Psychologie Sociale - L1 Flashcards

1
Q

Que représente un classe avec des élèves et une maitresse ?

A

Une relation intergroupe inégalitaire.

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2
Q

Qui sont les 2 sociologues a faire naitre la psychologie sociale et quand ?

A
  • Emile Durkeim
  • Gabriel Tarde
  • Aux XIXème siècle.
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3
Q

La théorie de Emile Durkheim

A
  • La vie sociale entière est faites de Représentation, qui sont des Phénomène collectif (L’unité d’analyse d’une société ne peut être compris avec l’individu, mais avec la généralité)
    Exemple : Les élèves qui ont un ordinateur prennent des notes car il est socialement acceptable. La norme sociétale étant de prendre des notes à l’ordinateur.
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4
Q

Théorie de Gabriel Tarde

A

La vie social serait faite d’Imitation, Mécanisme individuels et interindividuels. (On s’imite les uns les autres)

Exemple : Les élèves qui ont un ordinateur, prennent des notes sur ordinateur car 1 Toutes premières personnes à ramener son ordinateur, et d’autres l’ont imité …

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5
Q

Définition de la psychologie

A

1- La science du conflit entre l’individu et la société. (Moscovici)
- Cela veut dire que des personnes qui ne suive pas les normes sociétales, et que la société applique une pression sociale sur ces personnes

Exemple : Ne pas chanter l’hymne national lors de match de foot peut être mal perçu

2- Science qui traite de la dépendance et de l’interdépendance comportementale entre les individus.
- Il ne parle pas de collectif, mais il appuie seulement l’individualisme des personnes qui sont les seuls acteurs. La société ne dépose plus de pression sociale.

Conclusion : Doubles origines avec une contradiction fondamentale à sa création. la contradiction dans les idées est fondamental pour l’évolution

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6
Q

Les 4 niveaux d’analyse en psycho sociale

A

1- Intra-individuel : Personnalité, dispositions perso,…
Exemple : Bart et Lisa Simpson : Bart = insupportable et turbulent VS Lisa = studieuse et intelligente)

2- Interindividual : Imitation, etc
Exemple : Homer et Moe sont en train de chanter on peut en déduire leur « aisance » au vu de leur relation è caractérisation de leur relation)

3- Positionnel : Hiérarchie, statut rapports sociaux,… Tient compte des positions relatives des uns par rapport aux autres / pas de conflit car différence de position)

4- Idéologique : Ensemble d’idées très partagées dont on ne peut pas sortir / permet de justifier, maintenir des comportements. Permet d’expliquer un phénomène psycho soc en considérant les facteurs idéologiques ou culturels qui permettent d’installer ou de maintenir les pensées, le ressenti, le comportement des individus

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7
Q

Norman Triplett :

A
  • Psychologue américain
  • Il a travailler à l’ Université de l’Indiana du XIXème siècle.
  • 1er article de psychologie sociale dans le XIXème siècle.

La question de Triplette : Quand un sportif va être le plus performant ?
La performance augmente lorsqu’ils sont en concurrence avec les autres.
Conclusion : Les cycliste roulent plus vite en présence d’autre personnes lorsqu’ils sont chronométrés

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8
Q

Max Ringelmann :

A
  • Universitaire français
  • Membre de l’Académie d’agriculture de France du XIXème siècle.

Exemple : Le tir à la corde, est ce qu’on tire plus fort à plusieurs où tout seul ?
→ On tire plus fort tout seul quand équipe. Donc on est plus fort tout seul
Conclusion : La performance des individus est moindre sur des tâches simples (tirer la corde) en présence d’autres, que lorsqu’ils sont seuls.

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9
Q

Qu’elle est le fondement de la psychologie social ?

A

La psychologie sociale à vue le jour grâce au débat et au polémique sur les sujets.

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10
Q

Qui a créé les premier manuels ?

A
  • F. Alport
  • Conclusion : Interaction entre individu et l’environnement social, accent sur la méthode scientifique et l’expérimentation.
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11
Q

Muzafer Sherif :

A
  • Jeune en turquie, il avait observé les soldat grands massacrer ses amis
  • Expérience Capital sur l’influence sociale
  • Théorie :
    Comment un groupe arrive-t-il à influencer un individu ? Il a posé des questions primordial pour la psychologie
    Formation des normes
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12
Q

Kurt Lewin :

A
  • Réfugié juif de l’Allemagne nazie
  • Théorie :
    Le comportement résulte de l’interaction entre l’individu et l’environnement
    Nos comportement dépendent de notre perception du monde
    Nos research without action, no action without research
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13
Q

S. Milgram :

A

Auteurs qui a énormément contribué au développement scientifique. Dans le domaine de la psychologie sociale, Milgram est une référence. Avec des expériences à la moralité douteuse, il a réussi à tester l’obéissance humaine à l’autorité

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14
Q

La spectaculaire recherche de S. Milgram sur la soumission à l’autorité (1962)

