Psychopatho 2 Flashcards

1
Q

quelles sont les critiques de la santé mentale selon l’OMS/3 aspects particuliers de la santé psychologique

A
  • imprécise
  • réalité complexe
  • pas juste absence de trouble mental
  • varie en fonction des valeurs des individus
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2
Q

la psychologie est bonne pour x mais mauvaise pour x

A

bonne pour les psychopathologies, mais mauvaise pour ce qui relié à la normalité

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3
Q

lorsque l’on veut dire si une situation est normale ou non qu’est-ce qui est important de chercher

A

chercher le plus de détails possibles

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4
Q

comment freud définir la santé psychologique

A

être capable d’aimer et de vouloir travailler

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5
Q

quels sont les 3 aspects présents dans un trouble mental

A

-sx spécifiques
-cassure dans le fonctionnement (affectif, cognitif, comportemental)
- souffrance importante ou détresse psychologique = non nécessaire et insuffisant, car certaine personne sont en grande souffrance sans s’en rendre compte

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6
Q

quels sont les deux systèmes de classification actuel

A
  • DSM = manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux
  • CIM = classification international des trouble mentaux et du comportement
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7
Q

vrai ou faux, certains troubles ne sont pas dans le DSM ni le CIM

A

vrai

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8
Q

quelles sont les avantages et critiques du DSM 5

A

-uniquement descriptif et non étiologique (on ne sait pas ce qui cause le tr)
-à vocation dx et non thérapeutique
-athéorique
-outil de référence
- en constante évolution

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9
Q

pourquoi les modèles théoriques sont importants

A
  • permettent une conceptualisation de la psychopathologie ainsi que du traitement
  • permettent d’avoir une idée générale de comment fonctionne l’Humain
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10
Q

qui est le premier a développé une approche psychologique des tr mentaux

A

Freud

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11
Q

vrai ou faux, pour freud l’inconscient est de la matière

A

vrai

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12
Q

comment Freud conçoit l’Humain

A

comment un animal ayant des pulsions le poussant à agir

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13
Q

idées générales de l’approche psychodynamique

A
  • les individus traversent différentes étapes charnières au cours du développement
  • chaque étape comporte des enjeux particuliers
  • la résolution de ces défis développementaux influence le développement normal versus pathologique
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14
Q

que sont des fixations et un exemple

A

Fixation = si l’enfant a eu trop ou pas assez de support durant le stade = influencera la personnalité de la personne
- fixation stade anal = personnalité obsessionnel compulsive)

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15
Q

quelles sont les 3 propositions importantes dans la théories des pulsions de Freud

A
  • stades de développement psychosexuel
  • structure de la personnalité
  • mécanismes de défenses
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16
Q

à quoi ressemble les stades de développement psychosexuel

A
  • stade oral de 0 à 1 ans = manger et sevrage
  • stade anal de 1 à 3 ans = retenir et expulser
  • stade phallique 3 à 6 ans = complexe Oedipe ou Électre
  • période de latence = 6 ans à puberté
  • stade génital = puberté à fin de vie
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17
Q

qu’est-ce que le complexe d’Oedipe/Électra

A
  • débute à anal et finis période de latence
  • apprentissage à 3 (triangulation) avant l’enfant apprenait en dyade = comment est-ce que moi je peux vouloir quelque chose alors qu’une autre personne la veut aussi = compétition tout en restant aimé
  • résolution = développe surmoi = identification au modèle parentale
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18
Q

à quoi ressemble davantage la structure de la personnalité

A
  • ça = inconscient = veut des choses sans tenir compte de la réalité (pulsions) = je veux immédiatement
  • moi = partie détaché du ça = agis en fonction de la réalité = 3 niveaux conscient, préconscient, inconscient + médiateur entre le ça et surmoi
  • surmoi = censure, critique, principes moraux appris, plus ou moins conscients
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19
Q

à quoi ressemble les mécanismes de défenses

A
  • les conflits entre le ça, surmoi amène le moi à avoir recours à des mécanismes de défenses inconscients
  • souvent utile dans le monde de l’enfance mais peu dans le monde adulte
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20
Q

à quoi ressemble la psychologie du moi d’Anna Freud

A

-les troubles mentaux sont des mécanismes de défenses générés par le Moi pour gérer les conflits
- peut être plus ou moins adaptés
- focus sur le moi et ses processus au lieu de le voir comme une instance seulement médiatrice
- quelle mode de défense la personne utilise = but = faire évolué la personne vers des défenses plus matures et moins rigides ainsi qu’en avoir plusieurs

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21
Q

quelles sont les 4 types de mécanismes de défense et comment les conceptualisé

A
  • adaptatif, névrotique, limites, psychotique
  • les types de défense doivent être vue comme des extrêmes = plus on est adaptatif plus on est près de l’âge adulte
  • les mécanismes ne sont pas spécifique à une seule catégorie
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22
Q

expliquer:
- sublimation,
- rationalisation,
- intellectualisation,
- identification projective,
- introjection
- projection
- déplacement

A

-sublimation = tourné quelques chose inacceptable vers l’acceptable comme de la colère vers la peinture)
- rationalisation = se mentir à soit même perdre son emploi et se dire que se n’était pas pour soi = cacher l’émotion
- intellectualisation = c’est oui de nommer l’émotion sans le ressentir, car il y a une théorie explicative derrière
- identification projective = agir d’une manière à ce que le thérapeute devient plus agressif, ainsi elle se voit comme une victime
- introjection (confondre ce qui est à moi versus autrui)
- projection = projeter ce qui est à moi à autrui
- déplacement = c’est toujours envers quelqu’un d’autre = je suis en colère contre mon patron mais je le projette vers une autre personne ou objet

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23
Q

qu’est-ce que:
- ascétisme

A
  • ascétisme = rejeter désirs pulsionnels et besoins physiques ordinaires
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24
Q

qu’est-ce que la théorie des relations d’objets (Klein)

A
  • pour eux se n’est pas vrai que la pulsion cherche à être satisfaite elle cherche à être en relation
  • dans l’esprit on intériorise des interactions (moi avec ma mère et l’affect est le bonheur) = deviennent des modèles
  • les modèles pourront se réactiver dans les relations actuelles
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25
Q

en gros qu’est-ce que la théorie sur l’attachement de Fonagy

A
  • attachement est inné et dès que le nourrisson a un besoin il active son système d’attachement pour faire venir sa figure
  • au fil du temps un lien d’attachement se créera, mais cela dépendra de la sensibilité du parent
  • l’enfant développe une compréhension de son monde interne par les interaction avec les figures
  • ce qui joue beaucoup dans le lien d’attachement c’est la dépendance et l’indépendance
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26
Q

