Theme 9 Flashcards

1
Q

Quels sont les ratios fréquemment utilisés pour évaluer la présence gouvernementale dans l’économie ?

A

1- Dépenses gouv. en production de biens et services (G)
2-Dépenses totales toutes catégories confondues (compter 1 fois les transferts)
3-Taux de pression fiscale (recettes fiscales de tout les paliers de gouv. En % du PIB)
4- Dépenses totales toutes catégories (sans double comptage m) PLUS la valeur estimée des interventions réglementaires

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2
Q

Pourquoi l’es transfert peuvent créer des erreurs de calcul dans les ratios mesurant l’intervention gouv.?

A

Puisqu’on comptabiliserait le même montant 2 fois. Ex: si le gouvernement attribue 200$ à un citoyen et qu’il l’utilise. Le 200$ reviendra 2 fois, dans C et dans G

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3
Q

Retour *
Quel est le calcul du SOLDE budgétaire de l’état ?

A

Recettes - Dépenses

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4
Q

Retour *
Quel est le calcul du SOLDE primaire de l’état ?

A

Recettes - Dépenses SANS le service de la dette

Service de la dette: Intérêts à rembourser des obligations émises

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5
Q

Qu’est que la dette brute et nette ?

A

Brute: Représente la dette de l’état sans tenir compte des actifs de l’état

Nette: Dette Brute MOINS les actifs de l’état

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6
Q

Le solde budgétaire de l’état fluctue selon la conjecture économique

A

Vrai

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7
Q

Qu’est que le déficit conjoncturel?

A

Lorsque l’économie se retrouve sous le potentiel de production, les recettes fiscales sont plus faibles et les dépenses en transfert sociaux et autres dépenses sont plus élevées

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8
Q

Qu’est qu’un déficit structurel ?

A

Il indique que l’état a trop de dépenses relativement à ses revenus de façon permanente, même en bonne conjoncture économique

Dans ce cas la dette gouv. Risque d’augmenter plus rapidement que le PIB a L.T

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9
Q

Au Canada qui fais une évaluation complète et rigoureuse des budgets gouv.?

A

Le Bureau du directeur parlementaire du budget
Ils tiennent compte des projections crédibles de de croissance économique et tout autre outil pour l’analyse de la conjoncture économique future

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10
Q

Pour évaluer si la politique budgétaire d’un gouvernement est durable, il faut projeter l’actuelle au-delà de l’horizon de planification à moyen terme d’un budget.

A

Vrai
La variabilité de la dette signifie que la dette n’augmente pas continuellement en % de l’économie

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11
Q

Qu’est que la propension marginale à consommer ?

A

C’est la fraction de chaque dollar de revenu additionnel qui est dépensée

Ex: pour chaque dollar de revenu, 0,80$ dépense et 0,20$ épargne

Propension marginale à consommer = 80% Et a épargner = 20%

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12
Q

Calcul de l’effet de la pro pension marginale à consommer sur DA ?

A

(1 / 1- mpc) * dépense gouv.

MPC: propension marginale à consommer

Ex: MPC= 0.8 et dépense de 100
Hausse DA de 500

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13
Q

Qu’est que l’effet d’éviction?

A

La hausse de Y cause une hausse de demande de monnaie, donc une hausse
du taux d’intérêt (voir marché monétaire) et une appréciation de la devise (PTI),
ce qui cause une baisse de C, une baisse de I et une baisse de XN

Effet contraire a l’effet multiplicateur

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14
Q

Qu’est qu’il faut tenir en compte pour la formule du multiplicateur budgétaire (aussi appelé le multiplicateur fiscal)?

A
  1. Propension marginale à consommer: le changement de consommation (C)
    engendré par un changement de 1$ de Y.
  2. Propension marginale à investir: le changement d’investissement (I) engendré
    par un changement de 1$ de Y.
  3. Propension marginale à importer: le changement des importations (IM)
    engendré par un changement de 1$ de Y.
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15
Q

Quel est le calcul du multiplicateur budgétaire (aussi appelé le multiplicateur fiscal)?

