Réalité autochtone 2 Flashcards

1
Q

Vrai ou Faux
La notion de « sécurisation culturelle » a été développé en Nouvelle-Zélande par une infirmière maori qui remarquait que les services qui étaient offert n’étaient pas sécurisant pour les peuple autochtones.

A

Vraie, cette thèse a été développé par Irihaeti Merenia Ramsden en 1980.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Qu’est-ce que cela signifie « sécurisation culturelle »

A

La sécurisation culturelle désigne des soins/ services qui sont prodigués dans le respect de l’identité culturelle du patient, qui visent l’équité et qui sont exempts de relations de pouvoir nocives entretenues par le système de santé dominant.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Vrai ou Faux

Une pratique est jugé non sécuritaire lorsqu’elle ne rencontre pas les 3 composantes

A

Faux, une pratique non sécuritaire est une pratique qui comprends toutes actions qui porte atteinte à l’identité culturelle et au bien-être d’un individu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Le …….. nous rappel de réfléchir aux moyens par nos politiques, nos méthodes de recherches, notre éducation et nos pratiques en matière de santé qui peuvent recréer les traumatismes infligés aux peuples autochtones

A

Le concept de la sécurisation culturelle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Vrai ou Faux
Il n’y a pas en ce moment de contexte ou de situation qui sont à risque de recréer les traumatismes infligés aux peuples autochtones.

A

Faux, il y a plusieurs situation qui nécessite d’attirer notre attention et des qui nécessite des changements rapides.
Par exemple, le fait de placer les enfants en famille d’accueil allochtone par l’entremise de la DPJ. Cela rappelle en quelque sorte les pensionnats dans la mesure où les enfants sont arrachés à leur famille et à leur communauté.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Quels sont les outils indispensables à la sécurisation culturelle selon les organisations autochtones ? (Baba, 2013)

A
  • Un introspection visant à reconnaître le contexte colonial et les relations de pouvoir s’y rattachant dans les diverses situations.
  • Le développement de compétences communicationnelles
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Quelles sont les 3 composantes qui mènent à la sécurisation culturelle ?

A
  • Conscience de la culture
  • Sensibilité culturelle
  • Compétence culturelle
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Faut-il exceller dans les 3 sphères pour atteindre la sécurisation culturelle ?

A

Non, ce qui semble le plus important c’est d’être à l’écoute, d’être dans une attitude d’ouverture, et d’éprouver de l’empathie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Qu’est-ce que la conscience de la culture?

A
  • Être capable et désireux de reconnaître la différence,
  • Prendre conscience de sa propre culture
  • Accepter les différences
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Qu’est-ce que la sensibilité culturelle

A
  • Reconnaître qu’il est nécessaire de respecter les différences culturelles
  • Respecter les savoir et les différences
  • Tenir compte des antécédents et des expériences
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

En rapport avec la sensibilité culturelle, Cindy Wylde nous parle de décoloniser la recherche en contexte autochtone. De quoi s’agit-il ?

A

De faire une place aux savoir transmis oralement donc dans les recherches, d’aller à la rencontre des peuples afin d’augmenter le savoir, car pour eux la transmission se fait oralement et non dans les livres.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Qu’est-ce que la compétence culturelle

A
  • Une série de connaissance, de comportement, d’attitude

- implique la capacité de fonctionner efficacement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

L’énoncé suivant fait référence ou fait manquement quelle composante de la sécurisation personnelle:

Justine est directrice dans un centre de détention avec une clientèle autochtone. Elle ne reconnaît pas la nécessité d’adapter les intervention avec sa clientèle autochtone car elle juge qu’un criminelle est un criminelle, peut importe sa culture et son origine.

A

Elle fait manquement à la conscience de la culture, elle ne reconnaît pas les différences cela risquerait de porter atteinte à l’identité culturelle ou au bien-être de la personne

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Nommez les composantes de la sécurisation culturelle dans cet énoncé:

Lors d’une intervention avec un autochtone, André qui est docteur s’assure que son patient a bien compris le diagnostique qu’il vient de lui donner, car il sait que suite aux trauma des expériences passés, l’Inuk qu’il a devant lui est méfiant et anxieux. Aussi, il sait que pour la culture de son patient, un diagnostique est un concept nébuleux alors il prends le temps de discuter et d’écouter les besoins de son patient.

