Questions de révision du prof toutes section Flashcards
1
Q
De toutes les infections nosocomiales, lesquelles sont les plus fréquentes?
A
Les infections urinaires
2
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à C. difficile :
cette infection était déjà présente ou en incubation au moment de l’hospitalisation
A
faux
3
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à C. difficile :
Elle peut se contracter sur une poignée de porte souillée, un robinet au moment de l’hospitalisation
A
Vrai
4
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à C. difficile :
La prise d’antibiotique contre une infections préalable avec un autre microbe est souvent le facteur déclenchant l’infection à C. difficile
A
Vrai
5
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à C. difficile :
Une mesure d’évitement de la transmission consiste à isoler le patient en chambre privée
A
vrai
6
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à C. difficile :
Les personnes âgées sont les plus à risque de développer cette infection
A
vrai
7
Q
V ou F concernant l’infection nococomiale à entérocoque résistants à la vancomycine :
Les ERV n’induisent pas davantage d’infections que les autres entérocoques, mais ils limitent le choix d’antibiotiques efficaces pour éviter une faille de traitement
A
vrai
8
Q
V ou F concernant l’infection nococomiale à entérocoque résistants à la vancomycine :
Les ERV peuvent se transmettre d’un patient infecté à un autre par l’entremise des mains du personnel soignant.
A
vrai
9
Q
V ou F concernant l’infection nococomiale à entérocoque résistants à la vancomycine :
l est important d’aviser le personnel soignant si une personne est porteuse d’ERV lors d’une admission en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD).
A
vrai
10
Q
V ou F concernant l’infection nococomiale à entérocoque résistants à la vancomycine :
Les ERV peuvent rester dans les selles pendant plusieurs semaines.
A
vrai
11
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à SARM :
La plupart des staphylocoques sont devenus résistants aux pénicillines traditionnelles.
A
vrai
12
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à SARM : Les SARM se transmettent généralement par les mains contaminées.
A
vrai
13
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à SARM : Les SARM peuvent rester longtemps dans les narines ou dans une plaie.
A
vrai
14
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à SARM : SARM signifie Staphylococcus aureus résistants aux médicaments.
A
faux : il signifie Staphylococcus Aureus Résistants à la Méticilline
15
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à SARM :
La meilleure protection est le lavage des mains des patients et du personnel soignant.
A
vrai
16
Q
Les groupes de travail pour la Surveillance Provinciale des Infections Nosocomiales (SPIN) ont des programmes actifs spécifiques contre diverses infections. Quel énoncé n’est PAS exact quant à la nature de ce qu’ils surveillent?
A) Diarrhées associées au Clostridium difficile.
B) Bactériémies nosocomiales associées aux cathéters centraux aux soins intensifs.
C) Pneumonies à pneumocoques multi-résistants acquises dans la communauté.
D) Bactériémies associées aux accès veineux en hémodialyse.
E) Bacilles producteurs de carbapénémases.
A
C ) Pneumonies à pneumocoques multi-résistants acquises dans la communauté
17
Q
Quel organisme a pour mission de soutenir le ministre de la santé et des services sociaux (MSSS) en fournissant une expertise et services spécialusés de laboratoire et de dépistage?
A
Institut national de santé publique du Québec (INSPQ)
18
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à C. difficile : On ne remarque pas d’incidence de l’infection en fonction de l’âge des patients
A
Faux
19
Q
V ou F concernant l’infection nococomiale à entérocoque résistants à la vancomycine :
Les ERV causent davantage d’infections que les autres entérocoques
A
Faux
20
Q
V ou F concernant l’infection nosocomiale à SARM :
Les SARM sont facilement traitées par les pénicilines traditionnelles
A
faux
21
Q
Les groupes de travail pour la Surveillance Provinciale des Infections Nosocomiales (SPIN) ont des programmes actifs spécifiques contre diverses bactériémies, sauf laquelle?
A) Bactériémies associées aux accès veineux en hémodialyse.
B) Bactériémies associées aux cathéters centraux aux soins intensifs.
C) Bactériémies à Staphylococcus aureus et à SARM.
D) Bactériémies associées aux soins chiropratiques et podiatriques.
A
D) Bactériémies associées aux soins chiropratiques et podiatriques.
22
Q
Depuis 2002, il existe un Fonds mondial de lutte contre 3 maladies jugées prioritaires dans le développement de nouveaux vaccins, principalement pour les pays en voie de développement. Quelles sont ces trois maladies?
A
Malaria, tuberculose, VIH/Sida
23
Q
V ou F par rapport aux vaccins :
Il est recommandé aux personnes âgées de recevoir le vaccin contre la grippe à chaque années
A
Vrai
24
Q
V ou F par rapport aux vaccins : La réduction de la poliomyélite et de la rougeole constitue un grand succès de la vaccination
A
vrai
25
V ou F par rapport aux vaccins : Certains vaccins utilisés en Occident sont peu efficaces dans les pays en voie de développement car les sérotypes des souches infectieuses ne sont pas les mêmes selon les régions du monde.
vrai
26
V ou F par rapport aux vaccins : Il ne sert à rien de vacciner les enfants de moins de 2 ans car leur système immunitaire n’élabore pas d’anticorps en réponse aux vaccins.
faux
27
```
Laquelle de ces caractéristiques ne correspond PAS à ce qui serait un critère recherché pour l’élaboration d’un vaccin idéal?
A) Oral plutôt qu’injecté
B) Sans adjuvant
C) Unidose protectrice à vie
D) Stable à la température
E) Peu coûteux
```
B ) sans adjuvant
28
Vous venez de recevoir un pool d’immunoglobulines humaines contre le tétanos. Laquelle des affirmations suivantes est FAUSSE ?
