Q Lecture Flashcards

1
Q

• Selon Stanley Hall, l’intervention auprès des adolescents, que ce soit par les parents ou les éducateurs, a-t-elle sa raison d’être ? Pourquoi ?

A

Non, puisque selon lui c’est comportement vont disparaître d’eux même avec le développement génétique et aucune intervention n’est nécessaire.

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2
Q

• L’approche écologique du développement se distingue des autres théories par l’importance qu’elle accorde au contexte global dans lequel s’accomplit le développement. Qu’est-ce que cela veut dire, de façon plus précise ?

A

L’approche écologique du développement inclus dans son approche toute les influences dans le milieu de l’individu. On est tous différent puisque personne n’a exactement le même environnement.

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3
Q

• Nommez les deux valeurs que plusieurs études révèlent comme étant centrales pour les adolescents d’aujourd’hui.

A

L’amitié et la famille

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4
Q

• Que propose l’approche du cycle de vie?

A

Dans cette approche, on y intègre l’enfance et l’âge adulte. L’adolescence est un pont vers l’âge adulte, mais avec les traces de l’enfance

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5
Q

• L’utilisation des réseaux sociaux et des messages textes par les adolescent fait naître plusieurs préoccupations. Certaines études se sont intéressées au type de contenu envoyé et aux caractéristiques de leur expéditeur. À quels résultats parviennent-elles?

A

Il y a plus de message positif au neutre que négatif
Fille envoit un peu plus de txt que gars
Sexto peu fréquent, f qui en envoie plus affiche somatisation et g moins de symptome dépressif
Bref, texte sont positif ou neutre il faut ller dans l’utilisation extrème pour trouver des liens avec l’inadaptation comme la dépression. Tant qu,il ne sont pas envahissent, on ne peut pas le corrélée au bien-être.

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6
Q

• Une nouvelle conception du développement positif de l’adolescence amène les chercheurs à se distancier de l’approche par variables. Que propose l’approche positive du développement des jeunes?

A

Les cinq C : Compétence personnelle, confiance en asoi, connexion sociale, caractère moral, Compassion
On ne présente pas comme une liste d’acquis développementaux mais comme un modèle intégrateur des indicateurs spécifiques de progrès

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7
Q

• Quels sont les deux critères employés pour établir l’état pubertaire des jeunes et pourquoi ceux-ci posent-ils problème au plan de la précision ?

A

Les premières menstruations chez la fille et les premières éjaculation nocturne chez le garçon. Car ils se arrivent relativement tard dans la puberté

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8
Q

• Expliquez ce qu’est la tendance séculaire.

A

Au cours des siècles, il y a eu une amélioratio de la qualité de vie ce qui a entraîné une accélaration du rythme de croissance des enfants et des ados. Les adultes de nos jours sont donc plus grand et les jeunes ont une maturations plus précoces.

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9
Q

• Nommez et expliquez les deux hypothèses psychosociales qui ont servi d’assises à la question du lien entre le rythme pubertaire et l’adaptation de l’adolescence.

A

La déviance : la déviance par rapport à la norme (avoir sa puberté plus tôt ou plus tard) mène a des difficultés d’adaptation

La Précocité : la puberté précoce interrompt le cours normale du developpement
À cause de l’apparence physique du jeune on s’attend à ce qu’il agisse en adulte même s’il n’est pas rendu la dans son développement, qu’il n’est pas assez mature.

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10
Q

• À la page 48, deux exemples sont donnés quant à l’excès d’assimilation et l’excès d’accommodation. Formulez-en deux autres selon votre compréhension de ces deux mécanismes à la base de l’adaptation.

A

Exemple d’excès d’assimilation : J’avais un ordinateur hybride qui était tactile. J’ai changé d’ordinateur pour un normal pas tactile, mais j’Ai encore l’habitude de vouloir contrôlé la souris en touchant l’écran avec mes doigts.

Exemple d’excès d’accomodation : Ne pas vouloir offenser la personne qui à cuisiner et toujours finir son assiette même si tu as un tout petit appéti et que tu as toujours plus faim. Ne pas écouter son corps.

