QCM de Léa Flashcards

1
Q

2 – L’approche différentielle a comme objectif :
a – uniquement une approche appliquée visant à élaborer des outils de quantification de l’intelligence et de la personnalité
b – uniquement une approche fondamentale visant à modéliser la struture de l’intelligence et de la personnalité
c – ces deux approches

A

c

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

3 – On doit le Mental Test à Raymond B. Cattel en 1890

Vrai ou Faux ?

A

FAUX : à James McKeen Cattell

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

4 – Galton, comme James McKeen Cattel, évalue l’intelligence via des tâches mentales
Vrai ou Faux ?

A

FAUX : Via des tâches sensorielles

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

5 – Malgré l’absence de consensus sur la définition de l’intelligence, il existe quand même plusieurs points clés la concernant :
a – tous s’accordent à dire que c’est une question d’adaptation à l’environnement
b – le contexte culturel n’a pas à être pris en compte
c – c’est une notion qui évolue et les tests doivent donc aussi évoluer

A

a et c

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

6 – Les processus métacognitifs sont
a - la capacité à contrôler ses propres processus cognitifs
b – à distinguer de la notion d’intelligence

A

a

b est FAUX : aujourd’hui ces processus sont pris en compte dans la définition

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

7 – Alfred Binet
a - ne s’occupait pas des adultes
b - a créé une échelle de l’intelligence permettant l’ordonnancement des sujets par rapport à leur réussite
c - conçoit l’intelligence comme la somme de l’âge mental des différents items (notion d’additivité)
d - a fait le lien entre les activités psychiques élémentaires et complexes

A

b et c

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

8 – Binet et Spearman
a - ont une vision unidimensionnelle de l’intelligence
b - utilisent les mêmes méthodes

A

a

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

9 – Charles Spearman
a - part des variables manifestes pour identifier les variables latentes
b - explique la corrélation entre deux types d’activités (élémentaires et complexes) par la présence d’une intelligence cristallisée et d’une intelligence fluide
c - explique la corrélation entre deux types d’activités (élémentaires et complexes) par le facteur g (intelligence générale)
d - est l’auteur de la théorie bifactorielle

A

a, c, d

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

10 – Associer le bon modèle à la bonne définition

A – Modèle de Burt et Vernon
B – Modèle de R. B. Cattell
C – Modèle de Horn
D – Modèle CHC
E – Modèle de Thurstone

1 - Modèle à 3 strates conservant le facteur g
2 - Modèle à 7 facteurs multiples indépendants
3 - à un facteur g et deux facteurs de groupe (Verbal éducationnel et Kinesthésique-Moteur)
4 - Modèle à 2 facteurs : intelligence cristallisée et fluide
5 - Modèle à 9 facteurs dont l’intelligence cristallisée et fluide

A
A - 3
B - 4
C - 5
D - 1
E - 2
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q
11 – Lequel parmi ces modèles n'est pas un modèle hiérarchique ?
A – Modèle de Burt et Vernon
B – Modèle de R. B. Cattell
C – Modèle de Horn
D – Modèle CHC
E – Modèle de Thurstone
A

E – Modèle de Thurstone

Dans ce modèle, tous les facteurs sont indépendants.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q
12 – Lequels parmi ces modèles rejettent le facteur g ?
A – Modèle de Burt et Vernon
B – Modèle de R. B. Cattell
C – Modèle de Horn
D – Modèle CHC
E – Modèle de Thurstone
A

B et C

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

13 – Que veulent dire les lettres CHC ?

A

Cattell Horn Carroll

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

14 – Le modèle de Thurstone consiste à identifier les facteurs communs aux variables les plus corrélées entre elles. Vrai ou Faux ?