A
  • Inspiré par la soumission des officiers et citoyens allemands et européens aux nazis
  • A démontré la vulnérabilité de l’individu aux ordres destructeurs de l’autorité
  • A préfigurer la mise en question des institutions
  • Probablement la plus célèbre expérience dans l’histoire
  • Développement des recherches :
    Pourquoi n’aide t’on pas quelqu’un qui est dans une situation de détresse
    Agression, attraction physique , stress, etc
  • Crises et débats :
    Éthique, méthode (expérience de labo), intrusion, limites culturelles?
  • Exemple : Interpellation de Hausman officier nazy. Il appuie sa défense sur : “J’ai seulement obéi au ordre”.
    Problématique : Comment est ce que toute l’europe à t’il pu se soumettre ?
  • Conclusion : Il a démontré la faiblesse de l’homme avec l’autorité, si une autorité est légitime pour nous nous allons les suivre même si elles vont à l’encontre de nos valeurs.
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15
Q

Définition de Sociabilité

A

Aptitude à vivre en société / en groupe

→ Permet d’assurer des relations interpersonnelles positives dans une perspective d’échange et de respect mutuel, excluant le plus possible domination, agressivité et soumission

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16
Q

→ Comportement pro-sociaux :

A

Respect coopération, altruisme

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17
Q

→ Comportement anti-sociaux :

A

Communication agressivité, soumission

Une sociabilité peut être normale ou anormale.
→ Une relation anormale ne répond pas au critère psychosociale

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18
Q

Stanley Schachter :

A
  • Psychologue américain, spécialiste de la psychologie sociale. Il est connu pour sa théorie des émotions à deux facteurs (1962)
  • Théorie :
    Besoin d’affiliation et d’appartenance
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19
Q

Besoin d’affiliation et d’appartenance :

A

→ Est le désir d’établir et maintenir des relations interpersonnel satisfaisantes
→ Motif humain fondamental
→ Motivation puissance à établir et maintenir des relations durables

Exemple : Comme pour tout enfant livré à lui-même, ses chances de survie sont 0. Le besoin fondamental d’affiliation et d’appartenance, le rejet social engendre la même douleur que celle physique.

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20
Q

Le besoin d’affiliation :

A

→ Est l’origine de toute motivation sociale
→ La puissance du besoin d’affiliation diffère selon les gens
→ Tout relation sociale s’appuie sur ce Besoin d’affiliation

  1. Exemple : Un enfant affamé dont la mère le nourrit va être heureux, et il le transmet à la mère avec un sourire, un apaisement. Leur relation se sent apaisée. Le bébé va découvrir le pouvoir de ses réactions, grâce au réaction d’enfance, un apprentissage se forme.
  2. Exemple : 1 professeur avec qui tu t’entends bien va permettre d’améliorer l’apprentissage de la matière, 1 prof qu’on aime pas
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21
Q

L’anxiété entraîne l’affiliation :

A

→ Ce sont surtout les situations stressantes qui nous motivent à nous affilier avec d’autres surtout avec ceux qui font face à la même menace
→ Le stress amène l’affiliation met pas avec n’importe qui
Exemple : Avant un examen, on voit un groupe d’élèves, et un groupe de professeurs. Le stress va nous pousser à aller voir le groupe d’élèves car ils sont dans la même situation que nous.

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22
Q

La solitude :

A

Sentiment de privatisation à propos des relations sociales existantes.

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23
Q

La timidité :

A
  • Problème durable qui amène les gens à avoir des interactions insatisfaites avec les autres
    → Les gens timides sont exposés au risque de solitude, du sentiment d’isolement et de privation sociale
    → Les personnes sont à risque :

Exemple : 1ère étape de la violence est l’isolement des victimes, c’est une personne à risque.
On peut être confronté à toutes difficultés, si nous sommes entouré on peut tout surmonter.

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24
Q

Socialisation :

A

Processus d’apprentissage qui permet à l’enfant de s’adapter et de s’intégrer à son environnement social et de vivre en groupe.

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25
Q

Donne les moyens de gérer les relations interpersonnelles grâce :

A

Contrôle émotionnel
Stratégies de résolution
Conflits
Des attitudes coopératives
Des attitudes de compréhension
L’écoute active, etc…

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26
Q

Donne les moyens de gérer les relations interpersonnelles grâce :

A
  • Contrôle émotionnel
  • Stratégies de résolution
  • Conflits
  • Des attitudes coopératives
  • Des attitudes de compréhension
  • L’écoute active, etc…
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27
Q

Acculturation :

A

Processus d’apprentissage par lequel l’enfant reçoit la culture de l’ethnie ou du milieu où il/elle vit.
→ En psychologie sociale : Acculturation = Socialisation
→ En anthropologie culturelle : Phénomènes de contact et d’interpénétration entre civilisations différentes.

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28
Q

Les relation interpersonnelles :

A

Caractéristique fondamentale de notre être en tant qu’il se définit comme lien à autrui

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29
Q

La relation est le fondement de toute vie sociale :

A
  • La vie sociale est faite de liens (institutionnels, affectifs, juridiques,etc…) qui unissent les gens
  • La vie individuelle et collective
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30
Q

La vie individuelle et collective :

A

Ensemble d’événements à travers lesquels ces liens se nouent et se dénouent une société, mais aussi chacun de nous, est, à sa façon, un lieu, un noeud de relation

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31
Q

L’attraction initiale : La familiarité / être là

A

→ Les gens sont attirés vers celles/ceux avec qui ils peuvent avoir des relations sociales satisfaisantes

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32
Q

Popularité :

A

Attirance, fait référence aux prestiges sociaux, à l’admiration, au charisme.