à quoi ressemble davantage la mentalisation selon Fonagy

A
  • capacité à percevoir, nommer, interpréter les états mentaux chez soi et autrui = comprendre qui je suis et pourquoi j’agis comme ça et pourquoi les autres agis de la sorte
  • développé au travers de la relation d’attachement = les capacités de mentalisation du parent sera un des véhicule de l’attachement = aider l’enfant à identifier ses émotions et non seulement sa capacité de répondre aux besoins de l’enfant
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27
Q

que sont les modes prémentalisants

A

stades de développement de la mentalisation:
- téléologique = les affects sont seulement possible s’ils sont physiquement visible, pour sentir que les autres m’aiment il faut qu’il me texte souvent)
- équivalence psychique (les états mentaux sont déconnectés de la réalité, avoir peur car il y un monstre en-dessous de son lit, se présente dans la dépression)
- mode semblant (faire semblant que tout va bien = déconnecter de ses émotions) ces 3 modes peuvent revenir n’important quand durant l’âge adulte

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28
Q

différence entre hyper et hypomentalisation

A
  • hyper (trop mentalisation = mon amie vient pas car elle m’en veut encore de ce que j’ai fait il y a 5 ans = ne prête pas attention aux autres facteurs pouvant avoir des effets)
  • hypo (dépression, difficulté à voir les états mentaux complexes et difficulté à comprendre pourquoi les autres font quelque chose)
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29
Q

à quoi ressemble l’organisation de la personnalité selon Kernberg

A
  • au coeur il y a les relations d’objets
  • les représentations de soi et des autres liées par un affect = plus petites unités indivisibles de la structure du monde interne
  • représentation de soi et des autres liées par un affect = les relations d’objets grossisse au fur et à mesure de la vie venant à créer la personnalité = TOUS EST RELATIONS D’OBJET
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30
Q

quelles sont les 6 dimensions de la personnalité selon l’approche psychodynamique

A
  • identité = perception stable de qui on est on connait nos valeurs, faiblesses, forces, buts versus l’extrême et la diffusion identitaire (elle ne sait pas qui elle est)
  • défenses = mécanisme
  • contact avec la réalité = capacité de distingue ce qui m’appartient de ce qui ne m’appartient pas versus l’extrême serait la psychose où on ne sait pas faire la différence entre ce qui est vrai ou non
  • système moral = capacité à suivre les règles + exigence réaliste envers soi
  • agressivité = modelé par l’expérience, autoagressivité (tourné agressivité vers soi) vs hétéroagressivité (agressif envers les autres)
  • relation d’objets = qualité des relations des personnes
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31
Q

à quoi ressemble l’approche humaniste et qui l’utilise

A

Maslow et Rogers
- l’humain est fondamentalement bon
- il est davantage corrompu = écart entre l’essence de la personne ainsi que ce qui est attendue de lui
- les obstacles à l’épanouissement personnel sont avant tout externes
- au centre il y a l’affirmation et l’actualisation de soi
- davantage pour l’intervention que la psychologie

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32
Q

à quoi ressemble la thérapie centrée sur les émotions du néo humanisme

A
  • les émotions sont à la source des problèmes interpersonnelles et des états psychologiques indésirables
  • distinction entre émotions primaires (émotion la plus profonde)
  • émotions secondaires (défend l’émotion primaire, mettre un mur de protection devant celle profonde)
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33
Q

à quoi ressemble l’aspect comportemental de l’approche cognitivo-comportemental

A
  • la psychanalyse est trop flou = ils veulent des données empiriques mesurables
  • intérêt pour les comportements observables plutôt que pour la conscience = 2 types de conditionnements
  • psychopathologie = comportements anormaux sont des réactions apprises comme tous les autres comportements
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34
Q

quels sont les 2 types de conditionnement de l’approche cognitive-comportementale

A
  • conditionnement classique (cloche)
  • opérant (la personne est active = renforcement)
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35
Q

à quoi ressemble l’aspect cognitif de l’approche cognitivo-comportemental

A
  • traite de la manière dont les gens structurent et perçoivent leurs expériences
  • liens entre les expériences passées et les expériences actuelles
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36
Q

quels sont les 3 niveaux de cognition selon l’approche cognitive-comportementale

A
  • pensées automatiques = ce qui vient en tête le plus rapidement + distorsion cognitive
  • croyances intermédiaires = si je, il faudrait que = si je m’approche de la fille que j’aime elle me rejettera
  • schémas = le monde est dangereux, je suis mauvais = structure hypothétique venant organiser l’information
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37
Q

à quoi ressemble l’approche cognitive-comportemental contemporaine

A
  • les émotions, pensées, et comportements sont interdépendants
  • la psychopathologie est expliquée par un ensemble de facteurs = prédisposants, précipitants et maintien
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38
Q

à quoi ressemble les distorsions cognitives de Beck dans l’approche cognitive-comportemental
- tout ou rien
- surgénéralisation
- inférence arbitraire
- abstraction sélective
- dramatisation ou minimisation
- personnalisation
- raisonnement émotionnel
- étiquetage
- croyances sur ce qui devrait être fait

A

-tout ou rien
-surgénéralisation = tirer conclusion avec un seul élément
-inférence arbitraire = tirer des conclusions hâtives avec peu d’éléments
- abstraction sélective = accorder de l’attention seulement aux aspects négatifs
- dramatisation ou minimisation
- personnalisation = se voir à tort dans une situation
- raisonnement émotionnel = croire que les émotions correspondent systématiquement à la réalité
- étiquetage = limite ou rigide la pensée due à une étiquette
- croyances sur ce qui devrait être fait = attentes ne tenant pas compte de la réalité

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39
Q

à quoi ressemble la TCC de Linehan

A
  • thérapie d’acceptation et d’engagement
  • se distancer des cognitions au lieu de les modifier
  • pleine conscience = moment présent
  • acceptation = pas contrôle du sx
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40
Q