A

VRAI

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

15 – Pour David Weschler :
a – Le QI est un indicateur de développement pour l’adulte et l’enfant
b – Le QI est un indicateur de rang pour l’adulte et l’enfant
c – Le QI se fonde encore sur la notion d’âge mental
d – La notion de QI est conservée mais elle renvoie désormais à une notion de rang

A

b et d

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

16 – David Weschler
a – s’est fondé sur une solide réflexion théorique plus que sur sa pratique pour constituer ses échelles
b – s’est fondé sur sa pratique plus que sur une solide réflexion théorique pour constituer ses échelles
c – étalonne ses échelles sur une population de réf et transforme les notes brutes selon une loi normale
d – voit l’intelligence comme une somme de compétences spécifiques

A

b c d

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

17 – L’échelle de performance a 6 sous-échelles et l’échelle verbale 5 sous-échelles
Vrai ou Faux ?

A

FAUX (c’est l’inverse)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

18 – L’échelle de performance s’intéresse aux raisonnements et aux connaissances verbalisables.
Vrai ou Faux ?

A

FAUX (c’est l’échelle verbale)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

19 – Dans l’échelle verbale, les épreuves ne sont pas chronométrées contrairement aux épreuves de l’échelle de performance.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

20 – Le Wisc IV
a – clarifie des difficultés d’interprétation des versions précédentes
b – dispose d’une meilleure congruence entre les items et ce qu’ils évaluent
c – ne change rien quant à la passation du test

A

a et b

c = Faux : la passation est plus simple et plus attrayante

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

21 – De combien d’indices est constitué le QI du Wisc IV ? Citez les.

A
4 indices
Indice de Compréhension Verbale (ICV)
Indice de Raisonnement Perceptif (IRP)
Indice de Mémoire de Travail (IMT)
Indice de Vitesse de Traitement (IVT)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

22 – Dans le Wisc IV
a – L’ICV correspond à l’intelligence fluide et l’IRP à l’intelligence cristallisée
b - L’ICV correspond à l’intelligence cristallisée et l’IRP à l’intelligence fluide
c – Les épreuves de l’ICV sont chronométrées comme celle de la vitesse de traitement
d – Les réponses de l’ICV sont dépendantes du contexte socio-culturel
e – Les réponses de l’ICV sont indépendantes du contexte socio-culturel
f – L’échelle IRP partage des dimensions communes avec l’ICV et en a aussi des spécifiques
g – les épreuves de mémoire de travail font majoritairement appel à l’audition et évaluent la gestion de la double tâche

A

b d f g

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

23 – La passation et la cotation du WISC IV
a - sont des pratiques très supervisées
b - permettent une interprétation de l’intelligence sans qu’il soit nécessaire de prendre en compte les observations du psychologue
c - sont définies par un protocole qui précise notamment l’ordre des épreuves
d - permettent simplement d’obtenir un score pour chacun des indices

A

a et c

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

24 – Dans le WISC IV, le QI Total est plus précis pour l’interprétation que la performance à chaque indice.
Vrai ou Faux ?

A

FAUX

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

25 - Tout écart entre les indices est forcément pathologique.
Vrai ou Faux ?

A

FAUX

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

26 – Ce qui est intéressant dans le WISC IV, ce sont juste les résultats.

A

FAUX : L’évaluation des dysharmonies (dimension clinique) est importante.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

27 – Dans les autres tests,
a – la NEMI II est un test neurologique
b – le TEAch évalue les problèmes d’attention
c – aucun n’est adapté aux handicaps sévères

A

b

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

28 – La personnalité
a – correspond à la manifestation de l’individualité dans les comportements
b – ne s’intéresse qu’aux comportements observables et donc pas aux pensées ni aux sentiments
c – permet l’organisation de patterns de comportement qui s’activent dans des situations analogues
d – est une notion simple, qui fait consensus

A

a et c

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

29 – Le tempérament
a – se confond avec la notion de personnalité dans le langage courant et a une connotation morale
b – renvoie à la dimension affective et émotionnelle de la personnalité
c – a une base biologique héréditaire

