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Médias Numérique & Société COM-2404 > Séance Mélangé :3 > Flashcards

Séance Mélangé :3 Flashcards

1
Q

Donnez-moi un exemple d’applications audio et vidéo?

A

Ex: Skype, Facetime

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2
Q

Quels sont les types d’application de messagerie texte ?

A
  • Courrier électronique
  • Messagerie instantanée
  • Clavardage
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3
Q

En quoi consiste le RSS (Really Simple Syndication) ?

A
  • Consiste à incorporer dans un site du contenu provenant d’autres sources mis à jour périodiquement.
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4
Q

Que permet de faire la Géocalisation ?

A
  • Permet à l’appareil de savoir où il se trouve, et aux contenus d’être adaptés en fonction du lieu où se trouve l’usager.
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5
Q

Qu’est-ce que l’interactivité ?

A
  • C’est un principe de fonctionnement caractéristique des médias utilisant un support algorithme.
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6
Q

Qu’est-ce qu’un microprocesseur ?

A
  • C’est une série de million de transistor afin de composer un langage binaire.
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7
Q

Qu’est-ce que l’hypertexte ?

A
  • Des liens où l’on peut cliquer pour obtenir une définition.
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8
Q

Qu’est-ce que la dématérialisation de l’information ?

A
  • C’est par exemple, passer d’un journal papier à un journal numérique.
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9
Q

Qu’est-ce que les médias numériques ?

A
  • Une nouvelle génération de médias nés de l’application de l’information à la communication, au stockage et à la diffusion de contenus informationnels et culturels.
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10
Q

Qui suis-je ?

« Un logiciel qui permet d’afficher des pages web, de naviguer dans la page et d’une page à l’autre (navigateur) ».

A
  • Un client
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11
Q

Qu’est-ce qu’un URL ?

A
  • Un uniform de ressource locator adresse d’un document ou service sur le web.
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12
Q

Qu’est-ce qui qualifie les machines associées aux médias numériques comme étant « intelligentes » ?

A
  • Grâce aux algorithmes qui régulent leur fonctionnement.
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13
Q

En quoi consiste l’interactivité comme fondement des médias numériques ?

A
  • Lorsqu’on demande quelque chose et que l’on reçoit quelque chose en retour, soit de l’information en échange de d’autres informations.
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14
Q

Qui suis-je ?

« Je permet de connecter toutes sortes d’appareils à Internet, sans branchement physique ».

A
  • Le Wi-Fi
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15
Q

En quoi consiste le principe de réseau décentralisé ?

A
  • Des informations qui sont délocalisées à plusieurs endroits.
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16
Q

E quoi consiste le principe de réseau distribué?

A
  • Information répartie en plusieurs réseaux afin d’aider à calculer l’information (accès à tous).
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17
Q

Qui suis-je ?

« Je suis plusieurs informations qui se rendent au même endroit ».

A
  • Le principe de réseau centralisé.
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18
Q

Parmi les choix suivant, lequel correspond à la définition de la communication de paquets ?

a) Un ordinateur qui héberge des pages Web; un logiciel qui permet de les rendre accessible.
b) Le principe ou tout peut être calculé avec seulement deux nombre, 0 et 1, qui correspond au « faux » et « vrai ».
c) Plusieurs informations qui se rendent au même endroit.
d) Partager une liaison entre plusieurs usagers grâce à l’alternance de paquets d’information.

A

d) Partager une liaison entre plusieurs usagers grâce à l’alternance de paquets d’information.

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19
Q

Qu’est-ce qu’un serveur ?

A
  • Un ordinateur qui héberge des pages Web; Logiciel qui permet de les rendre accessible.
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20
Q

En quoi consiste le langage universel ?

A
  • C’est le langage binaire, tout peut être calculé avec seulement deux nombre.
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21
Q

Quelle sont les trois choses que permet de faire l’usage d’un média interactif?

A
  • Il permet de dialoguer (interagir), de choisir (naviguer) et participer (contribuer).
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22
Q

Qui suis-je ?

« C’est une suite logique d’opérations simples effectuées par un ordinateur pour exécuter une tâche ou résoudre un problème, par exemple tiré des informations »

A
  • Un algorithme.
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23
Q

En quoi consiste les technologies mobiles ?

A
  • Consiste à rendre mobile les technologies pour être capable de les transporter n’importe où et n’importe quand.
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24
Q

Qu’est-ce qui a abouti à la quasi-disparition des supports matériels pour l’utilisateur ?