→ Les personnes avec du talent ou des compétences qui rejoignent nos besoins sont toujours plus attirantes que celles dont les capacités sont moyennes ou les compétences sont éloignées de nos préoccupations.

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33
Q

L’effet de proximité :

A

→ La proximité est la scène des interactions sociales
→ Beaucoup de relation d’amitié peuvent se former entre des gens qui vivent près l’un de l’autre

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34
Q

L’effet familiarité :

A

→ Plus les gens voient un stimulus (mot étranger, forme géométrique, visage humai) plus ils leur devient agréable.

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35
Q

L’attraction physique : Beauté

A

→ Dans de nombreux contextes sociaux, nous répondons plus favorablement aux hommes et aux femmes physiquement attirants.
Exemple : Certains visages (moyennés, symétriques) seraient universellement attirants pour les adultes comme pour les bébé.

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36
Q

Les gens physiquements attirants :

A

→ Sont plus “populaires”…
→ Ont plus d’expérience sexuelle
→ Ont plus de compétence sociales

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37
Q

Les gens physiquement attirants mais :

A

→ Ils ne sont pas plus heureux
→ Ils n’ont pas plus d’estime d’eux-mêmes
Exemple : Une des raisons est qu’ils “soldent” l’importance des compliment qu’ils reçoivent pour leurs effort non-sociaux (réussite à un examen)
→ Ils doivent maintenir leur apparence et en sont souvent insatisfait (surtout les femmes) :
→ Risque d’objectivation d’auto-objectification

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38
Q

Intimité :

A
  • Capacité personnelle relativement stable de s’engager vis-à-vis d’une autre personne et d’accepter les sacrifices, liés au maintien de ses engagements.
  • Processus où deux personnes essaient de se rapprocher l’une de l’autre
  • Besoin variant grandement d’un individu à l’autre et qui s’exprime par une préférence pour les relations avec beaucoup de chaleur et où l’on échange beaucoup.
  • Satisfait des besoins d’intégrations, de valorisation de sois …
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39
Q

Racine D’intimité :

A
  • Langue européenne
  • Connaissance de l’intérieur, le contenu du plus profond de l’être.
  • Intimité → Du latin “Intimus” superlatif de l’intérieur, l’identité la plus secrète d’une personne.
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40
Q

Interdépendance :

A

Processus établissant une interdépendance où chacun à besoin de l’autre pour satisfaire ses propres besoins et ses inspirations personnelles.

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41
Q

Théorie de l’échange social :

A

→ Les gens cherchent dans la relations à maximiser leurs gains et à minimiser les coûts
→ Des satisfactions importantes, des coûts réduits, et un résultat qui dépasse les attentes du partenaire président un degré élevé de satisfaction
→ Moins on a d’alternatives à une relation, plus on s’investit dans celle-ci

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42
Q

Théorie d’équité :

A

La satisfaction est maximale quand le rapport bénéfices / contributions est similaire pour les partenaires.

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43
Q

Expérience de Waring 1980 :
50 adultes ont répondu à la question :
Qu’est ce que le mot intimité ?

A

Réponses :
- Le partage de ses rêves et de ses pensés les plus privés
- Sexe
- Affection pour une personne
- Absence de colère et de ressentiment
- Possession d’une identité personnel stable (la connaissance de ses propres besoin et de la jouissance d’une bonne estime de soi)

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44
Q

L’hypothèse de l’adéquation :

A

→ La similarité est important pour démarrer une relation
→ La complémentarité est importante pour faire perdurer cette relation.
→ On rend de l’affection à ceux dont on pense avoir reçu de l’affection en fonction de nos croyances affectives, nos comportements, croire que quelqu’un nous apprécie peut aider à faire naître la relation.
→ Contrairement à la pensée populaire, ce n’est pas la complémentarité des besoins ou des personnalités qui allume l’étincelle de l’attraction.
→ Les gens aiment le plus ceux qui ne sont ni trop sélectif (les “arrogants”, ni trop peu sélectifs dans leur choix sociaux “les sans goût”.

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45
Q

Amitié :

A

Relation intime qui existe entre deux personnes qui prennent beaucoup de plaisir à interagir ensemble.