A
  1. conscience culturelle : André reconnait qu’un diagnostique fait partie de notre culture et non de la culture autochtone. Il reconnait donc les différence entre les deux cultures tout en prenant conscience de la sienne, il accepte cette différence.
  2. Sensibilité culturelle: il tient comptes des expériences ou des antécédents culturels de son patient et respecte les différences.
  3. Compétences culturelles: Par son attitude empathique, respectueuse, par son comportement d’aller vérifier si son patient a bien compris le concept de diagnostique et par le fait qu’il prenne le temps de discuter et d’écouter son patient, le docteur a la capacité de fonctionner efficacement et de bien exercer son métier.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Vrai ou Faux

La conscience de la culture nécessite un examen critique des idées préconçues que l’on porte en soit.

A

Vrai cela signifie de prendre conscience avec sa propre culture

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Vrai ou faux
Nos biais vis a vis une culture peuvent être inconscient. Ils peuvent avoir de très grave conséquence et porter atteinte au bien-être du patient.

A

Vrai,
EX:un infirmier qui voit un autochtone inconscient qui a du vomit pourrait se dire qu’il est soul et ne pas intervenir. Sans se dire raciste alors qu’en réalité, le patient souffre d’un traumatisme crânien.Ne pas intervenir pourrait lui occasionner de sérieuses conséquences allant jusqu’à la perte de la vie de son patient.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Quels sont les principales sphères où peut s’appliquer le principe de sécurisation culturelle ?

A

Santé
Justice
Protection de la jeunesse
Éducation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Protection de la jeunesse

Nomme un action prise pour appliquer la sécurisation culturelle au sein de la D.P.J

A

Loi c-92

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Protection de la jeunesse
Vraie ou Faux
Les enfant autochtones sont surreprésenté dans les familles d’accueil.

A

Vrai, les enfant autochtones représente 52.2% des enfants placés au Canada même s’ils ne représentent que 7.7% des enfants agés de moins de 15 ans du Canada.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Protection de la jeunesse
Quelles composantes de la sécurisation culturelle touche la loi c-92 ( loi qui permet la prise en charge des communauté de la gérance de la DPJ ) ?

A
  • Conscience culturelle consciences qu’il existe des différences entre les cultures (critères, et visions différentes( le concept de négligence pour autochtones vs négligence pour allochtone est différent, discrimination dans les signalements et dans les retenus)
  • Sensibilité culturelle tient compte des antécédents et des expériences passées des peuples (comme les pensionnats/ reconnais que la famille d’accueil allochtone risque a provoquer la perte le lien avec sa culture, sa langue et sa spiritualité)
  • Compétence culturelle mettent sur pied un projet de loi en collaboration avec les peuples autochtones, leur permettent d’établir leurs critères, de mettre en œuvre leur politique et d’en assurer le respect, redonne du pouvoir au peuple
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Protection de la jeunesse
Vrai ou faux
Il y a autant de signalement pour les enfants autochtones que pour les allochtones mais il y a plus de signalement retenus d’enfant autochtones.

A

Faux,

Il y a plus de signalements et plus de retenus pour les enfant autochtones.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Protection de la jeunesse
Vrai au Faux
La plupart du temps, il est très difficile pour une famille autochtone de devenir famille d’accueil.

A

Vrai, elle rencontre rarement les critères de sélection.
Ex: un des critère de sélection est que l’enfant doit avoir une chambre pour lui, par contre dans les communauté, ils sont souvent 3 familles à habiter dans la même résidence alors le critère d’une chambre / enfant est rarement remplis.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Protection de la jeunesse
Vrai au Faux
La loi C-92 déresponsabilise les peuples des premières nations.

A

Faux, elle vise et permet l’autodétermination des peuples autochtones

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Éducation

Quels sont les 7 particularités de l’apprentissage chez les Autochtones ?