A

b et c

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

30 – L’approche nomothétique
a – est identique à l’approche idiosyncratique
b – est quantitative alors que l’idiosyncratique est qualitative
c – est qualitative alors que l’idiosyncratique est quantitative
d – est par exemple une étude de cas

A

b

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

31 – Les traits
a – sont l’équivalent de la notion de caractère du langage courant
b – sont des caractéristiques quantifiables sur un continuum
c – sont fortement variables dans le temps
d – regroupent des types de personnalité
e – sont regroupés pour former des types de personnalité
f – correspondent à des patterns de comportement

A

a, b, e, f

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

32 – Relier correctement les 3 sphères de la personnalité à leur description
A – Sphère Cognitive
B – Sphère Affective
C – Sphère Motivationnelle
1 – s’intéresse à la façon d’être, aux ressentis
2 – s’intéresse au déclenchement, maintien, arrêt d’une activité
3 – s’intéresse aux traitements des informations

A

A - 3
B - 1
C - 2

32
Q
33 – Relier les modèles avec leurs sources/fondements
A – Behavioristes
B – Clinique
C – Humanistes
D – Cognitivistes
E – Approche des dispositions
F – Psychobiologique

1 – postule l’existence de prédispositions orientant le comportement
2 – Se fonde sur la psychanalyse (les 3 systèmes et les mécanismes de défense)
3 – S’intéresse aux processus cognitifs tout en prenant en compte l’environnement
4 – expliquent les comportements par les neurosciences
5 – se fonde sur l’expérience subjective de la réalité
6 – focalisent sur les comportements observables et les interactions avec l’environnement

A
A - 6
B - 2
C - 5
D - 3
E - 1
F - 4
33
Q

34 – Bandura
a - est l’auteur d’une théorie des apprentissages
b - est cognitiviste
c - partage l’idée que les comportements se construisent à partir de l’expérience faite avec l’environnement
d - a identifié 3 processus : l’imitation, la facilitation sociale et l’anticipation cognitive

A

a, c, d

34
Q

35 – Les behavioristes en prenant en compte les interactions avec l’extérieur développent des théories de plus en plus sociale.s.Vrai ou Faux

A

VRAI

35
Q

36 – Existentialisme et phénoménologisme ont été deux sources d’inspiration pour les béhavioristes

A

FAUX : pour les humanistes ! Carl Rogers, Maslow…

36
Q

37 – Le modèle d’Eynseck
a – distingue 3 dimensions : évitement du danger, recherche de la nouveauté, dépendance à la récompense
b – distingue 2 dimensions : Névrotisme et Extraversion / Introversion
c – S’est fondé sur ses observations cliniques pour modéliser la personnalité en traits et types
d – s’est basé sur la typologie de Jung
e – rejette l’approche psychobiologique
f – avance que les introvertis ont un potentiel d’excitation plus faible que les extravertis
g – avance que les extravertis ont un potentiel d’excitation plus faible que les introvertis

A

b, c, d, g

37
Q

38 – Le modèle de Cloninger
a – se fonde uniquement sur des données neurologiques
b – se fonde sur des données neurologiques et génétiques
c – se fonde sur des données cliniques, neurologiques et génétiques

A

c

38
Q

39 – Cloninger définit un modèle à 3 dimensions de la personnalité.
a - ces 3 dimensions correspondent à 3 comportements
b - ces dimensions sont à inhiber, maintenir ou activer
c - ces dimensions sont chacune liée à un neurotransmetteur
d – ce modèle a été développé par les humanistes
e – mais ne propose aucun test correspondant

A

a, b, c, d

39
Q

40 – Raymond B. Cattell
a – propose une évaluation objective uniquement basée sur des mesures physiologiques
b – propose une évaluation objective tenant compte de mesures physiologiques et de tâches perceptives
c – reprend des travaux de Allport et Odbert sur un catalogue de termes décrivant la personnalité
d – développe un modèle en phase avec le modèle d’Eysenck
e – postule que la personnalité est transcrite dans le discours (approche lexicale)

