rendre malade.
  • Les produits corrosifs :
    o acide chlorhydrique, sulfurique, soude6, ammoniaque, etc. ;
    o par abus de langage, on dit qu’ils provoquent des « brûlures chimiques » par contact cutané c’est-à-dire qu’ils agressent la peau et le corps avec des effets qui s’apparentent à ceux des brûlures thermiques. Les vapeurs émises par des solutions concentrées sont également dangereuses.
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20
Q

TNT
TATP
IC

A

TNT: trinitotoluène
TATP: triacétone tripéroxyde
IC: installations classées

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21
Q

Où sont les risques chimiques ?

A
  • les sites industriels de fabrication des matières premières chimiques,
  • les usines de fabrication de médicaments et produits pharmaceutiques,
  • les dépôts pétroliers et d’hydrocarbures,
  • les usines de traitement de métaux,
  • les sites de traitement et de retraitement7 de l’eau, parmi lesquels les piscines,
  • les sites de traitement des ordures et résidus ménagers.
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22
Q

réponse brigade

A

« 813 : intervention à caractère radiologique :
2 EP + VLR (OGC) + GIRB ;
« 814 : intervention à caractère chimique :
2 EP + VLR (OGC) + GIC» ;
« 815 : intervention à caractère biologique : 2EP + VLR (OGC) + GIRB»

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23
Q

niveaux de réponse opérationnelle aux emplois (RAD1….)

A
  • RAD 1 & RCH 1 : militaire du rang équipier des VIRB & VRCH ;
  • RAD 2 & RCH 2 : militaire du rang équipier, sous-officier chef d’agrès des VIRB & VRCH ;
  • RAD 3 & RCH 3 : chef de groupe NRBC ;
  • RAD 4 & RCH 4 : Officier NRBC opératif (astreinte), conseiller technique NRBC du COS ;
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24
Q

composition de la garde NRBC

A
  • 1 officier NRBC opératif (engin : VLR NRBC EM) ;
  • 2 chefs de groupe NRBC des GIS, (engin : VLR NRBC GIS),
  • 1 chef de groupe NRBC du GAS (engin : VLR NRBC GAS),
  • 5 sous-officiers chefs d’agrès des VRCH & VIRB (un par engin),
  • 15 militaires du rang équipiers des VRCH & VIRB (3 par engin),
  • 9 militaires du rang équipiers des berces unité mobile de décontamination (3 par BUMD),
  • 2 militaires du rang équipiers d’une des 2 berces d’appui logistique NRBC (BAN),
  • 1 sous-officier & 1 militaire du rang armant le véhicule détection identification prélèvement (VDIP)

Soit 37 sapeurs-pompiers de Paris spécialisés à l’intervention face aux risques technologiques.

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25
Q

composition du groupe pour intervention générique

A
  • un chef de groupe NRBC (RAD 3 + RCH 3, VLR NRBC GAS ou d’un GIS si celui du GAS est déjà
  • un VRCH (sous-officier, chef d’agrès, RAD 2 + RCH 2),
  • un VRCH ou VIRB (sous-officier, chef d’agrès, RAD 2 + RCH 2).
26
Q

composition du groupe intervention biologique

A
forment l’élément d’intervention :
o un : VIRB
CT1 SP
& UV2
  o un VRCH

VLR NRBC GAS (sur tout premier départ)
L’élément d’évaluation et d’expertise (3E), alerté systématiquement peut se rendre sur
intervention :
o officier NRBC opératif (VLR NRBC EM)
o directeur des secours médicaux (VLR DSM)
o vétérinaire de garde (VLR VETO).

27
Q

composition du groupe chaine de décontamination

A

Un groupe chaîne de décontamination (GCD) est un détachement composé de 16 personnels :

  • une berce unité mobile de décontamination (BUMD), à 3 personnels,
  • 2EP,
  • Un chef de groupe NRBC.
28
Q

comment sont utilisé les BUMD lors du plan jaune

A
  • les deux premières, immédiatement dans le prolongement du point de regroupement des
    victimes (PRV), a priori, l’une pour les victimes valides, l’autre pour les victimes invalides ;
  • la troisième, selon les besoins spécifiques de l’intervention, en complément de la chaîne des
    victimes invalides, ou de celle des victimes valides, ou le personnel, uniquement, en renfort
    du personnel des autres chaînes.
  • dans le cadre du plan jaune les GCD seront engagés sans chef de groupe NRBC, un OGC sera
    chef de secteur décontamination.
29
Q