A

1 / 1 - c1 - b1 + m1
c1: est la propension marginale à consommer
b1: est la propension marginale à
investir
m1: est la propension marginale à importer.

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16
Q

Analyse de la réponse du multiplicateur budgétaire (aussi appelé le multiplicateur fiscal)

A

Si le multiplicateur budgétaire est inférieur à 1, une hausse de G de 1 cause une
hausse de Y de moins que 1.
* Si le multiplicateur budgétaire est de 1, une hausse de G de 1 cause une hausse
de Y de 1.
* Si le multiplicateur budgétaire est supérieur à 1, une hausse de G de 1 cause
une hausse de Y de plus que 1.

17
Q

S’il y a un effet multiplicateur et un effet d’éviction = Si l’effet multiplicateur est
plus fort que l’effet d’éviction, alors l’effet net donnera une hausse de Y
supérieure à la hausse de G.

A

Vrai

18
Q

Quel est l’effet d’une hausse des dépenses
gouvernementales et/ou une baisse des taxes sur la demande agrégée?

A

Une augmentation de DA ce qui
cause une hausse de Y et de P.

19
Q

Quel est l’effet a court terme d’une hausse de G ou une baisse de T

A

Hausse de Y à court terme

20
Q

Ainsi, en régime de change fixe, une politique budgétaire expansionniste “force” la
banque centrale à entreprendre une politique monétaire expansionniste pour empêcher
les variations de taux d’intérêt et de taux de change.

A

Vrai

21
Q

Qu’arrive t-il lorsque les finances publiques accumulent de la dette (des déficits
année après année) et qu’il devient urgent de rétablir l’équilibre fiscal et le
gouvernement fait une “consolidation budgétaire” pour rétablir l’équilibre: coupures aux
dépenses et hausses de taxes et impôts

A

Dans un tel contexte, la politique
budgétaire est restrictive, ce qui diminue Y et P et fait augmenter le chômage,
réduisant les recettes fiscales de l’État, ce qui complique la tâche de rétablir de
l’équilibre au budget de l’État.

22
Q

Ainsi, peu importe ce que font le gouvernement et la banque centrale, ce qui importe
“vraiment” à long terme est l’accumulation de capital, l’innovation et la productivité
(modèle de Solow) et “faire travailler le monde” pour avoir le ratio E/pop le plus élevé
possible à long terme.

A

Vrai

23
Q

Quel est le calcul de la consommation?

A

C = c0 + c1(Y-T) – c2i

T: représente toutes les taxes de l’économie. Puisque “Y” est le PIB (donc le revenu),
Y-T est le revenu disponible des ménages.
c0: la consommation autonome (la consommation que nous observerions dans l’économie même si le revenu
disponible (Y-T) était nul)
c1: la propension marginale à consommer –> une hausse du revenu disponible (Y-T) de 1$
augmente la consommation C d’un montant de c1 (qui est entre 0 et 1).
c2: représente la variation de C pour un changement de taux d’intérêt.

24
Q

Quelle est l’équation de l’investissement ?

A

I = b0 + b1Y – b2i
b0: représente “l’investissement autonome”
Une hausse de Y de 1$ augmente l’investissement de b1 et une hausse du taux d’intérêt
de 1 point de pourcentage diminue l’investissement de b2.

25
Q

Quelles sont les équation de EX et IM?

A

EX = x0 + 4E
IM = m0 + m1(Y-T) – 3E
où E est le taux de change réel, E = eP*/P
m1: la propension marginale à importer: une hausse du revenu
disponible de 1$ augmente les importations de m1.
x0 et m0: sont respectivement la “base” pour les exportations et les
importations, c’est-à-dire ce que l’économie fait normalement.

