questions élèves Flashcards

(109 cards)

1
Q

À combien est estimée la prévalence des troubles neurodéveloppementaux en milieu scolaire?

A

entre 5 et 15%

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait que le trouble du spectre de l’autisme ait un taux de prévalence plus élevé chez les garçons

A

le trouble apparait de façon différente chez les filles et les garçons. En effet, les difficultés de communication sont moins atteintes chez les filles et les intérêts stéréotypés sont moins hors-normes. Ainsi, les symptômes sont moins explicites et donc moins diagnostiqués que lorsqu’ils se manifestent chez les garçons.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Lequel de ces énoncés est un moyen d’agir favorablement sur les difficultés d’apprentissage chez les personnes ayant un trouble neurodéveloppemental

a. diminuer le nombre d’évaluation<
b. un enseignement libre et non structuré
c. un enseignement intensif et individualisé

A

c. un enseignement intensif et individualisé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Qu’est-ce qui pourrait expliquer le fait que le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité ait un taux de prévalence plus élevé chez les garçons?

A

Chez les filles, les déficits attentionnels sont plus marqués alors que chez les garçons, l’hyperactivité est observée de manière plus prononcée. Ainsi, comme les gars manifestent des symptômes plus externalisés, alors que les filles manifestent des symptômes plus internalisés, les comportements d’hyperactivité sont plus à risque de porter l’attention des professionnels que les comportements internalisés (surtout dans un contexte scolaire, hyperactivité = plus dérangeant que innatention)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

À quel trouble sont associés ces critères diagnostiques : « Déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés. Présence de mode de comportements, d’intérêts ou d’activités restreintes ou répétitifs. »

A

Trouble du spectre de l’autisme (TSA) de la catégorie des troubles neurodéveloppementaux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Lequel trouble font partie des troubles de la communication?

A

trouble de la phonation

trouble de la fluidité verbale apparaissant pendant l’enfance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Nommez au moins deux troubles de la communication et décrivez ce qui est atteint sur le plan de la communication

A

phonation : compétences verbales, sur le plan de la prononciation
fluidité verbale apparaissant pendant l’enfance : atteinte au niveau de la fluidité verbale qui s’exprime par un bégaiement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

V/F
Les sujets féminins ont moins tendance que les sujets masculin à présenter, dès le départ, des caractéristiques inattentives

A

faux plus les gars

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Le trouble du spectre de l’autisme présente un taux de comorbidité de 70% avec quel(s) trouble(s)?

A

les troubles psychiatriques (au moins 1)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

identifiez les deux caractéristiques principales du TSA

A

déficits persistants de la communication et des interactions sociales observés dans des contextes variés
présence de mode de comportements (inflexibilité/ rigidité, particularités sensorielles, comportements stéréotypés), d’intérêts ou d’activités restreints (intensité et/ou buts) ou répétitifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

V/F

un enfant qui présente un retard global de dév. à 3 ans est assuré d’avoir une DI une fois qu’il aura 5 ans? explique

A

faux, le développement de l’enfant étant inachevé à la petite enfance, sa trajectoire développementale peut être influencée de manière à ce que l’enfant ne développe pas un trouble DI, notamment si l’origine des retards ne sont pas expliqués par des facteurs biologiques et que l’enfant reçoit une stimulation plus intensive et des soins adéquats.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

V/F
plus l’enfant atteint du trouble déficitaire avec ou sans hyperactivité vieillit, plus les signes d’hyperactivité s’estompent

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quelle est la différence entre le syndrome de Gilles de la Tourette des autres formes de tics (troubles moteurs)?

A

Gilles de la Tourette : à la fois tics moteurs et verbaux qui persistent dans le temps
Autres formes : sont soit de types moteurs, soit de types verbaux et/ou de type provisoire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

V/F

les mouvements stéréotypés simples sont fréquents chez les jeunes enfants se développant normalement

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

V/F
les mouvements stéréotypés complexes (troubles moteurs) sont fréquents chez les jeunes enfants se développent normalement?

