Santé mentale et usage des substances psychoactives Flashcards

1
Q

Trouble lié à une substance secondaire au trouble mental

A

L’automédication: diminution de la souffrance.

Vulnérabilité biologique: terrain propice!

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Trouble mental secondaire au trouble lié à une substance

d / id

A

Association directe: neurotoxicité

Vulnérabilité biologique: terrain propice

Association indirecte: troubles psychosociaux impliqués (perte emploi. rejet famille)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Trouble mental secondaire au trouble lié à une substance

A

Association directe: neurotoxicité

Vulnérabilité biologique: terrain propice

Association indirecte: troubles psychosociaux impliqués (perte emploi. rejet famille)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Facteur commun sous
jacent aux 2
troubles

A

Environnement

Génétique

Développement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Troubles anxieux et toxicomanie

A

Trouble panique: davantage relié à dépendance à l’alcool

Trouble d’anxiété généralisé: davantage relié à
dépendances au drogue autres que l’alcool

Automédication (prenne + que prévu)

Trouble secondaire à une substance

Cercle vicieux.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Trouble de l’humeur et dépendance

A

Pas d’association formelle

Risque x 2 chez personnes avec dépression majeure

Risque x 4 des sx dépressifs avec Cannabis

90% alcoolique ont des
sx dépressifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Trouble de l’humeur et dépendance

A

Pas d’association formelle

2e hypothèse ;

L’abus/dépendance entraîne généralement des troubles
de l’humeur.

Un plus grand risque de dépression est associé à la
consommation de drogues.

Plus les troubles de l’humeur sont sévères, plus le risque
suicidaire est élevé et l’efficacité du traitement diminue.

Une consommation même modérée ou épisodique peut
maintenir un état dépressif ou réduire les effets du
traitement.

Même après qq mois d’abstinence, la personne peut se sentir de nouveau déprimée à cause de difficultés
psychosociales ou physiques.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Trouble bipolaire et dépendance

A

Diminue la réponse au traitement

Diminue fidélité au traitement

Diminue le laps de temps entre rechutes

Augmente tentative suicide

Augmente la fréquence des hospitalisations (X2)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Critères de dépression majeure: lettre

A

sommeil
appétit
détresse pour tristesse
intérêt
fatigue
anxiété
concentration
estime soi
suicide

S A D I F A C E S

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Critères de dépression majeure: lettre

A

sommeil
appétit
détresse pour tristesse
intérêt
fatigue
anxiété
concentration
estime soi
suicide

S A D I F A C E S

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Troubles concomitants: ce qu’il faut tenir compte.

général

A

Sont variables

Peuvent être synergiques

Un trouble peut en masquer un autre

Comprendre ces interactions demande une évaluation soignée

Épidémiologie:

Tabagisme +++

Alcool ++

Drogues illicites +

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Troubles concomitants: ce qu’il faut tenir compte.

A

Sont variables

Peuvent être synergiques

Un trouble peut en masquer un autre

Comprendre ces interactions demande une évaluation soignée

Épidémiologie:

Tabagisme +++

Alcool ++

Drogues illicites +

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Hypothèses de comorbidité (résumé)

A

En général, la présence d’un trouble (toxico/dépression) peut créer ou augmenter le
risque de voir apparaitre l’autre trouble.

La consommation prolongée ou abusive de psychotropes produit des symptômes
dépressifs.

La consommation prolongée ou abusive de psychotropes provoque des
changements biopsychosociaux qui favorisent le développement de symptômes
dépressifs.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Hypothèses de comorbidité (résumé)

A

En général, la présence d’un trouble (toxico/dépression) peut créer ou augmenter le
risque de voir apparaitre l’autre trouble.

La consommation prolongée ou abusive de psychotropes produit des symptômes
dépressifs.

La consommation prolongée ou abusive de psychotropes provoque des
changements biopsychosociaux qui favorisent le développement de symptômes
dépressifs.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Troubles concomitants: ce qu’il faut tenir
compte.
*

A

Les drogues peuvent affecter directement les neurotransmetteurs
responsables de la maladie mentale.

