Catégorisation Flashcards

1
Q

concept

A

représentation mentale abstraite qui ne représente aucun objet concret particulier

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Q

catégorie

A

un regroupement d’objets concrets illustrant le concept

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3
Q

utilité catégories

A

Simplifier notre environnement
Faciliter l’identification des objets
Diminuer le besoin d’apprentissage
Structurer nos connaissances

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4
Q

hypothèse de Worf

A

Les représentations linguistiques que nous apprenons déterminent la façon que nous percevons le monde

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5
Q

règle conjonctive

A

utilise la relation « et » (ex: carré ET rouge = seulement les carrés rouges)

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6
Q

règle disjonctive

A

utilise la relation « ou » (ex: carré OU rouge = les carrés ou les formes rouges)

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7
Q

règle conditionnelle

A

utilise la relation « si … alors » (s’il est rouge, il doit être carré = tout ce qui n’est pas rouge et ce qui est rouge et carré)

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8
Q

règle biconditionnelle

A

s’applique dans les 2 directions et utilise la relation « si…alors » (ex: s’il est rouge il doit être carré, et s’il est carré, il doit être rouge = tout ce qui n’est pas rouge ou un carré sauf le carré rouge)

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9
Q

Apprentissage de règles logiques dans une tâche de classification (Bourne) tache et résultats

A

Tâche : Le sujet doit classer des éléments qu’on lui présente.
Catégorie: 2 attributs associés par une règle (fixe pour 9 essais)
Résultats:
le nombre d’essais requis pour découvrir les règles diminue plus on a de problèmes successifs

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10
Q

Apprentissage des attributs (Bruner, Goodnow et Austin)

A

Étude des stratégies utilisées par les individus pour identifier les concepts.
Matériel: cartes
Règles logiques: e.g., conjonctive, disjonctive, etc
présente deux cartes, demande d’identifier les 4 caractéristiques de chacune (couleur, forme, nombre et bordure) puis on crée la catégorie en gardant ceux qui sont identiques pour les deux cartes

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11
Q

hypothèse des règles logiques

A

Comment les concepts sont définis en mémoire sémantique

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12
Q

règles logiques

A

Un objet ne peut appartenir qu’à une seule catégorie
Les caractéristiques de base qui déterminent l’appartenance à une catégorie sont discontinues
L’appartenance à une catégorie se fait selon des règles décisionnelles qui sont logiques (qui utilisent des opérateurs tels que ‘si’, ‘ou’, etc.)

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13
Q

règles logiques - problèmes

A

Les frontières des catégories ne sont pas très bien définies
Les dimensions utilisées pour définir les catégories sont souvent continues
L’appartenance à une catégorie n’est pas dichotomique

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14
Q

Caractéristiques des catégories naturelles

A
  1. Définies par rapport à des dimensions continues
  2. Organisation hiérarchique
  3. Les membres sont inégaux
    Catégorie artificielle: les membres sont typiques.
    Catégorie naturelle: certains sont plus typiques.
  4. Certaines caractéristiques sont dépendantes
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15
Q

Théorie de Rosch

A

Les concepts sont organisés hiérarchiquement dans des niveaux qui varient selon leur degré d’abstraction (ex. animal -chien - terrier)

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16
Q

Structure hiérarchique des catégories naturelles

A

Les catégories naturelles forment des taxonomies
Catégorie élevée = abstraite (mais économique)
Le niveau de base est le plus utilisé dans la vie courante
niveau le plus concret où les personnes peuvent former une image mentale du concept,
les catégories du niveau sont plus distinctives que celles du niveau subordonné

17
Q

appartenance à une catégorie

A

selon le principe de la ressemblance familiale (nombre d’attributs partagés avec les autres membres)

18
Q

Hypothèse de Rosch - Prototype

A

la moyenne des caractéristiques des membres

19
Q

3 conséquences de la théorie de Rosch

A

L’appartenance à une catégorie n’est pas dichotomique
Un objet peut appartenir à plus d’une catégorie s’il est similaire aux prototypes de deux catégories
Les exemples prototypiques sont jugés plus rapidement

20
Q

effet de la représentativité (Rosch, Simpson et Miller) tâche et résultats

A
Tâche : 
2 catégories 
4 dimensions
un prototype
Résultats:
plus le niveau de représentativité est bas, plus il y a d'erreurs et plus le temps de réaction est grand
21
Q

Aires spécialisées dans le traitement de catégories

A

Dommage au lobe IT (inféro-temporal)
Patients incapables de reconnaître les êtres vivants, mais capable de reconnaître les objets
Patients incapables de reconnaître les objets, mais capable de reconnaître les êtres vivants

22
Q

Neurones spécifiques au traitement de catégories

A

Électrodes insérées au lobe temporal médian des patients épileptiques
Réponses aux catégories

23
Q

Catégories supérieures

A
Groupes religieux
Groupes sociaux (par ex., activistes environnementales)
24
Q

Stéréotypes

A

exagérer les caractéristiques similaires des membres d’un groupe