Les moyens sont principalement répartis en trois centres de secours, dépendant de 2 compagnies :

A

o CS NBCP (Pouchet), PC de Cie ;
o CS NBCL (Livry-Gargan)
o CS NBCR (Rungis), co-localisé avec la 22ème Cie Rungis ;

30
Q

MGO NRBC

A
  1. recherche de renseignements

PHASE REFLEXE:

  1. protection du personnel (EPI)
  2. sauvetage/ évacuation/ mise à l’abri (mise en sécurité de la population)
  3. perimetre de sécurité réflexe (def d’une zone d’exclusion)
  4. détection d’alerte (analyse de la zone d’intervention, utilisation des détecteurs CG et OGC)

PHASE REFLECHIE:

  1. detection de confirmation (identification, mesure)
  2. zone de l’espace (balisage du périmetre)
  3. prélèvement
  4. reduction ou suppression de la cause

PHASE DE RETOUR A LA NORMAL

  1. désengagement ( gestion des déchets, remise en condition des personnels, contrôle de la contamination)
31
Q

les critères pour détecter la présence de matières dangereuses

A

 les éléments factuels, si possibles vérifiés, fournis par un requérant (s’il y en a) et ou par des
documents et faisant état de produits chimiques, radiologiques ou biologiques ;

l’analyse de la zone de l’intervention, même sommaire (lieu, contexte, observation
d’éléments, de comportements humains, etc.),

 la synthèse des symptômes présentés par la ou les victime(s), même sommaire, même
imparfaite, mais si possible corroborée par un avis médical,
 la détection de substances dangereuses par les appareils en dotation dans l’engin (chef
d’agrès) ou les engins du détachement (chef de garde et officier de garde compagnie).

32
Q

faire la recherche de renseignement

A

a. situation météorologique;

b. la nature du (ou des) produit(s) en cause (caractéristiques, quantité, dangers) ;
- prendre contact avec une personne ressource (responsable d’exploitation, personne
compétente en radioprotection, conducteur, transporteur, expéditeur, etc.)
- obtenir le plus rapidement possible les renseignements sur les produits par les fiches de
données sécurité, les documents de transport ou par l’intermédiaire du CSO (qui contactera
le CO)

c. les circonstances et le lieu précis de l’événement (situation initiale) ;
d. Présence d’éventuelles ou de potentielles victimes (si non apparentes d’emblée) ;
e. relevés de mesures effectuées par le requérant avant l’arrivée des secours ;

f. les mesures déjà prise par le requérant :
- plan de secours privée ou public éventuellement applicable ;

g. exploiter les mesures définies dans les plans de secours, privés (POI/PUI) ou publics (ETARE,
PPI, ORSEC, TMR, etc.).

33
Q

faire la protection du personnel intervenant

A

a. S’arrêter avant l’adresse (comme pour une fuite de gaz) ;

b. Porter les EPI adaptés au risque (TDF ou TLD + ARI) :
- en l’absence de risque de feu ou d’explosion, privilégier l’utilisation de gants butyles et dela
TLD ;
c. Contrôler le caractère explosif de l’atmosphère et des espaces clos ;

d. Engager le minimum de personnel (en binôme, à vue) ;
e. Constituer une équipe de sécurité ;

f. En cas d’incendie :
- utiliser le minimum d’eau pour l’extinction et contrôler les écoulements ;

34
Q

réaliser le périmètre de sécurité reflexe

A

a. Définir une zone d’exclusion a priori, compatible avec les conditions d’engagement :
À défaut d’indication plus précise, appliquer les distances suivantes :
- 50 m du point origine estimé pour les pompiers ;
- 100 m du point origine estimé pour la population ;
- 500 m en cas de risques d’explosion ;
- Ajouter 300 mètres dans le sens du vent, si le vent est fort ;
b. matérialiser cette zone en s’appuyant sur les dispositions constructives existantes (pièce,
bâtiment, rue, etc.) et au moyen d’outils (commande, ruban Rubalise®, etc.).

c. identifier un seul point d’entrée et de sortie, en prêtant une attention au sens du vent,
notamment si le phénomène se manifeste à l’air libre.

35
Q

quelle est la demande à faire pour réaliser une levée de doute ?

A

VRCH

36
Q

demande à réaliser pour un risque technologique avéré

A

 un groupe d’intervention générique ou spécifique si l’intervention est manifestement à
caractère technologique ;

37
Q

demande à réaliser sur une intervention NRBC avérée avec de nombreuse victimes.

