Vrai/faux avec l'exam Flashcards

(134 cards)

1
Q

E. L’ADN double brin sert de matrice pour sa propre réplication.

A

vrai

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2
Q

F. La lecture du brin matrice se fait toujours du sens 5’ vers le sens 3’.

A

faux

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3
Q

G. La synthèse des amorces sur le brin précoce est initiée par l’ADN primase.

A

faux

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4
Q

H. L’ADN ligase va unir les chaines d’ADN néosynthétisées sur le brin précoce.

A

faux

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5
Q

E. L’activité topoisomérase nécessite de l’ATP.

A

vrai

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6
Q

F. L’anneau coulissant permet de maintenir l’ADN polymérase sur l’ADN.

A

vrai

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7
Q

G. L’initiation de la réplication dépend de l’activité des CDK de la phase S.

A

vrai

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8
Q

H. La topoisomérase II corrige les erreurs d’appariement.

A

faux

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9
Q

E. L’assemblage du fuseau mitotique a lieu pendant la prométaphase.

A

faux

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10
Q

F. Les condensines permettent l’enroulement de l’ADN répliqué.

A

vrai

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11
Q

G. Le kinetochore est un complexe de protéines qui attache les chromatides sœurs au niveau du centromère au fuseau mitotique.

A

faux

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12
Q

H. La séparation des chromatides sœurs a lieu pendant la télophase.

A

faux

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13
Q

E. La vérification de l’attachement des kinetochores au fuseau mitotique fait intervenir les M-Cdk.

A

vrai

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14
Q

F. Les Kinésine 5 et Kinésine 14 assurent le positionnement du chromosome sur le fuseau.

A

faux

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15
Q

G. Les microtubules astraux positionnent les centrosomes de part et d’autre de la cellule.

A

vrai

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16
Q

H. La contraction et le raccourcissement des microtubules du kinetochore intervient pendant l’anaphase A.

A

vrai

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17
Q

E. Tous les acides aminés portent un groupement amine primaire et un groupement carboxyle.

A

vrai

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18
Q

F. Tous les acides aminés sont amphotères.

A

vrai

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19
Q

Parmi ces propositions concernant les acides aminés et les protéines;
G. Ils constituent les unités de base de la molécule d’ARN.

A

faux

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20
Q

Parmi ces propositions concernant les acides aminés et les protéines;
H. Le lien peptidique est de type CO-NH