A
  • L’augmentation de la capacité de stockage des ordinateurs, les techniques de compression des données et les connexions à haut débit.

Ex: Icloud, Dropbox, Cloud computing

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25
Q

Parmi les choix suivants, en quoi consiste la numérisation ?

a) C’est le principe de se connecter et communiquer avec d’autres réseaux
b) C’est le principe de relier entre eux des ordinateurs différents
c) C’est une idée que tout objet ou être physique peut être modélisé et ramené à son essence abstraite, informationnelle, sous forme de données quantifiées.
d) L’augmentation de la capacité de stockage des ordinateurs, les techniques de compression des données.

A

c) C’est une idée que tout objet ou être physique peut être modélisé et ramené à son essence abstraite, informationnelle, sous forme de données quantifiées.

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26
Q

Qu’est-ce que l’interconnexion en réseau ?

A
  • C’est le principe de se connecter et communiquer avec d’autres réseaux;
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27
Q

Complétez la phrase suivante.

« Le ________________ consiste à relier entre eux des ordinateurs différents ».

A
  • Projet de l’ARPA
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28
Q

Pouvez-vous me dire en quoi consiste les données, les logiciels et le matériel qui forme les médias numériques ?

A
  • Données : Textes, sons, images, etc.
  • Logiciels : système d’exploitation (OS) navigateur, applications, jeux, etc.
  • Matériels : Ordinateurs, tablettes, smartphone, disque durs, serveurs, etc.
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29
Q

Quelles sont les 3 composantes qui forme les médias numériques?

A
  • Les données, les logiciels et les matériels.
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30
Q

En quelle années est sortie le premier Ipad ?

A
  • En 2010.
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31
Q

Qu’a-t’il été lançé en 2007 ?

A
  • Le lancement du Iphone
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32
Q

Qu’est-ce qui est à la base de la transition de l’information analogique à la numérisation ?

A
  • La miniaturisation des transistors.
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33
Q

En quelle années Steve Jobs et Steve Wozniak ont lancé leur première console Apple ?

A
  • En Avril 1976.
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34
Q

En quoi consiste le matériel analogique ?

A
  • Se sont par exemple des livres, bobines de films, cassettes vidéos, disque en vinyle, etc.
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35
Q

Qu’est-ce qui a modifié d’une manière importante la diffusion de l’information en rapport avec les supports matériels ?

A
  • C’est l’introduction du disque laser (CD) qui a permis de stocker des contenus audiovisuels en format numérique (binaire).
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36
Q

En quelle année Apple ont lancé le Macintosh ?

A
  • En 1984
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37
Q

Quelles sont les grandes « familles » des médias numériques ?

A
  • Les applications de messagerie et téléprésence
  • Le web 1.0 (classique)
  • Le web 2.0 (social)
  • Les médias mobiles ex: Find my Friend
  • Les jeux et mondes virtuels.
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38
Q

En qu’elle année est sortie le premier Ipod d’Apple et le magasin virtuel d’Itunes?

A
  • En 2001.
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39
Q

Qui suis-je ?

« Je suis l’expression qui englobe un ensemble hétéroclite de services de communication entre pairs ».

A
  • Médias Sociaux
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40
Q

Que comprend exactement les médias sociaux?

A
  • des blogues, des plateformes de microblogage, des sites de partage, etc.
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41
Q

En quoi consiste la Webdiffusion ?

A
  • Diffusion en direct ou en différée.
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42
Q

Vrai ou Faux.

« Google, Bing, Yahoo!, DuckDuck Go, etc. sont des exemples de moteurs de recherche ».

A

Vrai.

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43
Q

Parmi les choix suivants, quels sont les éléments faisant partie du web classique dit « 1.0 » ?

a) Sites-vitrines
b) Les blogues
c) Les microblogues
d) La Webdiffusion
e) Moteurs de recherche
f) Les wikis
g) A, D et E
h) B et C

A

g) A, D et E

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44
Q

Vrai ou Faux.

« Les blogues, les microblogues (Twitter), les sites de partage de contenu (youtube, etc.), les wikis, etc. sont des éléments faisant partie du web social dit 2.0 ».

A
  • Vrai.
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45
Q

Quel est la fonction principale des algorithmes ?

A
  • Rendre intelligible et exploitable une masse gigantesque d’informations en les classant d’une façon automatique.
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46
Q

Sur quoi reposent toutes les plateformes du Web social ?

A
  • Repose sur des métriques (nombre de clicks, likes, etc.).
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47
Q

Vrai ou Faux.