A

les moyens du Plan Jaune s’il est confronté à de nombreuses victimes en ambiance NRBC

38
Q

moyens au départ pour intervention radiologique

A

2 EP avec CGI + VLR OGC + GIRB

39
Q

conduite à tenir pour une intervention radiologique

A
  • EPI : tenue de feu & ARI coiffé & Dosiman® allumé et porté.
  • Différentes tâches à accomplir :
    o Prendre contact avec une personne compétente (conducteur, transporteur, responsable
    d’exploitation, expéditeur, voire la « personne compétente en radioprotection », etc.).

o Faire rechercher les documents de transport, les plans, les panneaux de signalisation du
danger, en cas d’accident de transport de matières radioactives (TMR).

o Localiser le risque.
o Établir un périmètre de sécurité comprenant un seul point d’entrée et de sortie.

o Évaluer le risque, si les renseignements suivants vous sont fournis :
 Risque d’irradiation :
 faible irradiation : le périmètre se limite à la pièce, à la maison, ou au véhicule.
 Forte irradiation : mettre en place un périmètre de rayon 100 mètres environ.
 Risque de contamination associé :
 prendre en compte le risque d’irradiation comme précédemment,
 inclure dans le périmètre de sécurité les zones où les allées et venues des victimes et
impliqués ont pu étendre la contamination.

l’environnement de l’intervention (mur béton, voiture, etc.).

o Mener les reconnaissances et l’attaque avec un minimum de personnel
o Rester le plus loin possible de la source et utiliser au mieux les écrans qu’offre
o Confiner les locaux ou les véhicules incriminés.
o Éviter d’utiliser de l’eau, autant que faire se peut ; si l’eau doit être employée, contrôler les
écoulements le cas échéant
o Mettre à l’arrêt les dispositifs de ventilation rejetant l’air à l’extérieur.

40
Q

prise en charge des victimes lors d’un risque radiologique

A

o Dans tous les cas, l’urgence médicale prime sur le risque radiologique.
o En cas de contamination, protéger immédiatement les voies aériennes de la victime avec
un masque papier (de type FFP2, face à des poussières) ou par oxygénothérapie (en cas de détresse ventilatoire, face à un liquide ou un gaz).
o Une victime doit être soustraite avec les moyens et les méthodes adaptées à son état

41
Q

le contrôle de la contamination (4 points à respecter)

A

 par du personnel spécialisé(VRCH/VIRB),

 avant de sortir de la zone chaude/ d’exclusion,
 avant de pouvoir décoiffer l’ARI,
 avant de boire ou manger(ZRCP)

42
Q

CAT interventions à caractère biologique

A

Moyens au départ : 2 EP avec CGI + VLR OGC + GIRB
Moyens prévenus : VLR VETO, VLR DSM, VLR Officier NRBC opératif

i. EPI.

  • Intervention en présence de poudre :
    o tenue de protection biologique : (combinaison ‘papier’ (Tyveck jaune) + gants de SAV + sur-
    gants + masque de protection respiratoire FFP2 ou FFP3 + sur-bottes TLD)
  • Intervention en présence de liquide :
    o tenue de protection NRBC complète (TLD + ANP + gants butyles + sur-bottes)

la tenue de feu est à proscrire sauf en cas d’incendie.

43
Q

CAT face à une envelope, lettre, pli contenant une poudre

A

Une enveloppe contenant une poudre suspecte est avant tout un colis suspect pouvant contenir un explosif une poudre radioactive, chimique dangereuse, ou un agent biologique

  • La BSPP n’intervient qu’en présence avérée de victime ou à la demande expresse de la police
    ou de la gendarmerie après que ceux-ci aient contacté les autorités compétentes.
  • Mettre le poste radiophonique portatif dans un sac étanche.
  • Faire arrêter tous les systèmes de ventilation du bâtiment.
  • N’engager que le personnel strictement nécessaire (un binôme par exemple).
  • Ne pas toucher l’objet suspect.
  • Isoler et condamner l’accès au local où se trouve l’objet suspect (confiner les locaux).
  • Placer les éventuelles personnes ayant été en contact avec l’objet dans un local immédiatement
    attenant au local où a été confiné le colis suspect.
    o Ces personnes dites du 1er cercle (ou au contact) sont appelées « C1 » ou « personne au
    contact ».