A) Cette injection ne produira pas en vous la synthèse d’anticorps efficaces.
B) Votre protection sera immédiate mais de courte durée.
C) Vous venez de recevoir une immunisation passive.
D) Cette approche est traditionnellement appelée sérothérapie.
E) Vous venez d’être vacciné(e) contre le tétanos.
E) Vous êtes vacciné(e) contre le tétanos
29
Medicago produit des particules pseudo-virales issues de plantes transgéniques. En supposant que des fragments de capsides d’Influenza ainsi obtenues soient injectées à des patients dans l’espoir de protéger contre la grippe, de quel type de vaccin parlerait-on alors ?
Vaccin recombinant
30
La compagnie Pfizer fait la promotion télévisée du Prevnar-13 contre la pneumonie. Ce vaccin contient des polysaccharides capsulaires de 13 sérotypes de pneumocoques, lesquels sont ensuite joints à une protéine vectrice CRM197, le tout étant adsorbé sur phosphate d’aluminium. Comment décririons-nous ce vaccin?
Vaccin conjugué
31
V ou F par rapport vaccination : Il est recommandé aux femmes enceintes de recevoir un vaccin atténué plutôt qu’inactivé
faux
32
V ou F par rapport vaccination : Un vaccin inactivé sera généralement plus efficace qu’un vaccin atténué.
faux
33
V ou F par rapport vaccination : La vaccination est obligatoire au Québec
faux
34
V ou F par rapport vaccination : L’intérêt des vaccins à ADN est de stimuler la réponse immunitaire par injection à l’hôte d’acide nucléique plasmidique encodant la production in vivo de la protéine vaccinale d’intérêt.
vrai
35
V ou F concernant les vaccins : Trop de vaccins donnés simultanément ou au long d’une vie viendraient surcharger le système immunitaire, c’est pourquoi leur nombre est limité et ils sont répartis dans le temps.
faux
36
V ou F concernant les vaccins : Le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons peut provoquer l’autisme, tel qu’il a été démontré par plusieurs équipes de chercheurs.
faux
37
V ou F concernant les vaccins : L’homéopathie et la saine alimentation sont des solutions de remplacement aux vaccins.
faux
38
V ou F concernant les vaccins : Certains vaccins contiennent du méthylmercure qui pourrait provoquer des lésions cérébrales et nerveuses si ingéré en trop grande quantité.
faux
39
V ou F concernant les vaccins : Dans de rares cas les vaccins peuvent induire des réactions allergiques graves.
vrai
40
V ou F concernant les vaccins : Une infection contractée naturellement confère une meilleure protection subséquente qu’un vaccin ne le ferait.
vrai
41
V ou F concernant les vaccins : Les risques graves associés aux vaccins sont beaucoup plus rares que ceux liés aux infections
vrai
42
V ou F concernant les vaccins : Il n’existe pas au Québec ni au Canada de programme d’indemnisation financière des victimes potentielles d’une vaccination.
faux
43
V ou F concernant les vaccins : Les vaccins à anatoxine sont constitués d’exotoxines inactivées par la chaleur.
vrai
44
V ou F concernant les vaccins : Un vaccin constitué de protéines de surface du papillomavirus que vous avez brisé et purifié chimiquement est un vaccin sous-unitaire.
vrai
45
V ou F concernant les vaccins : L’alun est un sel d’aluminium servant d’adjuvant dans certains vaccins.
vrai
46
V ou F concernant les vaccins : En langage vaccinal, une réponse anticorps dite ‘secondaire’ est plus faible et plus lente qu’une réponse anticorps dite ‘primaire’.
faux
47
Vous voulez produire un vaccin novateur contre un virus Y. Vous caractérisez l’ADN de ce virus, puis en extrayez un gène d’intérêt que vous implantez dans des plants de tabac à l’aide d’un fusil à gène. Votre usine végétale permet d’obtenir des protéines de capsides. Vous raffinez les techniques d’injection pour pouvoir les administrer sans aiguille à l’aide d’un pistolet à haute pression. Quel vaccin fournissez-vous ainsi ?
Vaccin recombinant
48
Imaginons la situation suivante : Ébola se répand en épidémie. Vous recevez un cocktail de 3 anticorps monoclonaux contre l’Ébola, appelé ZMapp. Laquelle des affirmations suivantes vous semble la plus réaliste et vraie ?
A) Vous venez d’être vacciné contre l’Ébola.
B) Vous n’avez pas eu le choix, la vaccination étant obligatoire au Québec lors de risque d’épidémie.
C) Vous venez de recevoir une immunisation passive, car vous aviez contracté le virus.
D) Votre protection sera de longue durée car ces anticorps persisteront longtemps dans votre corps.
E) Toutes ces réponses me semblent réalistes et vraies.
C) Vous venez de recevoir une immunisation passive, car vous aviez contracté le virus.
49
```
Certains vaccins sont recommandés pour tous. Quelle combinaison de maladie ou de microbe ne reflète PAS le calendrier de vaccination au Québec?
A) Diphtérie, coqueluche, tétanos
B) Pneumocoque, méningocoque, grippe
C) Tuberculose, choléra, rotavirus
D) Papillome, hépatite B, polio
```
C) Tuberculose, choléra, rotavirus
50
Le Pneumovax est constitué de polysaccharides capsulaires de 23 sérotypes de pneumocoques. Il s’agit donc d’un vaccin :
Sous-unitaire
51
Les avantages d’un vaccin à agent complet atténué par rapport à un vaccin à agent complet inactivé sont nombreux. Quelle affirmation n’est PAS un tel avantage?
A) Ils sont plus efficaces, atteignant un taux d’efficacité de 95%.