A

vrai

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21
Q

E. Les protéines ont une structure tridimensionnelle organisée en 3 niveaux.

A

faux

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22
Q

F. Les 2 extrémités d’une protéine présentent des groupements identiques.

A

faux

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23
Q

G. Les ponts disulfures participent au maintien de la structure primaire.

A

faux

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24
Q

H. L’hélice alpha est une forme de structure secondaire.

A

vrai

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25
E. Un inhibiteur non compétitif diminue le Vmax d’un substrat.
vrai
26
F. La liaison entre une enzyme et un inhibiteur compétitif se fait au niveau du site actif de l’enzyme et est irréversible.
faux
27
G. Dans le cas de l’inhibition compétitive, l’inhibiteur et le substrat se lient sur le même site de l’enzyme.
vrai
28
H. Les statines sont des inhibiteurs compétitifs de la HMG-COA réductase.
vrai
29
E. La liaison des effecteurs allostériques inhibiteurs sur l’enzyme provoque la séquestration du substrat.
faux
30
F. La présence d’un effecteur allostérique modifie uniquement l’affinité de l’enzyme pour son substrat, sans modifier l’efficacité de la réaction.
faux
31
G. L’activation des enzymes par phosphorylation se fait sur un acide aminé spécifique (serine, thréonine ou tyrosine).
vrai
32
H. Les kinases hydrolysent la liaison phosphate.
faux
33
E. Un deltaG negatif correspond à un dégagement d’énergie, on parle de réaction exergonique
vrai
34
F. Un deltaG positif correspond à une réaction à qui il faut apporter de l’énergie, on parle de réaction endergonique
vrai
35
G. Lorsque l’énergie dégagée par une voie exergonique est utilisée par une voie endergonique, on parle de couplage énergétique.
vrai
36
H. L’énergie dégagée par une voie exergonique ne peut être utilisée que par une seule voie endergonique.
faux
37
E. L’oxydation de substrats (lipides et glucides) consomme de l’énergie sous forme d’ATP.
faux
38
F. L’énergie de l’ATP est contenue dans ses liens phosphoanhydrides.
vrai
39
G. On retrouve assez d’ATP dans une cellule pour la fournir en énergie pendant à peine une minute.
vrai
40
H. Les coenzymes réduits peuvent servir à la formation d’ATP.
vrai
41
E. Les cétoses forment un cycle furane (5 arêtes).
vrai
42
F. Les oses peuvent être liés entre eux par des liens glycosidiques.
vrai
43
G. Le processus d’absorption intestinale du glucose fait intervenir des transporteurs membranaires.
vraI
44
H. Les aldoses portent une fonction cétone qui permet de former un cycle pyranne (6 arêtes).
faux
45
E. Le glucose nécessite des transporteurs pour traverser les membranes.
vrai
46
F. La phosphorylation du glucose le retient dans la cellule.
vrai
47
G. Pendant la glycolyse, 4 pyruvates sont formés pour chaque glucose
faux
48
H. L’enzyme phosphofructokinase est régulée par le niveau énergétique de la cellule (activée par l’AMP et inhibée par l’ATP).
vrai
49
E. Le pyruvate traverse les membranes internes et externes de la mitochondrie.
faux
50
F. La réaction clé du cycle est l’isomérisation du citrate.
faux
51
G. La réaction clé du cycle est l’oxydation et la décarboxylation de l’isocitrate.
vrai
52
H. La réaction clé du cycle est le clivage du succinyl-CoA.
faux
53
E. La pyruvate deshydrogénase est activée par l’acétyl CoA.
faux
54
F. La citrate synthase est inhibée par le NADH.
faux
55
G. Le complexe alpha-cetoglutarate deshydrogénase est un point de contrôle du cycle.
vrai
56
H. L’oxydation des acides gras est une voie cataplérotique pour le cycle de l’acide citrique.
faux
57
E. Le cycle de l’acide citrique est finement régulé par la disponibilité des substrats
vrai
58
F. Le cycle de l’acide citrique est finement régulé par la production ou l’utilisation d’intermédiaires par d’autres voies métaboliques
vrai
59
G. Le cycle de l’acide citrique n’est pas régulé.
faux
60
H. Le cycle de l’acide citrique est finement régulé par les besoins en ATP de l’organisme.
vrai
61
E. Les voies cataplérotiques sont les voies à l’extérieur du cycle de l’acide citrique qui fournissent des intermédiaires métaboliques.
faux
62
F. Les voies anaplérotiques sont les voies à l’extérieur du cycle de l’acide citrique qui utilisent des intermédiaires métaboliques.
faux
63
G. L’acetyl-CoA provient uniquement de la glycolyse.
faux
64
H. Un inhibiteur de la pyruvate deshydrogenase aurait le potentiel de bloquer le cycle de l’acide citrique.
vrai
65
E. Les liaisons glycosidiques entre les glucoses de la chaine sont de type alpha1-3.
faux
66
F. Les liaisons glycosidiques entre les glucoses des embranchements sont de type alpha1-6.
vrai
67
G. Le glycogène est empaqueté dans la mitochondrie.
faux
68
H. Le glycogène représente 10% du poids d’un muscle cardiaque adulte en santé.
faux
69
E. La synthèse du glycogène se fait à partir du beta-D-glucose
faux
70
F. La synthèse du glycogène produit plus d’ATP que la glycolyse.
faux
71
G. La première étape de la conversion du glucose en glycogène est identique à la première étape de la glycolyse.
vrai
72
H. L’hexokinase a une faible affinité pour le glucose.
faux
73
E. En absence de glycogène, la glycogénine sert d’accepteur d’UDP-glucose.
vrai
74
F. La glycogène phophorylase nécessite un fragment de glycogène pour fonctionner.
faux
75