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11
Q

• Est-il juste d’affirmer que la pensée formelle ne permet pas une analyse combinatoire des situations? Justifiez.

A

Non, car elle permet de résoudre des problèmes multidimensionnels en permettant d’intégrer plusieurs variables à la fois.

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12
Q

• Nommez les deux éléments qui expliquent, selon Piaget, les écarts dans l’âge d’accession aux stades de développement des structures de l’intelligence.

A

La culture et l’expérience personnelle

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13
Q

• En quoi l’approche du traitement urvgvegde l’information se distingue-t-elle de la théorie par stades de Piaget?

A

La notion de stade y est a peu près absente. On croit que les changements se font de façon linéaire plutôt que par pallier. On s’attarde à la cognition en générale plutôt qu’au développement de l’intelligence.

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14
Q

• Énumérez quelques indicateurs de progrès liés aux changements dans le traitement de l’information à l’adolescence.

A

La vitesse de traitement, l’efficience des processus, la qualité des règles et des stratégies utilisée dans le raisonnements.

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15
Q

• Pour Erikson, le développement identitaire de l’adolescent dépend de l’évolution de certaines composantes. Lesquelles?

A

1) L’émergence d’un sentiment d’unité intérieure qui intègre l’agir en tout cohérent
2) L’acquisition d’un sentiment de continuité temporelle reliant le passé, le présent et l’avenir individuels de sorte que le jeune a conscience de suivre une trajectoire de vie qui a une direction, un sens
3) L’intéraction avec les personnes importantes du milieu de vie qui guide les choix

Intégrité, continuité et interactivité

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16
Q

• Les statuts identitaires « identité diffuse » et « identité moratoire » peuvent sembler similaires d’un premier coup d’œil. Cependant, ils sont bel et bien différents. Expliquez en quoi ceux-ci diffèrent.

A

L’identité moratoire veut dire que le sujet explore activement: il fait des tests, il joue des rôles, il s’engage à court terme dans des voies qui peut quitter par la suite. Tandis que l’identité diffuse a une exploration des possibilités qui est faible et peu structurée.

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17
Q

• Identifiez trois des cinq constituantes que Tobin et ses collaborateurs (2010) distinguent dans l’identité de genre.

A
  1. La connaissance de l’appartenance à une catégorie de genre
  2. L’importance accordée à la catégorie de genre par rapport à d’Autres identités ( de religion, de profession, de nationalité, de race,etc.)
  3. La satisfaction liée à l’appartenance à son genre
  4. La pression ressentie pour se conformer au genre
  5. Le sentiment de concordance personnelle avec sa catégorie de genre
18
Q

• Qu’est-ce qui détermine l’importance que prennent les stéréotypes sexuels dans le développement des jeunes? Expliquez.

A

Le processus de socialisation, car c’est en essayant plusieurs rôle et comportement sans s’arrêter à la barrière de genre qu’on devient plus androgyne et qu’on échappe aux stéréotypes de sexuels

19
Q

• Bouchard et St-Amant (2002) ont réalisé une étude sur le genre et les stéréotypes sexuels chez les adolescents. À quels résultats parviennent-ils?

A
  • Les filles adhèrent moins aux stéréotypes sexuels que les garçons.
  • Plus l’ahésion aux stéréotypes sexuels est grande, moins les résultats scolaires sont bon
  • Parents moins scolarisé= plus grandes adhésions aux stéréotypes sexuel
20
Q

• Comment se distingue le processus identitaire des filles et des garçons?

A

Les filles construisent plus leurs identité par ses relations avec les autres, et les garçon c’est plus avec la recherche d’indépendance et d’autonomie.

21
Q

• Que rapporte la littérature concernant le lien entre l’identité à l’adolescence et les relations entre le jeune et ses parents?

A

Plus le jeune a une relation positive avec ses parents plus il a de chance d’avoir un statut identitaire avancé et d’avoir des conduites socialement adaptées à la fin de son adolescence.