A

b, c, e

40
Q

41 – Cattell et Eysenk
a - ont des approches, des structures différentes ainsi qu’une structure hiérarchique différente
b - ont des approches et des structures différentes mais une même structure hiérarchique
c - proposent deux modèles qui in fine ont amené à un consensus dans les années 80 autour de 5 facteurs

A

b, c

41
Q

42 – Relier les 5 facteurs du modèle des Big Five à leur description
A – Agréabilité
B – Consciencieusité
C – Ouverture
D – Névrosisme
E – Extraversion
__________________
1 – Renvoie à la stabilité et l’instabilité du sujet, à sa tendance à plus voir les événements négatifs
2 – Renvoie à la dynamique des comportements
3 – Renvoie à la recherche ou l’absence de recherche de stimulations en lien avec un système de régulation des conduites d’approche
4 – Renvoie aux relations interpersonnelles
5- Renvoie à la recherche de nouveauté, à une diversité d’intérêts

A
A - 4
B - 2
C - 5
D - 1
E - 3
42
Q

43 – Le modèle des Big Five
a – précise 5 facteurs ayant chacun 6 facettes
b – les 5 facteurs sont aussi appelés « small thirty »
c – ne dispose pas d’outils d’évaluation standardisé
d – dispose de différentes versions d’outils développés par Eysenck et Cattell
e – dispose de différentes versions d’outils développés par Costa et Mc Crae

A

a, e

Les Small Thirty sont les 30 facettes (6 pour chacun des 5 facteurs)

43
Q

44 – Relier les 3 types de données à leur description
A Life Date
B Questionnaire
C Test

1 – Autoévaluation
2 – Hétérodescription
3 – données objectives

A

A 2
B 1
C 3

44
Q

45 – L’évaluation de la personnalité doit aussi tenir compte des entretiens, des données d’observation et des tests projectifs.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

45
Q

46 – Dans un questionnaire, les biais sont limités par 3 sous-échelles : Lie, False et K (désirabilité sociale) – Vrai ou Faux ?

A

VRAI

46
Q

47 – Les liens entre la personnalité et les intérêts
a - renvoient à la sphère affective
b - renvoient à la sphère motivationnelle
c - sont fondés sur l’hypothèse qu’un sujet s’intéresse à une activité X en fonction de la réprésentation qu’il a des sujets qui pratiquent cette activité
d - sont illustrés par Holland, dans son modèle IPH

A

b, c, d

47
Q

48 – Il existe peu de variations inter-individuelles dans la sphère motivationnelle.
Vrai ou Faux ?

A

FAUX

48
Q

49 – Selon Holland, les choix vocationnels sont une expression de la personnalité, il a donc cherché des correspondances entre type de personnalité et environnement professionnel.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

49
Q

50 – L’IPH
a - est un questionnaire en 4 parties : Autodescription / Activités / Aspiration et choix professionnel / Personnes jugées sympathiques
b - donne un profil de la personnalité en 6 types dont un préférentiel
c - a permis d’établir de bonne corrélation entre intérêts et personnalité

A

a, b

50
Q

51 – Les liens entre personnalité et intelligence sont
a – généralement faibles
b – généralement forts
c – l’ouverture a des liens plus forts avec de multiples capacités cognitives
d – le névrosisme (sous l’angle de la réaction au stress) a des liens plus forts avec l’intelligence générale et les aptitudes numériques

A

a, c, d

51
Q

52 – Les méthodes permettant de distinguer la part environnementale de la part génétique sont
a – simples dans leurs principes (faible technicité) et simples dans leur application
b – simples dans leurs principes (faible technicité) mais pas si simples à appliquer
c – la méthode du risque, la méthode des jumeaux, la méthode des pedigrees et la méthode des adoptions

