Transfere horizontale du matériel génétique Flashcards
(18 cards)
Quelles sont les différences entre procaryotes et eucaryotes en termes de type de reproduction, et quel est l’impact sur le transfert de matériel génétique ?
Procaryotes : Reproduction asexuée (fission binaire), rapide, pas de recombinaison sexuée → favorise le transfert horizontal de matériel génétique
Eucaryotes : Reproduction sexuée (méiose), plus lente, recombinaison génétique → favorise le transfert vertical du matériel génétique
Quels sont les deux mécanismes principaux de variation génétique chez les procaryotes ?
a. Q : Qu’est-ce que le transfert horizontal de matériel génétique ?
b. Q : En quoi ce transfert est-il différent du transfert vertical ?
c. Q : Quels sont les trois principaux types de transfert horizontal ?
Mutations
Transfert génétique horizontal
a- C’est le transfert d’un fragment d’ADN d’une cellule donneuse vers une cellule receveuse, sans relation de descendance directe.
b- Le transfert horizontal se fait entre individus non apparentés, tandis que le transfert vertical se fait d’un parent à sa descendance.
c- Conjugaison, transformation ,Transduction.
Que signifient les termes exogénote, endogénote, et mérozygote ?
Exogénote : ADN donneur introduit dans une cellule
Endogénote : Génome original de la cellule receveuse
Mérozygote : Cellule receveuse contenant temporairement deux copies de certains gènes (partiellement diploïde)
une illustration schématique annotée du devenir d’un mérozygote . (attention image)
Étapes schématisées :
Donneur (F⁺) avec plasmide F + gène d’intérêt.
Contact avec une bactérie receveuse (F⁻) par pilus sexuel.
Transfert partiel de l’ADN chromosomique (Hfr) ou plasmidique.
Formation du mérozygote : la cellule receveuse contient un fragment exogène (pas intégré au début).
Deux devenirs possibles :
Recombinaison homologue → intégration à l’ADN receveur.
Dégradation de l’ADN → retour au génotype initial.
Quels sont les deux types de plasmides selon leur capacité de transfert, et peuvent-ils faire une conjugaison ?
Plasmides non conjugatifs : Plus petits, pas capables de transfert (manquent les gènes nécessaires)
Plasmides conjugatifs : Plus grands, capables de conjugaison (portent les gènes pour pilus et transfert)
Qu’est-ce qu’un épisome ? Et un curage ?
Épisome : Plasmide pouvant s’intégrer dans le chromosome bactérien
Curage : Élimination spontanée ou induite de plasmides dans une cellule
Quels sont les types de plasmides selon leur fonction ?
Plasmide F : Fertilité
Plasmides R : Résistance aux antibiotiques
Plasmides Col : Production de bactériocines
Plasmides de virulence : Gènes pathogènes
Plasmides métaboliques : Enzymes pour le métabolisme de substances spécifiques
Pourquoi évite-on particulièrement les plasmides R conjugatifs ?
Parce qu’ils peuvent transférer la résistance aux antibiotiques à d’autres bactéries rapidement, même entre espèces, favorisant l’apparition de souches multirésistantes
Qu’est-ce qu’un plasmide Col ?
Un plasmide portant des gènes pour la production de bactériocines, protéines toxiques pour d’autres bactéries proches
Qu’est-ce qu’un plasmide métabolique ?
C’est un plasmide contenant des gènes pour des enzymes métaboliques spécifiques, ex. dégradation de pesticides, fixation de l’azote
(Illustration demandée) – Intégration du facteur F dans un chromosome bactérien check image !!!!!!
Qu’est-ce qu’une souche bactérienne F+ ?
Une bactérie donneuse qui possède un plasmide F (facteur de fertilité)
Qu’est-ce qu’une souche bactérienne F- ?
Une bactérie receveuse qui ne possède pas le facteur F
Qu’est-ce qu’une souche bactérienne Hfr ?
Une bactérie avec le facteur F intégré dans son chromosome, permettant le transfert de gènes bactériens en plus du facteur F
(Illustration demandée) – Transduction généralisée check image !!!
(Illustration demandée) – Transduction généralisée check image !!!
(Illustration demandée) – Transformation bactérienne avec les deux devenirs possibles check image !!!
Qu’est-ce qu’une cellule compétente ?
Une cellule capable de capter l’ADN libre présent dans son environnement et de l’intégrer dans son propre génome.