Suicide chez les 5 à 13 ans Flashcards

1
Q

Vrai ou faux, nous sommes de plus en plus confrontés à la problématique du suicide chez les 5 à 13 ans

A

vrai

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2
Q

D’où peut provenir un commentaire lié à la volonté de se suicider pour un enfant (3) et quoi faire lorsque nous en sommes témoin (1)

A

Parfois mauvaise gestion émotion,

savent pas ce que cela veut dire,

répétition entendu ailleurs

peu importe, lorsque verbalisé, pas prendre cela à la légère, doit considérer le pire

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3
Q

Vrai ou faux, peu d’études concernent les enfants au sujet du suicide et aucune approche ou pratique validée scientifiquement

A

vrai

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4
Q

Pour gérer une telle situation, il existe quand même (2)

A

Toutefois, l’expérience clinique de certains professionnels donne des pistes intéressantes (lignes directrices)

Un guide de soutien pour intervenir auprès d’un enfant de 5 à 13 ans à risque suicidaire est sorti en juin 2021 (Québec)

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5
Q

Vrai ou faux, Taux élevé d’adolescents morts par suicide ou ayant fait une tentative n’avait jamais tenus des propos suicidaires à l’enfance.

A

faux, la plupart avaient déjà tenu ces propos avant

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6
Q

Cirulnik et les morts d’enfants dit accidentels opinion

A

pour se donner la mort, un enfant cherche autour de lui les outils qui pourraient la lui accorder : se faire renverser par une voiture, se pencher par la fenêtre, traverser la rue en courant, sauter d’un autobus qui roule à vive allure ou plonger dans les tourbillons d’un torrent qui le fascinent. De nombreux suicides d’enfants sont masqués par des comportements quotidiens qui les mènent à la mort. L’accident n’est pas accidentel quand une conduite le rend probable.

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7
Q

Il est difficile d’avoir un taux de prévalence juste (pourquoi) (3)

A

Beaucoup de mort l’on pense que c’est des accidents

Les chiffres ne parlent que des suicides évidents.

le recensement et les statistiques ne sont pas compilés de la même façon partout.

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8
Q

Vrai ou faux, C’est un phénomène qui est peu fréquent, mais qui existe et qui peut passer sous le radar.

A

vrai

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9
Q

Vrai ou faux, quand un enfant se donne la mort, le nombre de tentatives est plus élevé chez les filles, mais celles faites par les garçons sont plus létales

A

vrai

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10
Q

Vrai ou faux, plus de garçons que de filles se suicident globalement

A

Vrai, Cinq fois plus de garçons que de filles, excepté pour quelques endroits, plus particulièrement en Chine.Toutefois, en 2016 au Québec, Le taux de décès par suicide est de 6 filles pour un garçon. La même tendance est observée de 2017 à 2019.

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11
Q

Vers quel âge les enfants comprennent ce qu’est le suicide

A

8 ans

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12
Q

L’expérience de la mort selon l’enfant

A

Ils développent une compréhension cognitive et affective de la mort. En fonction de leurs expériences avec la mort et des explications données par les adultes, les enfants ne sont pas traumatisés de parler de la mort ou du suicide

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13
Q

Comment bien aborder le concept de la mort avec un enfant (2)

A

Aborder et nuancer avec respect et non-jugement les croyances face à la mort et au suicide. Tenter de contredire ou défaire les croyances culturelles, spirituelles ou religieuses peut être néfaste notamment pour la relation avec l’enfant et l’entourage.

Attention de ne pas tomber dans le piège de tenter de «recadrer» la conception de la mort de l’enfant. Il s’agit de mieux comprendre sa compréhension afin de comprendre l’impact que cela pourrait avoir sur le risque suicidaire

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14
Q

Exemples de questions à poser à l’enfant pour mieux connaitre sa compréhension de la mort

A

Que se passe-t-il lorsque quelqu’un meurt?

Penses-tu souvent à la mort?

Peut-on revenir après que l’on meure?

Connais-tu quelqu’un qui est décédé?

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15
Q

Lorsqu’on aborde le concept de la mort avec l’enfant, est-ce qu’on devrais aussi le questionner sur le suicide

A

On peut aussi questionner le jeune sur le suicide : connaît-il quelqu’un qui s’est suicidé ou qui a fait une tentative de suicide? Cela peut influencer sa conception de la mort selon ce qui lui a été dit : exemple d’un frère idéalisé par des parents depuis son suicide. On peut aussi avoir à composer avec les croyances et idéologies de la famille (enfer versus le paradis, la réincarnation, athéisme, etc.).