→ La courbe des relations amicales commence par une pente douce, l’Amitié s’établit progressivement avec une augmentation graduelle de l’intimité puis perdure sur un plateau pratiquement sans fin

46
Q

Relation amoureuse :

A

L’amour évoque l’attraction qu’existent entre 2 être, prédominance de deux être et dans lequel de plus dominé des sentiments comme la passion ou la tendresse ou les deux à la fois.
→ La prédominance de l’une ou de l’autre de ses dimensions qui distingue les 2 différents types d’amour.
→ La courbe de relation amoureuse est différents, le début est brusque, mise en tension rapide, l’attirance amoureuse

47
Q

Le plateau :

A

Durée limitée de quelques années. Se termine souvent brusquement par la rupture

48
Q

Type de relation :

A
  • Relation d’échange
  • Relation communales (communal relationships)
49
Q

Relation d’échange :

A
  • Court terme
    → Les gens opèrent selon un modèle basé sur la satisfaction
    → Paiement des bénéfices “du tac-au-tac” : les gens veulent que leurs contributions soient compensées rapidement, pour “équilibrer la balance”
    → Ce sont les relations de circonstance, les partenariats d’affaires…
    → Quid des relations de couple dans le monde occidentel ?
50
Q

Relation communales (communal relationships) :

A
  • Long terme
    → Les partenaires répondre au besoins et bien-être l’un de l’autre dans un laps de temps long, san regarder s’ils ont produit ou s’ils ont reçu un bénéfice
    → Une fois que cette norme a été adoptée, peu importante comment la relation a commencé, la motivation à répondre aux besoins de l’autre devient automatique (Clark et Mills, 1993)
51
Q

Comportement pro-sociaux : Bénéficient aux autres

A
  • Pourquoi aider ?
    → Cela nous fait nous sentir mieux.
    → Nous sommes bons, ou nous voulons le paraître
    → Par empathie, altruisme, et par égoïsme
  • Quand aidons-nous ?
    → Quand nous sommes seuls plutôt qu’à plusieurs (L’effet de spectateur, qui nous guide pour ne pas réagir)
    → Quand nous sommes de bonne humeur, altruistes
    → Quand nous sommes pas pressés
  • Qui aidons-nous ?
    → Les gens attirants, responsables, proches…
52
Q

Qu’est ce que l’agressivité ?

A

→ La colère ≠ hostilité ≠ agressivité ≠ violence
→ Agressivité : Comportement qui vise à faire du mal à l’autre
→ Violence : Acte d’agressivité extrême
→ Sociétés non-violentes :
Bali (Indonésie),
Inuit (arctique)

53
Q

Facteur qui influencent l’agressivité :

A

1- La culture :

2- Le genre :
- Très grandes majorité des violences / Agression sont majoritairement faite par des hommes
- Durant longtemps on pensait que la Testostérone expliquait cette agressivité.
- Aujourd’hui on ne pense pas ça. Pourquoi le jugement des agressions des hommes ne sont pas juger de la même manière.
- Types de violence dans les relation intimes :
Psychologique, économique, physique, sexuelle, administrative, etc
La question du consentement et du déni de la personne. Le viol est un crime

Expérience : Les mêmes mots dis d’un homme / d’une femme. Les hommes vont être mieux vus que les femmes

3- Facteur situationnels :
- La frustration : Exprimer une agressivité en influence à une frustration due situation.
- Différence entre frustration et déception :
- Deception : Perception d’une
- Frustration :
- La température : Plus il fait chaud plus l’agressivité est favorisé
- L’absence de contrôle de soi, l’alcool : Dépend des personnes
- Les médias : Enfant + Images violentes → Adultes violents

54
Q

Types de violence dans les relation intimes :

A
  • Psychologique, économique, physique, sexuelle, administrative, etc
  • La question du consentement et du déni de la personne. Le viol est un crime
55
Q

Les enfants victimes :

A
  • Prévoyance des violence subies par les enfants
  • Dans la très grande majorité les auteurs font partie de l’entourage de l’enfant
  • Tout situation de violence au sein du couple et une situation de maltraitance pour les enfants qui sont exposés
  • Impact de ACE : Étude où on à compris que les répercussion chez les enfants ont un impact durant des années.
  • Facteurs de résilience : Séparés le parent agresseur de l’enfant, le retirer de ce lieu pour le mettre dans un lieu sécurisé avec le parent protecteur.
    → Perception d’avoir été aimé, soigné, soutenu par des adultes à la maison, à l’école, etc… Existence de règles protectrices à respecter à la maison
  • Être / Devenir parent protecteur

Exemple : 1 enfant par classe a subi des violences en France. Un enfant qui voit son père agressé sa mère est semblable à subir la violence à cause du stress énorme qu’il vit.

56
Q

Stress :

A

Chaque personne vit le stress d’une manière a eu.
Le corps produit des hormones de stress
Exemple : Adrénaline, Cortisol sont les hormones sécréter lors de situation de stress en atteinte à nos vie, attentat, viol… Le problème est que ces hormones sont très efficaces sur un temps très court (fuir ou combattre)
→ Amygdale s’allume pour le moindre stress extrême

57
Q

Amygdale :

A

Permet de traiter les émotions et de consolider les souvenirs liés à l’événement stressant en association avec l’hippocampe
matures jusqu’à 25 ans, en dessous les adultes en dessous n’arrivent pas à contrôler leurs émotions.
Le stress répété peut entraîner un psychotrauma affectant le cerveau et son corps.

Conclusion :
→ Ceci explique pourquoi un enfant ayant subi un psychotrauma va avoir des réactions différentes.
→ Un enfant qui à parler de son traumatisme, et qui n’est pas écouter peut être grave pour lui

58
Q

Impact des violences :

A

→ Santé bio psycho sociale (OMS)
→ Impact psychotraumatique à long terme
→ Sidération dissociation, mémoire traumatique…
Mémoire traumatique : La structure qui agit en premier est l’amygdale, elle n’a pas la mémoire verbale, les victimes ont du mal à l’expliquer, elle retient seulement des sensations (Pas de la durée, aucun repère spatial…)
→ L’emprise : Être colonisé par l’agresseur
→ Conduite addictives, à risque, violentes, soumission, comme stratégies de dissociation et survie.