A

faux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Avec quel trouble les mouvements stéréotypés complexes (troubles moteurs) sont-ils souvent observés ? Et, expliquez de quelle manière ils se manifestent

A

entre 4 et 16% des individus ayant un trouble du développement intellectuel se livrent à des stéréotypies et des automutilations. Ce taux est encore plus fréquent dans le cas de handicap intellectuel sévère-grave

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Nommez la comorbidité la plus fréquente en lien avec le trouble du spectre de la schizophrénie

A

troubles liés à une substance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Nommez au moins trois des cinq principaux symptômes observés chez les personnes souffrant des troubles psychotiques

A

idées délirantes
hallucinations
pensées/discours désorganisés

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Quelle est la différence entre un symptôme négatif et positif observé chez une personne atteinte d’un trouble du spectre de la schizophrénie ? Donnez-moi un exemple pour chacun des symptômes

A

les symptômes positifs sont plus faciles à observer que les symptômes négatifs puisqu’ils sont apparents et s’ajoutent au comportement. Alors que les symptômes négatifs, eux, s’enlèvent au comportement, ils sont donc moins apparents, manifestes et donc plus difficiles à observer
Exemple
schizophrénie : hallucinations = symptômes positifs
schizophrénie : diminution expression émotionnelle = symptômes négatifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

V/F

la catatonie n’est pas exclusive aux troubles psychotiques

A

vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

V/F

Le schizoaffectif se manifeste le plus souvent chez les hommes

A

faux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

nommez les deux types de délire

A

délires érotomaniaques

mégalomanie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Quelle est la principale différence entre le trouble schizophréniforme, le trouble psychotique bref et la schizophrénie

A

la persistance et durée des symptômes
schizophrénie : dure au moins 6 mois avec 1 mois avec des symptômes de la phase active
trouble schizophréniforme : dure moins de 6 mois
trouble psychotique bref : dur plus d’un jour et se résout en moins d’un moins

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Qu’est-ce qui différencie le trouble délirant des autres troubles psychotiques ou du spectre de la schizophrénie