Important de déterminer l’âge du début des deux troubles.

Vérifier la durée de l’abstinence.

Autre trouble psychiatrique avant la toxicomanie ou lors d’abstinence?

Antécédents psychiatriques familiaux?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Troubles concomitants: ce qu’il faut tenir
compte.
*

A

Les drogues peuvent affecter directement les neurotransmetteurs
responsables de la maladie mentale.

Important de déterminer l’âge du début des deux troubles.

Vérifier la durée de l’abstinence.

Autre trouble psychiatrique avant la toxicomanie ou lors d’abstinence?

Antécédents psychiatriques familiaux?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Facteur de vulnérabilité

A

Trouble identitaire et faible estime de soi.

Sentiment d’impuissance ou de surestimation de leurs capacités.

Mécanismes de défense immature et mauvaises stratégies
d’adaptation.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Volet pharmacologique

Volet économico
compulsive

Volet systémique

A

pharmacologique ; acte violence seulement lorsqu’ils ont consommer, à la base ne sont pas violent

économico; violent pour acheter substance, obsession de consommer veulent aller chercher argent pour consommer

systémique ; les 2

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Volet pharmacologique

Volet économico
compulsive

Volet systémique

A

pharmacologique ; acte violence seulement lorsqu’ils ont consommer, à la base ne sont pas violent

économico; violent pour acheter substance, obsession de consommer veulent aller chercher argent pour consommer

systémique ; les 2

19
Q

Approche catégorielle

Qu’est ce qu’un trouble de la personnalité ?

A

A. Mode durable d’expériences intérieures de soi et des comportements

Dévie de la culture et manifesté dans 2 ou plus des domaines suivants

  1. Cognitions (façon de percevoir ou d’interpréter soi, les autres ou les
    événements
  2. Affectivité (étendue, variabilité, intensité et l’
    adéquacité des
    réponses émotives)
  3. Fonctionnement interpersonnel
  4. Contrôle de l’impulsivité

B. Envahissant, rigide et mal adapté

C. Source de souffrance ou de dégradation du fonctionnement

D. Stable dans le temps et de longue durée Apparaît à l’enfance, adolescence
ou au début de l’âge adulte

20
Q

Approche catégorielle

Qu’est ce qu’un trouble de la personnalité ?

A

A. Mode durable d’expériences intérieures de soi et des comportements

Dévie de la culture et manifesté dans 2 ou plus des domaines suivants

  1. Cognitions (façon de percevoir ou d’interpréter soi, les autres ou les
    événements
  2. Affectivité (étendue, variabilité, intensité et l’
    adéquacité des
    réponses émotives)
  3. Fonctionnement interpersonnel
  4. Contrôle de l’impulsivité

B. Envahissant, rigide et mal adapté

C. Source de souffrance ou de dégradation du fonctionnement

D. Stable dans le temps et de longue durée Apparaît à l’enfance, adolescence
ou au début de l’âge adulte

21
Q

Causes Troubles de la personnalité (suite)

A

Interaction complexe d’événement du début de la vie, facteurs
génétiques et environnementaux.

Facteurs psychologiques, familiaux, soutien, école, capacité de
croissance personnelle.

22
Q

Principaux troubles de santé mentale en lien
avec les problèmes de dépendance aux
psychotropes:

A

Troubles anxieux

Troubles de l’humeur

Troubles psychotiques

Troubles de la personnalité (+ important)

23
Q

Principaux troubles de santé mentale en lien
avec les problèmes de dépendance aux
psychotropes:

A

Troubles anxieux

Troubles de l’humeur

Troubles psychotiques

Troubles de la personnalité (+ important)

24
Q

Mécanismes de défense utilisés

A

Clivage

Identification projective

Idéation suicidaire

25
Q

Mécanismes de défense utilisés

A

Clivage

Identification projective

Idéation suicidaire

26
Q

Personnes vivant avec un trouble de personnalité limite

Interventions à privilégier

A

Clarification de la situation

Recentrer sur le présent

Renforcer la responsabilité du client

Encadrer et limiter

Distinguer les bons mécanismes d’adaptation des mauvais.
Augmenter les compétences

Renforcer l’estime de soi

Travailler les comportements

Dans l’intervention auprès des personnes souffrant d’un
trouble de personnalité limite, ce qui est gagnant: LE
CADRE.