59
Q

Facteurs :

A
  1. Avoir déjà subi des violences notamment pendant l’enfance
  2. Agresseur : attitude envers la violence, abus de substances / Alcool, personnalité
  3. Situation : SES, stress, isolement, avoir grandi dans un milieu violent.
60
Q

Rôle de l’entourage :

A
  • ONU, OMS
  • Privé-public : Huis-clos, tiers, représentations déformées
  • Auslander 2019

Il existe un point commun troublant entre les attaques terroristes, les idéologies extrémistes et les crimes brutaux : La misogynie violente de leurs acteurs
→ Neurosciences : Impact psychotraumatique genré de l’exposition aux violences, ACE
Prédicteur comportementaux de la violence extrême : déshumanisation, misogynie

61
Q

Le contrôle coercitif :

A
  • Acte délibéré ou un schéma comportemental de contrôle, de contrainte ou de menace utilisé par un individu contre une personne, un/e partenaire intime ou un/e ex-partenaire, dans le but de la rendre dépendante, subordonnée et/ou de la priver de sa liberté d’action.
  • Mode opératoire caractéristique par lequel les agresseurs établissent leur emprise sur les victimes au sein du couple.
    Schéma de comportements exercés en continu pour isoler, dominer, priver les victimes de droit et de ressources, les conditionner à obéir.
  • Prolonger les violences après la séparation, y compris par le biais des enfants et l’exercice des droits parentaux.
  • Prédicteur des féminicides
  • Toute évaluation des mis en cause/auteurs de violences intrafamiliales doit s’intéresser au comportement et à la légitimé qu’ils s’accordent au contrôle coercitif.
62
Q

Les croyances s’appellent Schéma de soi : vous penserez-vous…

A
  • Masculin / Féminine ?
  • Indépendant ou dépendant ?
  • Le soi est comme une bibliothèque faite de livres ce qui regroupe schéma de soi forme le concept de soi
63
Q

Que voyez vous devant la glace :

A
  • 1ère étape du développement du concept de soi : La capacité à nous envisager en tant qu’entité distincte.

Exemple : Les bébés se reconnaissent devant le miroir à partir de ⅔ ans.

Expérience : Mettre un bébé devant la glace avec une tache sur le front pour voir s’il se reconnaît
La reconnaissance de soi : On pensait que c’était propre aux grands primates et aux humains mais d’autres animaux se reconnaissent aujourd’hui.
Les images que renvoient les proches à un enfant vont lui permettre de le refléter comme un miroir → Ce lien créer de nombreuses croyances par rapport à nous.

2ème étapes nécessaire du développement sont les facteur sociaux :
Autrui (significant other) sont des miroirs où nous nous voyons nous-même
Exemple :
Un enfant qui ne sait pas faire ses lacets, l’adulte peut réagir de 2 manières :
L’adulte peut l’aider et le rassurer
L’adulte peut d’énerver et le rabaisser (L’enfant pense qu’il est à l’origine de l’énervement de l’adulte)
Quand nous réfléchissons à notre enfance, on comprend pourquoi certaines personnes ont une estime de soi horrible, …

64
Q

Théorie de la comparaison sociale :

A

Lorsque les gens ne sont pas sûr de leurs capacités ou opinions, ou qu’ils n’en ont pas d’information objective, ils s’évaluent en se comparant aux autres

65
Q

Pourquoi nous tournons nous vers autrui pour nous comparer ?

A

Elle nous permet de garder une estime de soi haute
→ En se comparant à des étudiants qui ont moins étudiés, pour maintenir notre estime de soi

66
Q

En situation d’incertitude (absence d’information objective) avec qui nous comparons-nous ?

A
  • Nous nous comparants à ceux qui nous ressemblent
  • A ceux qui sont plus malheureux pour se rassurer
67
Q

On a besoin d’estime de soi et de se voir dans une lumière positive

A
  • Besoin d’affiliation et d’approbation
  • Nous sommes programmés pour nous de préserver
    → Aucune personne ne veut se détruire à part lorsqu’il y a un traumatisme. Les mammifères ont besoin de se donner une valeur pour survivre.
  • Les gens qui ont une estime de soi basse rentrent souvent dans le cercle vicieux des comportements d’autodéfense.

Exemple : Suite à une remarque constructive, il peut y avoir deux réactions possibles, une défensive : “Tu me critiques toujours” ou : “Vous avez raison”.

68
Q

Mécanismes de renforcement du soi

A

La conscience de soi peut faire diminuer l’estime de soi
Attribution différentes des causes du succès / de l’échec
Exemple : “J’ai réussi” vs ”Nous avons perdu”

69
Q

Stratégie auto handicapantes :

A

→ Comportements destinés à saboter nos propres performances et permettent d’excuser d’avance un éventuel échec (perfectionnisme…)
Exemple : Un élève qui va travailler seulement la nuit et qui va rater son examen.
Le perfectionnisme est l’une des répercussions d’un manque d’estime de soi.

