Schizophrénie Flashcards

1
Q

trouble psychologique le plus étudié

A

la schizophrénie

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2
Q

définition de la schizophrénie

A

Anomalies dans les perceptions, la pensée, les comportements, le sens de soi et la manière de se lier aux autres

épisode psychotique/psychose : perte de contact avec la réalité

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3
Q

variations géographiques/culturelles/sexuelles de la schizophrénie

A

populations asiatiques ont les prévalences les plus faibles

+ chez H que F

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4
Q

quand est-ce qu’apparait la schizophrénie?

A

Typiquement entre 18 et 30 ans

Un peu plus tôt chez H que chez F (20-24 ans)

Après 35 ans, taux de schizo. chez H diminue abruptement (+ rare d’apparition à cet âge), pas le cas chez F: autre «peak» à 40 et à 60 ans, lié aux variations hormonales.

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5
Q

taux de mortalité chez les schizophrénes

A

espérance de vie plus courte de 20 ans

Consommation de drogues illicites
Effets secondaires des antipsychotiques
Faible engagement familial
Environ 10%: suicide

première rémission tardive des sx : + d’enjeux aigus tôt dans la vie

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6
Q

hospitalisations chez les schizo

A

H sont davantage hospitalisés comparativement aux F
19,9% des patients des hôpitaux généraux, 30,9% des hôpitaux psychiatriques

on observe donc une surreprésentation

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7
Q

taux de rémission chez les schizo

A

taux varient en fonction des études (autour de 1 sur 3 - 35%)

ce qui favorise une rémission:
symptômes plus légers
meilleur fonctionnement
réponse plus rapide au traitement
durée plus courte de la psychose lorsque non traitée

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8
Q

impact des troubles concomittants à la schizo

A

impact sur apparition, gravité et évolution

TP évitante, paranoiaque, dépendante, antisociale
Troubles liés à l’usage de substance
sx de trouble de l’humeur et anxieux

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9
Q

gradient psychopathologique de la schizophrénie

A

trouble délirant –> trouble psychotique bref (1 jour à 1 mois) –> trouble schizophréniforme (1 à 6 mois) –> schizophrénie (6 mois et plus)

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10
Q

trouble délirant

A

idées délirantes

durée d’au moins 1 mois

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11
Q

trouble psychotique bref

A

sx de la schizophrénie (au moins 1 sx de 1 à 3) :
idées délirantes, hallucinations, discours désorganisé, comportement désorganisé ou catatonique

durée de 1 jour à 1 mois

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12
Q

trouble schizophréniforme

A

sx de la schizo (comme trouble psychotique bref, au moins 1 sx de 1 à 3, 2 sx au total) + sx négatifs dans la liste

durée moins de 6 mois

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13
Q

trouble schizoaffectif

A

psychoses + d’autres sx de la schizophrénie + sx thymiques notables

se distingue de la schizophrénie par la survenue de moins d’un épisode de dépression ou de manie

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14
Q

critères du DSM de la schizophrénie

A

A. 2 sx ou omniprésent pdt un mois ou moins en cas de traitement efficace.
B. dysfonctionnement
C. depuis au moins 6 mois
D. pas expliqué par un autre trouble
E. pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre pathologie médicale
F. si d’autres troubles, le dx de schizo est posé seulement si des sx hallucinatoires et délirants importants en plus des autres sx pdt au moins 1 mois

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15
Q

sx de la schizo

A

au moins l’un des sx 1, 2, 3 doit être présent:

  1. idées délirantes
  2. hallucinations
  3. discours désorganisé
  4. comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
  5. sx négatifs
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16
Q

spécification

A

Premier épisode, actuellement en épisode aigu
Premier épisode, actuellement en rémission partielle
Premier épisode, actuellement en rémission complète

Épisodes multiples, actuellement épisode aigu
Épisodes multiples, actuellement en rémission partielle
Épisodes multiples, actuellement en rémission complète

Continu

Avec catatonie (voir définition plus loin)

**il faut aussi spécifier le niveau de sévérité : évaluation quantitative des sx psychotiques

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17
Q

épisode aigu

A

période de temps durant laquelle les critères symptomatiques sont remplis. A des sx du critère A. crise psychotique, c’est une psychose.

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18
Q

rémission partielle

A

après un premier épisode, période de temps durant laquelle se maintient une amélioration et où les critères diagnostiques ne sont que partiellement remplis.

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19
Q

spécification continu

A

symptômes remplissant les critères diagnostiques sont présents la majorité du temps, les périodes de symptômes subliminaux sont très brefs, la plupart du temps les sx persistent sans rémission partielle.