A

b, c

52
Q

53 - Dans la méthode du risque, le cas index est
a – une personne de la population générale qui sert de point de référence
b – la personne à laquelle on s’intéresse et à partir de laquelle on va établir les probabilités familiales

A

b

53
Q

54 - La méthode du risque
a – est utilisée pour mettre en évidence le caractère familial d’un trait
b – Un trait est dit familial si sa probabilité de survenue au sein d’une famille est supérieure à la probabilité de survenue au sein de la population générale dont la famille est issue
c – permet de conclure au caractère génétique du trait (discrimination suffisante)
d – se fonde sur la notion de proximité génétique

A

a, b, d

54
Q

55 – L’étude des pedigrees
a – consiste à dresser l’arbre généalogique de la famille
b – la transmission héréditaire peut être évaluée pour n’importe quel trait
c – a pour principale qualité de permettre une homogénéisation des données au travers de symboles et de règles de présentation
d – en moyenne la corrélation parents/enfants pour l’intelligence est de 0,5, elle diminue avec les demi-germains

A

a, c, d

55
Q

56 – La méthode des adoptions
a – doit respecter des contraintes fortes pour que l’interprétation soit fiable
b – donne un résultat en terme d’impact de l’environnement parental
c – donne un résultat en terme d’impact de la génétique
d – prend en compte l’influence de la période prénatale

A

a, b

56
Q

57 – La méthode des jumeaux
a – vient de Galton (1875)
b – tient compte de l’environnement pré-natal
c – se base sur des groupes de jumeaux monochorioniques
d – permet d’estimer la part génétique d’un trait

A

a, b, d

57
Q

58 – La méthode des jumeaux consiste
1) en un calcul des différences intrapaires pour le trait étudié
2) en une comparaison entre les 2 groupes des différences intra-paires.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

58
Q

59 – 50 % des grosses gémellaires sont monozygotes et 1 % des grossesses sont gémellaires. Vrai ou Faux ?

A

FAUX (30 à 40%)

59
Q

60 – Dans la définition de l’héritabilité, citez le ou les intrus :
a - part de variance d’un trait imputable à la variation génétique
b - variance expliquée par la différence des allèles
c - information issue d’une analyse statistique à l’échelle de groupes d’individus d’une population donnée
d - évaluation de la part des facteurs génétiques dans la probabilité d’apparition d’un trait phénotypique au sein d’une population donnée
e - information valable au sein d’un groupe donné, indépendante de l’environnement.
f - part de variance phénotypique relevant de la variance génotypique
g - part de la contribution des facteurs génétiques dans les différences interindividuelles
h - ensemble des effets biochimiques des acides nucléiques dans la transmission des caractères

A

e et h

60
Q

61 – Dans le modèle de décomposition ACE, reliez chaque lettre à sa description
1 – Variance due à l’environnement commun aux membres d’une même famille
2 – Variance additive, imputable aux variations entre allèles
3 – Variance due à l’environnement non commun à laquelle s’ajoute la variance due aux infidélités de mesure

A

A 2
C 1
E 3

61
Q

62 – Les limites de l’interprétation de l’héritabilité est qu’elle n’a pas de sens à l’échelle d’un individu et qu’elle est dépendante du contexte.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

62
Q

63 – La méthode des jumeaux
a – permet de vérifier si certains gènes sont responsables de certaines traitements cognitifs
b – ne permet pas de montrer que la variabilité génétique au sein d’une population peut expliquer les différences individuelles
Vrai ou Faux ?

A

Les 2 sont faux, c’est l’inverse !

63
Q

64 – La génétique moléculaire cherche avant tout à mettre en évidence des corrélations entre des modifications génétiques et des maladies.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

64
Q

65 Les SNP (Single Nucleotide Polymorphism)
a – sont des variations majeures du génome au sein d’une population
b – représentent 90 % de l’ensemble des variations génétiques chez l’homme
c – sont la variation d’un seul nucléotide entre individus d’une même espère
d – on peut trouver jusqu’à 3 millions de SNP entre 2 personnes prises aux hasard

A

b, c, d

65
Q

66 – Génétique et héréditaire sont synonymes.