à quoi ressemble la thérapie des schémas de Young

A
  • 18 schémas précoces inadaptés = filtres de la réalité que l’on apprend jeune lors de besoins non comblés qui sont dysfonctionnels
  • contient 10 modes = regroupement de schémas = états affectifs plus généraux
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41
Q

quels sont les 3 styles d’adaptation dysfonctionnels de Young

A
  • capitulation = freeze = je ne combat pas le schéma j’agis selon le schéma
  • contre-attaque = fight = agir à l’inverse du schéma
  • évitement = flight = agir pour que le schéma ne soit jamais activer
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42
Q

à quoi ressemble le schéma de vulnérabilité

A

-croyance de base = le monde est dangereux = toujours sur le point de subir sans être capable de s’en protéger
- émotion principale = anxiété
- distorsion cognitive = pensée catastrophique
- style d’adaptation
capitulation = se rassurer par rapport aux peurs
évitement = éviter tout ce qui fait peur
contre-attaque = aller vers ce qui fait peur et prendre des risques exagérés

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43
Q

à quoi ressemble le schéma de l’imperfection

A
  • croyance base = je suis imparfait et plein de défaut, ne méritant pas l’amour des autres
  • émotion principale = honte
  • distorsion = abstraction sélective
  • style d’adaptation
    capitulation = manquer de confiance en soit et être avec des personnes critiques
    évitement = ne pas s’exprimer
    contre-attaque = apparaître confiant
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44
Q

quels sont les 5 schémas du domaine de séparation et rejet
-abandon et instabilité
-méfiance et abus
-manque affectif
-imperfection et honte
-isolement social

A
  • abandon et instabilité = croit que les personnes importantes dans leurs vie les abandonneront pour mieux
  • méfiance et abus = s’attend que les autres le fasse souffrir et de manière intentionnelle
  • manque affectif = les autres ne lui donneront pas le soutien affectif dont il a besoin = manque d’apports affectifs, empathie, protection
  • imperfection et honte = se juge imparfait, mauvais, inférieur ce qui entraîne la perte de l’affection des autres
  • isolement social = sent coupé du reste du monde
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45
Q

quels sont les 4 schémas du domaine de manque d’autonomie et de performance
-dépendance et incompétence
- peur danger ou maladie
- fusionnement ou personnalité atrophiée
- échec

A
  • dépendance et incompétence = incapable de faire face aux responsabilités journalières sans l’aide des autres
  • peur du danger ou de la maladie = peur exagérée d’une catastrophe (santé, émotion, catastrophe naturelle) pouvant survenir n’importe quand et sans y pouvoir faire face
  • fusionnement ou personnalité atrophiée = attachement émotionnel excessif à une ou plusieurs personnes = soit se sent étouffé par les autres autres, fusionne ou doute de lui
  • échec = on a échoué, on échouera, on est incapable de réussir
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46
Q

quels sont les 2 schémas du domaine manque de limites
- droits personnels exagérés
- contrôle de soi insuffisants

A
  • droits personnels exagérés = se dit supérieur aux autres et que l’on a des droits spéciaux + demande sans redonner
  • contrôle de soi insuffisants = éviter ce qui lui est pénible + supporte pas être frustré + incapable modéré expression de ses émotions/impulsions
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47
Q

quels sont les 3 schémas du domaine orientation vers les autres
- assujettissement
-abnégation
-recherche d’approbation

A
  • assujettissement = soumission excessive au contrôle des autres car se sent forcé d’agir de la sorte = assujettissement des besoins (suppression de ses propres désirs) et assujettissement des émotions (suppression de ses propres réponses émotionnelles)
  • abnégation = combler besoin des autres au détriment des leurs
  • recherche d’approbation et reconnaissance = l’estime de soi est formée à partir des réactions des autres et non de leurs propres opinions/valeurs
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48
Q

quels sont les 4 schémas du domaine sur-vigilance et
- négativisme
- sur-contrôle émotionnel
- exigences élevées
- punition

A
  • négativité = concentre sur ce qui est négatif + attente exagérée + peur des erreurs
  • surcontrôle émotionnel = contrôle impulsions positives (joie) + difficulté connaître propres faiblesses + raison avant émotions
  • idéaux exigeants = exigences élevées
  • punition = punition soi et autrui si son niveau de perfection pas atteint
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49
Q

qu’est-ce que la personnalité selon Allport

A
  • organisation dynamique au sein de l’individu
  • systèmes psychophysiques qui déterminent son comportement caractéristique et ses pensées
  • explique autant ce qu’on fait que ce qui motive ce qu’on fait
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50
Q

que sont des traits de personnalité

A
  • caractéristique durable à ce conduire d’une manière particulière dans des situations diverses
  • sur un continuum allant d’un extrême à l’autre = extraversion vers intraversion
  • il ne s’agit pas d’une pathologie en soi il le devient s’il est rigide et présent dans des situations qu’il ne devrait pas (anxiété)
  • résultat de milliers de gènes
  • trait de personnalité et tempérament sensiblement pareil
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51
Q

comment le DSM 5 conceptualise les troubles de la personnalité

A
  • manière d’être qui est dysfonctionnelle et rigide
  • se présente vers fin adolescence début âge adulte (à l’enfance il s’agit davantage de précurseurs)
  • 10 troubles en 3 clusters
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52
Q

quels sont les sx généraux du TP selon le DSM5

A
  • durable, anormale selon la culture de l’individu et se manifeste dans au moins 2 domaines (cognition, affectivité, fonctionnement interpersonnel, contrôle des impulsions)
  • rigides et envahisse les situations personnelles et sociales diverses
  • souffrance clinique significative ou altération fonctionnement = fonctionne normalement sauf dans les sphères intimes
  • détectables plus tard à l’adolescence/début adulte
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53
Q

est-ce qu’une personne ayant des difficulté seulement dans une sphère de sa vie pourrait avoir un TP

A

non, puisqu’il s’agit d’un trouble de personnalité cela doit être présent dans plusieurs sphères

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54
Q

quels sont les 3 clusters et 10 TP

A

CLUSTER A (PSS) = paranoiaque, schizoide, schizotypique
CLUSTER B (NHLA)=
histrionique, limite, narcissique, antisociale
CLUSTER C (DÉO)=
évitant, obsessionnel compulsif, dépendant

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55
Q

vrai ou faux, est-ce qu’il y a une évidence expliquant la répartition des TP en 3 clusters