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20
Q

idées délirantes

A

convictions fermes, malgré preuve contraires

spécifications : types et contenu bizarre

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21
Q

type érotomaniaque

A

Conviction qu’une personne est amoureuse du sujet

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22
Q

type mégalomaniaque

A

Conviction d’avoir un grand talent (non reconnu) ou une compréhension profonde des choses ou d’avoir fait des découvertes importantes

inventé une race de chiens

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23
Q

type de jalousie

A

Conviction que le conjoint/e ou être aimé est infidèle

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24
Q

type de persécution

A

Conviction d’être la cible d’un complot, escroquerie, espionnage, filature, empoisonnement, harcèlement, calomnies, obstructions à la poursuite de projets à long terme

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25
Q

type somatique

A

conviction au sujet de fonctions ou sensations corporelles

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26
Q

type mixte

A

aucun thème ne prédomine

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27
Q

idées délirantes avec contenu bizarre

A

«Si elles sont clairement invraisemblables et incompréhensibles pour des personnes d’une même culture et qu’elles ne proviennent pas d’expériences ordinaires de la vie»

conviction qu’un étranger à retiré organes internes de la personne et les a remplacer par ceux d’un autre

incluent les pensées qui impliquent une perte de contrôle de l’esprit ou du corps (vol de pensée, pensées imposées, syndrome d’influence)

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28
Q

vol de pensée

A

Croyance que les pensées ont été retirées par une force extérieure quelconque

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29
Q

pensées imposées

A

Croyance que des pensées étrangères ont été placées dans son esprit

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30
Q

syndrome d’influence

A

Croyance que corps et actions sont agis et manipulés par une force extérieure quelconque

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31
Q

hallucinations

A

Sensations perçues en l’absence de stimulation externe

+ souvent auditives (74%) que visuelles
Entendre ses propres pensées énoncées par une voix étrangère
Entendre des voix se quereller
Entendre des voix qui commentent les comportements

32
Q

discours désorganisé

A

Pensée désorganisée, trouble du cours de la pensée
- Difficulté à organiser ses idées et son discours de manière à être compris

Déduit du discours de l’individu

Doit altérer de manière significative l’efficacité de la communication

déraillements/relachement des associations, pensée tangentielle, incohérence/salade de mots

33
Q

déraillements ou relâchement des associations

A

passer d’un sujet à l’autre

34
Q

pensée tangentielle

A

réponses reliées de manière indirecte aux qst ou pas reliées du tout

35
Q

incohérence ou salade de mots

A

discours gravement désorganisé, pratiquement incompréhensible, ressemble à aphasie réceptive par désorganisation linguistique

36
Q

comportement désorganisé

A

Comportement moteur anormal ou grossièrement désorganisé (incluant la catatonie)
Hygiène affectée, foulard et manteau d’hiver en été, etc.

Manifestations diverses (agitation imprévisible, niaiserie puérile)

Conduit à difficulté à réaliser activités du quotidien

Catatonie: réactivité diminuée à l’environnement

37
Q

catatonie

A

Perturbation prononcée de la psychomotricité qui se manifeste sous forme de diminution de l’activité motrice ou activité motrice bizarre et excessive

38
Q

description des sx négatifs de la schizophrénie

A

moins proéminents dans les autres troubles du spectre

déficits comportementaux

persistent après épisode aigu

impact majeur sur vie de l’individu (invalidité professionnelle, peu d’amitiés)

associées à survenue précoce de lésions cérébrales et perte de capacités cognitives

peuvent être confondus avec effets des médicaments, dépression

39
Q

liste des sx négatifs

A
  1. diminution expression émotionnelle(affect plat)
  2. avolition (aboulie)
  3. alogie
  4. anhédonie
  5. associabilité
40
Q

diminution expression émotionnelle

A

diminution de l’expression émotionnelle du visage
diminution du contact visuel
diminution de l’intonation du discours (prosodie)
diminution des mvmts des mains, de la tête et du visage qui se transmet dans le discours

affecte la majorité des individus schizo
regard vite et éteint, visage sans expression, voix monocorde
ne reflète pas l’expérience intérieure (qui n’est pas nécessairement absente)

41
Q

avolition

A

Manque d’énergie et d’intérêt ou de persistance dans les activités du quotidien (travail, école, tâches ménagères, etc.)
Rester assis à ne rien faire
Affecte apparence physique, hygiène
Prédicteur de ↓ fonctionnement au quotidien et ↓ qualité de vie