« De plus en plus souvent, ce qui détermine ce que vous allez lire, regarder ou écouter se sont les algorithmes ».

A
  • Vrai.
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48
Q

Vrai ou Faux.

« Les médias mobiles au sens large sont des applications spécialement conçues pour les appareils mobiles (messagerie, réseaux sociaux, jeux, etc.). Ils mettent à profit les caractéristiques des technologies mobiles ».

A

Faux.

  • Les médias mobiles au sens large sont en fait des applications et du contenus (téléphones, tablettes, montres, etc.) auxquels les appareils numériques mobiles peuvent avoir accès. Les contenus sont adaptés au support.
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49
Q

Vrai ou Faux.

« Les applications au sens restreint sont des applications spécialement conçu pour les médias mobiles ».

A

Vrai

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50
Q

Il y existe une grande variété de genres dans les jeux, notamment trois principaux. Quels sont-ils et donnez quelques exemple.

A
  • Jeux sur console : arcade, simulation, action.
  • Jeux en ligne : jeux de société, jeux d’action multiutilisateurs en réseau.
  • Jeux « sociaux » avec des interfaces en réseau socionumérique. Ex: Mafia Wars, Farmville.
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51
Q

Vrai ou Faux.

« Les jeux contributifs s’adresse souvent à une génération plus jeune, ça se développe petit à petit et l’objectif est que plusieurs sont autour d’un jeu ayant pour but de vaincre les méchants ».

A

Vrai.

Ex: MineCraft

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52
Q

Quel désavantage pourrait-on donner au monde virtuel ?

A
  • Le monde continu d’évoluer quand ils ne jouent pas.
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53
Q

Parmi les choix suivants, lequel correspond à la mobiquité?

a) Une introduction dans des activités non ludiques, des principes du jeu.
b) Une généralisation de la connectivité et des senseurs qui se fondent dans notre environnement.
c) Avoir accès à l’information, tout, partout et en tout temps (ubiquité et instanéité).
d) l’incarnation et la vie des personnages/avatars.

A

c) Avoir accès à l’information, tout, partout et en tout temps (ubiquité et instanéité).

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54
Q

Parmi les choix suivants, lequel correspond à la ludification?

a) Une introduction dans des activités non ludiques, des principes du jeu.
b) Une généralisation de la connectivité et des senseurs qui se fondent dans notre environnement.
c) Avoir accès à l’information, tout, partout et en tout temps (ubiquité et instanéité).
d) l’incarnation et la vie des personnages/avatars.

A

a) Une introduction dans des activités non ludiques, des principes du jeu.

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55
Q

Parmi les choix suivants, lequel correspond à l’internet des objets?

a) Une introduction dans des activités non ludiques, des principes du jeu.
b) Une généralisation de la connectivité et des senseurs qui se fondent dans notre environnement.
c) Avoir accès à l’information, tout, partout et en tout temps (ubiquité et instanéité).
d) l’incarnation et la vie des personnages/avatars.

A

b) Une généralisation de la connectivité et des senseurs qui se fondent dans notre environnement.

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56
Q

Vrai ou Faux.

« La cellule est vue comme un système de traitement de l’information »

A

Vrai.

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57
Q

William Gibson (1984) a lancé le premier roman cyberpunk et introduit le terme « cyberespace ». Que veut dire ce terme ?

A
  • Cyberespace: Lieu imaginaire appliqué métaphoriquement au réseau Internet. Les internautes circulent donc dans le réseau pour s’informer, discuter, s’amuser, flâner… comme dans le monde réel.
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58
Q

Qui est responsable ou associé au terme noosphère ?

a) lovelock
b) McLuhan
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy

A

c) Teilhard de Chardin

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59
Q

Qui suis-je?

« Je suis la conscience comme processus évolutif dont l’aboutissement serait l’unification des esprits, la sphère de la pensée humaine »

A
  • La Noosphère
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60
Q

En quoi consiste le concept de « village global » ?

A
  • C’est l’idée de former un tout pour qu’il existe un lien entre chaque individu (meilleure communication), comme un monde interconnecté par un système « nerveux » électronique.

Ex: Facebook.

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61
Q

Qui est responsable ou associé au terme Village global ?

a) lovelock
b) McLuhan
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy

A

b) McLuhan

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62
Q

En quoi consiste le concept de « cybionte » ?