B) Leur effet est plus durable, conférant souvent une immunité à vie sans besoin de rappel.
C) Ils peuvent mieux induire une réponse anticorps contre la tuberculose.
D) Ils sont recommandés chez la femme enceinte et les personnes immunodéprimées.
D) Ils sont recommandés chez la femme enceinte et les personnes immunodéprimée
52
Qu'est-ce qu.un vaccin recombinant?
Constitué d'antigènes produits par insertion d'un gène supplémentaire dans un autre organisme
53
V ou F concernant les vaccins : Un vaccin idéal procurerait une immunité à vie après une seule dose, serait peu coûteux et resterait stable sans réfrigération.
vrai
54
V ou F concernant les vaccins : La vaccination est obligatoire au Québec.
faux
55
V ou F concernant les vaccins : Il est maintenant possible de produire des vaccins dans des feuilles de plantes.
vrai
56
V ou F concernant les vaccins : Le thimérosal est un dérivé du mercure utilisé comme agent de conservation dans certains vaccins.
vrai
57
V ou F concernant les vaccins : L’immunisation passive procure une protection efficace à long terme.
faux
58
V ou F concernant les vaccins : Il ne faut pas administrer plus d’un vaccin à la fois à un enfant.
faux
59
V ou F concernant les vaccins : Les vaccins peuvent surcharger le système immunitaire.
faux
60
V ou F concernant les hypersensibilité : Une hypersensibilité est une réaction immunitaire exagérée contre un agent inoffensif.
vrai
61
V ou F concernant les hypersensibilité : Le rhume des foins et l’asthme sont parmi les formes les plus fréquentes d’atopie.
vrai
62
V ou F concernant les hypersensibilité : L’anaphylaxie est la phase active d’une hypersensibilité de type I connue sous le vocable d’allergie.
vrai
63
V ou F concernant les hypersensibilité : L’anaphylaxie localisée peut être grave si elle déclenche une bronchoconstriction.
vrai
64
V ou F concernant les hypersensibilité : La phase de sensibilisation à un allergène est caractérisée par une libération massive d’histamine.
faux
65
V ou F concernant les hypersensibilité : Un allergène peut stimuler les mastocytes au moyen d’IgE qui servent alors de récepteurs.
vrai
66
V ou F concernant les hypersensibilité : Une prédisposition génétique aux allergies s’appelle anaphylaxie.
faux
67
V ou F concernant les hypersensibilité : Le Prick test consiste à introduire sous la peau une goutte d’allergène au moyen d’une aiguille.
vrai
68
V ou F concernant les hypersensibilité : Le choc anaphylactique est une anaphylaxie systémique souvent accompagnée d’un choc hypovolémique.
vrai
69
V ou F concernant les hypersensibilité : La désensibilisation aux allergies est une forme de traitement procurée par l’entremise de lymphocytes mémoire producteurs d’autres classes d’anticorps que les IgE.
vrai
70
V ou F concernant les hypersensibilité : L’anaphylaxie au venin d’abeille est une hypersensibilité immédiate de type-I.
vrai
71
V ou F concernant les hypersensibilité : L’ÉpiPen est une solution concentrée d’antihistaminique à base de cortisone.
faux
72
V ou F concernant les hypersensibilité : Les antihistaminiques sont des bloqueurs de la production d’IgE par les lymphocytes B.
faux
73
V ou F concernant les hypersensibilité : La dermatite de contact causée par le pentadécacatéchol contenu dans certaines plantes est une hyper-sensibilité immédiate de type-I.
faux
74
V ou F concernant les hypersensibilité : Un individu de groupe sanguin A recevant du sang d’un donneur O connaîtra une réaction transfusionnelle hémolytique.
faux
75
V ou F concernant les hypersensibilité : Les leucotriènes contribuent à l’asthme en provoquant la constriction bronchique.
vrai
76
Un pesticide se colle à vos plaquettes sanguines, si bien que vos anticorps et le complément viennent s’y fixer et aident les leucocytes à les détruire. Vous êtes victime de :
A) Anaphylaxie systémique de type I.
B) Purpura thrombocytopénique de type II.
C) Réaction d’Arthus de type III.
D) Hypersensibilité retardée de type IV.
E) Maladie auto-immune non spécifique.
B) Purpura thrombocytopénique de type II.
77
Je suis un foetus souffrant d’érythroblastose, quelle(s) situation(s) peut (peuvent) être VRAIE(S) ? (plusieurs choix possibles)
1. Ma mère est enceinte pour la 1ère fois, elle est Rh négatif et moi Rh positif.
2. Ma mère est enceinte pour la 2ème fois, ma soeur est Rh négatif et ma mère Rh positif.
3. Ma mère est enceinte pour la 2ème fois, ma soeur est Rh positif et ma mère aussi.
4. Ma mère est enceinte pour la 2ème fois, ma soeur est Rh positif et moi aussi.
4. vrai seulement
78
Nous sommes des maladies causées par des complexes immuns :
A) Allergies très rapides aux noix et au pollen végétal.
B) Érythroblastose foetale et purpura thrombocytopénique. C) Réaction d’Arthus et maladie sérique.
D) Allergie à la pénicilline et dermatite de contact au sumac vénéneux
E) Réaction transfusionnelle hémolytique et maladie sérique.
C) Réaction d’Arthus et maladie sérique.