A

l’absence de symptômes psychotiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
V/F les personnes schizophrènes sont plus à risque de tentative de suicide en raison d'ordres hallucinatoires de se faire du mal ou de faire du mal aux autres, notamment présents lorsqu'ils consomment certaines substances
vrai
26
Quels sont les deux types d'épisodes caractéristiques des troubles bipolaires
épisode de manie ou hypomanie et épisode de dépression
27
Qu'est-ce qu'une manie ?
une période nettement délimitée durant laquelle l'humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l'activité orientée vers un but ou de l'énergie
28
Quelle est la différence entre une manie et une hypomanie ?
une manie = persiste pendant au moins une semaine | hypomanie = symptômes présents pendant au moins 4 jours
29
V/F | l'impulsivité est une caractéristique importante qui est observée chez le trouble bipolaire II
vrai
30
V/F les épisodes dépressifs et hypomaniaques tendent à diminuer en fréquence et en durée chez les personnes qui souffrent du trouble bipolaire II
Faux
31
V/F environ 5 à 15% des sujets ayant un trouble bipolaire II développent un épisode maniaque, ce qui peut les amener à être finalement diagnostiqué bipolaire I
vrai
32
V/F la personne qui souffre d'un trouble cyclothymique présente un risque important (15 à 50%) de développer un trouble bipolaire I ou II
vrai
33
V/F L’accouchement peut être un déclencheur spécifique d’épisodes hypomaniaques, qui peuvent survenir chez 10-20 % des femmes en population générale, et plus spécifiquement au début de la période du post-partum.
vrai
34
Quelle est la différence entre le trouble cyclothymique et les troubles bipolaires I et 2 ?
La durée et l’intensité des variations de l’humeur du trouble cyclothymique sont moins importantes et se résorbent plus rapidement (en quelques jours) que celles observées dans les troubles bipolaires 1 et 2
35
Quelle est la caractéristique commune de tous les troubles dépressifs ?
La présence d’une humeur triste, vide ou irritable, accompagnée de modifications somatiques et cognitives qui perturbent significativement les capacités de fonctionnement de l’individu
36
Quelle est la différence entre le trouble dépressif caractérisé du trouble dépressif persistant ?
La durée et l’intensité des symptômes sont plus importantes chez le trouble dépressif persistant. En effet, ceux-ci doivent être présents à raison d’un jour sur deux depuis au moins deux ans chez les adultes et d’au moins un an chez les enfants et les adolescents.
37
Combien de temps une personne doit présenter les symptômes caractéristiques aux troubles dépressifs pour pouvoir obtenir un diagnostic de trouble dépressif caractérisé
2 semaines
38
Vrai ou faux ? De nombreux troubles bipolaires débutent par un ou plusieurs épisodes dépressifs, et une proportion substantielle de sujets qui semblent initialement présenter un trouble dépressif caractérisé se révèlent en fait au cours du temps souffrir d’un trouble bipolaire.
vrai
39
Vrai ou Faux ? La persistance de symptômes dépressifs d’intensité élevée seulement est un facteur prédictif marqué de récurrence du trouble chez les personnes qui en souffrent.
Faux. La persistance de symptômes dépressifs, même d’intensité légère, pendant la rémission, est un facteur prédictif marqué de récurrence
40
Nommez les symptômes des deux troubles mentaux auxquels ceux appartenant au trouble dysphorique prémenstruel sont comparables en termes d’intensité (mais pas en termes de durée)
épisode dépressif caractérisé | anxiété généralisée
41
Expliquez ce qui distingue le trouble dépressif caractérisé d’un deuil.
Pour distinguer deuil et épisode dépressif caractérisé (EDC), il peut être utile de considérer que dans le deuil les sentiments prédominants sont le vide et la perte, alors que dans un EDC c’est plutôt une humeur dépressive persistante et une incapacité à anticiper la joie ou le plaisir. La dysphorie dans le deuil est susceptible de diminuer d’intensité au fil des jours et des semaines et survient par vagues. Ces vagues ont tendance à être associées à des pensées ou des souvenirs de la personne décédée. L’humeur dépressive d’un EDC est plus persistante et n’est pas liée à des pensées ou des préoccupations spécifiques.