A
  • Macro-organisme planétaire, hybride humain-machine avec lequel les humains seraient appelés à vivre en symbiose.
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63
Q

Qui est responsable ou associé au terme « cybionte » ?

a) lovelock
b) McLuhan
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy

A

d) de Rosnay

64
Q

En quoi consiste l’hypothèse Gaïa ?

A
  • Hypothèse Gaïa préfigure le discours écologique que nous avons aujourd’hui, la terre organisme vivant.
65
Q

Qui est responsable ou associé à l’hypothèse Gaïa ?

a) lovelock
b) McLuhan
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy

A

a) Lovelock

66
Q

En quoi consiste le concept « d’intelligence collective » ?

A
  • Désigne les capacités cognitives d’une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents).
67
Q

En quoi consiste le terme « collectifs intelligents » ?

A
  • L’intelligence collective est un système, on peut dire que c’est la somme des intelligences individuelles des membres d’une équipe plusieurs relations.
68
Q

Qui est responsable ou associé aux concepts d’intelligence collective, de collectifs intelligent et d’hypercortex ?

a) lovelock
b) McLuhan
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy

A

e) Lévy

69
Q

Vrai ou Faux.

« En 1973, Daniel Bell qualifie la société post-industrielle de ‘’ Société de l’information ‘’ »

A

Vrai.

70
Q

À quoi fait référence l’économie du savoir ?

A
  • Fait référence au savoir de l’information à des fins économiques.
71
Q

Manuel Castells est l’auteur de la théorie de la « société en réseaux ». À quoi fait-il référence ?

A
  • Il fait référence au fait qu’il y a des êtres humains qui décident du sort de la société, et que ce n’est pas que l’informatique.
72
Q

En quoi consiste « l’internet-centrisme » ?

A
  • Consiste à prendre le modèle de fonctionnement de l’internet et l’appliquer au reste du monde, comme quoi il est au centre de nos vies.
73
Q

Qui suis-je ?

« Je suis un lieu virtuel où l’on se trouve par la pensée lorsque l’on « navigue » sur les réseaux, par ex: Facebook ».

A
  • La Cyberespace
74
Q

En quoi consiste le concept de « cyberespace extraterritorial » ?

A
  • Elle conforte l’idéologie de la société de l’information, soit le refus d’appliquer les législations existantes et plaidoyer en faveur de lois spécifiques.

Ex: Netflix qui ne paye pas de taxe, donc se conforte dans un espace extraterritorial.

75
Q

Au terme étymologique, que représente le mot « virtuel » ?

A
  • Signifie Virtus : Forte, puissance.
76
Q

Il y existe plusieurs polysémie en science concernant le sens du mot virtuel. Parmi les choix suivants, lequel correspond au sens physique ?

a) Images virtuelles, projection d’un objet tangible sur écran
b) Mémoire virtuelle, modélisation, simulation fonctionnelle.
c) Forces, mouvements, particules : le virtuel est réel mais « non actuel ».

A

c) Forces, mouvements, particules : le virtuel est réel mais « non actuel ».

77
Q

sens du mot virtuel. Parmi les choix suivants, lequel correspond au sens Optique ?

a) Images virtuelles, projection d’un objet tangible sur écran
b) Mémoire virtuelle, modélisation, simulation fonctionnelle.
c) Forces, mouvements, particules : le virtuel est réel mais « non actuel ».

A

a) Images virtuelles, projection d’un objet tangible sur écran.

78
Q

sens du mot virtuel. Parmi les choix suivants, lequel correspond au sens informatique/cybernétique ?

a) Images virtuelles, projection d’un objet tangible sur écran
b) Mémoire virtuelle, modélisation, simulation fonctionnelle.
c) Forces, mouvements, particules : le virtuel est réel mais « non actuel ».

A

b) Mémoire virtuelle, modélisation, simulation fonctionnelle.

79
Q

Vrai ou Faux.

« Les technologies de traitement de l’image et les réseaux interactifs de communication font parti des technologies numériques qui peuvent être considérées comme des technologies du virtuel ».

A

Vrai.

80
Q

Qu’est-ce que la réalité virtuelle ?

A
  • C’est une perception qu’a notre cerveau, et non une construction d’une réalité dans une autre dimension. C’est une conception cybernétique du réel.
81
Q

La notion de communauté virtuelle est étroitement en lien avec la notion de communauté d’intérêt. En quoi consiste ces deux concepts ?

A
  • Dans les communautés virtuelles, 
l’aspect géographique n’a plus aucun 
intérêt!
  • Il va se créer des 
« communautés d’intérêts » 
ou les gens vont partager les même volontés et
intérêts (comme des normes communes).
82
Q

Quelles sont les avantages/caractéristiques positives en ce qui a trait à l’aire numérique (virtuelle) ?