o Elles sont considérées a priori comme impliquées. Il faut relever leur identité. Attention,
dans le message le terme de victime ne peut être employé qu’en présence de symptômes
avérés ou d’agents radiologiques, biologiques ou chimiques clairement identifiés. Dans le cas
contraire, il convient de ne parler que de « personne au contact ».

o Sur-habiller ces personnes avec une tenue de rhabillage après les avoir équipées d’un
« masque papier ».
- Mettre en place un périmètre de sécurité (avec sas d’entrée et sortie unique).
- Si nécessaire, les personnes « au contact » seront transportées dans un VSAV « protégé » (cette
demande doit être anticipée car le VSAV n’est pas armé à T0).
- Se placer aux ordres du chef du GIRB pour les opérations de désinfection de la tenue,
déshabillage, recueil des EPI, etc.
- Laisser les locaux concernés condamnés sous la responsabilité du chef d’établissement.

44
Q

moyens aux départ pour intervention à caractère chimique

A

2 EP avec CGI + VLR OGC + GIC

45
Q

CAT intervention chimique

A
  • EPI des premiers intervenants :
    o Tenue de feu + ARI coiffé (éventuellement TLD + ARI).

o En l’absence de risque de feu ou d’explosion, privilégier l’utilisation de gants butyles.

  • Rechercher et obtenir le plus rapidement possible les renseignements sur les produits :
    o par le directeur de l’établissement, le transporteur, la personne compétente, le requérant,
    o par les fiches de sécurité des produits dangereux,
    o par l’intermédiaire du CO (demande faite sur votre SGAP d’appartenance) : demander la
    conduite à tenir en fonction du type d’accident et des produits rencontrés.
  • Établir un périmètre de sécurité comprenant un seul point d’entrée et de sortie, en prêtant une
    attention au sens du vent, notamment si le phénomène se manifeste à l’air libre.
  • Utiliser systématiquement l’explosimètre et faire des relevés fréquents.
  • Les reconnaissances et l’attaque sont menées avec le minimum de personnel.
  • Ne pas s’engager seul. Toujours garder les liaisons avec un voisin, un équipier ou un gradé.
  • Lors de l’extinction, faire attention aux réactions potentielles des produits avec l’eau.
  • Ne pas entrer en contact direct avec le produit et les eaux d’écoulement.
  • Faire attention aux ruissellements dans les égouts.
  • Demander le GIC, le LCPP d’urgence et les secours médicaux.
  • Isoler, déshabiller, doucher si nécessaire (produits huileux = pas de douche mais gant poudreur),
    le personnel susceptible d’avoir été contaminé.
  • Prendre des mesures visant à protéger l’environnement (pollution terrestre, aquatique,
    atmosphérique).
46
Q

CAT pour une intervention BLEVE

A
  • Engager un minimum de personnel correctement protégé : EPI, écrans (murets, éventuellement
    murs solides, véhicules, etc.).
  • Amarrer les lances et retirer le personnel face aux citernes.
  • Se renseigner sur la nature du produit (inflammable ou non).
  • Éteindre rapidement le foyer initial.
  • Si possible écarter wagons et citernes proches, à défaut les refroidir ou les protéger par des
    moyens hydrauliques.
    Refroidir les récipients exposés jusqu’à l’avis des spécialistes (LCPP).
47
Q

l’engagement lors d’une intervention pour gaz/ vapeur/ toxique ou corrosif

A

o S’arrêter avant l’adresse et avec, si possible, le vent dans le dos.
o Demander des renforts médicaux adaptés au nombre et à l’état des victimes.
o Équiper le personnel en tenue de feu, ARI coiffé.
o Confiner ou évacuer les personnes des locaux ou de la zone vers laquelle les produits sont
poussés ou susceptibles de l’être par le vent.
o Faire des relevés explosimétriques.
o Établir un périmètre de sécurité.
o Regrouper les victimes et les impliqués en évitant les contacts entre eux pour limiter les
risques de transfert de contamination

48
Q

tenues des personnels lors d’un plan jaune

A
o premiers intervenants : TDF + ARI coiffé ;
 o personnel du module Extraction : TLD + ARI coiffé ;
o personnel des autres modules du Plan Jaune : TLD + ANP.
49
Q

qu’est ce que le plan jaune

A

Déclenché à la suite d’un événement (attentat ou accident majeur à caractère NRBC avec de
nombreuses victimes), le plan Jaune est un plan rouge en milieu ‘sale’ c’est-à-dire contaminé.