70
Q

Se dorer à la gloire des autres

A

Exemple : Les supporters de sport qui sont aussi heureux et fiers que les joueurs.
Augmenter son ES en s’associant à ceux qui ont du succès
Comparaison sociale descendante
Tendance défensive à nous comparer avec ceux qui font pire que nous

Conclusion :
Le concept de l’estime de soi multifacette qui dépend de nous mais aussi des autres

71
Q

Perception sociale :

A

Le processus par lequel les gens arrivent à se comprendre les uns les autres
Une personne se fait une première impression sur nous dans les 15 secondes qui suivent sa vue. Les premières impressions négatives sont très durs à changer.

72
Q

Comportement Non-Verbale :

A

Comportement qui révèle les sentiments d’une personne en l’absence de mots, à travers l’expression faciale, les gestes, le ton de la voix.

73
Q

6 émotions primaires :

A

1- Bonheur
4- Peur
2- Tristesse
5- Dégoût
3- Colère
6- Surprise

Elles sont identifiables trans-culturellement
→ Les émotions secondaires sont créer à partir des émotions primaires
Exemple : La nostalgie vient de la tristesse et du bonheur.
Début du e-mail ou les masque on créer un freint avec les émotions
pas d’émoji donc pas de teinte émotionnelle, donc il fallait les remplacer par des choses qui y ressemble : xD

74
Q

Introspection :

A
  • Perception de notre propre comportement
    Exemple : Une personne qui aide un camarade et qui finalement sera en retard et se fera engueuler peut réagir de 2 manières.
    De manière positive : Il peut voir qu’il est altruisme
    De manière négative : Il peut voir qu’il n’aurait pas dû l’aider
    → L’introspection dépend énormément de l’estime de soi.
    Influence des autres
    Perspectives culturelles
75
Q

Stéréotype :

A

Croyance au sujet des caractéristiques d’une personne en raison de son apparence perçue à un (exo) groupe, généralisation touchant un groupe de personnes et les différenciant des autres.
→ Deux façon d’arriver au comportement discriminatoire
→ Nos croyances (Stéréotypes) et sentiments (préjugés) s’influence les uns les autres et les deux engendrent la descrimination (comportement
→ Les pratiques discriminatoire alimentent en retour les stéréotypes et les préjugés

76
Q

A cause de quelle facteur sommes nous amener à classer les gens.

A
  • Facteur socioculturels :
  • Facteur de motivationnel :
  • Processus automatique :
77
Q

Facteur socioculturels :

A

Comment les groupes sont-ils décrits dans une société (médias, famille, etc…)
Relation intergroupes : Pouvoir et statut des groupes les une par rapport aux autres.

78
Q

Facteur de motivationnel :

A

Quand la maison est en feu, voit-on le pompier ou sa couleur de peau ?

79
Q

Processus automatique :

A

Le processus devient moins automatique quand nous améliorer quand nous améliorons notre aptitude à nous concentrer sur la personne en tant que telle, et non en tant que membre d’un groupe.

80
Q

Catégorisation sociale :

A

Classification des personnes dans des groupes en vertu d’attributs communs
Plutôt que d’être un signe d’anormalité, les stéréotypes reflètent le besoin des gens d’organiser et de se souvenir de l’information : Processus de pensée adaptatif

Les stéréotypes (les catégories en général) = Raccourcis de pensée
Ils permettent déguiser le comportement quotidien
On les trouves dès lors que les gens peuvent étiqueter un groupe spécifique

81
Q

Exogroupe :

A

Le processus par lequel nous percevons les groupes auxquels nous appartenons (“Nous”) comme différents des groupes auxquels nous n’appartenons pas (“Eux”)

82
Q

Effet d’homogénéité exogroupe :

A

Tendance à supposer que les membres de l’exogroupe (“Eux”) se ressemblent plus que les membres de l’endogroupe (“Nous”)

83
Q

Préjugés :

A

Sentiments négatifs/positifs ressentis envers des individus en raison de leur appartenance à des groupes spécifiques.

84
Q

Descrimination dans la légalité :

A

Acte / Comportement qui fait qu’une personne est traitée de manière moins favorable qu’une autres ne l’est, ne l’a été ou ne l’aura été dans une situation comparable.”

85
Q

Racisme :

A

Idéologie fondée sur la croyance qu’il existe une hiérarchie entre les groupes humains, autrefois appelés “races”, comportement inspiré par cette idéologie.

86
Q

Racisme implicite :

A

Forme de préjugé qui fait surface de façon subtile lorsqu’il est socialement acceptable et facile de la rationaliser.
→ Antisémitisme, islamophobie, Antitsiganisme implicites ou explicites.

87
Q

Racisme explicite :

A

Il est interdit aujourd’hui
Exemple : Séparer les enfants noir des enfants blanc dans les écoles.

88
Q

Définition de sexisme :

A

Forme de discimination caractérisée par une attitude envers les femmes, qui reflètent à la fois :
1. Le sexisme hostile : Des croyances négatives et des ressentiments surtout contre les femmes qui ne se conforment pas au stéréotype du genre.
Exemple : Les stéréotypes de genre
→ Une femme qui s’énerve va susciter beaucoup plus d’incomphréhension et de sentiment négatif alors qu’un homme va être vu comme une reaction légitime.

