QCM Flashcards
(41 cards)
Dans la reconnaissance des scènes et des objets, que signifie “CtF” :
a “Cognitive-to-Feel” qui signifie littéralement “du cognitif au ressenti”
b “Coarse-to-Fine” qui signifie littéralement “du grossier au plus fin”.
c “Complex-to-Fell” qui signifie littéralement “du complexe à baisser”.
b “Coarse-to-Fine” qui signifie littéralement “du grossier au plus fin”. (p.56)
Un son est défini selon :
a 2 (deux) paramètres: L’Intensité et la Fréquence.
b 3 (trois) paramètres: L’Intensité, la Fréquence et la Durée.
c 4 (quatre) paramètres: l’Intensité, la Fréquence, la Durée et le Spectre.
c 4 (quatre) paramètres: l’Intensité, la Fréquence, la Durée et le Spectre. (p.59-60)
“On observe que la nature du traitement détermine à la fois le temps de réaction moyen et la proportion de reconnaissance correctes. On peut observer qu’un encodage sémantique prend…”
a “… près de 200 ms de plus qu’un encodage perceptif.”
b “… près de 1000 ms de plus qu’un encodage perceptif.”
c “… près de 100 ms de moins qu’un encodage perceptif.”
a “… près de 200 ms de plus qu’un encodage perceptif.” (p.102)
Encodage et expertise :
a Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient aux dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que l’expertise conduit à une dénomination spontanée à un niveau plus spécifique que le niveau de base.
b Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient au dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que les enfants “experts” ou “novices” avaient une dénomination spontanée équivalente.
c Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient au dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que les novices ont une dénomination spontanée à un niveau plus spécifique (ils se basent sur des détails de la représentation) que le niveau de base.
a Gobbo& Chi (1996) ont montré, en opposant des enfants qui s’intéressaient aux dinosaures (les “experts”) à d’autres qui ne les connaissaient pas (les “novices”), que l’expertise conduit à une dénomination spontanée à un niveau plus spécifique que le niveau de base. (p.105)
Un chunk se définit comme :
a “… comme une unité intégrée de scripts et d’éléments pouvant se dérouler dans un scénario d’action (des points clés dans un scénario d’action).”
b “… comme une unité intégrée de connaissances, qui inclurait à la fois des éléments sémantiques et stratégiques (des règles pour agir).”
c “… comme une série d’indices pris dans le contexte de l’information à mémoriser au moment de sa présentation ; lors de la récupération de l’évènement, la présence des indices facilitera la récupération.”
b “… comme une unité intégrée de connaissances, qui inclurait à la fois des éléments sémantiques et stratégiques (des règles pour agir).” (p.106)
Miller (1956) avait fait l’hypothèse que la capacité de la mémoire à court terme était :
a “de 10 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “comme un numéro de téléphone. Pour faciliter la communication”).”
b “de 5 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “comme sur les doigts de la main”)
c “de 5 à 9 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “le nombre magique 7+/-2”)”
c “de 5 à 9 items (d’où le titre de cet article daté de 1956: “le nombre magique 7+/-2”)” (p.111)
L’attention et le contrôle de l’activité : “Dernièrement, l’attention a été envisagée comme…”
a “… comme un mécanisme central, supramodal, de coordination et d’intégration.”
b “… comme un véritable état mental de focalisation, d’interruption du flot continuel des pensées
inconscientes.”
c “… comme un moyen de mieux distinguer l’intelligence des individus.”
a “… comme un mécanisme central, supramodal, de coordination et d’intégration.” (p.122)
caractéristique de l’attention : “il existe deux façons d’engager son attention : …”
a “…: l’une Ascendante, issue de l’environnement, et l’autre Descendante, initiée par l’intention de l’individu.”
b “… : l’une Automatique, issue du champ visuel fovéal, et l’autre Contrôlé, initié par les mouvements oculaire de l’individu.”
c “… : L’une Physiologique, issue de l’état d’excitation du système nerveux central, et l’autre
Psychologique, initiée par l’apparition d’un évènement dans l’environnement.”
a “…: l’une Ascendante, issue de l’environnement, et l’autre Descendante, initiée par l’intention de l’individu.” (p.126)
Dans une revue de littérature Ruz &Lupianez, en 2002, montrent :
a “… : que l’efficacité de la capture attentionnelle est modulée uniquement par la prégnance de la cible qui est ici à rapprocher de celle de saillance perceptive de l’objet ou encore d’affordance selon Gibson.”
b “… : que la capture de l’attention se produit en dehors de toute intention du sujet.”
c “… : que l’efficacité de la capture attentionnelle est modulée par la nature de la tâche à réaliser et le type de stratégies adopté par les sujets pour la résoudre.”