79
V ou F concernant l'HS de type IV : Les phénomènes d’hypersensibilité de type IV sont dits retardés parce qu’ils mettent un à plusieurs jours suivant l’exposition à l’antigène pour que se manifestent les symptômes.
vrai
80
V ou F concernant l'HS de type IV : Le processus immunitaire qui entre en jeu lors de l’hypersensibilité de type IV ressemble beaucoup aux réactions lymphocytaires auxiliaires et cytotoxiques normales.
vrai
81
V ou F concernant l'HS de type IV : Les réponses de type IV peuvent être dirigées contre des substances qui se collent à des protéines de l’organisme, rendant ainsi les cellules anormales aux yeux des lymphocytes.
vrai
82
V ou F concernant l'HS de type IV :Les hypersensibilités de type IV ne sont induites que par des substances chimiques et non pas par des microorganismes.
faux
83
V ou F concernant l'HS de type IV : La destruction des cellules cancéreuses, le phénomène de rejet des greffes, les lésions associées à la tuberculose ou à l’hépatite chronique sont des exemples d’hypersensibilité de type IV.
vrai
84
V ou F concernant l'HS en général : Les différents types d’hypersensibilités sont généralement classés sur la base du mécanisme principal à l’origine des lésions tissulaires et de la maladie.
vrai
85
V ou F concernant l'HS en général : Des anticorps autres que les IgE induisent les hypersensibilités de type II.
vrai
86
V ou F concernant l'HS en général : Étant donné que les dommages induits par l’hypersensibilité de type III sont surtout causés aux tissus de l’hôte, on peut considérer qu’il s’agit d’une forme de maladie auto-immune.
vrai
87
V ou F concernant l'HS en général : Seul un choc anaphylactique, et non une anaphylaxie localisée, peut conduire à la suffocation.
faux
88
V ou F concernant l'HS en général : Certains anticorps monoclonaux et des antagonistes du TNF se sont avérés efficaces contre la polyarthrite rhumatoïde.
vrai
89
A chaque été j’ai le rhume des foins, les yeux me piquent et le nez me coule... Je prends des antihistaminiques en vente libre dans les pharmacies. Ces derniers agissent principalement sur quel type de cellules?
Mastocytes
90
V ou F : La différence entre une hypersensibilité de type II et une hypersensibilité de type III est que dans le cas de l’hypersensibilité de type II des anticorps s’attaquent directement à des cellules cibles ou des tissus spécifiques du Soi, entraînant l’activation du complément et de cellules cytotoxiques de destruction de la cible; tandis que dans le cas de l’hypersensibilité de type III des anticorps se lient à des antigènes circulants pour former des complexes immuns qui se déposent ensuite ici et là dans divers tissus, causant de l’inflammation systémique ou atteignant certains organes :
vrai
91
Un individu se présente à l’urgence d’un hôpital, couvert d’éruptions rougeâtres apparues soudainement et provoquant d’intenses démangeaisons. Le matin, il avait pris son antibiotique contre une infection de la main qu’il a contractée lors d’une marche en forêt pendant laquelle il s’est fait piquer par divers insectes. Par ailleurs, il avait apporté un lunch contenant des fruits exotiques qu’il n’avait jamais mangés auparavant et, de surcroît, notre homme est asthmatique. Il passe un Prick test, reçoit des anti-inflammatoires, puis un échantillon de sang est envoyé en laboratoire pour un test de RAST. A quoi sert ce test?
A) A vérifier le degré d’asthme au moyen du dosage des leucotriènes et d’autres lipides dérivés de l’acide arachidonique tels que les prostaglandines.
B) A soumettre le sérum à divers allergènes par technique radio-immunologique (RIA) afin de détecter les IgE dirigés contre les allergènes en question.
C) A détecter et quantifier un ensemble de cytokines pro-inflammatoires par méthode ELISA.
D) A vérifier la sensibilité allergique à toute une gamme d’antibiotiques et de venins d’insectes par exposition de ces produits à des lymphocytes B en culture cellulaire dans des microplaques.
E) A quantifier la dégranulation des mastocytes par le dosage de l’histamine, ainsi que le rôle de cette substance dans le processus de l’urticaire.
B) A soumettre le sérum à divers allergènes par technique radio-immunologique (RIA) afin de détecter les IgE dirigés contre les allergènes en question.
92
Mon corps se couvre de plaques bleutées, en résultat de saignements sous-cutanés dus à une destruction des plaquettes sanguines par le système immunitaire. Le diagnostic le plus probable est que je souffre :
A) D’une anaphylaxie de type I médiée par de l’histamine. B) D’un purpura de type II médié par des anticorps et le complément.
C) D’une réaction d’Arthus de type III suite à des complexes immuns.
D) D’une hypersensibilité retardée de type IV provoquée par des lymphocytes cytotoxiques.
E) D’une réaction cutanée allergique forte à Donald Trump.
B) D’un purpura de type II médié par des anticorps et le complément.
93
Je souffre d’une inflammation des vaisseaux sanguins (vasculite) causée par une surabondance d’anticorps attachés à des antigènes en circulation. Je fais une réaction d’hypersensibilité de quel type?
III
94
J’ai des plaques rouges au visage qui me font ressembler à un loup; je souffre d’une maladie auto-immune :
A) Maladie coeliaque (intolérance au gluten)
B) Sclérose en plaques
C) Polyarthrite rhumatoïde
D) Lupus érythémateux
E) Diabète insulinodépendant de type I
D) Lupus érythémateux
95
Je suis un foetus souffrant d’érythroblastose, quelle situation peut être VRAIE ?
A) Ma mère est enceinte pour la première fois, elle est Rh positive et moi Rh négatif.
B) Ma mère est enceinte pour la première fois, elle est Rh négatif et moi Rh positif.
C) Ma mère est enceinte pour la 2ème fois, mon frère est Rh positif et moi aussi.
D) Ma mère est enceinte pour la 2ème fois, mon frère est Rh positif et ma mère aussi.
E) Ma mère est enceinte pour la 2ème fois, mon frère est Rh négatif et ma mère Rh positif.
