thème 4 Flashcards
(40 cards)
1
Q
qu,est-ce que l’anomie ?
A
Tension globale entre buts et moyens socialement admis pour les atteindre. Valorise plus les buts que les moyens.
2
Q
Comment ce nomme le phénomène lorsque les Moyens sont plus élever que les buts ?
A
La sclérose sociale
3
Q
Nommer et expliquer les modes d’adaptation individuel
.
A
- Conformiste ++ (accpete les buts et les moyens qu’ils ont)
- Innovation + - (pas vrm de moyens légitime)
- Ritualisme - + ( refuse les buts moyens légitime, donc pas vraiment de compétition)
- Évasion - - (refuse ces valeurs donc évasion de la société)
- Rébellion +-/+- ( on refuse mais on propose aussi donc nouvelle valeur )
4
Q
Qu’est-ce que la sous-culture délinquante ?
A
Formation = solution collective à un phénomène d’ajustement et de privation de statut.
5
Q
Quelles sont les caractéristiques de la sous-culture délinquante ?
A
- Non-utilitaire
- Malicieuse (elle vaut rompre les tabous)
- Négativiste ( veut être le contraire de ce qui est attendu )
- hédoniste (cherche le bonheur)
6
Q
Quelles sont les types d’adaptation collective (et criminelle) ?
A
- sous-culture (gang) criminelle : opportunités crime organiser
- sous-culture (gang) conflictuelle : criminelle, pas d’organisation, jeune délinquants
- sous-culture (gang) retraitiste (ou d’évasion), pas profuctif
7
Q
En quoi consiste les techniques de neutralisation ?
A
Dérive entre la délinquance et la non-délinquance.
- Déni de responsabilité ( pas ma faute)
- Déni de la faute ( pas grave, disqualifie les tords)
- Déni de la victime (disqualifie la victime)
- Condamnation de ceux qui condamnent ( la police )
- L’appel à des loyautés supérieures (corrompu alors moi aussi)
8
Q
Quels sont les éléments de la théorie du lien social ?
A
- l’attachement
- l’engagement (commitment)
- l’implication (involvement)
- La croyance en la valeur des normes communes
9
Q
Expliquer la théorie de l’activité routinière.
A
Besoin de 3 chose pour un crime : une délinquant, une cible attrayante et mal protéger (absence de gardien)
Prévention du crime en modifier l’environnement pour rendre le crime plus difficile.
- Prévention situationnelle pour empêcher le passage à l’acte.
10
Q
Dans la perspective interactionniste, quelles sont les 3 prémisses de l’interactionnisme symbolique ?
A
- l’être humain agit selon la signification que les choses ont pour lui
- Cette signification est le produit de l’interaction sociale
- Les significations sont modifiées à travers un processus d’intégration et de négociation entre les acteurs sociaux.
11
Q
Expliquer les types de conflits de culture.
A
Conflit primaire : 1ère génération connait pas la loi
conflit secondaire : marginalisation, assimilation, retrait, biculturalisme
12
Q
Expliquer en quoi consiste les conflits de culture.
A
- Explication de la criminalité : plurialisme culturel (conflit de coutume des nouveaux arrivants)
- Opposition de modèle culturels (normes sociales)
- Règles sociales variables d’une culture à l’autre
- Chaque individu intériorise les normes de sa société
13
Q
Quels sont les énoncés de la théorie de l’association différentielle ?
A
- Comportement criminel appris (APPRENTISSAGE)
- Appris au contact de d’autres pers. processus de communication (COMMUNICATION)
- Intérieur d’un groupe restreint de relations personnelles (interaction)
- Formation criminelle : 1) techniques d’infraction (savoir faire) et 2) orientation mobile, attitudes, raisonnement etc. (savoir être)
- Orientation mobile et tendances impulsives = fonction de l’interprétation favorable ou défavorable des dispositions légales.
- Criminel si les interprétations défavorables au respect de la loi sont plus grand que les interprétations favorables.
- AD peut varier tand qu’à la fréquence, degré, intensité
- Association avec modèle criminel ou pas, même mécanisme que tout autre formation
- Comportement criminel expression besoins/valeurs : s’explique pas par eux car ce sont les mêmes valeurs que non criminel.
14
Q
Quel est le bilan de l’école de chicago ?