A
  • Libération (virtualisation) de l’espace
  • Égalisation et émancipation sociale
  • Une nouvelle fraternité
83
Q

En quoi consiste le déterminisme technique ?

A
  • C’est un principe qui consiste à expliquer ou prédire le changement social par les innovations techniques perçues comme des faits indépendants du social.
84
Q

Vrai ou Faux.

« Le déterminisme technique est une vision simpliste, souvent erronée mais une prédiction optimistes ou alarmistes ».

A

Vrai.

85
Q

En quoi représente le point de vue sociotechnique ?

A
  • C’est lorsque la société et la technologie évoluent ensemble, en co-évolution.
  • C’est lorsque la société et la technologie agissent l’une sur l’autre, en se façonnant mutuellement (co-construction).
86
Q

L’insertion sociale des nouveaux médias passe par deux phases aux logiques opposées. Quelles sont ces deux phases ?

A
  • Une phase d’idéalisation (de la technologie).

- Une phase de banalisation (de la technologie).

87
Q

De quelle phase s’agit-il (en ce qui a trait à l’insertion social des nouveaux médias) ?

« Je suis le discours promotionnels ou alarmistes où on pense en terme de ‘’ révolution ‘’ et de ‘’ substitution ‘’ ».

A
  • La phase d’idéalisation.
88
Q

De quelle phase s’agit-il (en ce qui a trait à l’insertion social des nouveaux médias) ?

« Ici on ne parle plus de la technologie, elle est devenue ‘‘transparente’’ et va de soi. On pense en termes « d’évolution » et d’hybridation des nouveaux et des anciens médias »

A
  • La phase de banalisation (diabolisation).
89
Q

Vrai ou Faux.

« Les technologies apparaissent comme des révélateurs ou des catalyseurs d’enjeux sociaux existant déjà ».

A

Vrai.

90
Q

Vrai ou Faux.

« L’imprimante 3D et les Google Glasses sont des exemple de la phase d’idéalisation et de banalisation (diabolisation) »

A

Vrai.

91
Q

Il y existe 4 risques/peurs lié(e)s au numérique. Quels(elles) sont-ils ?

A
  1. Risques liés à la technologie
  2. Risques liés aux interactions en ligne
  3. Peurs liées aux contenus
  4. Peurs liées au contrôle et aux machines
92
Q

En quoi consiste les risquent liés à la technologie ?

A
  • Le cyberhameçonnage et vol d’identité
  • Paralysie des systèmes
  • Les virus, logiciels espions, numéroteurs, etc.
93
Q

Parmi les choix suivants, lesquels font partie des risquent liés aux interactions en ligne ?

a) Fraudes en tout genre et arnaques financières (vol de données, etc.)
b) Agressions consécutives à une rencontre en ligne ou hors ligne
c) Désinformation
d) Déshumanisation
e) Cyberintimidation
f) A, B, E
g) B, C
h) A, D

A

f) A, B, E

94
Q

Quels sont les peurs liées aux contenus en ce qui a trait au numérique ?

A
  • Désinformation
  • Influence néfaste
  • Problèmes cognitifs : surcharge informationnelle, déficit d’attention
  • Addiction aux jeux, mais aussi au courriel, etc.
95
Q

Vrai ou Faux.

« La censure, la surveillance, la déshumanisation et les conséquences socio-économiques font partie des peurs liées au contrôle et aux machines »

A

Vrai.

96
Q

Complétez la phrase suivante:

« ________________ est un phénomène qui a pris de l’ampleur au cours de la dernière décennie ».

A
  • La cyberintimidation
97
Q

Vrai ou Faux.

« Depuis Platon, la civilisation européenne tend à considérer le face à face comme idéal de la communication ».

A

Vrai.

98
Q

En quoi fait référence la notion de « lien social » ?

A
  • C’est une notion flou qui renvoie à l’existence de structures assurant la cohésion de la société.
  • C’est le goût « d’être ensemble » (sociabilité), interdépendance, solidarité.
  • Liens désignant une pluralité d’acteurs
99
Q

Vrai ou Faux.

« Le conflit est antagoniste au lien social ».

A

Faux.

  • Il est impossible de passer du temps en société sans qu’il y ait des petits accrochages. Le conflit est nécessaire dans la société.
100
Q

De quoi parle Ph. Breton (2000) lorsqu’il dit que l’on doit se méfier du fantasme d’une société sans conflit et sans contact ?