C) Ma mère est enceinte pour la 2ème fois, mon frère est Rh positif et moi aussi.
96
V ou F : Une hypersensibilité est une réaction immunitaire exagérée contre un agent inoffensif
vrai
97
v ou f : L’anaphylaxie est une hypersensibilité de type I connue sous le vocable d’allergie
vrai
98
V ou F : On appelle atopie une prédisposition génétique aux allergies, qui toucherait jusqu’à 20% de la population.
vrai
99
V ou F : Un allergène peut stimuler les mastocytes au moyen d’IgE qui servent alors de récepteurs.
vrai
100
V ou F : La phase de sensibilisation à un allergène est caractérisée par une libération massive d’histamine.
faux
101
V ou F : Seul un choc anaphylactique systémique, et non une anaphylaxie localisée, peut conduire à une suffocation.
faux
102
V ou F : La maladie du sérum (maladie sérique) résulte d’un excès de complexes immuns.
vrai
103
V ou F : La dermatite de contact au sumac vénéneux (herbe à puce) est causée par le pentadécacatéchol.
vrai
104
V ou F : Le venin d’abeille, les fruits de mer, les arachides et le pollen ont en commun de stimuler la libération d’histamine chez certaines personnes.
vrai
105
V ou F : Dans les différentes maladies provoquées par les lymphocytes T, les lésions tissulaires sont dues à une inflammation induite par des cytokines produites par des lymphocytes T-CD4 ou à une lyse cellulaire causée par des T-CD8.
vrai
106
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte immunidéficient:
Elle est difficile à détecter par les signes et symptômes cliniques conventionnels d’une pneumonie.
vrai
107
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte immunidéficient:
Une multiplication rapide du microbe est probable avec un risque accru de septicémie.
vrai
108
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte immunidéficient:
Les poumons subissent un oedème sévère causé par l’activité inflammatoire.
faux
109
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte immunidéficient:
Elle oblige à administrer une antibiothérapie empirique à large spectre.
vrai
110
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte immunidéficient:
Il est difficile d’établir un lien entre le type d’infiltration observé sur radiographie versus le type de microbe en cause, c’est pourquoi le diagnostic est basé sur un ensemble de tests.
vrai
111
V ou F quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection : L’absence de rate (asplénie) affecte la disponibilité des lymphocytes B et prédispose aux infections causées par des bactéries encapsulées telles que S. pneumoniae, H. influenzae.
vrai
112
V ou F quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection : Les infections précoces chez les transplantés de moelle ou d’organe recevant des agents immunosuppresseurs sont dues à une déficience en neutrophiles (PMN) tandis que les infections plus tardives sont dues à une déficience lymphocytaire.
vrai
113
V ou F quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection : La chimiothérapie anticancéreuse peut s’avérer immunosuppressive de telle sorte que des infections bactériennes et/ou des infections fongiques sont à anticiper.
vrai
114
V ou F quant au lien observé entre le type de déficience immunitaire subie par une personne et son risque de contracter un type particulier d’infection : L’infection à VIH dégénère en Sida lorsque le seuil de lymphocytes TCD4 passe sous le seuil des 200/l. Pourtant, on observe même une différence dans les pathogènes causant des infections chez les sidéens selon que le taux des lymphocytes se situe au-dessus ou en-dessous de 50/l.
vrai
115
V ou F quand au diagnostic et à l'immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients : La bronchoscopie à fibre optique a révolutionné le diagnostic chez les immunodéficients.
vrai
116
V ou F quand au diagnostic et à l'immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients : La théranostique est un nouveau concept signifiant que le développement de tests diagnostiques rapides permet de mieux choisir et accélérer l’approche thérapeutique.
vrai
117
V ou F quand au diagnostic et à l'immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients : Les corticostéroïdes sont des médicaments utiles pour les immunodéficients infectés.
faux
118
V ou F quand au diagnostic et à l'immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients : Le G-CSF est approuvé chez l’humain pour contrer la neutropénie lorsque celle-ci se manifeste.
vrai
119
V ou F quand au diagnostic et à l'immunothérapie des infections pulmonaires chez les immunodéficients : L’augmentation du nombre de personnes immunosupprimées et l’émergence de la multirésistance chez les microbes oblige l’industrie à tester des composés immunomodulateurs en combinaison avec des antibiotiques.
vrai
120
V ou F relativement aux infections chez les immunodéficients : La société The Infectious Diseases Society of America formule des lignes directrices pour guider la prévention, le diagnostic, la gestion et le traitement des infections pulmonaires.
vrai
121
V ou F relativement aux infections chez les immunodéficients : l existe des algorithmes cliniques permettant de surveiller des critères déterminants chez les sous-populations à risque telles que les personnes âgées, les patients aux soins intensifs, etc.
vrai
122
V ou F relativement aux infections chez les immunodéficients : Les algorithmes incluent des recommandations pour la vaccination et la thérapie antimicrobienne des patients.
vrai
123
V ou F relativement aux infections chez les immunodéficients : Les procédures préventives obligent les patients immunodéficients à se faire vacciner contre les infections pulmonaires.
faux
124
Il est difficile d’établir des liens entre le type (ou le degré) d’immunosuppression versus le type de microbe susceptible de causer une infection chez les gens immunodéficients. Toutefois, certaines tendances sont observées, impliquant des microbes opportunistes ou non-opportunistes. Parmi les énoncés ci-dessous, identifiez lequel est FAUX concernant différents types d’infections pulmonaires chez l’hôte immunodéficient :
A) Aspergillus est la cause la plus fréquente de mortalité par infection fongique chez les transplantés.