A
- axé sur les facteurs sociaux et non individuel
- image du déviants = ordinaire
- sens de la désorganisation
- axé sur déviances des classes pauvres (déconstruit le lien entre les pauvres et le crime)
15
Q
Les gangs comme désorganisation sociale. Expliquer.
A
- localisation géographique
- Résultat isolement écologique et culturel (pas d’accord avec la société)
- Forme spontané d’organisation sociale (code de conduite)
- vu comme forme de réinvention du monde
16
Q
Qu’est-ce que l’école de chicago et quel concepts explique-t-elle ?
A
- Pas homogène, mais courant de pensé semblables
- Sociologie urbaine, réformiste et empirique mène à une pathologie sociale (désorganisation sociale) et à une normalité du criminel.
17
Q
La déviance est-elle normale ?
A
- La généralité : présente ? fait général dans toutes les sociétés
- La nécessité : Une société saine à un taux moyen de criminalité. Le développement d’une société exige des différences de conscience
- L’utilité : 1) crée et renforce le lien social et 2) progrès direct de la moral et du droit de groupe.
18
Q
Qu’est-ce que le crime selon Émile Durkheim ?
A
Un acte criminel est lorsque l’on offense l’État fort et défini la conscience collective.
2 règles fondamentales : 1) traiter faits sociaux comme un chose et 2) explication faits sociaux doit rester dans les faits sociaux
19
Q
Quels sont les types de criminels selon Ferri ?
A
- Les criminels-né
- Les criminels- habituels
- Les criminels fous
- Les criminels par passion
- Les criminels d’occasion
20
Q
Quels sont les implications de la théorie de Lombroso ?
A
- Un soupir de soulagement de la société car on peut identifier les criminels et faire de la prévention du crime
- Naissance de la criminologie
- Déterminisme biologique
21
Q
Quels sont les critères de l’école positive italienne ?
A
- déterminisme absolue
- La différence entre l’infracteur et les autres citoyens
- La déviance (et la criminalité) comme une pathologie individuelle
- Responsabilité sociale
- L’accent pour la personne
- La dangerosité de l’infracteur
- la peine indéterminée
22
Q
Quelles sont les caractéristiques communes de la pensé classique en matière pénale ?
A
- Un programme politique de réforme pénale
- Les causes du crime laxisme de la répression et choix rationnel abstrait des individus
- Une vision de l’individu comme un être rationnel et doté de libre-arbitre
- Le trangresseur n’est pas vu comme une personne anormale ou différente des autres.
- Le transgresseur est vu comme un ennemi de la société (vision du contrat social)
- Accent sur l’acte et non la personne
- La valorisation de la pénalité
- Une nouvelle rationnalité punitive (proportionnalité, culpabilité)
23
Q
Quelles sont les différentes fonctions du rétributivisme classique ?
A
- La fonction/raison du châtiment : l’homme ne doit jamais être traiter comme un pur moyen au service des fins d’autrui. Si tu fais un crime, c’est ton choix. Toi qui a choisit.
- La fonction du châtiment : Payer le mal par le mal (le mal de la faute par le mal de la société). Tu te fais mal à toi même !
- La mesure du châtiment : Loi du tallion (oeil pour oeil, dents pout dents). La peine doit être proportionnelle
24
Q
En quoi consiste la théorie des causes de la criminalité ?
A
- Les individu se gouvernent entre eux avec les choix rationels
- Tout le monde cherche le plasisir et rebute le déplaisir
- Le comportement fonctionne de la même manière qu’un comportement normal. Même rationnalité.
- Si les coûts sont plus élevé que les bénéfices l’individu évite en générale de commettre l’acte.
25
Quelles sont les conditions d'efficacité de la punition ?
1. Sévérité : la peine doit être plus lourde que le crime et elle doit être proportionelle
2. La certitude : éviter l'incertitude
3. Promptitude : plus le temps entre le déli et la peine est faible, plus forte et durable est l'association entre ces deux termes.
26
Existe-t-il des comportements qui sont naturellement «déviants» dans les sociétés ?
La déviance n'est pas une propriété simple, présente dans certains types de comportements et absente dans d'autres, mais le produit d'un processus qui implique la réponse d'autres individus à ces conduites.