42
Vrai ou faux ? Les sujets présentant une phobie spécifique ont un risque plus élevé de développer d’autres troubles ?
Vrai, le trouble spécifique est souvent un trouble primaire (celui qui a été diagnostiqué en premier) à l’enfance.
43
Qu’est-ce que la dysmorphie musculaire?
Une forme d’obsession d’une dysmorphie corporelle qui est caractérisée par la croyance que son propre corps n’est pas assez développé
44
Vrai ou faux, le mutisme sélectif est un trouble de la communication observé chez les enfants seulement.
Faux, le mutisme sélectif est un trouble de la catégorie des troubles anxieux puisqu’il représente une incapacité régulière à parler dans des situations sociales dans lesquelles l’enfant est supposé bien parler puisqu’il est capable de parler dans d’autres situations
45
``` Parmi les énoncés suivants, lequel n’appartient pas à une dimension symptomatologique d’un trouble obsessionnel compulsif 1. Le nettoyage 2. La symétrie 3. La pensée interdite ou taboue 4. Le perfectionnisme 5. La peur de faire du mal ```
perfectionnisme
46
Nommez les deux caractéristiques partagées par l’ensemble des troubles anxieux et expliquez ce qui les distingue.
La peur et l’anxiété. La peur est la réponse émotionnelle à une menace imminente réelle ou perçue. La peur est plus souvent associée à des poussées d’hyperactivité neurovégétative nécessaires pour fuir ou combattre, évaluer le danger immédiat et permettre les conduites d’échappement. L’anxiété est l’anticipation d’une menace future. L’anxiété est plus souvent associée à une tension musculaire et une vigilance dans la préparation au danger futur et à des conduites de prudence ou d’évitement
47
Quelle est la stratégie d’adaptation inadaptée la plus fréquemment observée chez les troubles anxieux ?
évitement
48
Vrai ou faux ? Le taux de prévalence des troubles anxieux est plus élevé chez les hommes que chez les femmes.
Faux, le trouble est plus présent chez les femmes
49
Nommer ce qui distingue principalement les différents troubles anxieux.
Le type d’objets ou le type de situations qui induisent la peur, l’anxiété ou le comportement d’évitement et le raisonnement cognitif associé.
50
Vrai ou Faux ? Les phobies spécifiques qui se développent durant l’enfance et l’adolescence sont susceptibles de croître et de décroître durant cette période.
vrai
51
Qu’est-ce qui distingue l’agoraphobie d’une phobie spécifique ou encore d’une anxiété sociale ?
Dans l’anxiété sociale, l’accent se porte sur la peur d’être jugé négativement. La phobie spécifique de type situationnel doit être diagnostiquée plutôt que l’agoraphobie si la peur, l’anxiété ou l’évitement sont limités à une seule des situations agoraphobogènes (utilisation des transports publics, se trouver dans des espaces ouverts, se trouver dans des lieux clos, se trouver dans une file d’attente ou dans une foule, se trouver seul en dehors de la maison dans d’autres situations). Dans l’agoraphobie, au moins deux des situations agoraphobogènes nommées ici doivent être présentes.
52
Comment se nomme le trouble qui présente les caractéristiques suivantes : anxiété excessive et persistante ainsi qu’une inquiétude à propos de domaines variés, y compris les performances scolaires ou professionnelles, que le sujet trouve difficile à contrôler. De plus, la personne éprouve des symptômes physiques comme de l’agitation, une sensation d’être tendu ou énervé, le fait de se fatiguer facilement, des difficultés à se concentrer ou des passages à vide, une irritabilité, une tension musculaire et des perturbations du sommeil ?
trouble anxiété généralisé
53
Comment se nomme le trouble qui se manifeste par l’expérience d’attaques de panique récurrentes et inattendues chez une personne qui présente des préoccupations ou une inquiétude persistante d’avoir de nouvelles attaques de panique, ou encore qui modifie son comportement de manière inadaptée pour éviter d’autres attaques de panique
trouble panique
54
Vrai ou Faux. Une personne qui fait des attaques de panique présente nécessairement un trouble panique.
faux
55
Vrai ou Faux. Les attaques de panique sont des montées soudaines de peur intense ou de malaise intense qui sont toujours prévisibles.
