P1T1 - Chapitre 2 : L'évolution continue de la distribution des pouvoirs Flashcards
(37 cards)
Art. 12 C
Pouvoir propre du PR de dissolution de l’AN
Art. 61 C
Pouvoir propre du PR de saisir le CC
Art. 8 C
Pouvoir propre du PRde nommer le PM (mais art. 49 : donc sorte de confiance) et du PM de proposer ses ministres.
Art. 49 C
Pouvoir de l’AN de renverser le gouvernement
Art. 89 C
Pouvoir partagé de révision de la constitution
Art. 11 C
Pouvoir partagé du référendum
Art. 15 C
Le PR est le chef des armées.
Art. 16 C
Plein pouvoir PR (mémoire consititutionelle de Pétain signant l’armistice devan président Lebrun impuissant)
Art. 5 C
Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’Etat. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités.
Art. 20 C
Le gouvernement détermine et conduit la politique de la nation. Le PM dirige l’action du gouvernement. Le PM dispose de la force armée.
Art. 21 C
Le PM dispose du pouvoir réglementaire.
Art. 67 C
Irresponsabilité du Président : le président ne peut être entendu par aucune juridiction ou autorité admiinstrative.
Nature de l’executif de la Ve République
République orléaniste : executif a deux têtes. Pas de suffrage universel à l’origine : pas de régime présidentiel sous la pression des parlementaires en 58. Distribution pas clair par la constitution des compétences entre les deux têtes.
Dyarchie Sarkozy/Fillon
Fillion PM qualifié de “collaborateur”
Compétences attribués au président de la République
Pouvoirs propres, pouvoirs partagés, pouvoirs de crise
Pouvoirs propres du président
Pas besoin du contre seing du PM ou des ministres. Dissolution de l’AN, droit de message (lu par les Présidents du Parlement), saisir le CC, nommer le PM.
Pouvoirs partagés
Ne peut êtes exercer qu’avec d’autres autorités. Révision de la constitution et référendum (initiative PM), nomination lors des Conseil des ministres (depuis 2008 : droit de véto des députés)
Pouvoirs de crise
Pleins pouvoirs si les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, territoire, l’exécution des Traités internationaux, sont menacés d’une manière grave et immédiate et pouvoirs publics constitutionelles interrompus (1961, comité de salut public Alger). Obligation d’adresser un message à la nation. Réunion du Parlement de plein droit. Puis art. 5 : arbitre (peur du retour de DG)
Explication du glissement du rôle d’arbitre à capitaine
Mitterand PR en 87 refuse de signer l’ordonnance modifiant le code du travail proposé par son PM chirac au motif qu’elle ne respecte pas la constitution (Art. 5). Proposition de supresion de l’art. 5 en 2008 mais maintient puisque permet d’être à certains moment capitaine et d’autre arbitre.
Evolution du CC : 2008
Possible véto des comission parlementaire pour les nomination presenties par les autorités de nomination. Délocalisation récente d’une audience du CC à Metez : il veut devenir une CS.
Statut du Président de la République
La durée de son mandat (7 ans puis 5, renouvelable 2 fois maximum depuis 2008) et sa responsabilité
Durée du mandat Présidentiel
EN 58, 7 ans pour respecter la tradition républicaine (menaces envers le GDG de dictature). Mais changement du rôle du Président : actif plus juste arbitre. Necessité d’être en contact régulier avec les électeurs. Pompidou en 1969 propose de passer à 5 ans mais le Congrès refuse (députés gaullistes et Pompidou malade. ; Chirac dissous l’AN en 1997, dure cohabitation avec Jospin donc referendum pour faire coincider le mandat des parlementaire et celui du PR en 2000. Problème : plus d’election intermediaires. Présidentialisation du régime. Députés élus sous le nom du PR : fidélité et alégiance. Détournement des européennes et munical pour juger la politique du PR et rôle de doublon avec le PM. 2008 : renouvelement du mandat de PR limité à deux fois.
Responsabilité du Président
Pour les actes liés à l’exercice de sa fonction ; pour les actes détachés de sa fonction
Responsabilité du PR pour les actes liés à l’exercice de sa fonction.
En principe pas de responsabilité car contreseing ministériel (régime parlementaire). Mais PR devient capitaine donc décalage avec son iirresponsabilité. Exception 1 : en 2007 : lorsque manquement manifestement incomptablible avec les devoirs de sa charge (avent seulement haute trahison) puis Haute cour (majorité des 2/3 de l’AN et du Senat). Exception 2: crime de guerre humanité ou génonide (CPI de manière subsidiaire)