A

non

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56
Q

quoi faire lorsqu’une personne ne répond pas à tous les critères d’une catégorie de TP ou répond à plusieurs dans plusieurs catégories

A

diagnostique TP non spécifié

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57
Q

différence entre TP hystérique et histrionique

A

se ressemble, mais hystérique est perçu comme plus sain que histrionique

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58
Q

à quoi ressemble le trouble passif-agressif

A
  • pris entre l’inhibition et agression
  • frustrée par les autres mais elle est incapable de laissé allé leur pleine agressivité = agit de manière passive volontairement
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59
Q

cas particulier de la psychopathie

A
  • pas nécessairement des tueurs
  • continuum narcissisme = narcissique → malin → psychopathie
  • le continuum va vers moins en moins de considérations pour l’autre
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60
Q

quelle est la conceptualisation du manuelle diagnostique PDM-2 des TP

A

approche psychodynamique = il n’y a pas de trouble de la personnalité, mais davantage des styles de personnalités que tous ont

61
Q
  1. Les troubles de personnalité ne se guérissent pas ou il y a peu de chance de s’en sortir.
  2. Les personnes qui présentent un trouble de personnalité sont manipulatrices et recherchent l’attention de leur entourage.
  3. Un individu souffrant d’un trouble de personnalité limite (TPL) n’a aucun contrôle de soi.
  4. Les personnes atteintes d’un trouble de la personnalité sont à risque de suicide.
A

1 = cela dépend de la vision du mot guérir, la personne gardera toujours sa personnalité, mais elle apprendra a la réorganiser
2 = pas le cas pour tous les TP
3 = faux
4 = vrai variant selon le type de TP et le moment de la vie

62
Q

cas particulier du TPL

A
  • trouble de personnalité le plus stigmatisé
  • elles vivent des traits de personnalités présents dans chacun, mais qui sont amplifié
63
Q

définition du TPL

A
  • première définition 1938
  • borderline car entre la psychose et névrose
  • s’apparente à la schizophrénie
64
Q

prévalence TPL (pop clinique, pop générale, sexe)

A

pop clinique = 46%
pop générale = 2,7%
sexe = égale chez les deux, mais plus chez les femmes à cause de sa conceptualisation biaisée féminine

65
Q

quels sont les 3 types de modèle diagnostic et les critères d’un d’eux

A
  • dimensionnel
  • hybride
  • catégoriel
    hétérogénéité
    faux négatif
    cooccurrence (avoir 2 TP différents en même temps)
    dynamique dans le temps = parfois diagnostique de TP alors que situation résorbe dans le temps
66
Q

quel est le critère diagnostique A du TPL
ARPIS LVCI

A

A = mode générale d’instabilité des relations interpersonnelles de l’image de soi et des affects avec une impulsivité marquée + 5 des 9 manifestations suivantes
1 = efforts constants pour éviter abandons réels ou imaginés
2 = relation interpersonnelle instables et intenses caractérisé par un clivage (alternance entre les positions extrêmes)
3 = perturbation de l’identité = la personne se connaît peu car elle s’adapte à chacun
4 = impulsivité dans 2 domaines = dépenses, sexualité, conduites auto) n’incluant pas comportements suicidaires
5 = comportements suicidaires
6 = labilité émotionnelle = change rapidement + grande réactivité
7 = sentiment de vide chronique
8 = colère intense, inappropriée et dure longtemps
9 = idéation persécutoire/dissociatif sévère en situation de stress (abandon = paranoïa)

67
Q

prévalence comportement suicidaire et automutilation TPL

A
  • 70% tentative
  • 10% réussite tentative
  • 65% automutilation, car les affects sont tellement intenses que la personne préfère l’éviter = pas seulement pour de l’attention
68
Q

expliquer davantage le critère 9 du TPL

A

9 = idéation persécutoire/dissociatif sévère en situation de stress (abandon = paranoïa)
- expérience prolongée/récurrente de dépersonnalisation et/ou déréalisation
- dépersonnalisation = irréalité/détachement de soi
- déréalisation = ne reconnaît pas l’environnement externe
- il s’agit d’une impression et non hallucination

69
Q

lien entre TPL et attachement

A
  • attachement majoritairement insécure généralement préoccupé car s’intéresse à ce que l’autre pense pour se rassurer
  • 14 fois plus de risque d’avoir vécue de la maltraitance émotionnelle durant enfance
70
Q

lien entre TPL et neurobiologie et génétique

A

-neurobiologie = hyperactivation amygdale
-génétique = pas de gènes spécifiques liés mais 46% héritabilité

71
Q

évolution du trouble TPL

A

traits de TPL présents chez tous jusqu’à atteindre maximum vers fin adolescence → jeune adulte 21% garderont les traits alors que le reste non

72
Q

TPL en vieillissant

A
  • maintient = dysrégulation émotionnelle + relations interpersonnelles instables + colère + insécurité attachement
  • diminution = impulsivité et trouble identité
  • automutilation sous forme de non prise médicament ou mauvais utilisation
73
Q

dx souvent en concomitance avec le TPL

A
  • autre TP
  • bipolarité type 2
  • trouble conduite alimentaire
  • trouble usage substance
  • TSPT-TSPTc
74
Q

TSPT versus TSPTc

A

TSPT = intrusion + évitement + activation physiologique
TSPTc = intrusion + évitement + activation physiologique +
dérégulation émotionnelle + perception négative de soi + difficulté relationnationelle
= organisation de soi

75
Q

différence entre TSPTc et TPL

A

ce que le TPL a que le TSPTc n’a pas
- peur abandon
- instabilité image de soi et des autres
- impulsivité
- automutilation
- trauma surtout interpersonnel

76
Q

comment certains auteurs voient le lien entre TPL et TSPTc

A

TPL = sous groupe sévère TSPTc

TSPTs = sous groupe sévère TSPT

77
Q

Modèle alternatif TPL

A

A = atteinte fonctionnelle significative de la personnalité manifesté par 2 ou plus manifestations suivantes

DYSFONCTIONNEMENT SOI
- identité = mauvaise image de soi/ connaît pas
- autodétermination = instabilité dans ses choix de vie/aspiration/plans
DYSFONCTIONNEMENT INTERPERSONNEL
- empathie = à cause de leur affects intenses il perdent capacité empathie + il tourne souvent les situation vers eux sans comprendre l’autre (regarde l’heure = je ne suis pas intéressante)
- intimité = relations instables et dans les extrêmes idéalisation dévalorisation