B) Les enfants transplantés sont fragiles au virus respiratoire syncitial.
C) On observe une prévalence de tuberculose chez les sidéens à l’échelle mondiale, possiblement par réactivation d’une infection latente à Mycobacterium.
D) Pneumocystis est un germe pulmonaire fréquent chez les sidéens
E) Aucun énoncé n’est faux, ils sont tous vrais.
E) Aucun énoncé n’est faux, ils sont tous vrais.
125
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte ummunodéficient : Facile à détecter cliniquement par des signes et symptômes communs.
faux
126
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte ummunodéficient : Généralement diagnostiquée suite aux soupçons d’un médecin expérimenté.
vrai
127
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte ummunodéficient : Toujours visible en radiographie suite à l’infiltration de neutrophiles.
faux
128
V ou F relativement à la présence d'une pneumonie chez un hôte ummunodéficient : Diagnostiquée de routine par technologie ADN en laboratoire clinique depuis plusieurs années.
faux
129
Qu’est-ce que l’hôte immunodéficient souffrant d’une infection pulmonaire ne risque PAS ?
A) D’être victime d’une multiplication rapide du microbe.
B) De développer une septicémie avec infection d’autres organes.
C) De voir son infection se compliquer d’une sévère inflammation pulmonaire.
D) De recevoir une thérapie empirique avec antibiotiques à large spectre.
C) De voir son infection se compliquer d’une sévère inflammation pulmonaire
130
V ou F relativement à l’étiologie des microbes pathogènes versus le type d’immunosuppression : Il est facile d’établir des liens entre le type ou le degré d’immunosuppression versus les types de microbes qui induiront une infection.
faux
131
V ou F relativement à l’étiologie des microbes pathogènes versus le type d’immunosuppression : Il est facile d’établir des liens entre le type d’infiltration observé en radiographie versus le type de microbe en cause.
faux
132
V ou F relativement à l’étiologie des microbes pathogènes versus le type d’immunosuppression : Il est possible de voir des tendances entre le type ou le degré d’immunosuppression versus le caractère opportuniste ou non-opportuniste des microbes qui causeront l’infection.
vrai
133
V ou F relativement à l’étiologie des microbes pathogènes versus le type d’immunosuppression : On n’observe aucun lien entre l’immunosuppression de type humorale (lymphocytaire B) et l’infection causée par des souches possédant ou non une capsule.
faux
134
V ou F relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés: Les sidéens sont vulnérables au Pneumocystis et à la tuberculose.
vrai
135
V ou F relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés: Les infections précoces chez les transplantés de moelle ou d’organe sont dues à une déficience des lymphocytes T.
faux
136
V ou F relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés: L’ablation de la rate affecte la disponibilité des lymphocytes B.
vrai
137
V ou F relativement aux ‘patterns’ de déficiences immunitaires et les pathogènes leur étant associés: Les corticostéroïdes (ex. cortisone) sont des agents immunosuppresseurs pouvant favoriser l’infection par des microbes pathogènes.
vrai
138
Les algorithmes cliniques pour guider la prévention, le diagnostic, la gestion et le traitement des infections pulmonaires : quelle affirmation est FAUSSE ?
A) Ces algorithmes n’incluent pas de recommandations sur la vaccination et l’antibiothérapie.
B) Distinguent les infections nosocomiales versus acquises en communauté.
C) Sont développés par des sociétés telles The Infectious Diseases Society of America qui formulent des lignes directrices (‘guidelines’) pour les systèmes de santé.
D) Définissent des critères déterminants à surveiller pour diverses sous-populations telles les personnes âgées, les patients aux soins intensifs, les individus à risque.
A) Ces algorithmes n’incluent pas de recommandations sur la vaccination et l’antibiothérapie.
139
V ou F quant aux procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immuno : La bronchoscopie à fibre optique a révolutionné le diagnostic chez les immunodéficients.
vrai
140
V ou F quant aux procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immuno : L’intuition clinique est très utile car on n’obtient pas toujours d’expectorations chez les immunosupprimés et les cultures sont souvent négatives.
vrai
141
V ou F quant aux procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immuno : La radiographie standard de la poitrine est essentielle.
vrai
142
V ou F quant aux procédures diagnostiques pour les infections pulmonaires chez les immuno : L’imagerie par résonnance magnétique est plus utile que la tomographie (scanner) chez ces patients.
faux
143
V ou F quant au tests diagnostiques rapides à base d'ADN : Les techniques microbiologiques standards faisant usage de culture microbienne nécessitent en moyenne 48 heures pour identifier une bactérie et sont inadéquats pour les virus.
vrai
144
V ou F quant au tests diagnostiques rapides à base d'ADN : La technologie GenePOC utilise des systèmes intégrés de puces à ADN et de circuits microfluidiques afin d’identifier les microbes en 1 heure dans un spécimen clinique.
vrai
145
V ou F quant au tests diagnostiques rapides à base d'ADN : La théranostique est un nouveau concept selon lequel le diagnostic rapide par ADN servira à guider et accélérer la thérapie.
vrai
146
V ou F quant au tests diagnostiques rapides à base d'ADN : L’inconvénient de l’identification microbienne par ADN est que cette technologie ne peut pas déterminer si la souche contenue dans un spécimen est résistante aux antibiotiques.
faux
147
Pathogenèse comparative de la pneumonie à pneumocoque dans un modèle murin de souris immunocompétentes versus immunosupprimées : qu’est-ce qui ne caractérise PAS les immunosupprimées ?
A) Retard ou absence d’infiltration de neutrophiles, monocytes et lymphocytes aux poumons.
B) Multiplication plus grande de pneumocoques dans les poumons.
C) Présence d’oedème et d’oxyde nitrique.