42
Q

alogie

A

baisse de la production du discours ou pauvreté du contenu

43
Q

anhédonie

A

incapacité à ressentir du plaisir
manque d’intérêt envers les activités plaisantes et le sexe
incapacité à avoir des relations intimes
en sont conscients

44
Q

asociabilité

A

réfère aux difficultés sociales importantes

peu d’amis, peu d’aptitudes sociales, ne recherchent pas les contacts sociaux

manifestations durant l’enfance (avant sx psychotiques) –> déficit de cognition sociale : difficulté à reconnaitre états émotionnels d’autrui affecte le contact

45
Q

diathèse-stress des troubles schizo

A

facteurs génétiques + évènements prénataux et périnataux –> vulnérabilité du cerveau –> stress + processus de maturation développementale –> sx de psychose

46
Q

étiologie génétique des troubles schizo

A

maladie polygénique (plusieurs gènes en cause)

transmission génétique d’une prédisposition pour la schizophrénie

études sur la famille

génétique moléculaire

47
Q

études sur la famille pour les troubles schizo

A

Risque ↑ au sein de la même famille: plus le lien familial est étroit, plus le risque ↑

Risque ↑ de développer un autre trouble qui est une forme moins grave de schizophrénie (p. ex., TP schizotypique)

48
Q

génétique moléculaire

A

5 troubles psychiatriques majeurs partagent des variations génétiques précises : schizo, trouble dépressif caractérisé, trouble du spectre de l’autisme, trouble bipolaire, TDAH

c’est pour cela que chez 2 personnes qui partagent le même bagage génétique, l’une souffre de schizo et l’autre de dépression

49
Q

étiologie biochimique

A

Hypoactivité dopaminergique de la voie mésocortical du cortex préfrontal –> sx négatifs

Hyperactivité dopaminergique de la voie mésolimbique –> sx positifs et les médicaments bloquent récepteurs D2 donc atténue sx positifs

50
Q

autres neurotransmetteurs que la dopamine dans l’étiologie biochimique

A

nouveaux médicaments agissent sur la sérotonine (5-HT)

faibles taux de glutamate dans fluide cérébrospinal

lien entre DA, 5-HT et glutamate

51
Q

structures du cerveau de la schizophrénie

A

aires du cerveau anormales

hypertrophie des ventricules cérébraux (baisse du volume du cerveau)

dysfonction du lobe frontal

baisse du volume du thalamus

anormalités des aires des lobes temporaux (hippocampe, amygdale)

52
Q

fonctions exécutives trouble schizo

A

Fonctionnement cognitif problématique, notamment déficits de l’attention

53
Q

changements anormaux du cerveau à l’Ado chez les individus

A

développeront + tard une schizophrénie

54
Q

que veut-on dire par trouble neurodéveloppemental lorsqu’on parle de la schizo?

A

Trouble neurodéveloppemental: même si les symptômes de la schizophrénie se présentent à l’âge adulte, problèmes associés au développement du cerveau

Anormalités du cerveau vont s’aggraver avec le temps –> trouble neurodéveloppemental ET «neuroprogressif»

55
Q

facteurs de risque non génétique

A

Avoir un père âgé
Infection virale de la mère durant la grossesse (p. ex., influenza)
Complications obstétriques
Avoir été élevé en ville
Accident à la tête
Consommation de cannabis
Être immigrant

56
Q

rôle du stress psychologique dans l’étiologie

A

↑ stress au quotidien augmente la probabilité de rechute

Classe sociale faible rapporte des taux significativement plus élevés de schizophrénie

Théorie de la sélection sociale: schizophrénie «cause» classe sociale inférieure

57
Q

rôle de la famille dans l’étiologie

A

Lien entre émotions exprimées au sein de la famille et ↑ des rechutes

Critiques, surimplication émotionnelle, hostilité, manque de cordialité
- Expression d’idées bizarres augmente nombre de critiques de la part des proches
- Critiques des proches encouragent les clients à exprimer des idées bizarres

58
Q

défis au niveau du traitement des troubles de la schizophrénie

A

Non reconnaissance du trouble par l’individu
Refus de traitement par l’individu (surtout chez type paranoïde)
Risque de suicide et de comportements violents
Refus de suivre le traitement recommandé
Rechutes
Altération du fonctionnement avec le temps

59
Q

objectif du traitement

A

rester ou retourner vivre en communauté

60
Q

comment se rendre à l’objectif du traitement?