Vrai ou Faux ?

A

FAUX

66
Q

67 – Des mutations dans des cellules germinales conduisent à des maladies génétiques non héréditaires alors que des multations des des cellules somatiques conduisent à des maladies génétiques héréditaires.

A

FAUX (c’est exactement l’inverse)

67
Q

68 – On étudie les sujets porteurs de maladie génétique
a – car ça permet d’excluse tout rôle d’un facteur environnemental
b – pour étudier les liens maladie génétique / profil psychologique
c – pour tenter de comprendre les mécanismes physiologiques et moléculaires en jeu dans certains profils psychologiques
d – parce que les profils psychologiques sont assez semblables d’un patient à un autre

A

b, c

68
Q

69 – QTL
a – veut dire Quantitative Trait Loci
b – est une région de l’ADN associée à un caractère quantitatif
c – la méthode peut s’appliquer à tous les types de traits (quantitatifs et qualitatifs)

A

a, b

69
Q

70 – La distance génétique est la distance qui sépare deux gênes sur un même chromosome, elle se mesure en Centimorgan.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

70
Q

71 – Relier
A Un gène candidat
B Un gène de susceptibilité
1 est un gène dont on pense qu’il puisse être impliqué dans un état particulier
2 est un gène qui ne provoque pas directement une maladie mais qui peut en favoriser le développement.

A

A1

B2

71
Q

72 – Quelques chiffres. Lesquels sont vrais ?
a – la totalité des gênes jouent un rôle pour le développemental
b – 282 gênes seraient liés à des retards mentaux
c – l’intelligence serait le fruit de plusieurs centaines voire milliers de gênes
d – 40% des différences en Mémoire de travail s’expliqueraient par des variations par les séquences ADN (51% pour les aptitudes de résolution)

A

b, c, d

72
Q

73 – On estime qu’il y a interaction entre génotype et environnement si une modification d’environnement a des effets différents sur deux génotypes différents.
Vrai ou Faux ?

A

VRAI

73
Q

74 – Les études d’interaction
a - sont aussi bien menées chez l’animal que chez l’homme
b – ne peuvent être menée chez l’homme car on ne peut garantir l’homogénéité des phénotypes
c – confirment que l’interaction génome / environnement n’est pas neutre
d – les résultats sur les animaux peuvent cependant être mis en relation avec des données chez l’homme
e – ne s’occupent pas des interactions entre gènes

A

b, c, d

74
Q

75 – L’epistasie
a – c’est lorsque un ou plusieurs gênes viennent modifier le fonctionnement d’autres loci
b – d’un point de vue quantitatif est la part de variance génétique non expliquée par des effets additifs des allèles ou des relations de dominance entre allèles
c – n’a rien à voir avec l’expression des facteurs

A

a, b

75
Q

76 – Les phénomènes épigénétiques
a – renvoient à des mécanismes à l’échelle moléculaire modulant l’expression des gênes
b – sont indépendants de l’environnement
c – sont impliqués dans le développement embryonnaire (différenciation et organisation des cellules)
d - permettent une interprétation identique des gênes quelque soit l’individu et les conditions

A

a, c

76
Q

77 – Plusieurs facteurs influencent les phénomènes épigénétiques (l’interprétation du génome)
a – le cytoplasme de l’ovocyte
b – l’organisation des cellules autour d’un axe (anisotropie) après la nidation
c – des phénomènes de méthylation / déméthylation

A

a, b, c

77
Q

1 – L’approche différentielle s’intéresse :
a - aux variations liées à l’individu
b - aux variations inter-individuelles, intra-individuelles mais pas inter-groupes
c - à l’explication des différences de performances individuelles par la recherche de corrélats

A

a et c

L’approche différentielle s’intéresse aux variations inter-individuelles, intra-individuelles et inter-groupes !