A
  • Il fait référence au mouvement des années 60-70 (flower/power) où celui-ci prônait une société sans conflits entre les membres de la population.
101
Q

Il y existe différents types de collectifs en ligne. Quels sont-ils ?

A
  1. Listes de diffusion/discussion (courriel)
  2. Groupes de discussion et forum (Facebook, etc.)
  3. Canaux de chat (IRC)
  4. Les Wikis (bases de données auxquelles le monde peuvent participer)
  5. Clans de joueurs en réseau, etc.
102
Q

Quelle(s) affirmation(s) est/sont vrai parmi les définitions suivante concernant la communauté décrite par Gemeinschaft ?

a) Nait d’une volonté d’association
b) Fondée sur des liens de voisinage spatial, affectifs, organiques
c) fondée sur l’adhésion volontaire
d) naît d’un destin commun
e) B, D
f) A, C, D
g) B, C

A

e) B, D

  • Fondée sur des liens de voisinage spatial, affectifs, organiques
  • naît d’un destin commun
103
Q

Vrai ou Faux.

« Il y a une contradiction apparente entre les termes ‘’ communauté ‘’ et ‘’ virtuel ‘’ ».

A

Vrai.

104
Q

Complétez la phrase suivante:

« La sociologie classique distingue la communauté et la société en tant _______________ opposées du vivre-ensemble ».

A
  • Qu’idéaux-types.
105
Q

Qu’est-ce qui différencie la communauté d’une société ?

A
  • Communauté : des liens géographiques, émotionnels et organiques.
  • Société : des liens plus abstrait, formels (lois), contractuels.
106
Q

En quoi les communautés en ligne comportent une certaine complexité ?

A
  • Car se sont des communautés virtuelles; le terme « virtuel » est ambivalent.
107
Q

Quels seraient les termes similaires/voisins se rapprochant le plus de communauté virtuelle ?

A
  • Communautés électroniques
  • Communautés en ligne
  • Cybercommunauté
108
Q

Complétez la phrase suivante :

« Des relations d’interdépendance, de amitiés, un vécu commun peuvent émerger autour de ____________________________. Ex: Forum, Chat, Jeu en ligne, Monde virtuel, wiki, Blogue, ‘’ chaine Youtube ‘’, etc. ».

A
  • La fréquentation d’un même lieu virtuel.
109
Q

Que révèle la multiplicité des modes de communication dans les premières communautés en ligne?

A
  • Qu’il y a des codes de langage; ils les utilisent en ligne pour se comprendre, comme une langage commun propre à ces communautés virtuelles.
110
Q

Pour Barry Wellman, qu’est-ce qui a favorisé l’émergence d’une nouvelle structure sociale : l’individualisme en réseau ?

A
  • Les médias numériques.
111
Q

Qui suis-je ?

« Je suis le réseau qui remplace le groupe et où des individus sont connectés plutôt qu’intégré ».

A
  • L’individualisme en réseau.
112
Q

Qu’est-ce qui permet d’entretenir des liens avec un réseau d’une manière beaucoup plus vaste que l’ère prénumérique en plus de maintenir une connexion permanente avec de réseau ?

A
  • Les TIC mobiquitaires, soit le fait d’être ici et ailleurs à la fois.
113
Q

Vrai ou Faux.

« Les réseaux sociaux ne sont pas toujours numériques ».

A

Vrai.

114
Q

Quelle est la différence entre le réseau personnel (ou égocentré) et le réseau social ?

A
  • Réseau personnel (égocentré) : se sont les relations d’une personne (ego) avec d’autres (alters) et les relations que ces alters ont entre eux.
  • Réseau social : l’ensemble des relations entre les membres d’un système social.
115
Q

Qui suis-je ?

« Je suis les liens au sein des groupes primaires, par exemple la famille ».

A
  • Liens forts
116
Q

Qui suis-je ?

« Je suis les liens au seins des relations plus distances, mais grandement utiles, par exemple des connaissances ».

A
  • Liens faibles.
117
Q

Parmi les choix suivants, lesquels font parti des possibilité de nouvelles formes d’engagement sociétales ?

a) Un engagement plus fluide
b) Maintenir une connexion permanente
c) Renforcer les liens forts au sein des groupes
d) Mobilisations temporaires autour d’une cause, d’un enjeu, d’un projet.
e) Avoir des interactions en pointillées
f) L’individualisme en réseau
g) A, D, E
h) B, C, F

A

g) A, D, E

a) Un engagement plus fluide
d) Mobilisations temporaires autour d’une cause, d’un enjeu, d’un projet.
e) Avoir des interactions en pointillées

118
Q

La notion d’identité peut sembler ambigüe par moment. Quelle est celle au caractère officiel imposée qui instaure une certaine stabilité et unicité au sein de la population ?