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16
Q

Vrai ou faux, il est bien pour un parent de dire à son enfant que grand-papa qui est mort danse au paradis dans le ciel

A

faux, Doit en discuter mais de la bonne façon (idéaliser est dangereux, cela rend cela attrayant) on fait souvent ces propos sans se rendre compte de leur portée

17
Q

Afin de bien détecter la problématique, il est important de connaitre les principaux …. (2)

A

Facteurs de risque et facteurs de protection

18
Q

Facteurs de risque (en nommer quelques-uns et relire)

A

Troubles mentaux (dépression, TDAH, troubles anxieux et abus de substances)

Détresse psychologique (désespoir et sentiment d’impuissance)

Expériences traumatiques (abus, violence et intimidation)

Faible estime de soi

Faible soutien social, isolement

Relations conflictuelles avec ses proches ou des pairs

Peu de soutien disponible dans l’environnement

Exposition à des conflits familiaux

Difficultés d’intégration sociale, isolement

Exposition à des comportements suicidaires

Difficultés de résolution de problèmes

Difficultés de régulation des émotions

Consommation de substances psychoactives

Endeuillé par un suicide (famille, ami, idole). Cela devient une solution pour l’enfant puisqu’il admirait la personne qui s’est suicidée

A déjà fait une ou des tentatives

A déjà verbalisé qu’il voulait se tuer ou se faire du mal

19
Q

Vrai ou faux, on doit prendre en compte le cumul de facteurs de risque

A

vrai

20
Q

Facteurs de protection (nommer quelques-uns puis relire)

A

Bons mécanismes d’adaptation

Soutien familial et des pairs positifs (sentiment d’intégration et d’appartenance)

Expérience scolaire positive

Bonnes habiletés de communication

Bonnes habiletés de résolution de problème

Forces et capacités du jeune (sentiment de compétence personnelle)

Bonne estime de soi

Saines stratégies d’autorégulation des émotions

Accessibilité à des services

21
Q

Vrai ou faux, bien que l’on doive identifier les facteurs de protection, ceux-ci ne devraient pas l’emporter sur la preuve de signes avant-coureurs graves au moment d’évaluer le risque

A

Vrai, L’utilisation des facteurs de protection ou l’augmentation de ceux-ci aideront dans l’intervention et le suivi afin de diminuer le risque suicidaire.

22
Q

Vrai ou faux, aucun facteur de risque à lui seul n’est un lien direct vers le suicide

A

vrai c’est multifactoriel

23
Q

Les modèles qui font un lien entre abus sexuels à l’enfance et idées suicidaires ont une logique similaire. (expliquer)

A

l’enfant en situation d’adversité importante a une réponse de stress neurologiquement anormale et deviennent hypersensible au facteurs de stress situationnel, ce qui engendre des difficultés d’adaptation chronique et donc le développement de la stratégie suicide pour sortir de la souffrance perpétuelle.

24
Q

Lien entre maltraitance et idées suicidaires nommer les éléments du schéma

A

Maltraitance à l’enfance (situation de stress chronique)

Capacités d’autorégulation émotionnelle

Récent facteur de stress

Idéations suicidaires à l’adolescence

25
Q

Exemples de facteurs de stress récents (évènements précipitants)

A

divorce des parents, hospitalisation d’une proche, décès d’un proche, arrestation d’un proche, maladie d’un proche, accident d’un proche, infidélité du chum/blonde, déménagement d’un ami, rupture d’amour/amitié

26
Q

Le dépistage s’avère positif lorsque le jeune de moins de 13 ans … (2)

A

nomme ou démontre (ex. : par le dessin) qu’il veut se tuer ou se blesser ou qu’il adopte des conduites à risque.

27
Q

Conduite à tenir dans le cas d’un dépistage positif

A

Étant donné que l’on sait que les enfants peuvent agir plutôt que parler, il est important de poursuivre l’évaluation ainsi que les interventions lorsque le dépistage est positif.

Par la suite, à la lueur des réponses de l’enfant, nous allons faire des interventions différentiées et dans tout les cas, assurer sa sécurité (début du schéma de soutien à l’orientation).

posture de l’intervenant importante, pas inquiétude, prêt à accueillir

28
Q

Il est requis d’avertir les parents lors d’une simple doute que le dépistage soit positif ou négatif

A

vrai

29
Q

Vrai ou faux identifier un moyen ou pas encore (doit quand même s’en préoccuper même si pas encore de moyens juste pas imminent
Peut être par des signes, (gestes, dessins, …)

A

vrai

30
Q

Quoi faire si le parent banalise la situation et pratique le déni

A

doit signaler (à la DPJ) sécurité de l’enfant peut être compromis