  1. Sexisme bienveillant : Des sentiments chaleureux et d’affection, mais de supériorité.
    Exemple : Les stéréotypes de genre
    → Bleu pour les garçons, rose pour les filles
    → Au bac à sable, les mères interviennent différemment
    Pour les filles : Attention ! Tu vas tomber.
    Pour les garçons : Bravo ! Monte plus haut
89
Q

Pourquoi les stéréotypes de genre sont-ils si résistants ?

A

Renforcement sociétal : Rôle des médias, de la culture populaire (entourage)
La théorie des rôles sociaux

90
Q

La descrimintation sexiste :

A

Exemple : Les femmes peuvent officiellement être pilote seulement depuis quelques années.
Plutôt que la simple acceptation courant de haine ou hostilité envers les femmes, la misogynie est un phénomène politique dont le but est d’occulter et de faire respecter la subordination des femmes et de maintenir la domination masculine”

91
Q

Crenshaw :

A
  • L’une des idées féministes les plus influentes de ces trentes dernières années fondée sur la reconnaissance d’inégalités structurelles multiples et croisées, notamment le racisme et le sexisme et sur le fait que ces intersections peuvent créer de nouvelles formes d’oppression en tant que telles.
92
Q

Crenshaw :

A
  • L’une des idées féministes les plus influentes de ces trentes dernières années fondée sur la reconnaissance d’inégalités structurelles multiples et croisées, notamment le racisme et le sexisme et sur le fait que ces intersections peuvent créer de nouvelles formes d’oppression en tant que telles.
93
Q

Quelles sont les politiques, les structures institutionnelles qui contribuent à l’exclusion de certaines personnes et pas d’autres ?

A

Séparer l’identité des rapports de pouvoir (des structures et des institutions, c’est ignorer et lui enlever son sens social et politique la considérer comme un choix personnel et la réduire à un sens individuel
C’est aussi se méprendre sur le pouvoir, les institution et les groupes privilégiés qui nous imposent leur propre définition de notre identité
Et sur notre position par rapport à eux
Analyser les identités sociales en tant que représentations élaborées dans des rapports de pouvoir

94
Q

Éviter les conséquences négatives des stéréotypes :

A
  • Distinguer généralisation raisonnable et stéréotype
  • Etre vigilant aux exceptions
  • Les stéréotypes devraient être rendus conscients
  • Les stéréotypes peuvent cette première impressions, mais nous devrions dépasser cette première impression : Les stéréotypes devraient être modifiable
95
Q

Technique psychosociales :

A
  1. Le Contrat intergroupes
  2. La classe puzzle
  3. Décatégorisation et recatégorisation
  4. Changer les cultures et les motivations.
96
Q

Solution :

A
  1. Réduire les stéréotypes, préjugés, discriminations
  2. Éviter les conséquences, négatives des stéréotypes
  3. Distingue
97
Q

L’influence social :

A

Modification des attitudes, croyances, comportements, d’un individu ou d’un groupe suite à l’interaction avec un autre individu ou groupe.
→ Elle s’exerce dans une situation d’interaction entre deux entités sociales, la source et la cible se caractérise par leur désaccord (Conflit) à propos d’un Objet.

98
Q

Source :

A

L’entité qui exerce l’influence

99
Q

Cible :

A

L’entité qui subit l’influence

100
Q

4 Différent processus : (Influence majoritaire vs minoritaire)

A

1- Normalisation
2- Conformisme
3- Soumission à l’autorité
4- Innovation

101
Q

Normalisation :

A

Shérif : Chercheur américain qui à immigrée de Turquie. Il a fait une expérience :
→ Il présente un groupe de composer de 3 personnes, une tâche ambigu
→ Il a trouvé que leur jugement sur cette tâche convergent progressivement
→ Formation des normes (normes = Un règle à suivre)

Conclusion : Dans une situation d’incertitude on a besoin des autres mais que la réponse trouver ne sera pas forcément Vrai, mais elle est bonne car elle est soutenu par tous les membres du groupe
Normes = Un règle à suivre

102
Q

Conformisme

A

Salomon Asch : Il arrive aux états unis après la seconde guerre mondial
→ Il se demande comment tous les nazis ont-ils pu suivre Hitler ?
Il pense que même en situation d’incertitude, les minorités vont suivre
Expérience :
→ Il réunit 8 personnes dans une pièce autour d’une table, sur les 8 personnes, 1 seul n’est pas au courant du stratagème. Les 7 autres avaient des réponses prédéfinies (Une réponse fausse)
→ Dans une grande majorité de cas, les gens suivent la fausse réponse en sachant que c’est faux.
→ Seul 25% des participants on refuser de donner la fausse réponse
Conclusion : On se conforme à la fausse réponse.
En public les gens ont des comportement conformistes pour éviter d’apparaître comme déviants
Dans une citation de groupe, unanimité = Exactitude
On parle d’influence normative : Il est plus coûteux de subir la désapprobation du groupe que de se conformer.