22
Q

• Pourquoi l’établissement d’une identité ethnique est-elle plus difficile chez les adolescents qui proviennent d’une famille multiraciale ou pluriethnique comparativement aux adolescents qui proviennent d’une famille mono-ethnique ?

A

Parce que vu qu’il y a plusieurs modèle culturels, cela peut mêler le jeune quand aux valeurs à privilégier. Le jeune peut aussi être confus face aux voies à prendre.

23
Q

Qu’est-ce que le développement «normatif» ?

A

Tâches développementales «universelles»

Réalités nouvelles qui s’imposent à tous les individus au cours d’une même période de croissance

24
Q

Qu’est-ce que l’adolescence ?

A

Période intermédiaire entre l’enfance et l’âge adulte
Étape unique et spécifique du développement humain
Les âges diffèrent selon les écrits
Tranche d’âge choisie : 12-18 ans

25
Q

Est-ce que l’adolescence existe partout?

A

Adolescence n’existe pas partout dans le monde. Démontre société contemporaine (les ados aident les adultes pour travailler et les enfants n’ont donc plus à le faire).

26
Q

Crise ou long fleuve tranquille ?

A

ni l’un ni l’Autre période de transition Pour la grande majorité des adolescents, pas de véritable crise dans la famille
Le concept de «crise d’adolescence» est sans fondement empirique

27
Q

l’ADULescent

A

Nouvelle période développementale «hot» en ce moment

= Pour devenir adulte maintenant, on considère qu’il faut compléter ca avant de vrm se sentir comme un adulte.

Terminer ses études
Quitter le domicile familial
Avoir un emploi à temps plein
Entrer dans une relation conjugale

28
Q

Vrai ou faux: Les transitions des jeunes adultes sont de plus en plus différées

A

Vrai:

Expérimentation de plusieurs parcours de vie afin de faire des choix durables exploration

29
Q

Freud concept de base

A

 Concepts de base
 La libido
 Moteur du développement
 Énergie de base issue de l’instinct sexuel et dirigé vers le plaisir
 Deux univers du psychisme
 Le conscient et l’inconscient qui influent tous deux sur le comportement
 Trois structures du psychisme
 Ça : réservoir des pulsions et des instincts, dans lequel puisent les deux autres structures
 Moi : gestion des pulsions et adaptation de la personne au monde extérieur, régit les fonctions mentales telles le raisonnement, la mémoire et le jugement
 Surmoi : structure morale qui détermine le bien et le mal, les aspirations et les interdits

30
Q

Est-ce que l’adolescence = crise ?

A

Non, période de transition intense

31
Q

Conceptions théoriques sont-elles encore d’actualité

A

doivent s’adapter aux nouvelles réalités

32
Q

Qu’est-ce que le processus transactionnel ?

A

Développement = interaction entre individu et environnement

33
Q

Comment ont évolué les différentes conceptions de l’adolescence ?

A

de théorique à empirique, après stades, continue, biologique

34
Q

Principaux défis de la puberté?

A

Développer une image corporelle positive
Perception cognitive, affective, consciente et inconsciente qu’a un individu de son corps
Est-ce que j’aime l’apparence de mon corps ?
Problème quand l’image perçue ou actuelle dévie de l’image voulue ou idéale **
60% des adolescents seraient insatisfaits de leur corps
L’insatisfaction corporelle est particulièrement marquée à l’adolescence

Développer une image corporelle positive, pourquoi est-ce si difficile ?
1. Pressions socioculturelles de conformité à certains standards de beauté qui n’existent pas dans la réalité
Lien erroné entre minceur ET bonheur, désirabilité, statut social élevé
À l’adolescence, l’apparence physique est associée à la popularité parmi les pairs

  1. Pressions sociales de la famille et des pairs
    Préoccupations excessives des parents par rapport à leur propre image (se projette sur le jeune)
    Moqueries et comparaison des attributs physiques dans le groupe de pairs

Pas vrai pour tous les adolescents :
Tendance à la comparaison sociale
Intériorisation des normes de beauté
«Image corporelle idéale»
Surinvestissement dans l’apparence physique
Partie fondamentale et intégrante de leur concept de soi et de leur valeur personnelle (leur valeur dépend de leur apparence. Toute leur vie est basée la dessus)

35
Q

Différences sexuels à la puberté

A

-Maturation pubertaire:
commence en moyenne deux ans chez les filles comparativement aux garçons
tendance séculaire chez les filles pour l’âge des menstruations

-Image corporelle:
de façon générale, puberté lie à l’insatisfaction corporelle chez les F et la satisfaction corporelle chez les G

36
Q

Est-ce que le «déchaînement hormonal» propre à la puberté pourrait contribuer au développement de psychopathologies comme la dépression ?