Faux, parfois elles sont inattendues, dans le sens où l’attaque de panique apparaît sans raison apparente.
56
Qui suis-je ? Je représente des pensées, pulsions ou images récurrentes et persistantes qui sont ressenties comme intrusives et inopportunes chez les personnes souffrant de troubles obsessionnels compulsifs.
Des obsessions.
57
Qui suis-je ? Je représente des comportements répétitifs ou des actes mentaux que le sujet se sent poussé à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles qui doivent être appliquées de manière inflexible chez les personnes souffrant de troubles obsessionnels compulsifs.
compulsions
58
Vrai ou Faux ? L’obsession d’une dysmorphie corporelle est un trouble des conduites alimentaires.
Faux, l’obsession d’une dysmorphie corporelle fait partie des troubles obsessifs compulsifs e
59
Qui suis-je ? Je suis un trouble qui se manifeste par des difficultés persistantes à se débarrasser ou à se séparer de biens, indépendamment de leur valeur intrinsèque, ce qui amène au résultat d’un besoin impérieux de les conserver et de la détresse associée au fait de s’en débarrasser.
La thésaurisation pathologique (syllogomanie)
60
Vrai ou Faux ? Plus le niveau d’insight est élevé chez une personne obsessive compulsive, plus la personne reconnait le dysfonctionnement de ses croyances et plus elle peut être en mesure de mieux les contrôler.
vrai
61
Nommez un facteur de protection clair lié au rétablissement de la personne ayant un trouble de stress post-traumatique.
soutien social
62
Vrai ou faux? Le fait d’être témoin d’un acte d’agression d’une personne sans en être victime peut être suffisant pour déclencher le TSPT.
vrai
63
Nommez deux manières de revivre l’évènement traumatisant chez les personnes atteintes du syndrome de stress post-traumatique.
Des rêves pénibles | Des souvenirs récurrents, involontaires et envahissants de l’évènement
64
Vrai ou faux, le trouble réactionnel de l’attachement est fréquemment observé chez les enfants pris en charge sous la loi de la protection de l’enfance (de la jeunesse).
Faux, ce trouble est rarement observé, et ce même dans des populations d’enfants ayant souffert de négligences graves.
65
Vrai ou faux. Le fait d’être une femme peut augmenter les chances d’être exposé à un évènement déclencheur lié au trouble de stress post-traumatique.
vrai
66
Vrai ou faux, la négligence parentale, notamment dans sa forme la plus grave est fréquemment observée comme facteur de risque environnemental pour un bon nombre de troubles mentaux
vrai
67
Expliquez comment les symptômes observés chez les personnes atteintes du trouble de stress post-traumatiques varient d’une personne à l’autre.
Chez certains individus, La peur de revivre l’expérience traumatique et les symptômes émotionnels et comportementaux qui l’accompagnent peuvent être au premier plan. Pour d’autres, l’anhédonie ou des états d’humeur dysphoriques et les cognitions négatives peuvent être particulièrement douloureux. Chez certains autres individus, l’éveil et des symptômes de réaction extériorisée sont prédominants, tandis que chez d’autres, des symptômes dissociatifs sont au premier plan. Enfin, certaines personnes présentent des combinaisons de ces groupes de symptômes.
68
Vrai ou faux ? Bien que le trouble stress aigu puisse évoluer vers un trouble stress posttraumatique (TSPT) après trois mois, il peut également s’agir d’une réponse de stress transitoire qui évolue favorablement dans les mois qui suivent l’exposition au traumatisme et qui n’aboutit pas à un TSPT
Faux, le trouble du stress aigu peut évoluer vers un trouble de stress post-traumatique après un mois.
69
Vrai ou Faux. Approximativement la moitié des individus qui développent finalement un TSPT présentent initialement un trouble stress aigu
vrai
70
Identifiez quels symptômes du trouble dissociatif est négatif parmi les suivants a. La fragmentation de l’identité b. La dépersonnalisation, c. La déréalisation d. L’amnésie
amnésie
71
Identifiez la catégorie de trouble à laquelle appartient cette définition : Ces troubles caractérisés par une perturbation et/ou une discontinuité dans l’intégration normale de la conscience, de la mémoire, de l’identité, des émotions, de la perception, de la représentation du corps, du contrôle moteur et du comportement. Les symptômes dissociatifs peuvent perturber tous les domaines du fonctionnement psychologique.