27
Le rôle du droit pénal et des institutions répressives. Quelle est la critique face aux approches précédente ?
1. La question du chiffre noir
| 2. Contre une vision déterministe de la délinquance
28
Qu'est-ce que la déviance primaire et la déviance secondaire selon Edwin Lemert ?
Déviance primaire : tout type de crime de toute les gravités qui ne sont pas vu ! donc seulement le délinquant qui en a connaissance. Inclus le meurtre.
Réaction sociale : réaction de la société face à l'acte du délinquant.
Déviance secondaire : tous les crimes qui se sont su. Ils ont été traiter par la police et son dans le système.
29
Expliquer en quoi consiste la création et l'imposition des normes.
Les groupes sociaux créent la déviance en instituant des normes dont la transgression constitue la déviance.
La déviance n'est pas une qualité de l'acte commis mais plutôt une conséquence de l'application de normes et de sanction à un transgresseur.
Le déviant est celui auquel cette étiquette à été appliquée avec succès et le comportement déviant est celui auquel la collectivité attache cette étiquette.
30
Expliquer les étapes de l'étiquette Déviant.
1. Les entrepreneurs moraux
2. Normes sociales
3. Transgression
4. Perçu comme déviant
5. Non perçu comme déviant
31
Expliquer le tableau de le perception du comportement déviant.
Comportement : perçu comme déviant ou non perçu comme déviant
Obéissant à la norme : accusé à tors ou conformité
Transgressant la norme : Pleinement déviant ou secrètement déviant
32
Quelle est la définition de la déviance ?
- produit d'une processus qui implique la réponse d'autrui
- même acte peut devenir une transgression selon la situation
- pas de propriété du comportement, mais l'interaction entre geste et réaction
- point commun, partage cette étiquette
33
Quelle sont les étapes du processus séquentiel d'entrée dans la carrière déviante ?
1. commettre une transgression
2. Faire un mode de vie
3. Être désigné, étiqueté (public)
4. Entrer dans un groupe déviant organisé
34
Qu'est-ce que la stigmatisation ?
Lorsque la dimension virtuelle et réelle de l'identité sociale sont en contradiction.
35
Qu'est-ce que la dimension virtuelle et réelle ?
Virtuelle : ce que l'on attend de nous
| réelle : Ce que l'on est et comment on agit
36
Qu'est-ce que institution totale (ou totalitaire) ?
un lieu de résidence et de travail où une grand nombre de d'individus, placés dans la même situation, coupés du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont les modalités sont explicitement et minutieusement réglées
* constate que la déviance n'est pas une caractéristique de la personne mais résulte de l'attribution d'une identité sociale.
37
Quel est le bilan de la stigmatisation ?
- démystifier la déviance
- processus d'attribution de statut = déviance
- = activité collective, individu tient un rôle en obéissant aux normes d'une sous-culture
- individu étiqueté, + difficile de poursuivre dans la normalité
38
L'ethnométhodologie ou la construction sociale de la délinquance. Quelles sont les méthodes utilisées par les professionnel pour caractériser les individus ?
- recours à des interprétations préformées (critères stéréotypés)
- connaissance pratique des professionnels (indicateurs/culpabilité)
- construction «vérité» juridique selon interprétations de chaque professionnel.
39
Quel est le bilan de l'ethnométhodologie ou la construction sociale de la délinquance ?
- un subjectivisme excessif
- dimension politique, idéologique et institutionnelle jeux de pouvoir
- dimension microsociale
40
Quelle est la différence entre l'école classique et possitive ?
CLASSIQUE :
- Réflexion philosophique et juridique
- Accent sur l’acte/notion juridique du crime
- Libre-arbitre/individu rationnel (association d’idées)
- Responsabilité morale
- Normalité de l’individu qui commet l’acte criminel
- Culpabilité
- Punition (droit): peines proportionnelles, fixées d’avance
- La science n’est pas importante pour le droit criminel
POSITIVE :
- Étude scientifique
- Accent sur l’individu
- Déterministe
- « Responsabilité sociale »
- Anormalité du délinquant (différent du non délinquant)
- État dangereux
- Accent sur l’idée de peines indéterminées, individualisation des peines; l’idée de traitement, de neutralisation, mesure de sûreté (science)
- La science doit étudier le criminel et informer le droit criminel