A

L’apprentissage …

  • Est holistique
  • Se poursuit tout au long de la vie
  • Est ancré dans les langues et les cultures autochtones
  • A une dimension spirituelle
  • Est une activité collective
  • Intègre les savoir autochtone et occidental
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Dans la commission Viens, quels ont été les services analysé ?

A
services policiers
services correctionnels 
services de justice
services de santé et les services sociaux 
services de protection de la jeunesse
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Vrai ou Faux

La commission Viens a été mandaté pour établir une norme minimal afin de respecter le bien-être des peuples autochtones.

A

Faux,
La commission Viens a été mandatée pour analyser, comprendre et enquêter sur les relations entre les autochtones et certains services publics au Québec

27
Q

Vrai ou Faux
La déclaration des Nations Unis sur les Droit des Peuples autochtones est un cadre qui affirme les droits des peuples autochtones. La déclaration établit également des normes minimales pour la survie et le bien-être des peuples autochtones.

A

Vrai

28
Q

Quels ont été les 4 États à refuser la DNUDPA ?

A

États-Unis
Australie
Nouvelle- Zélande
Canada

29
Q

DNUDPA

Qu’est-ce que les pays qui ont refusé ont en commun ?

A

Ils ont une histoire coloniale semblable envers les peuples autochtones

30
Q

DNUDPA
Vrai ou Faux
Le Canada refuse toujours de soutenir cette déclaration. Pour sa part, le Québec a décidé de soutenir en 2016.

A

Faux,
Depuis 2016, le Canada soutient cette déclaration.
C’est le Québec qui refuse toujours.

31
Q

DNUDPA

Quel est le principe que ne veulent pas soutenir le gouvernement du Québec ?

A

Il n’est pas en accord avec le principe de consentement éclairé, car cela serait mauvais pour l’économie québécois puisqu’il devra obtenir le consentement pour les projets d’exploration sur le territoire autochtone.

32
Q

Principe de Joyce
Vrai ou Faux
Québec a accepter le principe de Joyce.

A

Faux, il a été refusé car dans le principe Joyce, il y a mention de racisme systémique.

33
Q

Qu’est-ce que vise le principe de Joyce ?

A

Il vise à garantir à tous les Autochtones un droit d’accès équitable, sans aucune discrimination, à tous les services sociaux et de santé

34
Q

Vrai ou Faux

Le principe de Joyce réfère au concept de la sécurisation culturelle.

A

Vrai,

-Il requiert obligatoirement la reconnaissance et le
respect des savoirs et connaissances
traditionnelles et vivantes des autochtones
en matière de santé. (Sensibilité culturelle)

  • Par son nom, il tient compte des antécédents vécus par les nations ( mort de Joyce Echaquan) (Sensibilité culturelle)
  • Dans l’article 6 , on demande que «Les organisations de santé et des services sociaux doivent mettre en place toutes les mesures nécessaires à la sécurisation culturelle des Autochtones»
35
Q

Vrai ou Faux
L’égalité fait référence à distribuer les outils différemment en s’intéressant à la situation de chacun et en visant l’égalité des chances ?

A

Faux , c’est l’équité.
L’égalité réfère à l’égalité dans le traitement c’est-à-dire d’offrir les mêmes moyens à tous sans faire abstraction de leur situation particulière.

36
Q

Vrai ou Faux
Le principe de Joyce c’est inspiré de la commission Viens pour la mention sur leurs droits à utiliser leur pharmacopée traditionnelle.

A

Faux, c’est de la DNUDPA qu’elle c’est inspiré pour la mentions des droits à l’utilisation de leur pharmacopée traditionnelle.

37
Q

Le cas Brian Sinclair (décédé des complications de cystite). Pourquoi a-t-il passé 34 heures sans obtenir de soin ?

A

Le personnel (17 employés) ont pensés que c’était un itinérant soul en train de dégriser (étiquette /biais par ce que c’était un autochtone)

38
Q

Pour qu’elle raison la sécurisation cutlruelle est nécessaire ?

a) en raison de la persistance des préjugés
b) les relations sont teintés par ces préjugés
c) les conséquences sont désastreuses
d) toutes ces réponses

A

d) toutes ces réponses
- en raison de la persistance des préjugés
- les relations sont teintés par ces préjugés
- c les conséquences sont désastreuses

39
Q

En quoi la clinique minowé est sécurisante culturellement ?

