Questions Flashcards
(6 cards)
1
Q
Quelle est la loi de consentement en France actuellement ?
A
- il n’y a pas une «loi de consentement»
- c’est que la définition du viol n’inclut pas le consentement
- en ce moment, dans les tribunaux, les victimes ne peuvent pas utiliser l’argument de consentement
- en 2021 l’âge de consentement a été ajouté à la loi, mais pas à la loi du viol. L’accent est également mis sur l’absence de consentement.
- Macron a promis d’ajouter le consentement à la loi
- actuellement, le viol est défini par des éléments comme la violence, la contrainte, la menace ou la surprise
2
Q
Quelles exemples ?
A
- Gisèle Pélicot et l’affaire de Mazan
- elle a été soumise chimiquement par son mari et violée par plus de 80 hommes
- au tribunal, ces hommes ont affirmé effectivement que son consentement n’avait pas d’importance alors ils ne l’avaient pas violée - le mari a donné son consentement pour lui
- le site de web, Coco, active depuis 2003
- «cette affaire des viols de Mazan a placé au cœur du débat public l’évolution de la définition du viol, en raison de l’absence de référence explicite au consentement» lycéen
3
Q
Droits de femmes
A
Il est important que les femmes sachent qu’elles peuvent consentir
4
Q
«Pratiques illégales dans les commissariats ?»
A
- quelqu’un pourrait être subjugué chimiquement encore et encore par quelqu’un qui avait déjà un casier judiciaire, mais qui n’a pas été punis correctement
- Il n’a été condamné qu’à une amende
- pour avoir upskirté des femmes dans un supermarché
5
Q
Dans quelle mesure est la loi different de la loi en Angleterre ?
A
- Angleterre : le consentement est défini comme le fait d’avoir la liberté de faire un choix
- France : jusqu’à récemment, le droit français ne donnait pas de définition du consentement (la reformé de 2021) davantage reconnu, mais il n’est pas nécessaire de prouver
- peines encourues : Angleterre - peine maximale = prison à perpétuité. France - 20 ans de réclusion criminelle, ce qu’on a donné à Dominique Pélicot - quelques n’ont reçu que 3 ans
6
Q
Poursuivre et condamner serait-il vraiment plus facile ?
A
- plus de clarté juridique - maintenant le ministère public doit prouver l’existence de la violence, la contrainte et cetera, ce qui n’inclut pas forcément le ressenti de la victime
- plus de reconnaissance pour les victimes et leur coté
- mais - il y a des défis - il serait difficile de prouver que quelqu’un a dit «non» mais c’est comme ça