D) Décès plus rapide.
C) Présence d’oedème et d’oxyde nitrique.
148
V ou F quant à L’immunothérapie combinée à l’antibiothérapie : L’utilisation de composés immunomodulateurs en association avec des antibiotiques est envisagée pour traiter les immunosupprimés et surmonter l’émergence de la multi-résistance des souches.
Vrai
149
V ou F quant à L’immunothérapie combinée à l’antibiothérapie : Les succès expérimentaux des immunomodulateurs chez l’animal ont presque toujours été suivis des mêmes succès chez l’humain.
faux
150
V ou F quant à L’immunothérapie combinée à l’antibiothérapie : Le G-CSF est une cytokine immunosuppressive contribuant à induire une neutropénie temporaire chez les gens immunocompétents aux prises avec une infiltration de neutrophiles excessive dans les poumons infectés.
faux
151
V ou F quant à L’immunothérapie combinée à l’antibiothérapie : L’utilisation des corticostéroides est plus avantageuse chez les immunodéficients infectés que contre les maladies inflammatoires de nature non infectieuse chez les patients immunocompétents.
faux
152
V ou F pour les pneumonies à mycobactéries : Les infections à Mycobacterium tuberculosis sont très difficilement traitables chez les immunosupprimés.
faux
153
V ou F pour les pneumonies à mycobactéries : On observe une prévalence de tuberculose chez les sidéens à l’échelle mondiale.
vrai
154
V ou F pour les pneumonies à mycobactéries : VIH favorise la réactivation d’une infection latente à M. tuberculosis.
vrai
155
V ou F pour les pneumonies à mycobactéries : M. tuberculosis est un germe plus virulent que les microbes opportunistes habituels.
vrai
156
V ou F pneumonies virales : Les pneumonies virales sont facilitées principalement lorsqu’il y a diminution des lymphocytes T.
vrai
157
V ou F pneumonies virales : Ganciclovir et foscarnet sont efficaces contre le cytomégalovirus chez les transplantés adultes.
vrai
158
V ou F pneumonies virales : Les enfants transplantés développent principalement des pneumonies à Herpès simplex.
faux
159
V ou F pneumonies virales : Un rhume causé par Rhinovirus peut dégénérer en pneumonie chez un immunosupprimé.
vrai
160
V ou F pneumonies fongiques : Les déficients en lymphocytes T sont vulnérables à l’histoplasmose.
vrai
161
V ou F pneumonies fongiques : Le taux d’infections fongiques est stable depuis 10-15 ans.
faux
162
V ou F pneumonies fongiques : Aspergillus cause des infections invasives chez les neutropéniques.
vrai
163
V ou F pneumonies fongiques : Aspergillus est la cause la plus fréquente de mortalité chez les transplantés.
vrai
164
Laquelle de ces caractéristiques ne correspond PAS à ce qui serait un critère recherché pour l’élaboration d’un vaccin idéal?
```
A) Oral plutôt qu’injecté
B) Sans adjuvant
C) Unidose protectrice à vie
D) Stable à la température
E) Peu coûteux
```
b
165
Vous venez de recevoir un pool d’immunoglobulines humaines contre le tétanos. Laquelle des affirmations suivantes est FAUSSE ?
A) Cette injection ne produira pas en vous la synthèse d’anticorps efficaces.
B) Votre protection sera immédiate mais de courte durée.
C) Vous venez de recevoir une immunisation passive. D) Cette approche est traditionnellement appelée sérothérapie.
E) Vous venez d’être vacciné(e) contre le tétanos.
e
166
Medicago produit des particules pseudo-virales issues de plantes transgéniques. En supposant que des fragments de capsides d’Influenza ainsi obtenues soient injectées à des patients dans l’espoir de protéger contre la grippe, de quel type de vaccin parlerait-on alors ?
```
A) Vaccin inactivé
B) Vaccin sous-unitaire
C) Vaccin recombinant
D) Vaccin à ADN
E) Vaccin conjugué
```
c
167
La compagnie Pfizer fait la promotion télévisée du Prevnar-13 contre la pneumonie. Ce vaccin contient des polysaccharides capsulaires de 13 sérotypes de pneumocoques, lesquels sont ensuite joints à une protéine vectrice CRM197, le tout étant adsorbé sur phosphate d’aluminium. Comment décririons-nous ce vaccin?
```
A) Vaccin à agent complet inactivé
B) Vaccin à anatoxine
C) Vaccin sous-unitaire
D) Vaccin conjugué
E) Vaccin à agent complet atténué
```
d
168
Vrai ou faux?
Il est recommandé aux femmes enceintes de recevoir un vaccin atténué plutôt qu’inactivé. production in vivo de la protéine vaccinale d’intérêt.
faux
169
Vrai ou faux?
| Un vaccin inactivé sera généralement plus efficace qu’un vaccin atténué.
faux
170
Vrai ou faux?
| La vaccination est obligatoire au Québec.
faux
171
Vrai ou faux?
L’intérêt des vaccins à ADN est de stimuler la réponse immunitaire par injection à l’hôte d’acide nucléique plasmidique encodant la production in vivo de la protéine vaccinale d’intérêt.
vrai
172
Vrai ou faux?
Trop de vaccins donnés simultanément ou au long d’une vie viendraient surcharger le système immunitaire, c’est pourquoi leur nombre est limité et ils sont répartis dans le temps.
faux
173
Vrai ou faux?
Le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons peut provoquer l’autisme, tel qu’il a été démontré par plusieurs équipes de chercheurs.
faux
174
Vrai ou faux?
| L’homéopathie et la saine alimentation sont des solutions de remplacement aux vaccins.
faux
175
Vrai ou faux?