26
Q

Quelle est la formule du PIB (Y) avec les équations des variables?

A

Y = (1/[1-c1-b1+m1]) * ([c0+b0+x0-m0] + 7E+G-(c1-m1)T-(c2+b2)i)

27
Q

TOUTES les interventions sont à proscrire, car elles se mettent “dans le chemin”
des forces d’ajustement économique qui émergeraient si ces forces avaient la
place pour se “faire sentir”, sans les politiques macroéconomiques, et il en
résulterait une meilleure allocation des ressources et un meilleur niveau de vie à
long terme.13

A

Vrai

28
Q

Le processus d’auto-ajustement est très lent et long et même les marchés les
plus efficients comportent une multitude de “défaillances de marché” qui causent
des équilibres stables sous-optimaux, même à long terme. Les politiques
macroéconomiques sont donc un “moindre mal” qui conservent le PIB plus près
de son potentiel plus souvent, causant donc moins de “production perdue” au
total, à long terme.

A

V

29
Q

L’intervention par la banque centrale est adéquate, mais pas celle par la politique
budgétaire, car les interventions de banque centrale ont des effets décentralisés,
donc plus efficients et n’ont pas d’impact direct sur la dette gouvernementale.

A

V

30
Q

. La politique budgétaire engendre des emprunts gouvernementaux massifs et ces
fonds empruntés auraient été utilisés de toute façon, puisqu’ils étaient là: on
remplace donc une utilisation privée et décentralisée du capital financier par une
utilisation gouvernementale centralisée, laquelle peut comporter plusieurs
inefficiences, au sens que les échanges qui en découlent ne respectent pas
nécessairement le critère d’efficience: “volonté et capacité de payer au-dessus
du coût de production (ou volonté de vendre).

A

V

31
Q

Diminuer les taxes pour stimuler l’économie est un moyen adéquat et efficient de
stimuler l’économie, puisqu’on redonne aux ménages et aux entreprises du
pouvoir d’achat, qu’ils utilisent selon leur contexte, contraintes et préférences.
Cette forme de stimulation macroéconomique est donc efficiente, puisqu’il s’agit
ultimement de décisions microéconomiques privées de ménages et entreprises
qui sont les mieux placés pour savoir comment améliorer leur sort et optimiser
l’utilisation de leur revenu.

A

V

32
Q

La dette gouvernementale représente des taxes futures. C’est donc une façon de
reporter aux générations futures la responsabilité fiscale et le poids de la dette.

A

V

33
Q

Pourvu que les finances publiques soient “soutenables” à long terme, les
interventions ciblées sont acceptables pour relancer une demande agrégée
stagnante dans un contexte où les firmes et les ménages attendent que la
conjoncture s’améliore, alors que cette attente est justement la cause de la
stagnation, causant une boucle de renforcement qui perpétue la stagnation et
peut causer le problème de dette-déflation.1

A

V

34
Q

Le critère le plus important n’est pas le ratio dette/PIB, mais bien le service de la
dette en % du PIB, relativement à la croissance économique. Si le service de la
dette en % du PIB est en moyenne inférieur au taux de croissance du PIB
potentiel, alors il n’y a pas de problème structurel fondamental et les “coûts” des
interventions pour “accélérer le processus” de retour au potentiel sont inférieurs
aux coûts de ne pas agir face à un contexte de chômage excessif: tension
sociale, criminalité, stress financiers et les multiples problèmes sociaux et
personnels des périodes prolongées de stagnation et de chômage élevé.

A

V

35
Q

La stimulation monétaire est inflationniste et donc diminue la valeur de la
monnaie, ce qui représente une taxe, puisque la création monétaire génère des
profits pour la banque centrale, donc des revenus pour l’État, et ces revenus sont
reliés à la perte de pouvoir d’achat des individus: revenu de l’État et perte de
pouvoir des individus = taxe! C’est le concept de “taxe d’inflation”.

A

V