B = traits pathologique 4/7 + impulsivité, prise risque, hostilité
-affectivité négative = labilité émotionnelle, tendance anxieuse, insécurité séparation, dépression

78
Q

comment Kernberg classifie les trouble de personnalité

A

névrotique → limite → psychotique (le pire)

79
Q

différence entre organisation limite et névrotique de Kernberg

A

-enfance = organisation limite = d’un côté positif et l’autre négatif
-évolution vers organisation névrotique = intégration des représentations de soi et des autres comme parfois bon et parfois mauvais
-possible que l’évolution n’arrive pas car les affects sont trop intense = garde l’organisation limite

80
Q

à quoi ressemble le TPL selon Kernberg

A
  • étiologie = facteurs communs = facteurs tempéramentaux + maltraitance enfance + événements vie difficile
  • impact relations d’objet = incapacité à intégrer les aspects positifs et négatifs de soi et des autres = la personne vie tellement des affects forts que même si l’autre est bon je le perçois mauvais
81
Q

quels sont les 6 aspects présents dans le modèle de Kernberg pour TPL
SARDIC

A

● Système moral généralement préservé
● Haut niveau d’agressivité vers soi et les autres
● Relations d’objet clivées = expérimente le bon à fond et le mauvais à fond
● Défenses primitives basées sur le clivage = défense vise à maintenir le clivage = identification, déni
● Diffusion importante de l’identité = sait pas qui je suis
● Contact avec la réalité généralement bon = pas d’hallucinations et capable de faire la différence mais difficulté lors relations avec autrui (imaginé versus réel)

82
Q

à quoi ressemble la mentalisation des TPL

A

Difficulté de mentalisation intermittente =
● Mentalisation se désactive facilement lorsqu’il y a un affect et que le système affectif s’active
● Affect intense = activation du système d’attachement
● Hypermentalise le soi sans référence à la réalité externe = dire que personne m’aime alors que j’ai des amis
● Hypersensible aux expressions émotionnels et aux gestes d’autrui
● Hyper et hypo mentalisation + confusion

83
Q

quels sont les origines du TPL selon le modèle de Young

A
  • facteurs biologiques = tempérament émotionnellement intense et labile
  • facteurs environnementaux = environnement familial instable + insécuritaire + rejetant + punitif
84
Q

quels sont les les schémas présents chez les TPL selon le modèle de Young

A

18 sont présents

85
Q

quels sont les 5 modes pour le TPL selon le modèle de young

A

-puisque les 18 schémas sont présents = plus facile d’utilisé des modes
- enfant abandonnée
- enfant coléreux-impulsif
- parent punitif
- protecteur détaché (surtout lui)
- adulte sain (peu présent)

86
Q

expliquer les modes présents dans le TPL selon le modèle de Young

A

● L’enfant abandonné = Le patient apparaît fragile et infantile. Se sent seul et recherche un parent qui pourra prendre soin d’eux.
● L’enfant colérique et impulsif : Le patient est enragé, demandant, contrôlant, abusif. Il agissent impulsivement de manière à combler leurs besoins. Comportement/menace suicidaire
● Parent punitif : le patient se punit d’avoir fait quelque chose de mal = devient son propre parent punitif.
● Le protecteur détaché : déconnecté de ses besoins pour obtenir l’approbation des autres (fait tout ce qu’il faut pour être un bon patient)

87
Q

traitement recommandé et non recommandé pour TPL

A
  • première ligne = psychothérapie = thérapie des schémas, DBT = thérapie comportementale dialectique
  • pharmacothérapie = déconseillé mais utile pour les troubles concomitants
88
Q

à quoi ressemble la thérapie des schémas selon young

A

-travailler les schémas les uns après les autres ne fonctionne pas, il vaut mieux travailler en bloc avec les modes = plus simple d’utiliser les modes pour monitorer les changements rapides d’états affectifs
-les patients plus sains peuvent utiliser plusieurs modes à la fois, mais les personnes avec TPL utilisent seulement un mode à la fois et n’ont pas accès aux autres modes pour se calmer.
-TPL ont typiquement un mode adulte sain très faible, si bien que, lorsque le mode de l’enfant coléreux est activé, il est très difficile de s’y opposer ou de le contrôler = La colère envahit
-Ce mode (l’enfant colérique et impulsif) est souvent présent lorsque les patients TPL arrivent à l’urgence ou sont en début de traitement = le mode le moins fréquent du TPL.
-Selon Young, les patients TPL seraient la plupart du temps (lorsqu’ils ne sont pas émotionnellement activés ou en crise) dans le mode du protecteur détaché.

89
Q

comment le DSM conceptualise les troubles de conduites alimentaires + quels sont les TCA dans le DSM

A

Trouble grave, caractérisé par des troubles persistants de l’alimentation ou du comportement alimentaire pouvant s’accompagner d’une altération de la consommation et absorption des aliments
-anorexie mentale
-boulimie mentale
-hyperphagie boulimique

90
Q

apparition, prévalences et risques des TCA

A

APPARITION
- débute souvent adolescence
- une fois établis difficile à traiter
- plus le TCA est présent longtemps plus le pronostic diminue
PRÉVALENCE
- fréquent chez les jeunes femmes
- mais hyperphagie autant présent chez les 2 sexes
RISQUES
- anorexie boulimie = mortalité
- hyperphagie = obésité

91
Q

caractéristiques cliniques générales des TCA

A
  • surévaluation de la forme, du poids et de leurs contrôle = leur estime de soi dépend fortement de leur corps
  • recherche de perte de poids et ou de changement de forme
  • peur intense de la prise de poids et de l’embonpoint
  • vérification du poids à plusieurs reprises par la pesée durant la même journée = surestimation poids car il varie constamment durant la journée
  • certains évite de vérifier leur poids = maintient la peur de leur poids car il n’y a aucune contre-preuve
92
Q

quel est le problème central des TCA = objectif intervention

A

attitudes et croyances anormales
renforcées par la culture
concernant la forme et le poids