50
Q

CAT en zone d’exclusion (mission extraction)

A
  • RDV : Le chef d’agrès fait conduire l’engin directement à l’adresse (attention à l’itinéraire).
  • Tenue :
    o TLD + ARI ; N.B. : les ANP sont portés à la ceinture au moyen de la sangle;
    o Sur ordre en TLD-ANP ou TDF-ARI si son port s’impose (feu par exemple)
  • Mission : extraire rapidement toutes les personnes, directement au contact ou menacées par les agents NRBC, de la zone de danger.
  • Articulation : aux ordres du premier COS (1er chef de garde ou OGC).
  • Consignes :
    o extraire les personnes et les conduire jusqu’au tri visuel ;
    o éviter le contact direct entre personnel et victimes (risque de contamination) ;
    o ne pas extraire les victimes dont le décès est certain (préservation de la scène de crime) ;
    o échanger les bouteilles d’air au sas intervenants.
  • Fin de mission :
    o se diriger vers le sas intervenants pour être pris en charge par des spécialistes ;
    o l’ANP à la ceinture permettra de remplacer l’ARI.
51
Q

CAT lors du tri visuel

A
  • RDV : Le chef d’agrès fait conduire l’engin directement à l’adresse (attention à l’itinéraire).
  • Tenue : TLD + ANP.
  • Mission : séparer les personnes entre victimes d’une part et non-victimes d’autre part (ces
    dernières sont les impliqués).
  • Articulation : aux ordres de l’officier tri visuel et sous l’autorité du « médecin chef plan jaune ».
  • Consignes :
    o séparer les personnes présentant des symptômes quels qu’ils soient (PRV) de celles ne
    présentant aucun symptômes (PRI) ;
    o les conduire jusqu’au point les concernant : PRI ou PRV ;
    o éviter le contact direct entre impliqués et victimes (risque de contamination) ;
    o orienter les premiers intervenants vers le sas intervenants.
  • Fin de mission :
    o se diriger vers le sas intervenants pour être pris en charge par des spécialistes.
52
Q

CAT en zone contrôlée (PRV)

A
  • RDV : le chef d’agrès fait conduire l’engin directement à l’adresse du PRV définie par le 1er OGC
    (sans passer par la ZDI - attention à l’itinéraire).
  • Tenue : TLD + ANP.
  • Mission : participer à la prise en charge des victimes extraites, avant décontamination.
  • Articulation : aux ordres du chef de groupe NRBC sous l’autorité du « médecin-chef plan jaune ».
  • Consignes :
    o éviter le contact direct entre personnel et victimes (risque de contamination) ;
    o séparer les victimes invalides (qui ne peuvent se déshabiller et réaliser la décontamination
    sèche seules) des victimes ‘valides’ (qui peuvent se déshabiller et réaliser la décontamination
    sèche seules);
    o participer aux actions de déshabillage et de décontamination d’urgence :

 cas de contamination radiologique:
 faire coiffer un masque papier à toutes les victimes ou O2 pour toute détresse le nécessitant

 cas de contamination chimique:
 décontaminer d’abord la tête au moyen du gant poudreur
 faire coiffer la cagoule EVATOX par la victime (à défaut utiliser le masque papier du kit de décontamination d’urgence et de rhabillage (KDUR)) ou O2 pour toute détresse
le nécessitant

 dans les deux cas :
 procéder au déshabillage en respectant la notice du KDUR et le protocole enseigné au DEC1 pour les invalides (cf NT n° 110504-2008 page 4 du présent document)
 terminer la décontamination des parties du corps potentiellement en contact avec un produit contaminant : mains, parties dénudées, etc.
 un contrôle de de non contamination pourra être réalisé avant le rhabillage

 rhabiller les victimes :
o tenue provisoire du KDUR pour les victimes valides,
o couverture de survie pour les victimes invalides.
o diriger ou brancarder les victimes jusqu’à l’entrée de la chaine de décontamination.
- Fin de mission :
o se diriger vers le sas intervenants pour être pris en charge par des spécialistes

53
Q

CAT en zone contrôlé (PRI)

A
  • RDV : le chef d’agrès fait conduire l’engin directement à l’adresse du PRI définie par le 1er OGC
    (sans passer par la ZDI - attention à l’itinéraire).
  • Tenue : TLD + ANP.
  • Mission : participer à la prise en compte des impliqués (personnes ne présentant aucun symptômes).
  • Articulation : aux ordres de l’officier PRI sous l’autorité du « médecin-chef plan jaune ».
  • Consignes :

o gérer et canaliser le flux des impliqués vers le sas impliqués ;
o rassurer les personnes, expliquer l’opération qui va suivre (contrôle de contamination),

o travailler de concert avec les forces de l’ordre chargées du contrôle de zone, de la tenue du
périmètre de sécurité et des points-clés du terrain.