A

Une clinique en partenariat avec les centre d’amitié, le centre jeunesse et le CSSS. Les services offert sont en langue Atikamekw, la vision du traitement et du processus de guérison est adapté à la vision autochtone. On utilise la pharmacologie autochtone et on travaille la dimension holistique, avec un travailleur social. Le lieux physique est important ( lieux de confiance pour les autochtones)
Pour arriver là, il y a eu la reconnaissance de la culture puis la sensibilité culturelle par la suite il y a eu des actions afin de trouver un fonctionnement adéquat (compétence culturelle)

40
Q

Quel est le rôle et mandat du Service correctionnel du Canada ?

A

C’est de contribuer à la sécurité publique en incitant activement et en aidant les délinquants à devenir des citoyens respectueux des lois, tout en exerçant sur eux un contrôle raisonnable, sûr, sécuritaire et humain.

41
Q

Qu’Est-ce que l’article 81 de la LSCMLSC ?

A

Lors de sentences à sécurité minimales, il est possible pour un autochtone de purger sa peine dans un environnement culturellement sécuritaire;

42
Q

Qu’est que le programme des Sentier ?

A

Sécurisation du lieu physique par la possibilité de transformer une aile de la prison à leur image. Le détenu peut y séjourné pendant 18 mois.
On regroupe les autochtones ensemble étant donné l’importance des relations familiales et communautaire pour leur culture.
Par la suite, il a droit d’accéder à un milieu de guérison et d’intervention grâce à des enseignements et des cérémonies autochtones, des contacts avec des Aînés et des conseillers spirituels ainsi que des programmes adaptés à la culture, offerts dans un environnement intégrant les traditions et les croyances des peuples autochtones et favorisant la réinsertion sociale réussie des délinquants. Par la suite, il pourra accéder soit à un niveau de sécurité moindre, soit accéder à une libération conditionnelle.

43
Q

Qu’est ce que l’article 84 de la LSCMLSC ?

A

Cela vise la collaboration entre les services de libération conditionnelle et la communauté autochtone qui permet à la collectivité de soumettre leur propre plan de réinsertion cela permet lorsqu’un délit grave a été causé de diminuer les impacts négatif sur la communauté et de mieux intégrer la personne qui a commis le délit.

44
Q

Pourquoi la philosophie des services correctionnels a du être réorienté ?

A

Parce que les autochtones sont surreprésenté dans le système carcéral, il y a eu nécessité d’adapter les services et de faire de la collaboration avec notamment les aînées et les autre membre de la communauté.

45
Q

Qu’est-ce que un ADACA ?

A

Agent de développement auprès de la collectivité autochtone

46
Q

Vrai ou Faux
Le Poste ADACA doit normalement être dirigé par un membre de la communauté autochtone car il sert d’agent de liaison entre la communauté et le personnel
des établissements des services de libération conditionnelle.

A

Vrai, ce poste est réservé aux autochtone . Pour obtenir un poste réservé aux Autochtones, une personne doit remplir un formulaire d’auto-identification et déclarer être Autochtone. Par contre, Service correctionnel Canada ne fait aucune vérification supplémentaire.

47
Q

Dans le PSSCA ( plan stratégique aux services correctionnels pour Autochtones), nommes quelques éléments qui font que les programmes correctionnels sont adapté pour les autochtones.

A

Intègre les aînés dans les intervention
Utilise le bâton de parole
La plume d’aigle
Cérémonie

48
Q

Q’est-ce que le cadre de responsabilisation selon le PSSCA ?

A

Évaluation de la gestion des programmes mis en place ( mesure de rendement) .