93
Q

caractéristiques cliniques de l’anorexie mentale

A
  • recherche incessante minceur
  • perception déformée image corporelle
  • peut extrême obésité
  • alimentation restreinte
  • poids corporel très faible
94
Q

tableau clinique anorexie mentale

A
  • préoccupation par rapport à l’image corporelle
  • restriction prise alimentaire (il n’y a pas de perte appétit mais d’avantage un contrôle valorisant sur l’appétit)
  • alimentation ritualisée (ressemble TOC)
  • faible poids = moins 17
  • crises de boulimie (pas toujours et souvent avec comportements compensatoires) = 30 à 50%
  • comportements compensatoires
  • dynamique de contrôle alimentaire et relationnelle = retrait social car priorité est l’alimentation
  • caractéristiques dépressives, anxieuses, irritables, instabilité humeur, difficulté concentration, perte sexualité
  • préoccupation par la nourriture
  • personnalité exigeante envers eux
95
Q

pourquoi l’entourage ne voie pas leur proche souffrir d’anorexie

A
  • porte vêtement ample
  • ment sur leur comportement
  • tellement investie dans la nourriture quelle fait de très beaux repas
96
Q

répercussions anorexie mentale

A

SOCIALE
- proches très investies, mais la personne s’éloigne d’eux et se cachent
FAMILLE
- parents investies surtout sur l’alimentation et inquiets
IDENTITÉ
- égosyntone = honte n’est pas d’être maladie mais de ne pas être capable de contrôler leur alimentation
- vice morale = perte de contrôle vie comme indiscipliné
- grandiosité = perçue comme moralement supérieur car contrôle nutrition
PHYSIQUE
- hospitalisation, perte menstruation, retard puberté (corps reste ainsi), faible rythme cardi
DÉNUTRITION
- cognition = difficulté concentration
- émo = discordance entre situation et émotion et émotion plate
- diminution densité osseuse et fonctionnement organes

97
Q

caractéristiques cliniques boulimie mentale

A
  • consommation rapide et répétée de grandes quantités d’aliment = binge
  • suivie par tentatives compensation
98
Q

tableau clinique boulimie mentale

A
  • crises pertes de contrôle alimentaire provoquées par un stress émotionnel au moins 1 fois par semaine menant à de la honte
  • comportements compensatoires
  • IMC sain à cause équilibre entre binge alimentaire et comportements compensatoires
  • inquiétude sujet poids
  • dépressive et anxieuses
  • comportements impulsifs = drogues alcool
  • écodystole = consciente de leur comportement anorexique
99
Q

la boulimie est un problème de XX

A

régulation émotionnelle et somatique

100
Q

quels modes de prémentalisation utilise les TCA

A
  • téléologique = je le crois si je le vois = contrôle de soi
  • mode semblant = contrôler le poids pour représenter un contrôle interne (instabilité)
  • expérimente leurs émotions et cognitions via leur poids
101
Q

répercussion boulimie mentale

A
  • vomissements = éroder dents + cicatrice doigt + consommation sirop ipéca pour provoquer vomissement mais risque mort subite
  • crises alimentaires = ruptures estomac et perforations oesophage
102
Q

caractéristiques cliniques hyperphagie boulimique

A
  • consommation répétée de quantité de nourriture anormalement importante
  • sentiment perte de contrôle
  • pas suivie de comportements compensatoires
103
Q

tableau clinique hyperphagie boulimique

A
  • surévalution de la forme, poids et du contrôle
  • surpoids et obésité IMC plus de 30
  • absence niveau élevés restriction alimentaire soutenir
  • tendance à trop manger en dehors des crises de boulimie (les crise on augmenté capacité alimentaire de l’estomac)
  • mange rapidement et jusqu’à ressentir un trop-plein inconfortable
  • ingère grande quantité de nourriture lorsque seul car gêné
  • dégoûté/coupable excès alimentaire
104
Q

vrai ou faux, avant d’entreprendre la gestion des troubles psychologies des TCA il faut gérer les sx physiques

A

vrai

105
Q

à quoi ressemble la TCC pour l’anorexie et la boulimie mentale

A

OBJECTIFS
- réduire préoccupation sur poids et silhouette = modifié le schéma dysfonctionnel que l’estime de soi est basé sur le poids
- modifier les croyances erronées dans l’efficacité des vomissement pour prévenir l’absorption des calories
INTERVENTION
- exposition graduelle in vivo aux différentes phobies
RESTRUCTURATION COGNITIVE
- travail les pensées erronées sur le fait de manger, croyance sur le poids et forme corps

106
Q

à quoi ressemble la TCC pour le contrôle des épisodes de crises alimentaires

A
  • régulation des émotions = tendance à manger lors humeurs indésirables = diminuer le recourt à la nourriture durant ces situations
  • contrôle des impulsions
107
Q

quelles sont deux recommandations de la TCC pour l’anorexie mentale spécifiquement

A
  • thérapie familiale = améliorer interaction entre les membres et enseigne aux parents comment aider l’ado
  • certains aspect rejoignent le TOC et la personnalité obsessionnelle compulsive
108
Q

évolution de la classification des troubles sexuels

A
  • Au départ vue comme déviants et pathologisés sans considération pour contexte culturel et diversité des pratiques sexuelles
  • approches nuancées = reconnaissance diversité et contexte culturel, social et individuel
  • intégration souffrance clinique = il faut qu’il y ait de la détresse par la personne ou autrui pour avoir le dx
109
Q

impacts de l’évolution de la classification des troubles sexuels

A
  • réduction de la stigmatisation car certaines pratiques ne sont pas des troubles mentaux
  • amélioration de la compréhension des différences individuelles sexuelles ce qui a favorisé l’empathie
110
Q

caractéristiques cliniques dysfonction sexuelles

A

1 = perturbation cliniquement significative de la capacité à répondre sexuellement ou à éprouver du plaisir si provient d’une stimulation sexuelle inadéquate pas de dx
2 = moment apparition du trouble
- type de tout temps = présent dès premières expérience sexuelle
- type acquis = développés après période sexuelle normale
- type généralisé = ne se limitent pas à certains types stimulations, situations, partenaires
- type situationnel = présent dans seulement certaines situations