troubles dissociatifs
72
Vrai ou faux. Le stress peut aggraver les symptômes dissociatifs et les rendre plus implicites.
Faux, le stress peut aggraver les symptômes dissociatifs et les rendre plus explicites
73
Identifiez au moins deux différentes formes d’amnésie dissociative et en donnez un bref exemple pour chacune des formes.
L’amnésie peut être localisée (c.-à-d. un événement ou une période de temps- pendant un placement), sélective (c.-à-d. un aspect spécifique d’un événement- ex : un abus) ou bien globale/généralisée (c.-à-d. l’identité et l’histoire personnelle).
74
Identifiez la caractéristique commune entre les différents troubles à symptomatologie somatique ou apparentés
La prééminence de symptômes somatiques associés à une détresse et à un handicap qui sont significatifs
75
Vrai ou faux. La personne qui souffre de trouble factice recherche une récompense /gratification claire et objective?
Faux, l’établissement du diagnostic de trouble factice nécessite l’absence de récompenses objectives claires.
76
Donnez un exemple de trouble factice imposé à autrui.
Une mère qui rend son enfant malade en cachette.
77
Différenciez dans vos mots le trouble à symptomatologie somatique de la crainte excessive d’avoir une maladie
Le trouble à symptomatologie somatique représente l’existence de symptômes et de signes positifs (des symptômes somatiques pénibles associés à des pensées, des sensations et des comportements anormaux secondaires à ces symptômes) plutôt que sur l’absence d’explication médicale de cette symptomatologie somatique. Ainsi le trouble à symptomatologie somatique ne repose pas sur les symptômes somatiques à proprement parler, mais plutôt sur la manière dont ils sont présentés et interprétés. La crainte excessive d’avoir une maladie quant à elle, se manifeste par une préoccupation liée au fait d’avoir ou de pouvoir développer une affection médicale sérieuse et non diagnostiquée. Les symptômes somatiques sont absents ou, s’ils sont présents, ils sont seulement de faible intensité. La détresse du sujet n’est pas liée principalement à la plainte physique en elle-même, mais plutôt à l’anxiété concernant la signification ou la cause de cette plainte. Les troubles dissociatifs.
78
Quel trouble suis-je ? Je suis présent lorsqu’il y a une ingestion répétée d’une ou de plusieurs substances non nutritives ou non comestibles, de façon continue pendant une période d’au moins un mois.
le PICA
79
Le mérycisme consiste à …. A) Une ingestion répétée de substances non comestible ou non nutritives B) Le fait de s’arracher la peau de manière compulsive. C) Le fait de s’arracher les cheveux de manière compulsive. D) Une régurgitation répétée de la nourriture après un repas.
D)
80
Nommez une des fonctions possibles du mérycisme.
L’autoapaisement ou l’autostimulation
81
Vrai ou Faux ? L’obésité est un trouble mental du DSM-5.
faux
82
Quel trouble suis-je? Je suis une femme qui mesure plus de 5 pieds 8 et j’ai 23 ans. J’ai une peur intense de prendre du poids ou de devenir grosse. Lorsque je me regarde dans le miroir, je suis immense. J’ai donc peu d’estime de moi. Je réduis donc les portions d’apports énergétiques, malgré ces stratégies, je pèse quand même 100 llivres.
anorexie mentale
83
Qu’est-ce qui distingue l’anorexie mentale de la restriction ou évitement de l’ingestion d’aliments dans les troubles des conduites alimentaires ou de l’ingestion des aliments ?
La restriction ou l’évitement de l’ingestion d’aliments n’est pas lié une préoccupation excessive quant au poids ou à la forme du corps.
84
Quelle est la différence entre la boulimie et un comportement d’accès hyperphagique ?
Le comportement d’accès hyperphagique ne comporte pas de comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids ne présente pas nécessairement une estime de soi influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle.
85
Dans vos mots, expliquer ce qu’est l’identité de genre.
Une catégorie de l’identité sociale qui se réfère à l’identification de l’individu comme masculin, féminin ou parfois d’une catégorie autre que masculin-féminin.