L’intervention dois se faire de façon structurante et devrait
viser de petits objectifs réalisables

27
Q

Personnes vivant avec un trouble de personnalité limite

Interventions à privilégier

A

Clarification de la situation

Recentrer sur le présent

Renforcer la responsabilité du client

Encadrer et limiter

Distinguer les bons mécanismes d’adaptation des mauvais.
Augmenter les compétences

Renforcer l’estime de soi

Travailler les comportements

Dans l’intervention auprès des personnes souffrant d’un
trouble de personnalité limite, ce qui est gagnant: LE
CADRE.

L’intervention dois se faire de façon structurante et devrait
viser de petits objectifs réalisables

28
Q

CADRE

A
  1. Coordination des diverses interventions:

COHÉRENCE

PRÉVISIBILITÉ

LIMITES CLAIRES ET OBJECTIFS PRÉCISÉS

DIRE CE QUE L’ON FAIT ET FAIRE CE QUE L’ON DIT

  1. Être contenu, soutenu, compris
    les 5 C
29
Q

CADRE

A
  1. Coordination des diverses interventions:

COHÉRENCE

PRÉVISIBILITÉ

LIMITES CLAIRES ET OBJECTIFS PRÉCISÉS

DIRE CE QUE L’ON FAIT ET FAIRE CE QUE L’ON DIT

  1. Être contenu, soutenu, compris
30
Q

Meilleures pratiques et traitement

t. personnalité

A

Les 5 C:

Contact : créer le lien d’attachement

Confort: se sentir confortable dans une relation

Comprendre: acting out’ vs mentaliser les
solutions

Contenir: tenir le cadre (garder le thème de l’entrevue)

Construire: réparation, sortir le sentiment de culpabilité. Pas de punition mais du renforcement.

Psychothérapie

Ressources spécialisées

Médication

30
Q

Meilleures pratiques et traitement

A

Les 5 C:

Contact : créer le lien d’attachement

Confort: se sentir confortable dans une relation

Comprendre: acting out’ vs mentaliser les
solutions

Contenir: tenir le cadre (garder le thème de l’entrevue)

Construire: réparation, sortir le sentiment de culpabilité. Pas de punition mais du renforcement.

Psychothérapie

Ressources spécialisées

Médication

31
Q

Points communs aux
traitements efficaces ?

A

1) Croyance profonde que le patient est intéressé à changer, en dépit de tout (rage, impuissance, arrogance, mépris, amour etc.),

2) Conviction que ces patients peuvent s’améliorer

3) Sentiment que ces patients sont sympathiques

4) Conviction qu’on peut aider ces patients

5) Capacité de travailler de concert avec une équipe traitante

6) Soutien émotionnel en cas de besoin

32
Q

Points communs aux
traitements efficaces ?

A

1) Croyance profonde que le patient est intéressé à changer, en dépit de tout (rage, impuissance, arrogance, mépris, amour etc.),