111
Q

quels sont les 5 facteurs à considéré durant l’évaluation des troubles sexuels

A
  • facteurs liés au partenaire = source provient du partenaire
  • facteurs relationnelles = communication, déséquilibre désir sexuelle
  • facteurs vulnérabilité individuelles = antécédents abus, comorbidité, facteur stress (deuil)
  • facteurs culturels ou religieux (interdits)
  • facteurs médicaux
112
Q

possibles causes psychologiques des dysfonctions sexuelles

A
  • difficultés relationnelles
  • trouble humeur
  • peur = grossesse, dépendance autrui
  • désintérêt sexe ou partenaire
  • culpabilité = tromper, cachoterie
113
Q

expériences subjectives des dysfonctions sexuelles

A

AFFECTIF
- tendance anxieuse, dépressive, faible estime soi, manque confiance
SCHÉMAS COGNITIFS
- préoccupation face à l’insuffisance
ÉTAT SOMATIQUE
- hyperréactivité sensorielle (toucher irritant et non excitant) ou hyporéactivité sensorielle
RELATIONNELS
- évitement de l’intimité

114
Q

caractéristiques cliniques des troubles paraphiliques

A
  • tout intérêt sexuel intense et persistant autre que pour la stimulation génitale ou préliminaire avec partenaire humain
  • cause détresse ou altération fonctionnement ou préjudice à soi ou autrui
115
Q

quelles sont les 2 groupes des troubles paraphiliques ainsi que les trouble dedans

A

Groupe 1 = préférence activités anormales
TROUBLES DES MOYENS DE SÉDUCTION
- voyeurisme, exhibitionnisme, frotteurisme
TROUBLES ALGOLAGNIQUES (DOULEUR)
- masochisme, sadisme

Groupe 2 = préférence de cible anormale
DIRIGÉE VERS LES AUTRES
- pédophilie
DIRIGÉS AILLEURS
- fétichisme, transvestisme

116
Q

4 aspects particuliers de l’expérience subjective des troubles paraphiliques

A
  1. Nature spécifique : pas tous vécus de la même manière
  2. Niveau d’acceptation de soi / rejet des intérêts paraphiliques = croyances religieuses, culture, normes sociales
  3. Degré d’ouverture à leur sujet = du secret à la grande ouverture jusqu’à la honte arrestation
  4. Degré relatif d’approbation social attaché à un intérêt paraphilique particulier
117
Q

expérience subjective des troubles paraphiliques

A

AFFECTIF
- certains acceptent, honte, culpabilité, plaisir, anxiété, peur, sentiment grandiose
COGNITIF
- obsession sans agir en conséquence
- égosyntone = rationalise
- égodystone = cherche empêcher expression
SOMATIQUE
- niveaux élevés d’excitation lorsque engagés les activités sexuelles
- engourdissement lorsqu’ils ne sont pas là
RELATIONNEL
- dissociés du reste de la vie ou appartenir à une communauté

118
Q

répercussions dysfonctions sexuelles et troubles paraphiliques

A
  • tensions relations interpersonnelles et diminution intimité
  • insécurité, honte, culpabilité = diminution estime de soi
  • manque de compréhension dans la communication
  • perte confiance lorsque cachée
  • diminution qualité de vie à cause de stress émotionnel, difficultés relationnelles, conséquences judiciaires
119
Q

traitements des dysfonctions sexuelles

A
  • thérapie sexuelle individuelle ou en couple = aspects relationnels, émotionnels et physiques de la sexualité = comprendre et surmonter les obstacles
  • approche centrées sur le couple = améliorer la communication et la connexion émotionnelle
  • TCC = schémas de pensée et les comportements associés
120
Q

approches thérapeutiques pour les troubles paraphiliques

A

TCC = vise à modifier les schémas de pensée et les comportements associés aux paraphilies

Thérapie de groupe et soutien social = offrent un espace pour partager des expériences similaires, discuter des défis et trouver un soutien émotionnel

121
Q

adaptions de l’approche thérapeutique en fonction de la culture du patient pour les troubles sexuelles

A
  • évaluation initiale sensible aux normes culturelles
  • flexibilité et adaptation
  • inclusion des ressources culturelles (entourage)
  • formation des thérapeutes
  • écoute et respect de la diversité sexuelle dans le non-jugement
  • création d’un environnement inclusif
    NE PAS AVOIR PEUR DE POSER DES QUESTIONS = FORME D’EMPATHIE
122
Q

qu’est-ce que l’humeur

A
  • disposition affective durable sur quelques heures à journées
  • peut être lié au tempérament = des personnes programmée comme ayant une humeur positive
  • humeur peut être générale (positive ou négative) ou précise (dépressive, anxieuse)
  • humeur vient influencée les émotions
  • les émotions changent selon des aspects identifiables alors que pas l’humeur
123
Q

différence entre dépression unipolaire et bipolaire

A

unipolaire = dépression
bipolaire = bipolarité

124
Q

différence entre dépression caractérisée et persistante

A

caractérisée dure 2 semaines, si elle atteinte 2 ans le diagnostique change pour persistante

125
Q

vrai ou faux, les troubles bipolaires et dépressifs partagent des caractéristiques

A

vrai

126
Q

quelle sexe a une prévalence plus grande pour la dépression

A

femmes, mais pas entre 24 et 44 ans

127
Q

chez quel âge il a un plus grand risque de dépression et pourquoi

A

ADOLESCENT
- modulation de l’identité = peur du rejet
- hormones = réactivité au stress est au maximum + réorganisation système récompense
- mentalisation en formation = dans leur tête il y a une audience de personne qui les regarde + incertitude entre allé vers les autres (rejet) ou autonomiser (échouer)

128
Q

nommer les critères diagnostiques dépression caractérisé
HDPIA FMCD

A

AVOIR 5 PARMIS 9 SUIVANTS
- humeur dépressive
- diminution marquée intérêt ou plaisir
- perte ou gain de poids significatif (minceur)
- insomnie ou hypersomnie (pas différentiel)
- agitation ou ralentissement psychomoteur
- fatigue ou perte d’énergie
- sentiment dévalorisation ou culpabilité (dit devant les autres)
- diminution aptitude à penser, concentrer, indécision
- pensées mort récurrente

129
Q

ne jamais accepté un dx de dépression sans quoi

A

prise de sang = vérifier débalancement hormonal

130
Q

à quoi ressemble le sous-type de dépression caractérisé avec détresse anxieuse

A

présence au moins 2 sx
- énervement
- tension
- agitation
- dif concentration dus soucis
- peur arrive de quoi d’horrible
- possible perte contrôle