86
Qui suis-je ? Je m’identifie transitoirement ou de manière persistante avec un genre différent du genre qui m’est attribué à la naissance.
transgenre
87
Qui suis-je ? Je suis un individu qui souhaite, ou a déjà subi, une transition sociale du genre masculin vers le genre féminin ou l’inverse.
transsexuel
88
Vrai ou faux? Les personnes atteintes de dysphorie de genre présentent une congruence marquée entre le genre auquel ils ont été assignés et le genre exprimé
Réponse : Faux. Ils présentent une non-congruence.
89
Vrai ou faux. Le pyromane agit pour obtenir un bénéfice commercial ou encore pour manifester une idéologie sociopolitique ?
Faux, c’est davantage pour le plaisir, la gratification ou le soulagement ressenti lorsqu’il allume des incendies, les contemple ou en participe aux événements qui en résultent.
90
Les troubles disruptifs se caractérisent par des périodes nettement délimitées durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante.
Faux, ce sont davantage les épisodes maniaques qui se caractérisent de cette manière
91
En général, les troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites tendent être plus présent chez les hommes ou les femmes?
chez les hommes
92
Le trouble oppositionnel avec provocation représente : a. Un ensemble de conduites répétitives et persistantes, dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet (agression envers des personnes ou des animaux, destruction de biens matériels, fraude ou vol, violations graves de règles établies). b. Une irritabilité chronique, sévère et persistante. Cette irritabilité sévère se traduit par deux manifestations cliniques importantes, dont la première consiste en des crises de colère fréquentes. La seconde manifestation d’irritabilité sévère consiste en une humeur irritable de façon persistante ou colérique, qui est présente de manière chronique entre les crises de colère sévères. c. Un ensemble de comportements d’attachement gravement perturbés et en inadéquation avec le stade du développement, dans lequel l’enfant ne se tourne que peu ou rarement vers une figure d’attachement pour être consolé, aidé, protégé ou entouré d’affection. La caractéristique essentielle est l’absence ou le caractère très limité des liens d’attachement entre l’enfant et les adultes donneurs de soin. d. Des comportements qui nuisent aux droits d’autrui (p. ex. agression, destruction de propriété́) et/ou qui exposent le sujet à des conflits significatifs avec les normes sociétales ou les personnes en position d’autorité́ . e. Un ensemble fréquent et persistant d’une humeur colérique/irritable, d’un comportement querelleur/ provocateur ou d’un esprit vindicatif. f. Accès agressifs impulsifs (ou de colère) qui surviennent en réponse à une provocation mineure par une personne proche ou intime et durent typiquement moins de 30 minutes.
E)
93
Vrai ou faux. Plusieurs des symptômes qui définissent les troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites sont des comportements qui sont rencontrés à un certain degré chez les sujets à développement normal, notamment chez les garçons.
vrai
94
Expliquez le lien développemental présent entre le trouble oppositionnel avec provocation et le trouble des conduites.
La majorité des cas de troubles des conduites aurait antérieurement rempli les critères du trouble oppositionnel avec provocation, au moins chez les personnes pour lesquelles le trouble des conduites émerge avant l’adolescence. Cependant, la plupart des enfants ayant un trouble oppositionnel avec provocation ne développent finalement pas de trouble des conduites
95
Vrai ou Faux ? La plupart des enfants ayant un trouble oppositionnel avec provocation développent un trouble des conduites.
faux
96
Vrai ou faux? Avoir un niveau plus bas de contrôle de soi n’est pas un facteur de risque au développement d’un trouble lié à la consommation d’une substance.
Faux, les sujets avec des niveaux plus bas de contrôle de soi, lesquels peuvent être plus à risque de développer des troubles liés à la consommation d’une substance.
97
Vrai ou faux? Le sevrage est un syndrome qui se produit quand les concentrations sanguines ou tissulaires d’une substance augmentent à la suite d’une consommation massive et prolongée.