103
Q

Soumission à l’autorité

A

A quel point un individu peut-il se plier aux ordres d’une autorité qu’il accepte, mais qui contredit sa conscience ?
Stanley Milgram : Il est Américain, c’est 2 parents ont fui l’europe de l’est des pogroms (Origine polonaise et Roumain). Il va aller à Jehl.
Adolphe Inshman : Nazi qui s’occupait des déportations, il va être amener en procès a jerusalem, et va se défendre en disant : “Je n’ai que suivi les ordre”.

Expérience :
→ Mettre un “prof” avec le cobaye, l’élève (qui est un acteur) doit apprendre une série de mot, Milgram lui dit de se tromper des fois.
→ Le professeur va devoir donner une décharge électrique à l’élève quand ils se trompent, il peut choisir l’intensification.
→ Les personnes vont faire souffrir atrocement les personnes pour suivre l’autorité.

Milgram à exécuter plein de variante à son expérience :
1- Lorsque la victime est plus proche du bourreau, le bourreau va moins faire souffrir la personne.
2- 2 expérimentateurs vont être soit en accord soit en désaccord avec les chocs électriques, le professeur va réduire les chocs électriques alors.
3- 1 expérimentateur va dire stop au professeur ce qui va stopper l’expérience

104
Q

L’obéissance est un Comportement inhérent à la vie en société

A

→ 2 personnes sur 3 vont faire souffrir les personnes quittes a risqué la vie des personnes
(Voir documentaire “Le jeu de la mort”)
L’état agentique :
1- Intégration de l’individu dans une hiérarchie
2- Implique que l’être humain passe du monde Autonome au monde d’agent de l’autorité.
Le fait d’avoir une personne, un soutien social permet de limiter l’influence de l’autorité.

Le courage individuel est transmis aux autres ce qui permet de donner du courage aux autres.

105
Q

Serge Moscovici :

A
  • Psychologue social et historien du XXème siècles
  • Théorie :
    Selon lui, l’un des critiques les plus avancés de la perspective américaine
    Ce sont les opposants, les outsiders, les opprimés (Pensé minoritaire) et non les élites ou les privilégiés (Pensé majoritaire) qui changent la société
    Le changement social (l’innovation) a lieu parce qu’une minorité converti les autres à son point de vue
    L’innovation est initiée par un conflit socio-cognitif

Exemple : Les hippies
Film : “12 hommes en colère”

106
Q

Comment un individu ou une minorité peut exercer une influence sur une majorité alors qu’ils n’ont ni l’autorité , ni la confiance de la majorité ?

A
  • Développement du féminisme
  • Dévloppement de la tolérance envers les mouvements gay
  • Impact de Martin Luther King, Soljenitsyne, Nelson Mandela, etc…
107
Q

Passage du statut de “déviant” à celui de “minorité active” (Objet → Sujet)

A

→ Ce sont les majorités qui vont définir les personnes de “déviant”
→ Lorsque c’est personne assume son identité et qu’ elle renverse la situation d’objet de la majorité en devenant sujet d’elle-même. Elle demande ainsi à être respectée.
→ Lorsqu’il assume son identité, d’autres personnes se reconnaissent et ils deviennent plus forts à plusieurs.

108
Q

La minorité :

A

Elle se définit par rapport à une majorité, elle sera moindre en nombre.
Comment est ce que l’on explique que les femmes soit majoritaire que les hommes mais elle restait minoritaire
Minoritaire mais sur le statut / du manque de privilège
Exemple : Avoir moins accès à l’étude, moins de salaire, …

109
Q

Expérience de Moscovici :

A

→ Groupe 1 de 6 participants, 2 compères + 4 “naïf”
Phase 1 :
→ Juger la couleur d’une diapositive (Vert / Bleu)
→ Les compère donnent systématiquement une réponse incorrect (Vert à la place de bleu)
→ Les Participants se rallient à la réponse des minoritaires

Conclusion : Il arrivent a créer un sentiment de complaisance et change les croyances profondes des majorités

110
Q

5 Styles de comportement adapté aux groupes minoritaires contre-normatifs :

A
  1. Implication et visibilité : L’implication (voie le sacrifice personnel) et la haute estime des objectifs poursuivis doivents être visibles
  2. Autonomie : À l’origine de nos choix, pas instrumentalisés par quiconque.
    La conviction d’être libre de son choix et d’être à l’origine des idees avancees
  3. Consistance :
    Interne (Intra-individuelle) : La personne apparaît convaincue de ce qu’elle affirme
    Sociale (Inter-individuelle) : Le groupe minoritaire adopte une position ferme et valide
  4. Rigidité (version “dure” de la consistance)
  5. Équité (Réciprocité dans les relations avec la majorité)
111
Q

Influence Sociale :

A

Deux mécanismes :
- Conformisme
1. Influence Majoritaire
2. Joue sur le comportement

  • Innovation
    1. Influence Minoritaire (Minorité active)
    2. Joue sur les convictions
    Changement Profond, durable
    Complaisance / Suivisme
    Conversion
112
Q

Effet de complaisance :

A

Effet irrégulier en la forme, désir d’être agréable, de satisfaire.