A
  • L’identité légale et civique : Nom, prénom, âge, sexe, etc.)
119
Q

En quoi consiste l’identité personnelle ?

A
  • C’est le soi autodéfini, en construction permanente, c’est ce que nous avons dévidé d’être. Ex: notre couleur de cheveux, etc.
120
Q

Parmi les choix suivants, quel est l’auteur a l’origine de la définition de l’identité narrative, soit le besoin de donner une cohérence aux diverse facettes et épisode de notre vie en un tout ?

a) Michel Foucault
b) Barry Wellman
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy
f) Paul Ricoeur

A

f) Paul Ricoeur.

121
Q

Vrai ou Faux.

« Selon Paul Ricoeur, l’identité oscille entre deux pôle: le soi-même (ipse) et le même (idem) ».

A
  • Vrai.
122
Q

Qui suis-je ?

« Je suis l’être apparent, constant, identique en tout temps ».

A
  • le même (idem)
123
Q

Qui suis-je ?

« Je suis l’être profond et mouvant, qui ne cesse de se construire ».

A
  • Le soi-même (ipse).
124
Q

Parmi les choix suivants, quel est l’auteur a l’origine de la définition de technique de soi ?

a) Michel Foucault
b) Barry Wellman
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy
f) Paul Ricoeur

A

a) Michel Foucault

125
Q

En quoi consiste le terme « technique de soi » ?

A
  • C’est tout ce que l’on fait, fabrique, exprime; tout ce que l’on met en oeuvre et qui contribue à la construction de l’identité.
126
Q

La notion d’identité est également en lien avec l’interactionnisme, soit la façon dont les uns interagissent avec les autres. Parmi les choix suivants, qui considère que dès que nous avons une audience, nous n’apparaissons jamais sous notre vrai nature ?

a) Michel Foucault
b) Barry Wellman
c) Teilhard de Chardin
d) de Rosnay
e) Lévy
f) Paul Ricoeur
g) Erving Goffman

A

g) Erving Goffman

127
Q

Vrai ou Faux.

« Dès lors que nous avons une audience, nous modulons notre représentation de soi en nous mettant en scène, principalement lorsque l’audience s’élargit »

A
  • Vrai.
128
Q

En quoi consiste la métaphore du théâtre ?

A
  • Dès lors que nous sommes plus que deux personnes dans une interaction, celle-ci devient publique. C’est un peu comme les acteurs de théâtre qui se maquillent et qui prennent leur rôle et joue leur rôle.
129
Q

Vrai ou Faux.

« Nous modulons notre attitude en fonction d’une scène, tout dépendant de l’environnement dans lequel on est ».

A
  • Vrai.
130
Q

Vrai ou Faux.

« Notre attitude et celle de notre interlocuteur va rester la même, et ce, même si une 3e personne se joint à la discussion »

A

Faux.

  • Notre attitude et celle de notre interlocuteur va changer en présence d’une 3e personne.
131
Q

Que représente l’identité numérique au sens courant (légal) ?

A
  • C’est un ensemble des renseignements et des données qui se rapportent spécifiquement è un individu sur Internet (la somme des traces numériques qui nous définissent sur Internet).
132
Q

Que représente l’identité numérique au sens sociologique ?

A
  • C’est l’identité projetée ou construite dans les médias numériques; aussi désignée par les notions de « soi en ligne », « soi numérique ». Ex: Notre avatar Facebook.
133
Q

Qui suis-je ?

« Lorsque nous sommes connecté sans nécessairement interagir avec les gens; nous affichons connecté sans rien faire d’autre ».

A
  • La notion de présence en ligne.
134
Q

Qui suis-je ?

« Je suis une trace que l’on laisse derrière soi lorsque nous sommes connecté ou non au média numérique ».

A
  • La notion de traces numériques.
135
Q

Expliquez ce que veut dire cette citation :

« Désormais, non seulement on ne peut pas ne pas communiquer, mais on ne peut pas ne pas laisser de traces (Louise Merzeau, 2009) »

A
  • c’est que tout ce qui est site d’autopublication sont capable de retrouver toutes les traces numériques que l’on laisse sur Internet, que l’on soit connecté ou pas. ** Cela veut donc dire que l’on communique en tout temps, même sans le vouloir.**
136
Q

Selon Olivier Ertzscheid (2013), qu’est-ce que l’identité numérique ?