2) Conviction que ces patients peuvent s’améliorer

3) Sentiment que ces patients sont sympathiques

4) Conviction qu’on peut aider ces patients

5) Capacité de travailler de concert avec une équipe traitante

6) Soutien émotionnel en cas de besoin

33
Q
  1. La consommation de drogues intensifie
    toujours les symptômes du trouble de la
    personnalité limite?
  2. L’intervention centrée sur la toxicomanie doit
    idéalement précéder le traitement du trouble de
    la personnalité
  3. Il est essentiel d’établir la chronologie des symptômes
    afin de bien orienter la personne pour son traitement?
A
  1. non, peut imiter, diminuer ou exacerber
  2. non, 2 troubles primaire, ne peut pas détacher un de l’autre, prendre un avant l’autre peut avoir des conséquences négatives
  3. non, parfois impossible découvrir trouble primaire, peut essayer + possible, avec histoire de santé, pas essentiel, si pas capable faire doit traiter quand même
34
Q
  1. La consommation de drogues intensifie
    toujours les symptômes du trouble de la
    personnalité limite?
  2. L’intervention centrée sur la toxicomanie doit
    idéalement précéder le traitement du trouble de
    la personnalité
  3. Il est essentiel d’établir la chronologie des symptômes
    afin de bien orienter la personne pour son traitement?
A
  1. non, peut imiter, diminuer ou exacerber
  2. non, 2 troubles primaire, ne peut pas détacher un de l’autre, prendre un avant l’autre peut avoir des conséquences négatives
  3. non, parfois impossible découvrir trouble primaire, peut essayer + possible, avec histoire de santé, pas essentiel, si pas capable faire doit traiter quand même
35
Q

Traitement séquentiel:

A

traitement qui consiste à traiter l’un des deux diagnostics en
premier jusqu’à sa résolution puis d’aborder le second. Les traitements se font donc
l’un après l’autre dans des lieux différents et avec deux équipes distinctes.

36
Q

Traitement parallèle

A

traitement qui apporte une prise en charge simultanée des
deux problèmes par une équipe en santé mentale et une équipe en toxicomanie
travaillant indépendamment et séparément, souvent dans des institutions différentes.

37
Q

Traitement parallèle

A

traitement qui apporte une prise en charge simultanée des
deux problèmes par une équipe en santé mentale et une équipe en toxicomanie
travaillant indépendamment et séparément, souvent dans des institutions différentes.

38
Q

L’approche traitement intégrée

A

Principe de base: fournir, au sein d’une même équipe, un traitement simultané pour
les deux diagnostics.

Importance du dépistage et de l’évaluation rigoureuse des troubles.

Parfois, un arrêt minimal de consommation de substances est nécessaire afin que
les symptômes induits se résorbent pour permettre une évaluation plus nette des
troubles anxieux et dépressifs.

Importance de l’implication des partenaires et accessibilité à des soins adaptés et
rapides.

39
Q

approche intégrée qui / quoi

A

Équipe multidisciplinaire:

Médecin

Psychologues

Intervenants sociaux

Infirmiers ères

Évaluation constante

Traitement basé sur un approche cognitivo comportementale (8 15 rencontres)

40
Q

approche intégrée qui / quoi

A

Équipe multidisciplinaire:

Médecin

Psychologues

Intervenants sociaux

Infirmiers ères

Évaluation constante

Traitement basé sur un approche cognitivo comportementale (8 15 rencontres)

41
Q

Approche intégrée: Prévention des troubles concomitants

A

Identifier les populations à risque

Intervention préventive

Partenariat pour la mise en place des
programme de prévention

Intégration des services

Intégration des systèmes

42
Q

Approche intégrée: Prévention des troubles concomitants

A

Identifier les populations à risque

Intervention préventive

Partenariat pour la mise en place des
programme de prévention

Intégration des services

Intégration des systèmes

43
Q

Fondements de l’intervention auprès des personnes
ayant un problème de santé mentale et toxicomanie

A

Évaluation/accueil: utilisation d’outils fiables.

Évaluation du risque/dangerosité

Formations des divers intervenants

Application des différentes approches (e.g . TCC,

Disponibilité de la documentation pertinente

44
Q

Comment aider un proche qui
consomme?

A

Soyez à l’écoute.

Est il prêt à vous parler librement de sa consommation ?

Quels produits consomme
t il ?

Quel type de consommateur est
il ?

Parler de sa consommation, du plaisir qu’il en retire, y a
t il des conséquences négatives ?

Manifestez
lui de l’intérêt, gardez le contact.

Évitez les jugements.

Contribuez à augmenter son estime de lui même en lui
démontrant qu’il a des qualités et des points forts sans pour
autant consommer.

N’ayez pas peur de dire ce que vous ressentez.

Nommez et respectez vos propres limites.

Allez chercher de l’aide si vous en ressentez le besoin.

Impliquer le patient dans la recherche de solution