G. L’enzyme de ramification agit en 2 étapes.
vrai
76
H. L’isomérisation permet de passer le phosphate du carbone 6 au carbone 1 du glucose.
vrai
77
E. La glycogène phosphorylase produit du glucose-1-phosphate.
vrai
78
F. La glycogène phosphorylase produit du glucose-4-phosphate.
faux
79
G. La glycogène phosphorylase produit du glucose-6-phosphate.
faux
80
H. La glycogène phosphorylase produit du glucose-1,6-bisphophate
faux
81
E. Dans le foie la synthèse de glycogène est activée durant les périodes de jeun.
faux
82
F. Dans le foie la glycogénolyse est activée après les repas.
faux
83
G. Dans les muscles la glycogénolyse est activée lorsque les muscles sont actifs.
vrai
84
H. Dans les muscles la synthèse de glycogène est activée lorsque les muscles sont actifs.
faux
85
Concernant la voie des Pentoses phosphate | E. Elle permet l’utilisation des glucides à 5 carbones.
vrai
86
Concernant la voie des Pentoses phosphate | F. Elle constitue la source principale du NADPH dans l’organisme.
vrai
87
Concernant la voie des Pentoses phosphate | G. Elle permet la formation de ribose 5-phosphate essentiel pour la synthèse des nucléotides.
vrai
88
Concernant la voie des Pentoses phosphate | H. Les 3 premières réactions de la voie des Pentoses phosphate sont non oxydatives
faux
89
E. La voie des pentoses phosphate se produit dans le cytosol et le REL.
vrai
90
F. La première phase de la voie des pentoses phosphate comprends 5 réactions, dont 4 réversibles.
faux
91
G. La seconde phase de la voie des pentoses phosphate aboutit à la formation d’acétyl-CoA.
faux
92
H. La seconde phase de la voie des pentoses phosphate aboutit à la formation de glucose-6-phosphate.
faux
93
E. Le coenzymeQ fait la navette entre le complexe III et le cytochrome C.
faux
94
F. Les complexes I et III participent à l’établissement du gradient de proton.
vrai
95
G. Le gradient de proton alimente l’ATP synthase (complexe V).
vrai
96
H. Le complexe II participe également à une autre voie catabolique se déroulant dans la mitochondrie.
vrai
97
E. Le complexe I relâche du NAD+
vrai
98
F. Le complexe II relâche du FAD
vrai
99
G. Le complexe III ne participe pas au gradient de proton
faux
100
H. Le complexe IV forme une molécule d’eau.
vrai
101
E. Le transfert d’énergie implique uniquement des réactions d’oxydations.
faux
102
F. La chaine de transport des électrons est orientée des composés à fort pouvoir réducteur vers les composés à fort pouvoir oxydant.
vrai
103
G. La chaine de transport des électrons est orientée des composés à fort pouvoir oxydant vers les composés à fort pouvoir réducteur.
faux
104
H. Le gradient de proton est un gradient uniquement chimique.
faux
105
E. Les lipides forment un groupe de molécules très hétérogènes.
vrai
106
F. Les glucides ont un meilleur potentiel énergétique que les triglycérides (TAG).
faux
107
G. Les acides gras insaturés ont seulement une double liaison dans leur structure.
faux
108
H. Les stéroïdes sont dérivés des acides gras insaturés.
faux
109
E. La lipase pancréatique hydrolyse les triglycérides (TAG) aux positions 1 et 3.
vrai
110
F. Les phospholipides sont hydrolysés par les lipoprotéines lipases.
faux
111
G. Le cholestérol ester est hydrolysé par la cholestérol estérase.
vrai
112
H. Les triglycérides (TAG) et le cholestérol estérifié sont hautement hydrophobes.
vrai
113
Concernant la beta oxydation | E. Elle est une voie catabolique mineure pour les acides gras.
faux
114
Concernant la beta oxydation | F. Elle se produit dans les mitochondries.
Vrai
115
Concernant la beta oxydation | G. Elle intervient principalement dans le tissue adipeux.
faux
116
Concernant la beta oxydation | H. Elle dégrade les acides gras en enlevant 1 carbone à la fois.
faux
117
C. Il y a production excessive de corps cétoniques chez les diabétiques de type 1.
vrai
118
D. Il y a production excessive de corps cétoniques chez les diabétiques de type 2
faux
119
Concernant la synthèse des acides gras | E. Elle ne nécessite pas d’acétyl-CoA.
faux
120
Concernant la synthèse des acides gras | F. Elle ne nécessite pas de NADPH
faux
121
Concernant la synthèse des acides gras | G. Elle ne nécessite pas d’ATP
faux
122
Concernant la synthèse des acides gras | H. Elle ne nécessite pas de glucose
vrai
123
E. La carboxylation de l’Acétyl-CoA pour former le malonyl-COA est catalysée par l’acétyl-CoA carboxylase (ACC).
vrai
124
F. La carboxylation de l’Acétyl-CoA pour former le malonyl-COA est l’étape limitante de la synthèse des acides gras.
vrai
125
G. L’acétyl-CoA carboxylase (ACC) est régulée de façon allostérique.
vrai
126
H. La kinase dépendante de l’AMP (AMPK) phosphoryle l’ACC ce qui l’active.
faux
127
E. Les phospholipides regroupent plusieurs familles de molécules qui sont tous composés d’un squelette de sphingosine.
faux
128
F. Les glycrophospholipides contiennent tous un acide phosphatidique.
vrai
129
G. Le groupement polaire des sphingolipides est toujours la sérine.
faux
130
H. L’ancrage membranaires des phospholipides intervient seulement après leur assemblage.
faux
131
E. L’HMG-CoA réductase est l’enzyme limitante dans la synthèse de cholestérol.
vraI
132
F. L’HMG-CoA réductase est localisé dans le cytoplasme.
faux
133
G. L’expression génique de l’HMG-CoA réductase est régulée par le facteur de transcription SREBP.
vrai
134
H. L’HMG-CoA réductase phosphorylée est inactive.
vrai