c “… : que l’efficacité de la capture attentionnelle est modulée par la nature de la tâche à réaliser et le type de stratégies adopté par les sujets pour la résoudre.” (p.129)
Dans une version modifiée d’écoute dichotique, Conway, Cowan &Bunting, en 2001, ont
différencié les participants en fonction de leur capacité de mémoire de travail, ils ont constaté:
a Que les participants dont l’empan est fort ont plus de difficulté à résister à une distraction très saillante, comparativement aux sujets à plus faible empan.
b Que les participants dont l’empan est faible ont plus de difficulté à résister à une distraction très saillante, comparativement aux sujets à plus fort empan.
c Que les participants dont l’empan est faible détecte mieux leur prénom (65%), comparativement aux sujets à plus fort empan (20%).
b Que les participants dont l’empan est faible ont plus de difficulté à résister à une distraction très saillante, comparativement aux sujets à plus fort empan. (p.135)
La loi de Yerkes-Dodson postule:
a Que la quantité de performances de n’importe quel individu se détermine selon une fonction en forme en U inversé, qui dépend du niveau d’éveil.
b Que les performances de n’importe quelle tâche se détermine selon une courbe de Gauss, qui dépend de la durée de la tâche.
c Que la qualité des performances de n’importe quelle tâche se détermine selon une fonction en forme en U inversé, qui dépend du niveau d’éveil.
c Que la qualité des performances de n’importe quelle tâche se détermine selon une fonction en forme en U inversé, qui dépend du niveau d’éveil. (p.157)
Pourquoi les théories de l’apprentissage sont qualifiées “associationnistes”?
a Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a effectuer des actions par
l’association “d’essais et d’erreurs” et qu’un comportement fait l’objet d’un apprentissage s’il conduit de manière répétée (loi de l’exercice) à une satisfaction (loi de l’effet).
b Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a établir des associations entre deux stimulations, ou entre une stimulation et une réponse, ou entre une situation et un comportement.
c Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a construire de nouvelles
connexions (ou associations) neuronales pour enrichir des modèles intériorisés de son environnement.
b Parce qu’elles reposent toutes sur le principe qu’apprendre consiste a établir des associations entre deux stimulations, ou entre une stimulation et une réponse, ou entre une situation et un comportement. (p.88)
L’alerte Phasique se définit comme :
a L’alerte Phasique ou Vigilance correspond à l’état d’un individu qui oriente ses sens de façon volontaire vers un objet nouveau et attendu afin de mieux l’analyser ou de mieux analyser tout objet qui apparaîtra dans la même zone spatiale.
b L’alerte phasique correspond à l’état d’un individu qui est exposé à une situation de détection continue, monotone et longue d’une dizaine de minutes. (Broadbent, 1950-1953)
c L’alerte Phasique correspond à l’état d’un individu qui oriente ses sens de façon involontaire
vers un objet nouveau ou inattendu afin de mieux l’analyser ou de mieux analyser tout objet qui apparaîtra dans la même zone spatiale (Posner, 1978).
c L’alerte Phasique correspond à l’état d’un individu qui oriente ses sens de façon involontaire
vers un objet nouveau ou inattendu afin de mieux l’analyser ou de mieux analyser tout objet qui apparaîtra dans la même zone spatiale (Posner, 1978). (p.140)
Période Réfractaire Psychologique (PRP) :
a Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure expérimentale qui consiste à décaler de quelques millisecondes la présentation de deux stimuli auxquels le sujet doit répondre l’un après l’autre.
b Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure expérimentale qui consiste à présenter
simultanément deux stimuli auxquels le sujet doit répondre.
c Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure longue et monotone où la baisse de détection est en relation avec la durée de la tâche.
a Une PRP peut être mise en évidence avec une procédure expérimentale qui consiste à décaler de quelques millisecondes la présentation de deux stimuli auxquels le sujet doit répondre l’un après l’autre. (p.144)
“L’Inhibition s’exerce lorsqu’il…”
a “… lorsqu’il faut ignorer ou s’empêcher de répondre à des objets de l’environnement qui ne
satisfont plus aux critères de pertinence fixé par le but à atteindre.”
b “… lorsqu’il faut ignorer ou s’empêcher de répondre à des objets de l’environnement qui continue a
répondre aux critères de pertinence fixé par le but à atteindre.”
c “… lorsqu’il faut faire un choix entre des informations contradictoires, sélectionner une stratégie de résolution, plus généralement de prendre une décision.”
a “… lorsqu’il faut ignorer ou s’empêcher de répondre à des objets de l’environnement qui ne
satisfont plus aux critères de pertinence fixé par le but à atteindre.” (p.153)
La supervision cognitive est :
a “un processus descendant qui peut intervenir dans les activités cognitive suivante: résoudre un conflit, […], inhiber ou ignorer des informations devenues inutiles.”
b “un processus ascendant car elle regroupe la détection des erreurs et l’encodage de la nature des informations à mémoriser.”
c “une organisation contrôlée de plans d’actions dirigés vers un but.”
b “un processus ascendant car elle regroupe la détection des erreurs et l’encodage de la nature des informations à mémoriser.” (p.150)
Le syndrome amnésique se définie par trois caractéristiques qui doivent être retenues :
a “(1) La mémoire immédiate est déficitaire, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est
déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont oubliés.”