Faux, c’est lorsqu’elles diminuent. Après avoir développé des symptômes de sevrage, la personne peut consommer la substance pour soulager ces symptômes
98
``` Quels comportements activent des systèmes de récompense similaires à ceux activés par des substances addictives ? a. Comportements de jeu de hasard et d’argent b. Compulsions c. Paraphilies d. Achats compulsifs e. Dépendance aux jeux vidéos f. Cyberdépendance g. A et B h. B et D i. B, D, E et F j. A, D, E et F ```
A D E F
99
Dans les troubles liés à une substance et troubles addictifs, certains effets comportementaux peuvent se manifester dû à certains changements cérébraux, lesquels
Rechutes répétées, Envie impérieuse de consommer la substance
100
Vrai ou Faux ? Les troubles de la personnalité apparaissent généralement lors de la petite enfance ou du début de l’adolescence
Faux. Ils se développent généralement à la fin de l’adolescence ou au début de l’âge adulte.
101
Parmi les critères diagnostiques suivants, lequel ne fait pas partie des critères diagnostiques du trouble de la personnalité limite ? a) Sentiment de vide b) Peur de l’abandon et évitement de l’abandon c) Menaces suicidaires et automutilation d) Comportements bizarres et excentriques e) Aucune de ces réponses
D)
102
Morgane entre dans son 5 à 7 en robe de soirée très décolletée. En discutant avec ses collègues, elle rapporte beaucoup la conversation à elle et à son apparence physique de la soirée. En se déplaçant vers une autre table, sa collègue titube et quelques gouttes de vin rouge tombent sur la robe de Morgane. Celle-ci constate le dégât et se met à hurler et à pleurer très fort. Tous les yeux sont sur elle et elle quitte la pièce en pestant. À quel trouble de la personnalité son comportement s’apparente-il ?
Trouble de la personnalité histrionique
103
En quelques lignes, nommez les distinctions entre le Trouble Obsessionnel-Compulsif (TOC) et la Personnalité obsessionnelle compulsive?
D’abord, les personnes ayant un Trouble Obsessionnel-Compulsif vivent de la souffrance en lien avec un manque de contrôle face à leurs compulsions, alors que les personnes ayant un trouble de la Personnalité obsessionnelle compulsive sont à l’aise avec leurs compulsions et les utilisent comme un mécanisme de réduction d’anxiété, pour en arriver à un perfectionnisme et un contrôle. Ensuite, les comportements émis par les personnes ayant un TOC amènent des résultats plutôt à court terme, tandis que les comportements émis par les TPOC tendent à procurer une satisfaction plus à long terme.
104
Comment caractérise-t-on les symptômes des personnes qui présentent un trouble de la personnalité ?
durable rigide envahissant
105
En combien de groupes sont séparés les troubles de la personnalité et quelles sont les principales caractéristiques de ces groupes ?
En trois groupes : Groupe A : (comportements bizarres/excentriques) Groupe B : (comportements théâtraux/émotifs) Groupe C : (comportements anxieux)
106
Jolaine est convaincue qu’elle a hérité les dons de voyance de son arrière-grand-mère. Elle ne peut qu’avoir des visions lors de pleines lunes à la présence de ses trois chats noirs. Elle est aussi convaincue qu’une personne sera marquée de malchance si elle marche sous une échelle. À quel trouble ses comportements s’apparentent-ils
Trouble de la personnalité schizotypique
107
Joshua est en couple avec Julie depuis 3 mois. Au début de leur relation, il était en adoration devant elle et il répétait à tout le monde à quel point elle était exceptionnelle. Depuis 2 semaines, Julie est très occupée par son travail et elle passe moins de temps avec lui. Joshua croit que Julie veut le quitter, lorsqu'elle rentre du travail aujourd'hui, il la confronte et menace de se suicider si elle le quitte pour un autre homme. À quel trouble ses comportements s’apparentent-ils ?
trouble de la personnalité limite
108
Vrai ou faux ? La transgenralité est un trouble mental.
faux
109
Vrai ou Faux, la paraphilie est un trouble sexuel.
Faux, seules les paraphilies qui induisent de la souffrance ou un désarroi à la personne qui les vit ou celle qui les subit représentent des troubles mentaux.