cours 3 et 4 Flashcards
Les différences individuelles sont nombreuses et leur façon d’influencer notre comportement est _____
Indirect
Selon Lombroso, l’existence des criminels-nés seraient le produit de quoi?
Des différences morphologiques (déformation du crâne, mâchoire surdéveloppée…) et le produit des défauts de leurs ancêtres
V ou F : Toutes les caractéristiques individuelles sont en partie héritables?
Faux, ce sont presque toutes ces caractéristiques, sauf la langue qu’on parle et notre religion
Compare les jumeaux identiques et les jumeaux fraternels
Jumeaux identiques ou MONOZYGOTES (MZ) : identiques au point de vue génétique, grandissent dans la même famille
Jumeaux fraternels ou DIZYGOTES (DZ) : partagent 50% du patrimoine génétique, grandissent dans la même famille
Quel est le but visé par l’étude sur les jumeaux?
Établir la preuve que le comportement humain est en partie biologiquement déterminé
–> puisqu’ils grandissent dans la même famille, et donc vivent pour la plupart du temps dans le même environnement, le rôle des facteurs biologique devrait être observable
Quelles sont les 2 catégories des paires de jumeaux?
- Concordante : les 2 sont délinquants (+ fréquent chez MZ)
2 .Discordante : 1 des 2 est délinquant
Quelle est la conclusion tirée sur l’influence des facteurs génétiques liés aux traits antisociaux?
les facteurs génétiques expliquent modérément les différences individuelle liées aux traits antisociaux (environ 41%)
Qu’est-ce qui expliquerait alors les différences individuelles chez les jumeaux?
59% de ces différences individuelles s’expliquent par l’environnement
- environnement partagé = tout env qui a pr effet d’AUGMENTER la similarité à l’int des paires de jumeaux
- environnement unique : tout env auquel les jumeaux sont exposés qui ont comme effet de les rendre DIFFÉRENTS
V ou F : Les mêmes gènes seraient, en partie, liés à l’ensemble de diagnostics de dépendance, délinquance, impulsivité…
Vrai, par exemple, le gènes respo pour les troubles de conduite seraient les gènes respo pour des troubles d’alcoolisme
Déf : interraction gène et environnent (GxE)
l’interraction GxE survient lorsque l’effet d’un env adverse sur le fonctionnement physique, psychologique & social d’un individu dépend de son génotype (ou inversement, lorsque l’Action du génotype dépend de l’environnement)
Quel est le cas de la MonoAmine Oxydase A?
- l’association directe entre le gèen MAOA et les traits antisociaux est INCONSISTANTE d’une étude à l’autre
- l’impact relatif du gène peut varier en fn de l’env dans lequel se retrouve l’individu
CONCLUSION
–> les hommes ayant l’allèle codant pour un plus FAIBLE expression du gène MAOA sont PLUS À RISQUE d’avoir une personnalité antisociale, commettre des crimes violents… que les porters de l’allèle codant pour une forte expression du gène, MAIS SEULEMENT EN CONTEXTE D’ADVERSITÉ ((ex : maltraitance)
–>C. à. D : la contribution du gène MAOA dépend de l’environnement
Quelles sont les 2 conclusions à lesquelles on arrive, peut importe le devis de recherche? (approche pangénomique)
- il y a une contribution relativement importante des gènes aux comportement antisociaux
- il existe des milliers de gènes et tous ces gènes ont de très petits effets sur le comportement antisocial (c’est la contribution de tous les gènes qui ont un impact)
Quels sont certains mythes liés aux études génétiquement informatives?
- génétique = destinée (déterminisme)
- la démonstration de la causalité est + imp pr les facteurs gén./bio. que pr les facteurs env. (cette démo est à faire pr tous les facteurs criminogènes)
- pour les chercheurs intéressés à l’étiologie génétique, l’environnement n’importe pas (expression du gène dépend de l’env, et vice-versa)
- les recherches génétiquement informatives n’ont pas d’utilité et sont de moindre qualité
- l’origine génétique de la délinquance implique qu’il est inutile d’intervenir auprès de ces personnes, car l’effet des gènes ne peut être changé
Quelle est l’hypothèse concernant la reconnaissance des émotions?
Ecq les personnes qui commettent des crimes ou autres comportements antisociaux montrent des différences dans la reconaissance des émotions et dans la façon que leur corps répond au stress et à la fustration?
Quelles sont les conclusions sur l’hypothèse concernant la reconnaissance des émotions?
- Les personnes antisociales, psycopathes ou ayant commis des crimes ont PLUS de DIFFICULTÉ à reconnaître les émotions de PEUR, TRISTESSE, SURPRISE
- Exclut la possibilité que ces déficits soient liés à la reconnaissance des émotions en général (ce n’est pas un problème neurocognitif : il y a une SPÉCIFICITÉ dans leur reconnaissance de ces émotions)à
- Implication des structures cérébrales/processus neurophysiologique liées à la reconnaissance/et à ressentir la peur (ex amygdales)