49
Q

Vrai ou Faux,
L’affaire Gladue, c’est une affaire où on n’a pas pris en compte la modification du code criminel. Cette modification oblige à porter attention aux circonstances, et antécédent historique ou facteur systémique qui ont pu influencer la conduite criminelle de l’accusé. Cette disposition a un caractère réparateur et elle a pour objet de remédier au grave problème de la surreprésentation des autochtones dans les prisons et d’encourager le juge à aborder la détermination de la peine selon une approche corrective.
L’application s’applique autant au le délinquant qui vit dans une communauté qu’en milieu urbain (hors-communauté)

A

Vrai

50
Q

Quel sont les 4 grandes sphères de La gamme de soins (Continuum de soin )liés aux services correctionnels?

A

Prévention avant et après incarcération
Évaluation
Intervention
Réinsertion sociale

51
Q

Ce quel modèle se base la gamme de soins (Continuum de soins) ?

A

Sur un modèle autochtone (circulaire), sur la roue de la médecine,

52
Q

Vrai ou Faux

Dans la gamme de soin liés aux services correctionnel, on inclue la collectivité.

A

Vrai

53
Q

Vrai ou FAux

La DC 702 suggère d’analyser les antécédents sociaux autochtones.

A

Vrai

54
Q

Vrai ou Faux

Dans les sentiers, l’intervenant le plus important est l’agent de libération conditionnelle dans la collectivité ?

A

Faux , dans le programme des sentiers, l’intervenant le plus important est l’ Ainée.

55
Q

Vrai ou Faux
ADACA permet de diminuer les biais inconscient dans l’évaluation du risques de la part des agents de libération conditionnelle ?

A

Vrai

56
Q

Qu’est-ce que sa prend autre que les connaissance pour faire en sortes que des programmes comme le sentier fonctionne, pour qu’il y ai de la sécurisation culturelle au sein des programmes et politique ?

A

Le savoir-être et le savoir-faire de chacun

57
Q

Quelle attitude devrions nous avoir en tant qu’intervenant avec les autochtones ?

A

Ouverture d’esprit
Non jugement
Introspection de ses valeurs ( pour reconnaître ses éventuels biais et nos limites personnelles)
Degré de sensibilité

58
Q

Que devrions nous être en mesure de faire lors d’intervention avec les autochtones (Savoir-faire) ?

A
Reconnaître sa méconnaissance
Être à l’écoute
Se familiariser
Poser des questions 
Roue de médecine 
Plan d’intervention 
Attention aux grilles d’évaluation
59
Q

Pourquoi faut-il faire attention aux grilles d’évaluation ?

A

Il ne faut pas voir les antécédents sociaux comme des cases à cocher, on doit, voir les évènment dans leur ensemble, comme un tout qui a des répercussion intergénérationnelles. La situation vécue reste unique pour chacun.

60
Q

Protection de la jeunesse

Quelles sont les principales cause d’entrée pour les jeunes autochtone dans le système de protection de la jeunesse ?

A

La négligence et le risque de négligence

selon les critères de négligence et les lunettes des allochtones

61
Q

Protection de la jeunesse
Vrai ou Faux
Il arrive souvent qu’il y ait réouverture du dossier d’un enfant puisqu’on juge que sa sécurité ou son développement est compromis.

A

Vrai, ce taux est d’ailleurs 9.4 fois plus élevé qu’avec des enfants allochtones.

62
Q

Vrai ou Faux

Les jeunes autochtones sont surreprésenté dans le domaine de la dpj et dans les services correctionnels.

A

Vrai

63
Q

Vrai ou Faux
L’écoute, l’empathie, considéré l’autre en égalt et le respect sont les conditions de base de la sécurisation culturelle.

A

Vrai

64
Q

Pourquoi la sécurisation culturelle est nécessaire et urgente ?

A
  • en raison de la persistance des préjugés qui créent des biais implicite et qui teintent les relations dans les services prodigué aux autochtones.
  • la dimension de masse est atteinte, la population est outrée, il y a des gens qui meurent à la suite de ces biais, il faut que cela cesse ( conséquences néfaste qui sont visible pour la population), il affecte plusieurs personne de façon similaire ( la plupart des autochtones ont peur de se faire soigné et d’être mal reçus même , de ne pas être traité avec dignité).