A
  • L’identité numérique est constituée de la somme des traces numériques se rapportant à un individu ou à une collectivité.
137
Q

Vrai ou Faux.

« Les traces numériques sont les écrits, contenus audios ou vidéos, messages sur des forums, identifiants de connexion […] que nous laissons derrière nous [sur Internet], consciemment ou inconsciemment ».

A
  • Vrai.
138
Q

Parmi les choix suivants, lesquels font partie des 3 dimension de l’identité numérique selon Fanny Georges ?

a) L’identité déclarative
b) L’identité légal
c) L’identité agissante
d) L’identité personnelle
e) L’identité légale, civique
f) L’identité calculée
g) A, C, F
h) B, D, E
i) E, F uniquement.

A

g) A, C, F

a) L’identité déclarative
c) L’identité agissante
f) L’identité calculée

139
Q

En quoi consiste l’identité déclarative ?

A
  • Se sont des traces fournies directement et consciemment par l’utilisateur (profils).
140
Q

En quoi consiste l’identité agissante ?

A
  • Traces des actions, ce que l’on fais, ou l’on vas qui laisse des traces.
141
Q

Qui suis-je ?

« Je suis produite par le traitement de ces données; c’est ce que les algorithmes font pour nous sur le web, pour ensuite les catégoriser ».

A
  • L’identité calculée
142
Q

En quoi consiste la réputation numérique (e-réputation) ?

A
  • C’est la résultante de ce qui se publie en ligne au sujet d’un individu, d’une organisation ou d’une marque.
  • Une espèce de maitrise de nous même en ligne, qui s’avère à être le mélange entre ce que l’on dis de nous même et de ce qu’on calcule de soi. C’est plus une combinaison de soi.
143
Q

Pour quelle raison des chercheurs ont inventé un ‘’ détecteur de sarcasme ‘’ sur Internet ?

A
  • Car le sarcasme n’était pas détectable sur le web, ce qui pouvait venir nuire à une compagnie personne ou organisation.
144
Q

Vrai ou Faux.

« Il existe deux versants de l’identité numérique ».

A
  • Vrai.
145
Q

Vrai ou Faux.

« Le pseudonymat et la quête de visibilité sont les deux versants de l’identité numérique ».

A
  • Faux.

- Il s’agit de l’expression volontaire et du dévoilement involontaire.

146
Q

Qui suis-je ?

« performance de soi dans les espaces numériques Ex: blogues, Bitstrips ».

A
  • L’expressions volontaires
147
Q

Qui suis-je ?

« je suis des données captées par les dispositifs de collecte qui construisent une identité sur laquelle on n’a aucun contrôle ».

A
  • Le dévoilement involontaire.
148
Q

En quoi consiste la tendance du clair/obscur sur Internet ?

A
  • Sites imposant l’identité légale VS sites encourageant l’identité fictive ou masquées.
149
Q

Vrai ou Faux.

« Le pseudonymat cherche à dissimuler, masquer une partie de soi, mise en scène de soi ».

A

Vrai.

150
Q

Qui suis-je?

« Je suis ce qui passe par le dévoilement de soi et l’extimité ».

A
  • La quête de visibilité.
151
Q

Vrai ou Faux.

« Processus par lequel des fragments du soi intime sont proposés au regard d’autrui afin d’être validés, Ex: publier les photos partagées sur facebook ».

A
  • Extimité.
152
Q

Vrai ou Faux.

« L’extimité est à la recherche de microcélébrité afin de se faire un public ‘‘fans’’ ».

A

Vrai.

153
Q

En quoi consiste la quantification de l’identité par les médias numériques ?

A
  • Pratiques consistant à collecter des données sur soi-même dans le but de produire des statistiques et des représentations visuelles sur ses habitudes et ses comportements.
154
Q

Qui suis-je ?

« Je suis la partie de notre existence qui ne concerne ni le travail (la sphère professionnelle) ni les affaires publiques (la cité) »

A
  • La vie privée
155
Q

Qui suis-je ?

« Je suis un caractère privé d’un objet, d’un lieu, d’une information, c’est-à-dire destiné à un cercle restreint d’individus, et soumis à des conditions plus ou moins strictes ».

A
  • Privacité

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