A

Ce n’est pas simplement l’arrivée d’hormones qui va créer la pathologie. C’est surtout pcq la vulnérabilité était déjà présente.

37
Q

Risque associé à la puberté

A

Maturation hâtive (puberté précoce):
-Écart entre la maturité physique et la maturité affective, sociale et intellectuelle
-Lien documenté entre la maturation hâtive et les problèmes de comportement extériorisés (PCE) à l’adolescence
(Délinquance
Consommation
Sexualité précoce)
-Surtout chez les filles

38
Q

Maturation hâtive et PCE chez les filles

A

PCE = problème comportement extériorisé
Être dans un environnement avec pairs plus âgés peut faire développer des comportements qu’elle n’aurait pas nécessairement eu naturellement.

maturation hative: fréquentation de pairs plus âgées : relation amoureuse chez les fille: PCE

39
Q

hypothèse de l’accélération sociale

A

Est ce que la maturation pubertaire pourrait faire apparaître problèmes psychosociaux et vice versa.

Accélération = plus tôt. Pas nécessairement plus rapide.

Si dans ma famille je ne suis pas tellement en sécurité, je vais inconsciemment vouloir me faire ma propre famille pour me sentir dans ma sécurité. Le corps va donc se développer plus tôt pour pouvoir répondre à ce besoin.

pk ce lien???
Théorie évolutionniste de la socialisation
Dans un contexte d’adversité :
La jeune fille doit être prête à se reproduire rapidement pour passer ses gênes à l’autre génération
La jeune fille peut vouloir quitter sa famille et fonder rapidement sa propre famille
Mécanismes physiologiques impliqués peu connus
Stress peut précipiter la sécrétion d’hormones
Cycle intergénérationnel
Perspective evolutionniste: FERTILITÉ

40
Q

Définitions et manifestations du développement cognitif

A

Restructuration cérébrale

41
Q

La pensée opératoire formelle (POF)

A

Définition
L’établissement de relations entre le réel et le possible
L’individu peut raisonner sur l’abstrait
La pensée opératoire formelle permet notamment aux adolescents de :
1. Sortir du concret pour accéder à l’abstrait, à l’hypothèse, à la déduction
Penser de façon hypothético-déductive
Aller au-delà de son intuition
Calculer les conséquences de ses pensées et de ses actions sans nécessairement les expérimenter

  1. Raisonner sur des propositions abstraites, indépendantes du contenu sur lequel elle porte
    Identifier et rejeter des hypothèses basées sur la logique
42
Q

La cognition sociale

A

Définition
Comment les adolescents comprennent leur monde social
La cognition sociale permet notamment aux adolescents de :
Prendre la perspective d’autrui
Comprendre le point de vue des autres en tenant compte de leurs intentions, leurs pensées, leurs émotions et leurs comportements
Stades de développement de la perspective d’autrui de Selman

  1. Prise de rôles mutuels (mutual role taking)
    Capables de considérer leur perspective et la perspective d’autrui de façon simultanée et de comprendre que les autres peuvent aussi le faire
    «Je sais que tu sais que je sais que tu sais que je sais»
  2. Prise de rôle sociétal (societal role taking)
    Capables de comparer leur perspective et la perspective d’autrui en tenant compte du système social dans lequel ils vivent
    Comment les forces sociales influencent leur perspective et celle d’autrui
    Par exemple, les adolescents vont attendre des autres qu’ils considèrent ce qui est typiquement attendu ou acceptable comme perspective dans leur groupe social