Vrai / Faux Flashcards
(117 cards)
Le vieillissement de la population canadienne implique une réduction de la clientèle des planificateurs financiers.
Faux. Le vieillissement de la population implique plutôt l’augmentation des besoins en gestion du patrimoine (planification successorale).
L’augmentation du niveau de scolarité au Canada influence positivement le revenu moyen des Canadiens; c’est là une bonne nouvelle pour les planificateurs financiers.
Vrai
Les taux d’intérêt ont un impact minime sur le comportement des consommateurs.
Faux. Les consommateurs s’orientent vers des produits financiers différents selon que les taux d’intérêt sont bas ou élevés.
Les produits financiers qui permettent de réduire les impôts personnels engendrent de nombreuses occasions d’affaires pour le planificateur financier.
Vrai
Selon une enquête du CEFRIO, 73,4 % des adultes souhaiteraient ne plus avoir à se déplacer pour faire des opérations bancaires dans leur institution financière.
Faux
Selon une enquête du CEFRIO, ce sont les personnes âgées qui, du fait de leur perte de mobilité, ont l’opinion la plus favorable par rapport aux institutions financières en ligne, sans succursale.
Faux. Ce sont les jeunes de 25 à 34 ans qui ont cette opinion très positive à l’égard de ce type d’institution financière. Les personnes âgées (65 ans et plus) sont celles qui sont le moins enclines à faire affaire avec une institution financière en ligne, sans succursale.
La qualité du service est l’élément clé pour se différencier de la concurrence.
Vrai
Comme il est en première ligne, le planificateur financier joue un rôle essentiel dans la qualité du service et, donc, dans la satisfaction des clients.
Vrai
Se sentir important, obtenir un service personnalisé et profiter des meilleurs prix font partie des attentes des clients quant à la qualité du service offert par le planificateur financier.
Faux
Ne pas comprendre les explications du planificateur financier est naturel puisque ce dernier aborde des sujets complexes et qu’il est expert dans le domaine.
Faux. Le sentiment de ne pas comprendre les explications d’un spécialiste, duquel on dépend, est frustrant pour tout le monde, surtout lorsqu’il est question de la gestion d’importantes sommes d’argent pouvant représenter le résultat de toute une vie d’efforts patients.
La classe sociale est la variable sociologique qui influence le plus le consommateur de produits financiers.
Faux. C’est la culture qui est de loin la variable sociologique la plus importante.
Il est plus important pour un planificateur financier de savoir dans quelle mesure les différentes cultures influencent le comportement des clients que de connaître la composition ethnique de sa clientèle.
Vrai
Représentant 70 % de la population, la classe moyenne constitue la clientèle principale des planificateurs financiers.
Faux. Cette classe représente seulement 22 % de la clientèle des planificateurs financiers. Ce sont les classes supérieures de la société qui, bien que représentant seulement 14,7 % de la population, constituent les trois quarts de la clientèle des planificateurs financiers.
L’individu qui appartient à une classe sociale adopte les comportements de consommation propres à cette classe sociale.
Faux. Caractériser une classe sociale, c’est faire des généralités. Bien que ces dernières s’appliquent jusqu’à un certain point, il peut être risqué pour un planificateur financier de les considérer comme des règles universelles s’appliquant à tout individu d’une même classe sociale.
Les groupes de référence d’un individu, comme sa famille, ses collègues de travail ou les coéquipiers de son équipe de balle molle, ont une influence importante sur le comportement de consommation de cet individu, mais une influence moindre que celle de sa culture d’appartenance.
Vrai
Dans le secteur de la vente de produits et de services financiers, l’influence principale qu’ont les groupes de référence sur l’individu se situe quant au choix de la marque ou, si vous voulez, du nom de l’institution financière privilégiée.
Vrai
Le planificateur financier accorde peu d’importance aux enfants de ses clients, car ces enfants vont naturellement aller vers d’autres institutions financières lorsqu’ils seront financièrement autonomes.
Faux. C’est le contraire qui se produit, en général, puisque les parents restent pour la majorité des enfants une source importante de conseils financiers.
Au Canada, la majorité des décisions financières reliées à la famille se prend en couple.
Vrai
Les besoins de produits et de services financiers d’une famille sont différents selon l’étape à laquelle se trouve cette famille dans le cycle de vie familial.
Vrai
Historiquement, les planificateurs financiers ont toujours prêté plus d’attention aux objectifs personnels de leurs clients.
Faux. Historiquement, les planificateurs financiers ont toujours prêté plus d’attention aux objectifs financiers de leurs clients, en délaissant quelque peu les objectifs personnels de ces mêmes clients.
Le prolongement du célibat et l’accroissement du taux de divorce font partie des changements récents dans la société et qui expliquent qu’il faut utiliser intelligemment et pas dans toutes les situations le cycle de vie familial (tableau 1 du texte de la semaine).
Vrai
Actuellement, les clients sont très bien informés et expriment aisément leurs objectifs personnels à leur planificateur financier.
Faux
Les facteurs psychologiques sont stables dans le temps alors que les facteurs sociologiques et personnels évoluent ou changent selon les situations, notamment les situations d’achat.
Faux. C’est l’inverse! Ce sont les facteurs sociologiques et personnels qui sont stables dans le temps alors que les facteurs psychologiques évoluent ou changent selon les situations, notamment les situations d’achat.
Les perceptions des clients ont un impact significatif sur la nature des relations de ces derniers avec le planificateur financier.
Vrai