131
Q

à quoi ressemble le sous-type de dépression caractérisé avec caractéristiques mixtes

A

au moins 3 sx
- humeur expansive (expre joie)
- idées grandeurs
- haute estime soi
- aug communication

132
Q

à quoi ressemble le sous-type de dépression caractérisé avec caractéristiques mélancolique

A
  • perte plaisir ou absence réactivité
  • anesthésie affective (désespoir/morose)
  • dépression + marquée matin
  • agitation ou ralentissement
  • fluctuation poids
133
Q

différence entre troubles cognitifs dépression versus démence

A

Dépression =
- difficulté attentionnel
- mémoire travail-verbal
- fonctions exécutives
- vitesse exécutives
- ne sais pas quoi répondre sur ses états mentaux mais oui sur des objets
- sx végétatif
Démence = confusion + pas risque suicidaire + minimise difficultés

134
Q

comorbidités dépression caractérisée

A
  • troubles anxieux
  • TUS
  • TCA
  • trouble personnalité
135
Q

pronostic dépression caractérisée

A
  • défavorable si comorbidités
  • défavorable lorsque sx neurovégétatifs
  • faible intelligence = haut risque = intelligence corrélée avec introspection
136
Q

différence entre dépression caractérisée et caractérielle

A

caractérielle
- dépression précipité par vulnérabilité personnalité
- dépression peut s’inscrire directement dans structure personnalité = blessure narcissique = absence de la vision grandiose mène dépression
- épisode peut servir comme défense = garder entourage inquiet pour ne pas être abandonner
- pas sx neurovégétatifs =
grande fluctuation humeur
représentation soi négative

137
Q

évolution dépression

A
  • adolescence = période sensible
  • augmentation entre 20 et 30 ans
  • chronicité dépression = mauvais pronostic + troubles comorbides
  • chaque épisode double survenue prochain
  • nombre moyen épisode durant vie = 5 à 9
138
Q

à quoi ressemble le modèle cognitif-comportemental de Beck

A
  • ce qui habite les personnes dépressives = triade cognitive
  • triade cognitive = pensées négatives sur soi + futur + monde
  • chaque pensées amènent son schéma acquis durant enfance
    soi = autocritique = je suis mauvais
    monde = négativisme = personne ne m’aime
    futur = désespoir = je vais tout gâcher
  • plus une personne a des schémas négatifs plus il y a de risque de dépression
139
Q

à quoi ressemble la programmation de la dépression selon Beck

A
  1. les expériences en bas âge cause croyances dépressogènes
  2. ajout stresseur = évaluation négative et générale de la vie surtout lorsque la personne a l’impression d’avoir perdu un aspect vital de sa vie
  3. activera préservation énergie = pensées automatiques négatives et immunitaires
    *le tout est influencé par les acteurs = support social, mais il peut perdre son influence positive à cause des cognitions négatives voyant entourage comme constamment négatif
140
Q

à quoi ressemble le modèle psychodynamique de la dépression

A
  • surmoi persécuteur = hautement sévère = dès qu’ils font une erreur il tombe en dépression, car ils ont perdue la valeur d’eux
  • agressivité envers soi
  • identité = identification à la vulnérabilité
  • dépression en réaction à une attaque à la relation
  • équivalence psychique = je me vois mauvais alors je le suis
141
Q

comment le modèle psychodynamique fait la différence entre deuil et dépression

A

deuil = objet réel versus représentation de l’objet dans sa tête = lorsque mort objet réel il aura une contradiction entre la vision qu’on a d’eux et son absence = peut causé de la rage

dépression = introjection et identification à l’objet mort = objet mort vie à l’intérieur de moi (introjection) ainsi la rage que je pouvais vivre envers la personne se dirigera vers moi = la colère est tournée vers soi car incapable de l’exprimer vers l’autre

142
Q

différence entre les deux types de dépression de Blatt

A

Anaclitique = la personne se dit qu’elle a besoin de quelqu’un pour faire ce qu’elle veut = état constant de dépendance, ainsi elle retourne vers eux la colère, car s’il la tourne vers les autres il risque de perdre ce qu’ils ont besoin

Introjective = la dépression est causée par un échec = je ne suis pas bon et non la crainte de décevoir l’autre

143
Q

à quoi ressemble la personnalité dépressive

A
  • la plus fréquente cliniquement
  • aucun plaisir, inadéquat, honteux, aucune fierté
  • standards irréalistes
  • peur du rejet si les autres le connaissent
  • introjection des aspects - seulement
  • ne devient pas nécessairement une dépression clinique, car c’est un état stable (personnalité)
  • pas obligation sx végétatif
144
Q

quels sont les 3 canaux de communication

A

verbal = dévalorisation
non verbal = hygiène
contre-transfert (ce qui est ressentie devant autrui) = irritation
*plus le trouble personnalité est élevée plus le contre-transfort est élevé

145
Q

diagnostique différentiels dépression

A
  • tr dépressif persistant = varie durée
  • tr adaptation avec humeur dépressive = en réaction à un changement sans remplir 5 sx dép
  • tr schizoaffectif = idées délirantes pendant 2 sem sans dépression
  • deuil = préserve estime de soi
146
Q

traitement dépression

A
  • cognitif-comportementaux = TCC
  • psychodynamique = psychothérapie interpersonnelle
  • athéorique = activation comportementale, mais ne règle pas les problèmes fondamentaux
  • pharmacothérapie = en combi avec psychothé
147
Q

différence entre trouble bipolaire type 1 et 2

A

Type 1 = au moins 1 épisode maniaque
Type 2 = au moins 1 épisode hypomaniaque + 1 dépressif caractérisé

148
Q

différence entre la manie et l’hypomanie

A

les deux = humeur élevée expansive ou irri
manique = une semaine + sévérité entraînant altération fonctionnement
hypo = 4 jours + pas altération ni hospitalisation

149
Q

dx différentiel bipolaire II avec le TPL

A

LABILITÉ ÉMO
TPL = due sensibilité interpersonnelles
BIP = autonome et persistante

AFFECTS
TPL = profond, intense, cause empathie intense
BIP = moins profond, moins souffrance

PATTERNS COMPORTEMENT PROTOTYPIQUES
TPL = cherche aide, exclusivité, sensible rejet
BIP = commence des activités initiées par soi mais incomplète donc les autres les finissent