Certains vaccins contiennent du méthylmercure qui pourrait provoquer des lésions cérébrales et nerveuses si ingéré en trop grande quantité
faux
176
Vrai ou faux?
Il n’existe pas au Québec ni au Canada de programme d’indemnisation financière des victimes potentielles d’une vaccination
faux
177
Vrai ou faux?
| Dans de rares cas les vaccins peuvent induire des réactions allergiques graves.
vrai
178
Vrai ou faux?
| Une infection contractée naturellement confère une meilleure protection subséquente qu’un vaccin ne le ferait.
vrai
179
Vrai ou faux?
| Les risques graves associés aux vaccins sont beaucoup plus rares que ceux liés aux infections. d’une vaccination
vrai
180
Vrai ou faux?
| Les vaccins à anatoxine sont constitués d’exotoxines inactivées par la chaleur.
vrai
181
Vrai ou faux?
Un vaccin constitué de protéines de surface du papillomavirus que vous avez brisé et purifié chimiquement est un vaccin sous-unitaire.
vrai
182
Vrai ou faux?
| L’alun est un sel d’aluminium servant d’adjuvant dans certains vaccins.
vrai
183
Vrai ou faux?
En langage vaccinal, une réponse anticorps dite ‘secondaire’ est plus faible et plus lente qu’une réponse anticorps dite ‘primaire’
faux
184
- Vous voulez produire un vaccin novateur contre un virus Y. Vous caractérisez l’ADN de ce virus, puis en extrayez un gène d’intérêt que vous implantez dans des plants de tabac à l’aide d’un fusil à gène. Votre usine végétale permet d’obtenir des protéines de capsides. Vous raffinez les techniques d’injection pour pouvoir les administrer sans aiguille à l’aide d’un pistolet à haute pression. Quel vaccin fournissez-vous ainsi ?
```
A) Vaccin à ADN
B) Vaccin recombinant
C) Vaccin à capsides
D) Vaccin végétal
E) Vaccin à ‘gene gun’
```
b
185
Imaginons la situation suivante : Ébola se répand en épidémie. Vous recevez un cocktail de 3 anticorps monoclonaux contre l’Ébola, appelé ZMapp. Laquelle des affirmations suivantes vous semble la plus réaliste et vraie ?
A) Vous venez d’être vacciné contre l’Ébola.
B) Vous n’avez pas eu le choix, la vaccination étant obligatoire au Québec lors de risque d’épidémie.
C) Vous venez de recevoir une immunisation passive, car vous aviez contracté le virus.
D) Votre protection sera de longue durée car ces anticorps persisteront longtemps dans votre corps.
E) Toutes ces réponses me semblent réalistes et vraies.
c
186
Certains vaccins sont recommandés pour tous. Quelle combinaison de maladie ou de microbe ne reflète PAS le calendrier de vaccination au Québec?
A) Diphtérie, coqueluche, tétanos
B) Pneumocoque, méningocoque, grippe
C) Tuberculose, choléra, rotavirus
D) Papillome, hépatite B, polio
c
187
Le Pneumovax est constitué de polysaccharides capsulaires de 23 sérotypes de pneumocoques. Il s’agit donc d’un vaccin :
A) A anatoxine
B) Sous-unitaire
C) Conjugué
D) Recombinant
b
188
Les avantages d’un vaccin à agent complet atténué par rapport à un vaccin à agent complet inactivé sont nombreux. Quelle affirmation n’est PAS un tel avantage?
A) Ils sont plus efficaces, atteignant un taux d’efficacité de 95%.
B) Leur effet est plus durable, conférant souvent une immunité à vie sans besoin de rappel.
C) Ils peuvent mieux induire une réponse anticorps contre la tuberculose.
D) Ils sont recommandés chez la femme enceinte et les personnes immunodéprimées.
d
189
Un vaccin recombinant est :
A) Un vaccin auquel on a ajouté un adjuvant.
B) Un ADN plasmidique injecté in vivo pour faire produire les protéines antigéniques recherchées.
C) Constitué d’antigènes produits par insertion d’un gène supplémentaire dans un autre organisme.
D) Un vaccin combinant des fragments de divers microbes afin de protéger contre plusieurs maladies
c
190
Vrai ou faux?
Un vaccin idéal procurerait une immunité à vie après une seule dose, serait peu coûteux et resterait stable sans réfrigération.
vrai
191
Vrai ou faux?
| Dans de rares cas les vaccins peuvent induire des réactions allergiques graves.
vrai
192
Vrai ou faux?
| Les risques graves associés aux vaccins sont beaucoup plus rares que ceux liés aux infections.
vrai
193
Vrai ou faux?
| La vaccination est obligatoire au Québec.
faux
194
Vrai ou faux?
| Il est maintenant possible de produire des vaccins dans des feuilles de plantes.
vrai
195
Vrai ou faux?
Une infection contractée naturellement confère subséquemment une meilleure protection qu’un vaccin ne le ferait.
vrai
196
Vrai ou faux?
| Le thimérosal est un dérivé du mercure utilisé comme agent de conservation dans certains vaccins.
vrai
197
Vrai ou faux?
| L’immunisation passive procure une protection efficace à long terme.
faux
198
Vrai ou faux?
| Il est maintenant possible de produire des vaccins dans des feuilles de plantes.
vrai
199
Vrai ou faux?
| Une infection contractée naturellement confère subséquemment une meilleure protection qu’un vaccin ne le ferait.
vrai
200
Vrai ou faux?
| Le thimérosal est un dérivé du mercure utilisé comme agent de conservation dans certains vaccins.
vrai
201
Vrai ou faux?
| L’immunisation passive procure une protection efficace à long terme.
faux