A

Traitement médicamenteux approprié
Stratégies pour favoriser l’observance au traitement
Identification et traitement des troubles concomitants (souvent troubles liés à l’usage d’une substance et dépression)
Thérapies psychosociales pour améliorer symptômes et fonctionnement social et professionnel

61
Q

les différents traitements

A
  1. Traitements biologiques: stimulation magnétique transcrânienne répétitive, pharmacothérapie
  2. Thérapie psychosociale: entraînement aux habiletés sociales
  3. Thérapies familiales (uni ou multi)
  4. Thérapie cognitive-comportementale
  5. Thérapie de remédiation cognitive
  6. Suivi intensif dans le milieu
62
Q

Traitement biologique

A

électroconvulsivothérapie : peu efficace
psychochirugie/lobotomie : trop de risque potentiel
aujourdhui SMTr : soulage certains sx, notamment des hallucinations auditives

traitement pharmacologiques: antipsychotiques/neuroleptiques

63
Q

Antipsychotiques de première génération (classiques)

A

Effets tranquillisants: bloquent les récepteurs DA au cerveau
↓ symptômes positifs
Très populaire

MAIS 30-50% ne répondent pas favorablement aux antipsychotiques classiques
peu de progrès pharmacologiques depuis
traitements des aspects cognitifs et sx négatifs reste un défi
hétérogénéité de réponses des patients aux médicaments (processus à tatons)
effet secondaire préoccupants

64
Q

antipsychotique de deuxième génération

A

atypique
Améliore l’état de ceux qui répondent peu aux antipsychotiques classiques
Moins d’effets indésirables
Moins de tentative de suicide
Moins de rechute

effets secondaires indésirables : augmentation du risque de mortalité

65
Q

psychothérapies

A

entrainement aux habiletés sociales
thérapies familiales
TCC
thérapie de remédiation cognitive

66
Q

entrainement aux habiletés sociales

A

modeling, jeu de rôle
Autogestion médication
Favoriser les relations amicales
Résolution de conflits interpersonnels
Négociation d’accommodement en milieu de travail

67
Q

thérapies familiales

A

Renseigner les patients et leurs proches au sujet de la vulnérabilité au stress, des troubles cognitifs associés à la maladie, ses symptômes et signes de rechute

Renseigner et conseiller au sujet des effets des antipsychotiques

Encourager les membres de la famille à ne pas se blâmer ni à blâmer le patient pour son trouble et difficultés associées

Améliorer la communication et l’aptitude à résoudre les problèmes au sein de la famille
Inciter le patient et ses proches à élargir leurs réseaux sociaux, notamment réseau de soutien (autres parents)

Démontrer de l’espoir face à l’état du client et permettre de mieux comprendre son rétablissement

68
Q

efficacité des thérapies familiales

A

Une famille ou plusieurs familles à la fois, avec ou sans le patient
Familles comme pourvoyeurs de soins
Validées empiriquement et fortement recommandées

69
Q

TCC

A

Amener le patient à douter de ses voix
-Diminue intensité, fréquence et détresse associée

Travailler les croyances/biais
-Tendance à sauter à des conclusions hâtives
-Surattribuer les événements négatifs à causes externes (idées délirantes)
-Percevoir menace dans contexte neutre

Attitudes/croyances dysfonctionnelles prédisent altération du fonctionnement

70
Q

exemple et efficacité TCC

A

Ex. des hallucinations auditives: travailler les croyances → ↓ fréquence et détresse associée
Améliore symptômes et indices de bien-être (fonctionnement social, qualité de vie, estime de soi, gestion du stress, etc.)
Validée empiriquement et fortement recommandée

71
Q

thérapie de remédiation cognitive

A

Travailler les déficits cognitifs associés à la schizophrénie
Attention, mémoire, fonctions exécutives
Amélioration du fonctionnement cognitif (et parfois social) et sur cerveau (matière grise)

72
Q

Deux modèles investis pour soutenir schizo en communauté

A

gestionnaire de cas (courtiers en service)

modèle de suivi intensif en milieu et modèle de la gestion des cas graves

73
Q

courtiers en service

A

Mettre patient en contact avec fournisseurs de soins appropriés
Limites du gestionnaire «seul»

74
Q

modèle de suivi intensif

A

Équipes multidisciplinaires
Fournissent services communautaires: médication, traitement pour abus de substances, aide face aux stresseurs de la vie, psychothérapie, formation professionnelle, aide à la recherche d’un logement et emploi
↓ itinérance et hospitalisations

75
Q

caractéristique de suivi intensif dans un milieu

A

équipe pluridisciplinaire
prestation de services reposant sur une approche d’équipe
suivi intensif en milieu
services communtaires
prestations de services intégrés, exhaustif et personnalisés
faiblres ratio personnel-client
accès rapide aux soins et intervention de crise 24h/24
services à long terme (pas de limite de temps)