54
Q

CAT en zone contrôlé (decontamination)

A
  • RDV : Le chef d’agrès fait conduire l’engin en ZDI puis à l’adresse du PRV (attention à l’itinéraire).
  • Tenue : TLD + ANP.
  • Mission : effectuer la décontamination des victimes.
  • Articulation :
    o aux ordres de l’officier décontamination sous l’autorité du « médecin-chef plan jaune »
    o guidé et conseillé par le chef d’agrès de la berce unité mobile de décontamination (BUMD).
  • Consignes :
    o rassurer les personnes, expliquer l’opération qui est effectuée (décontamination) ;

o victimes invalides :

 ôter la couverture de survie dans l’alvéole ‘accueil’;
 suivre les consignes du personnel (para)médical accompagnant éventuellement la victime

 procéder au lavage à l’eau savonneuse (dans l’alvéole ‘douche’);
 procéderaurinçageàl’eauclaire;
 procéderauséchage(dansl’alvéole‘sortie’);
 uncontrôledenon-contaminationpourraêtreréaliséparlesspécialistes;
 procéder au rhabillage de la victime (couverture de survie) ;
 la transférer ,de brancard à brancard, au personnel du plan rouge (à la sortie de berce)

o victimes valides :
 guider et conseiller les victimes dans le processus de déshabillage, lavage, rinçage,
séchage et rhabillage ; aider ces personnes en cas de besoin (enfants, personnes âgées).
- Fin de mission :
o se diriger vers le sas intervenants pour être pris en charge par des spécialistes.

55
Q

CAT pour les premiers intervenants

A
  • Il est pris en charge par le personnel d’un VRCH.
  • Le personnel des engins premiers intervenants se présente au sas, ARI coiffé, avec leur ANP.
    Le personnel spécialisé, secrétaire du sas intervenant, enregistrera les renseignements relatifs à chaque intervenant (matricule, identité, engin, mission, durée en ZEX, données du Dosiman® le
    cas échéant).
56
Q
ANP
ANP VP
AP2C
BAN
BLEVE
BUMD
GAPa
GAPt
GCD
GDIP
GIC
GIRB
MCPJ
UVCE
VIRB
VRCH
A

appareil normal de protection
appareil normal de protection à visière panoramique
appareil portatif de contrôle de contamination
berce appui NRBC
boiling liquid expending vapor explosion
berce chaine de décontamination (unité mobile de décontamination)
groupe antipollution aquatique
groupe antipollution terrestre
groupe chaine de decontamination
groupe de détection identification prélèvement
groupe intervention chimique
groupe d’intervention radiologique biologique
médecin chef plan jaune
unconfined vapor cloud explosion (explosion d’un nuage de vapeurs non confinées)
véhicule d’intervention radiologique biologique
véhicule radiologique chimique

57
Q

code danger 1er chiffre (magalisocotoracor divX)

A
1 explosif
2 gaz
3 liquide inflammable
4 solide inflammable
5 comburant ou peroxyde
6 toxique ou infectieux
7 radioactif
8 corrosif
9 divers
X eau et mousse interdites
58
Q

CAT pour BLEVE

A
  • Périmètre de sécurité : o 500 mètres pour un camion ou un wagon citerne, o 50 mètres minimum pour une bouteille de gaz ou un véhicule GPL. - Engager un minimum de personnel correctement protégé : EPI, écrans (murets, éventuellement murs solides, véhicules, etc.). - Amarrer les lances et retirer le personnel face aux citernes. - Se renseigner sur la nature du produit (inflammable ou non). - Éteindre rapidement le foyer initial. - Si possible écarter wagons et citernes proches, à défaut les refroidir ou les protéger par des moyens hydrauliques. - Refroidir les récipients exposés jusqu’à l’avis des spécialistes (LCPP).
59
Q

De quoi se compose les éléments d’évaluation et d’expertise

A

Un officier nrbc opératif
Un veto
Un directeur de secours médicaux

60
Q

En l’absence d’appareil de détection adapté à le chef de garde doit prendre en compte…

A

Le comportement d’une foule et la multiplication de mêmes symptômes chez de nombreuses victimes comme des éléments factuels