b “(1) La mémoire immédiate est normale, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est
déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont oubliés.”
c “(1) La mémoire immédiate est normale, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont intacts.”
c “(1) La mémoire immédiate est normale, (2) La capacité à acquérir de nouveaux souvenirs est déficitaire et (3) Les souvenirs anciens sont intacts.” (p.86-87)
Au niveau perceptif: “L’illusion de continuité…”
a “… peut conduire soit à percevoir un stimulus qui n’existe pas, soit, à l’inverse, à ne pas
percevoir un stimulus qui pourtant existe physiquement. Dans le domaine de la perception de la parole, cette illusion est connue sous le nom de restauration phonétique. L’auditeur restaure donc les phonèmes manquants de façon à pouvoir suivre le message.”
b “… correspond au fait que chacun perçoive les aberrations de structure spatiale montre que nous
utilisons tous les même mécanismes d’analyse et de structuration de l’image et en tirons les même
conclusions cognitives.”
c “… montre qu’interpréter une image requiert de déterminer ce qui, dans ses composantes, va constituer le fond de l’image sur lequel se détacheront ses figures”
a “… peut conduire soit à percevoir un stimulus qui n’existe pas, soit, à l’inverse, à ne pas
percevoir un stimulus qui pourtant existe physiquement. Dans le domaine de la perception de la parole, cette illusion est connue sous le nom de restauration phonétique. L’auditeur restaure donc les phonèmes manquants de façon à pouvoir suivre le message.” (p.80)
“L’illusion de localisation vient appuyer l’idée…”
a “… que le système auditif tout comme le système visuel mettent en jeu deux types de processus distinguant l’Identification et la Localisation des objets”
b “… que la modalité haptique semble donc bien spécialisée dans l’appréhension des propriétés
matérielles des objets, alors que la vision l’est dans le domaine spatial.”
c “… que la vision domine chez le primate. Le cas le plus impressionnant est celui de la ventriloquie, qui donne véritablement l’impression que c’est la marionnette qui parle et non le marionnettiste. Si le marionnettiste ne mettait pas en mouvement sa marionnette, l’erreur de localisation de la source auditive disparaîtrait.”
a “… que le système auditif tout comme le système visuel mettent en jeu deux types de processus distinguant l’Identification et la Localisation des objets” (p.81)
1 La modalité haptique est performante dans :
a La perception de la texture et la dureté des matériaux.
b La perception des propriété spatiales des objets.
c La perception et la connaissance précises de la forme et de la taille d’un objet.
a La perception de la texture et la dureté des matériaux. (p.71)
2 Le syndrome amnésique semble indiquer une dissociation entre :
a Entre la mémoire à court terme et la mémoire de travail.
b Entre la mémoire procédurale et la mémoire déclarative.
c Entre la mémoire déclarative et la mémoire sémantique.
b Entre la mémoire procédurale et la mémoire déclarative. (p.87)
3 Les liens entre les éléments dans le réseau de la mémoire sémantique ne sont pas toujours de la même force: certaines relations sont prioritaires. Par hypothèse, la force relative de ces liens va :
a “Va faciliter le rappel indicé”
b “Va renforcer l’effet de familiarité”
c “Va déterminer la rapidité des traitements cognitifs”
c “Va déterminer la rapidité des traitements cognitifs” (p.99)
4 la perception visuelle est automatique dans le sens où :
a Le temps de présentation minimum des images permettant leur reconnaissance est d’une centaine de millisecondes (Thorpes, 1988).
b Le processus de traitement est irrépressible: dès qu’on ouvre les yeux, on ne peut s’empêcher de voir quelque chose et de l’identifier
c La forme globale est traitée plus rapidement que les parties et, en conséquence, interfère sur le
traitement de ces dernières, en le facilitant si les formes locales et globales sont similaires et en le
ralentissant si elles sont différentes.
b Le processus de traitement est irrépressible: dès qu’on ouvre les yeux, on ne peut s’empêcher de voir quelque chose et de l’identifier (p.51)
5 La voie dorsale :
aA pour fonction de transmettre les informations de détails nécessaire pour différencier et identifier les éléments qui composent la scène visuelle: c’est la voie du “quoi”.
b Correspond à la formation réticulée qui s’étend sur toute la longueur du tronc cérébral et appartient aux voies motrices descendantes qui permettent le contrôle de la posture et de la locomotion.
c A pour objet de transmettre rapidement des informations spatiales utiles soit pour agir, soit pour reconnaitre l’agencement des éléments qui composent la scène visuelle: c’est la voie du “où”, ou du “comment”.
c A pour objet de transmettre rapidement des informations spatiales utiles soit pour agir, soit pour reconnaitre l’agencement des éléments qui composent la scène visuelle: c’est la voie du “où”, ou du “comment”. (p.53)